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Un visiteur
5,0
Publiée le 3 septembre 2021
Ma première expérience d'OSS (Le Caire : nid d'espions) n'a pas été un franc succès, j'avais sans doute oublié aà la maison mon bagage contexte historique et auto-dérision franchouillarde... Puis je l'ai regarde à nouveau à la sortie de Rio ne répond plus et j'ai adoré. Autant dire que j'attendais avec impatience ce troisième volet après 15 ans d'attente. J'ai entre-temps ete subjugué par la réalisation de La belle époque de Nicolas Bedos, et j'ai bien entendu qu'il était prisonnier de sa mauvaise image et conscient d'être politiquement incorrect... Encore des raisons supplémentaires d'être séduit par sa prise en main du troisième volet de la saga. Alors j'y suis allé avec le contexte historique de 1981 en poche, ma folle envie de rire du racisme façon les Inconnus, Jérôme Ferrari ou Pierre Desproges, mis de côté mes idées politiques et j'ai présumé que le film ne serait pas une vitrine aux messages cachés et j'ai savouré ! Hubert peut se permettre de tout dire, on adore le détester, il peut mettre la main aux fesses des femmes qui l'entourent, bénir le bon temps du colonialisme, avoir besoin de sa bonne vieille France pour retrouver la forme... Tout lui est pardonné car il est dans son temps, il est dépassé par l'évolution des mentalités, refuse de se séparer de son conservatisme... Bien sûr, il y aurait des nuances à formuler sur le rythme du film ou certains aspects du scénario mais avant toute critique facile sur ce que je ne sais pas faire et que d'autres font mieux que moi (Nicolas Bedos par exemple) je me suis simplement posé la question : Ai-je passé un bon moment ? L'esprit OSS 117 est il toujours là ? Les répliques sont-elles saignantes à souhait ? Oui oui et oui
Excellent, encore meilleur que les deux premiers ! Bedos réussit son pari en innovant avec un deuxième agent et va parfois plus loin dans l'absurde et la provocation. Magique !
Film affligeant. Ça ne s’improvise pas d’être un réalisateur. Peux dos je peux avoir du talent mais là il s’est complètement planté. Pas de rythme, scénario pourri, aucune cohérence. Il faut que Bedos arrête avec sa nostalgie des années 70 et 80, on est dans le fétichisme pathétique. Pour faire rire avec de l’humour potache il faut de la maîtrise. Le film est long comme il est mal fait. Il n’y a que des longueurs et on rit peu voire pas du tout.
Nul catastrophique raté incohérent sans queue ni tête voilà Nicolas Bedos est complètement raté le scénario est inexistant les répliques préhistorique la daube de l'année voir plus dommage natlin dans le film
Excellent film...mais uniquement si on a les clés pour décoder un humour corrosif basé sur la période France Afrique post colonial. Il faut notamment avoir un minimum de référence concernant la séquence Giscard en Centrafrique et l'affaire des diamants. Si de surcroît on connaît l'Afrique c'est un plus...sinon on peut comprendre le moindre intérêt et la mauvaise impression remontés par ceux qui ne disposent pas de ces clés...
Autant les 2 premiers opus m'ont emballe, autant celui s'est révélé décevant malgré une performance intéressante de Pierre Niney. Le scenario est désorganisé comptant sur une succession de blagues qui s'enchainent mal. Cela manque de rythme et Jean Dujardin n'est plus aussi vif et brillant. Pas un mauvais moment en soi, mais on sent de l'essoufflement dans la série a l'image de Jean Dujardin courant dans la savane
On ne peut accueillir le retour d'OSS 117 sans un certain plaisir mais également sans une certaine attente, après toutes ces années. Le titre est accrocheur comme pour les deux premiers épisodes, en revanche les blagues et moments cultes sont moins nombreux, laissant place à des moments de gênes qui font sourire plus que rire. Si Dujardin reste impeccable dans ce rôle dans lequel il excelle, Niney lui, n'apporte pas la fraîcheur espérée au scénario, pas mauvais mais peu crédible dans un rôle d'espion en pleine guerre froide. Autres nouveautés, il y a plusieurs scènes déshabillées, sans doute la signature de Bedos. Le film n'en reste pas moins agréable dans l'ensemble et se regard avec un large sourire.
"OSS 177: Alerte rouge en Afrique noire" est le troisième volet de "OSS 117". Un film un peu décevant, j'ai préféré les deux précédents mais le film reste drôle et l'histoire est bien sympa. J'ai trouvé qui manquer un peu de rythme et certaines blagues ne m'on pas conquis. Je trouve pas contre que Jean Dujardin et Pierre Niney fessaient un très bon duo.
Dans la ligné des précédents, Bedos à bien retranscrit l'humour de d'hazanavicius. Le tout passe bien pour peu que l'on adhère a cet humour particulier. Apres le scénario est assez prévisible et c'est surtout pour le cabotinage de Dujardin que l'on vient.
Bien plus mauvais que les deux précédents : 20 fois moins de petites blagues / gags tout au long du film, l'action plus molle, la real moins punchy... C'est plus ou moins sauvé par le casting avec un Dujardin toujours sympathique à voir et des nouveaux persos secondaires acceptables.
Ma première expérience d'OSS (Le Caire : nid d'espions) n'a pas été un franc succès, j'avais sans doute oublié aà la maison mon bagage contexte historique et auto-dérision franchouillarde... Puis je l'ai regarde à nouveau à la sortie de Rio ne répond plus et j'ai adoré. Autant dire que j'attendais avec impatience ce troisième volet après 15 ans d'attente. J'ai entre-temps ete subjugué par la réalisation de La belle époque de Nicolas Bedos, et j'ai bien entendu qu'il était prisonnier de sa mauvaise image et conscient d'être politiquement incorrect... Encore des raisons supplémentaires d'être séduit par sa prise en main du troisième volet de la saga. Alors j'y suis allé avec le contexte historique de 1981 en poche, ma folle envie de rire du racisme façon les Inconnus, Jérôme Ferrari ou Pierre Desproges, mis de côté mes idées politiques et j'ai présumé que le film ne serait pas une vitrine aux messages cachés et j'ai savouré ! Hubert peut se permettre de tout dire, on adore le détester, il peut mettre la main aux fesses des femmes qui l'entourent, bénir le bon temps du colonialisme, avoir besoin de sa bonne vieille France pour retrouver la forme... Tout lui est pardonné car il est dans son temps, il est dépassé par l'évolution des mentalités, refuse de se séparer de son conservatisme... Bien sûr, il y aurait des nuances à formuler sur le rythme du film ou certains aspects du scénario mais avant toute critique facile sur ce que je ne sais pas faire et que d'autres font mieux que moi (Nicolas Bedos par exemple) je me suis simplement posé la question : Ai-je passé un bon moment ? L'esprit OSS 117 est il toujours là ? Les répliques sont-elles saignantes à souhait ? Oui oui et oui Alors ce n'est pas un chef d'œuvre mais un très bel opus de la saga que je rangerais fièrement à côté des précédents