Derniers Avis : OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire - Page 20

Un film plat et sans saveur, malgré de très bons acteurs je suis profondément déçu de ce manque d'action et d'humour.
En fait, il est fidèle aux deux autres.....

Extrêmement déçu, je savais que ce film n'allait pas avoir le génie des deux premiers, mais là comme on dit "je m'attendais à rien et j'ai quand même été déçu", ce qui faisait le sel des deux premiers OSS, des dialogues, un rythme, des plans, des acteurs ne sont plus présent, en même temps avec Nicolas Bedos il fallait s'y attendre
Qu'on se le dise le film n'est pas drôle, aucune scène réellement marquante, là ou le premier quasiment chaque scène est culte,

Un Oss 117 sans surprise. Pierre Niney/ Jean Dujardin fonctionne très bien, le scénario est plutôt bon, on peut regretter un léger manque de rythme. Dans l'ensemble un bon divertissement.

Film d’un ridicule morale socialiste à deux balles, miney comme d’habitude ultra gay ,pauvre Dujardin !

Du Bedos. C'est mauvais.
Il n'a pas compris qui est OSS117.
Dans les 2 premiers volets, le racisme est abordé via la bêtise du héros.
Et donc, excusée de fait.
Dans cet épisode, les vannes tombent... et sont suivies par ce qui ressemble à des excuses. C'est nul.
Sacré Nicolas... Il n'a trouvé que la recette du saccage d'une belle série.

À aucun moment le film ne m'a arraché le moindre sourire.
Cet OSS 117 n'est pas un film, c'est juste une perte de temps.

décevant, de l humour au deuxième degré bien expliqué, dans une suite de scènette sans cohésion. grosse deception

On a perdu la substantifique moelle des 2 premiers oss117 pendant les 3/4 du film. Rajouter un nouvel agent pour faire passer Ringuard oss117 est vraiment fait de manière trop insistante : c'est relou et c est mouuu ! Où sont passés les dialogues absurdes et le burlesque? Heureusement, le début et la fin (les parties sans l autre oss) sont de bonne facture

Un résultat pour ce 3ème opus assez mitigé avec un pari très risqué pris par Nicolas Bedos qui était de prendre la réalisation de OSS 117. Il est resté fidèle à la réalisation de Michel Hazanavicius avec une cohérence chronologique avec les 2 premiers films.
12ans après OSS 117 à Rio et 15ns après OSS 117 au Caire, Le personnage d'Hubert incarné par jean Dujardin est toujours aussi génial et attachant.
Cependant, en 3 films et 26ans de missions, le personnage principal n'a pas vraiment évolué, toujours aussi raciste et homophobe. Le film est assez divertissant mais aurait pu être bien mieux avec plus de répliques spontanées et un humour moins lourd.

Film traitant du sujet de la Françafrique, l'humour était assez prévisible et les blagues pas forcément spontanées. Il est sympa à regarder mais moins drôle et réussi que les deux premiers opus qui restent des classiques avec des répliques cultes et une réalisation parfaite. Le duo Jean Dujardin / Pierre Niney intergénérationnel est vraiment génial mais encore une fois un humour très lourd et redondant sur la différence de modernité; le personnage de Pierre Niney aurait pu également etre davantage développé. Après un visionnage, seulement 1 ou 2 répliques voire aucune restent dans nos mémoires, ce qui est un mauvais point pour un OSS.

Scénario faible basé sur la compétition entre la vieille école et la nouvelle garde, belles réalisation et interprétations, bons dialogues et une fin ouverte baclée qui appelle une suite.

"OSS 117 alerte rouge en Afrique noir", le célèbre agent français part une nouvelle fois en mission. Cette fois ci en Afrique pour évité un putsch contre le président enfin dictateur en place pro-français. Il va devoir faire équipe avec OSS 1001 la nouvelle génération d'agent.
15 ans après le 1er opus revoilà notre héros national en pleine savane africaine pour le meilleur et pour le pire. De mémoire j'avais apprécier mais sans plus le premier mais j'étais un choua curieux de voir cette suite.
On garde les même ingrédients avec ce côté absurde et les milles et un préjugés qu'il a et n'hésite pas a balancer en pleine tronche sauf qu'ici il doit justement éviter de faire des vagues. Pas gagné avec ce gugusse et cela donne des scènes marrantes quand il tente de ce rattraper mais sa bêtise naturel reviens vite au galop. Cela dénote avec son coéquipier plus moderne et plus ouvert d'esprit et cela fonctionne plutôt bien dans l'ensemble. Oui c'est pas hyper subtil hein, on le sait en allant voir ce film de toute façon. Comme prévu c'est absurde mais assumé.
Mettez aussi un peu d'action avec cette connerie et le film passe assez bien. Niney à du s'éclater avec Dujardin au vu des scènes et il y a une bonne complicité cela ce voit. Donc pas mal mais sans plus.
NOTE : 5.5/10

Le 3e volet d'OSS 117 avec l'inénarrable Jean Dujardin n'est certainement pas le naufrage que certains ont annoncé: la photographie et la reconstitution d'époque sont aussi impeccables sous la caméra de Nicolas Bedos que sous celle de Michel Hazanavicius, les dialogues toujours très croustillants, les interprètes en pleine forme... Alors qu'est ce qui cloche ? Tout simplement l'histoire, qui ne parvient pas à mettre en place des mécaniques et un arc narratif suffisamment efficaces pour accrocher le spectateur. On assiste donc à des pérégrinations sympathiques (pour peu que l'on accroche à ce type d'humour,
toujours aux limites de l'absurdité), mais qui sont pénalisées selon moi par un manque d'intensité dramatique, et par quelques segments peu inspirés.

Là où Michel Hazanavicius, en tant que réalisateur, avait réussi le pari de rendre cette satire de « James Bond » totalement irrésistible, Nicolas Bedos se prend complètement les pieds dans le tapis. Sortie en 2021, cette comédie respire la lourdeur et l’insignifiance. Seul Jean Dujardin avec son interprétation d’agent secret ringard et raciste sort son épingle du jeu, même si la caricature reste excessive. Quant aux autres acteurs (Pierre Niney en particulier), l’absence d’écriture scénaristique et le manque d’épaisseur des personnages les cantonne dans des rôles de faire-valoir. Bref, un bon loupé.

Un petit moment de détente Flash back année 70 . 80
voir un R 12 Gordini bleu et blanche....
Et plein de gags caranbare

Un film rétro plein pot, daté prétendument en 1981.

La description du racisme du voyageur en Afrique, voire de "l'expat". Ça manque de finesse, mais ce n'est certes pas le propos de Nicolas Bedos et de Jean Dujardin de produire de fines analyses...

Quelques anachronismes -dont certains révèlent que Nicolas Bedos est un jeunot qui est loin d'avoir connu tout ça, mais que nous... oui-, notamment : en 1981, même un jeune OSS 1001, ne disait pas encore "c'est cool", expression apparue je pense dans les années 90...

Au plan de la vraisemblance historique, le potentat africain auquel OSS 117 rend visite a bien quelque chose de Bokassa, mais est foutrement plus fin que lui.. Il est vrai qu'en narrant Bokassa , il aurait été difficile d'éviter des accusations de racisme au 1er degré.

Un autre regret : même si en 1981 la Françafrique avait perdu -momentanément- J. Focart, on peut regretter que N. Bedos ne lui ait pas fait une petite place...


Loches 4 août 21