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Hélène D.
30 abonnés
84 critiques
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2,0
Publiée le 30 août 2022
J’étais très enthousiastes à la vue de la bande annonce . L’apparition du génie est très bien faite . Mais je me suis très vite ennuyée. On attend les 3 voeux. On attend beaucoup d’action . Et puis non ça part dans des longueurs de dialogues insupportables. Très déçue par ce film.
Visuellement assez reussi ces 3000 ans ne sont quand même pas un grand cru de George Miller. Déjà le postulat de depart selon laquelle une femme célibataire et érudite est forcément à côté de la plaque et doit forcément attendre un homme, est légèrement horripilant. Quand ensuite l’homme en question est un Noir immense on tombe dans un cliché assez pourri. Enfin si les histoires sont plaisantes elles sont cependant assez cucul la praline et manquent d’inventivité. Un cru moyen donc.
Un film curieux sur "un génie dans une bouteille" comme un conte de fee sur 3 siècles et les perennations de ce génie dit "djinn" en anglais malchanceux. Tous protagonistes féminins tombent amoureux de lui ou des qu'on lui demande les 3 vœux qu'il s'empresse de faire pour remercier la personne qui libère du flacon ou petite bouteille...un film curieux à voir pour le jeu du génie ou djinn à la Aladdin des temps modernes jouée avec superbe avec un Isris Elba en pleine forme..Tilda Swinton aussi est tres convaincante..À voir une bonne curiosite..
Un très bon George Miller, sans être un grand film ni même un chef-d'oeuvre (un film voisin qui aborde par ailleurs des thématiques similaires lui est supérieur : Le Labyrinthe de Pan)
Ceci dit, Three Thousand Years of Longing est une proposition de cinéma terriblement réjouissante et jubilatoire : une véritable ode à l'imaginaire et à la puissance évocatrice des mythes (thématique qui traverse absolument toute la filmo de Miller, que ce soit les Mad Max, les Happy Feet ou même Lorenzo).
Tilda Swinton est trucculente comme il faut en narratologue solitaire, et Idris Elba un monstre de charisme en Djinn(mais rien d'étonnant, le duo porte le film à lui tout seul).
Je pense par ailleurs que le film divisera un tantinet : cela n'a rien à voir avec ce que George Miller a fait auparavant, on est sur un plus petit film, presque un huis-clos en somme avec un goût assez prononcé pour le grotesque et même un côté anar.
Une conversation de 1h40 entre ces 2 individus, se racontant des histoires pour en apprendre un peu plus sur l'autre. Les digressions du Djinn sont celles où l'imaginaire entre en scène, malgré quelques FX voyants (là encore pas un gros budget), mais la maestria de Miller et la photo de John Seale (qui vient de prendre sa retraite) suffisent à donner du corps à l'univers visuel digne des 1001 Nuits (temple de Saba, palais ottoman et autres joyeusetés).
Sans trop en dévoiler non plus, tout le coeur du film fait sens à la toute fin (peut-être amenée un tantinet rapidement si je devais chipoter), en prodiguant là encore l'importance des histoires que l'on raconte.
Bref un très bon film pour ma part, extrêmement bien écrit en terme de dialogue et intellectuellement très stimulant. Même la BO de Junkie XL est assez inédite pour lui (on dirait du Patrick Doyle avec ce magnifique thème romantique lorgnant vers la musique ethnique)
"Trois mille ans à t'attendre" de George Miller (Mad Max) est un conte romanesque qui se regarde. En effet j'ai eu quelques difficultés à rentrer dans cette histoire si singulière à l'univers étrange qui oscille entre moments de grâce et d'autres qui frise le ridicule soulignons toutefois la beauté esthétique du film, le casting du film ( Idris Elba, Tilda Swinton) dans une histoire faite de contes et légendes qui se suit avec un certain plaisir .
Quand George Miller arrive avec un nouveau film, c'est toujours un évènement pour les cinéphages, déjà parce que c'est rare, et aussi parce que dans le pire des cas, c'est un bon film (on lui excusera MAD MAX 3). Mais cette fois, l'ami George revient avec une pépite intimiste d'une finesse narrative éblouissante, sublimée par une mise en scène qui fait mouche à chaque instant. d'un plot de départ au demeurant simpliste, Miller en délivre un film à la richesse thématique foisonnante, à la limite du testamentaire, porté par 2 acteurs incroyables de sincérité. Ma review complète sur ma chaine YT de L'ECRAN FOU : https://www.youtube.com/watch?v=w9_xwLWOLLo
Il arrive même à de grands cinéastes de rater leur cible. George Miller avec Trois mille ans à t'attendre à réaliser une oeuvre assez indigne de son talent. Une sorte de conte mièvre et sirupeux avec un emballage d'effets spéciaux assez laids. Kitsch à outrance, le film recèle quand même de quelques trouvailles scénaristiques et propose une réflexion intéressante sur l'oubli et la mémoire. Trois mille ans à t'attendre est assez ratée malgré la présence magnétique de Tilda Swinton. Si Miller réussit, par intermittence, à créer une certaine forme de magie, son film est assez creux, et le romantisme de la dernière partie apparaît comme une faute de goût. Dommage mais on attend son prochain film!
Alithea Binnie (Tilda Swinton) est une intellectuelle solitaire, qui ne trouve depuis l’enfance son bonheur que plongée dans l’étude. Cette éminente narratologue anglaise, victime de déroutantes hallucinations, se rend à Istanbul pour y donner une conférence. Elle y soutient que la science comme instrument d’explication du monde a supplanté le mythe. Dans le grand bazar, elle achète un carafon qui retenait prisonnier un djinn (Idris Elba). Sitôt libéré, il lui propose d’exaucer trois vœux. Mais la conférencière, qui sait d’expérience ce qu’il en coûte à se montrer trop gourmand, préfère écouter le djinn raconter l’histoire de sa vie.
Entre deux "Mad Max" – le quatrième en 2015 reçut un accueil si unanime que je n’ose plus citer ma critique mitigée et le cinquième est en cours de tournage – le réalisateur George Miller prend son public à contre-pied en lui livrant un film inclassable.
La touche de folie que porte Tilda Swinton laisse augurer, quand on regarde sa bande-annonce et sa première demi-heure à une comédie vagabonde sur les bords du Bosphore. Mais bien vite, le film semble trouver son rythme avec l’entrée en scène, impressionnante…. évidemment impressionnante… de Idris Elba. Une histoire se raconte, celle du djinn (qui restera innommé tout le long du film), de la façon dont il se libère des bouteilles dans lesquelles il est régulièrement enfermé, depuis sa présence résignée aux ébats du roi Solomon et de la reine de Saba jusqu’à sa participation à la succession de Soliman le Magnifique. La reconstitution est luxueuse, donnant l’occasion de quelques scènes épiques qui louchent du côté du kitsch assumé de "300" sinon des "Dix Commandements".
On aurait pu s’en contenter. Mais, las ! spoiler: George Miller trouve le moyen d’en rajouter une troisième couche dans la dernière demi-heure qui quitte les rives du Bosphore et la chambre d’hôtel où un véritable récit-monde se racontait pour la grisaille londonienne. Les récits mythologiques cèdent le pas à une banale romance que le scénario n’arrive pas à conclure dans une fin à tiroirs que je ne suis pas sûr d’avoir comprise. Tout le plaisir pris à suivre l’épopée étourdissante d’Idris Elba à travers les siècles se retrouve pris au piège d’une intrigue minuscule et sans originalité.
Un film long et bavard avec pour thème la rencontre entre un génie et une anglaise en voyage en Turquie. La première partie est indigeste avec l'histoire de ce "djin" qui raconte son passé, un prince sadique, un autre obèse qui couche avec d'autres obèse, une jeune esclave violée par un vieux monsieur le tout parsemé d'effets spéciaux spectaculaires. La seconde un peu meilleure et cette romance qui naît entre ces 2 êtres et leur souhait de se retrouver. Un conte qui ne m'a pas emballé et pour lequel je ne retiendrai pas grand chose.
Je ne savais pas trop à quoi m'attendre en allant voir ce film et je ne sais pas trop quoi en penser depuis que je l'ai vu. Un grand conte pour adultes qui en referment d'autres, on écoute, on regarde, on voyage mais pour ma part je suis restée assez détachée de tout ça. J'ai suivi sans en retenir grand chose, les sentiments qui en découlent me sont passés à côté. Pas mauvais ni bon, simplement étrange.
Pour ma rentrée en salle, vu ce film totalement au hasard sans savoir que c’était le nouveau George Miller. L’affiche ne me disait rien qui vaille, mais la présence de Tilda Swinton (que j’adore) m’a décidé. Pour faire court, je ne suis jamais rentré dedans. J’ai trouvé cela très long et l’histoire pas vraiment intéressante. Un conte pour adultes traité comme un conte pour enfants. Ça dégouline de guimauve et bons sentiments. La mise en scène est mollassonne, les effets spéciaux pas terribles. On a connu Idriss Elba en meilleure forme, Tilda Swinton aussi. Elle fait ce qu’elle peut mais n’a pas grand chose à défendre. Bref, une déception de la part du réalisateur australien dont le dernier film (Mad Max Fury road) était autrement réussi. Je ne le conseille donc pas…
Pas vraiment emballé par ce conte de "Génie"... Le scénario costaud nous balade depuis l’Égypte, moyen-age, et de nos jours. En effet le génie (Idris Elba) un colosse qui réussit à s' introduire dans des flasques, qui peuvent rester "passifs" tel les lichens, est contraint par ces traditionnels voeux qui n'ont pas toujours bien tournées, et atterrit dans cette aventure avec Alithea (Tilda Swinton). On a du mal à coller à l'ensemble, y compris la rencontre façon "Troisième type". Avec la meilleure volonté et un peu de témérité, j'ai même cherché le sens des dernières images - sorte d' "2001 l'odyssée de l'espace", mais cela restera très nébuleux.... trop.... !!**
Le nouveau George Miller que j attendais beaucoup cet été. La patte est la, c est beau, Montage et photos tres bien foutu. Un scenario tres bien ecrit. Malheureusement j ai pas vraiment kiffer. La 1ere partie j aime bien mais la deuxieme d un ennui pas possible. Sans parler de ces 2 acteurs qu on voit plus dans la 2eme partie de sont meme pas attachant ou interressant. Je n ai tout simplement pas aimer l histoire qu a voulu raconter George Miller malgre que je l adore. ( Mad Max fury Road Chef d oeuvre)
par le realisateur de la saga mad max un film aux antipodes de mad max Il s'agit de l'adaptation cinématographique d'une nouvelle d'A. S. Byatt, The Djinn in the Nightingale's Eye, parue en 1994 dans un recueil du même nom George Miller présente son projet comme un « anti-Mad Max », la saga qui l'a rendu célèbre. Cependant, il reprend une équipe très proche de celle de Mad Max: Fury Road : le compositeur Junkie XL, la monteuse Margaret Sixel ou encore le directeur de la photographie John Seale. C'est la deuxième fois que ce dernier sort de sa retraite pour travailler avec le cinéaste Le tournage devait initialement débuter le 2 mars 2020 Cependant, il est décalé en raison de la pandémie de Covid-19. Il devait se dérouler en partie en Turquie (notamment à Istanbul) et au Royaume-Uni, mais toujours en raison de la pandémie, il ne se déroule finalement qu'en Australie. Les prises de vues débutent en novembre 2020. Il doit durer 62 jours3. Les prises de vues ont lieu notamment à Sydney et ses environs (Melrose Park (en) et Sydney Park un film original et pas comme les autres un film a ne pas manquer
Voilà assurément une gourmandise "woke" qui a eu le don de m'agacer les dents ! Cette "fantaisie", revisitant la légende orientale (le Génie arabe et sa lampe devenant un "Djinn" nubien enflaconné), est un loukoum de harem, poisseux de moraline, jusqu'à la seule réaction qui vaille, de l'ordre de l'émétique salutaire ! Même l'esthétique (mutatis mutandis...), saint-sulpicienne, à base d'effets spéciaux ripolinés, repousse, et décourage la bonne volonté du spectateur, pris en otage par un George Miller dépourvu du moindre atout... cinématographique. Tilda Swinton, rigidifiée de bien-pensance et transie d'amour légendaire ("Trois mille Ans à t'attendre"), n'est même pas une consolation : à fuir !