Mon compte
    Mort sur le Nil
    Note moyenne
    3,1
    6533 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Mort sur le Nil ?

    446 critiques spectateurs

    5
    17 critiques
    4
    80 critiques
    3
    171 critiques
    2
    102 critiques
    1
    49 critiques
    0
    27 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Alice025
    Alice025

    1 664 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2022
    Dans la même veine que « Le crime de l'Orient-Express », satisfaisant et divertissant, mais très classique. S'entourant de paysages égyptiens numérisés un peu trop colorés , Hercule Poirot est de retour pour élucider un meurtre dans un bateau de croisière sur le Nil. On reprend le même schéma que le premier et on recommence : comme un Cluedo, on se prend au jeu pour tenter de deviner le coupable. Nouveau casting de potentiels suspects, un peu plus de suspens et de rebondissements, mais le rythme reste un peu inégal (l'enquête ne commence qu'à partir de la moitié du film), le film fait le job mais ne marquera pas les esprits.

    http://cinephile-critique.over-blog.com
    lmc-3
    lmc-3

    270 abonnés 462 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2022
    Enième adaptation d’une œuvre connue par cœur, je craignais le sentiment de déjà vu et l’absence de surprise.
    Mais voilà: Oser faire un ‘Mort Sur Le Nil’ en 2022, et qu’un film avec un titre pareil attire des stars comme Gal Gadot et Emma Mackey.., c’est qu’on a une idée de neuf derrière la tête, d’autant que le film est en partie signé ‘Ridley Scott’.
    Et en effet... avec son 83% sur Rotten Tomatoes, le film mérite le coup d’œil!

    Alors oui: je précise aux puristes d’Agatha Christie voyant outrage rédhibitoire à modifier son ouvrage: l’œuvre finale s’en écarte totalement.

    On peut connaître l’œuvre originale ou/et avoir vu ‘n’ adaptations cinématographiques, et déguster ce ‘film original’.
    Bien joué, bien rythmé, belle imagerie, les paysages, les costumes, décors et autres objets, tout est très coloré, très ambiancé, esthétique, fin, brillant.
    Réticent au départ pour les craintes citées en préambule, très content de ma séance.
    Vivement recommandé.

    Poirot balafré sous le nez et à la joue droite, X années plus tard cicatrice sous la moustache (qui pousse normalement malgré cicatrice) mais plus rien au niveau de la joue?
    lobak G.
    lobak G.

    5 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 mars 2022
    0.5/5 prend trop de liberté avec l'histoire originale et les personnages. La pire adaptation des ouvres d'Agatha Christie
    VinceHanna
    VinceHanna

    71 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 février 2022
    On est très loin du niveau de la série avec David Suchet. Le réalisateur se permet de rajouter des personnages, de créer une histoire à Poirot complètement absurde. Déjà que le premier était affligeant à part un casting exceptionnel, celui-ci reste du même acabit, mais encore plus faible que le premier. À fuir.
    Guillaume D
    Guillaume D

    53 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mars 2022
    Je n'attendais pas grand chose de ce film et j'ai pas été déçu. Comme prévu, j'ai détesté presque entièrement cette adaptation du chef d'oeuvre d'Agatha Christie.

    Le scénario est très inégal, avec des longueurs sur des éléments qui n'apportent rien à l'histoire et des moments très importants de l'intrigue malheureusement expédiés en 2 minutes. La mise en scène du meurtre, pourtant l'élément principal du film est tout simplement bâclée.
    Une Egypte en synthèse bien trop léchée, des décors de l'hôtel et du bateau en mode carton-pâte à la Disneyland. Bien qu'esthétique, ce qui est censé se passer dans un décor millénaire pendant l'entre deux guerres fait beaucoup trop artificiel.
    C'est un Hercule Poirot dont on ne sait plus s'il est toujours belge. De même, le dénouement raconté par le détective habituellement délicieux à écouter est ici remplacé par les sautes d'humeur d'un homme troublé.
    En plus du mauvais jeu de nombreux acteurs. Seuls les personnages de Salomé Otterbourne (Sophie Okonedo) et Jackie de Bellefort (Emma Mackey) réhaussent le niveau. Enfin, la réinterprétation de certains personnages bourre le film d'anachronismes.
    C'est malheureusement un "Mort sur le Nil" à la sauce wokisme que nous propose Kenneth Branagh, faisant fi du contexte historique et de fidélité au roman.
    Seul point positif, l'esthétisme global, notamment celui des costumes.

    Préférez de très loin la version de 1978 avec Peter Ustinov. Un chef-d’œuvre à côté de celui-ci.
    Dom Domi
    Dom Domi

    40 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 mars 2022
    Un film américain caricatural. Sans intérêt. Disneyland sur un fleuve. Même Poirot se perd dans ce dédale de fadaises cinématographiques. Je ne parle même pas de la musique qui prend la tête.
    À éviter..
    Yves G.
    Yves G.

    1 456 abonnés 3 486 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 février 2022
    Simon Doyle (Armie Hammer rattrapé depuis par de troublantes accusations de viol et de … cannibalisme) et sa richissime fiancée, Linnet Ridgeway (Gal Gadot dont le seul nom au générique suffit à faire interdire la sortie du film au Koweït) sont en lune de miel en Égypte. Ils ont affrété un luxueux bateau qui remonte le Nil d’Assouan à Abou Simbel. Ils ont rassemblé autour d’eux leurs amis les plus proches ainsi que le célèbre détective belge Hercule Poirot (Kenneth Branagh) rencontré par hasard au pied des Pyramides. La croisière semble commencer sous les meilleurs auspices ; mais le crime rode…

    Kenneth Branagh récidive. Fort du succès mondial du "Crime de l’Orient-Express" (352 millions de dollars au box-office pour un budget de 55 millions), le brillant réalisateur britannique remettait rapidement le couvert et tournait, avec une brochette de stars sa « suite ». Déjà, en 1974, le succès du film de Sydney Lumet avait incité la production à tourner quatre ans plus tard une adaptation de "Mort sur le Nil". Si le film de 1978 (avec Peter Ustinov dans le rôle du grand détective belge) a été presqu’entièrement tourné en décors naturels, celui de 2022 – dont la sortie a été repoussée pendant deux ans à cause du Covid – l’a presqu’entièrement été en images de synthèse. Le résultat est d’un kitsch assumé qui, selon les goûts, provoquera des renvois gastriques ou une admiration médusée.

    "Mort sur le Nil" aura-t-il autant de succès que Le Crime…. ? C’est hélas probable. Car tous les ingrédients escomptés sont au rendez-vous : l’exotisme d’une croisière sur le Nil, le luxe insolent des Années folles, l’intrigue gentiment emberlificotée des romans d’Agatha Christie…. D’ailleurs, malgré les réserves que m’avait inspirées le précédent film de Kenneth Branagh, je me suis précipité voir celui-ci dès sa sortie, comme on entre dans une pâtisserie pour s’empiffrer d’une tropézienne trop grasse (métaphore varoise). Ai-je eu tort ? Ai-je eu raison ? J’expierai ma faute en allant voir dès mon retour à Paris un film moldo-slovaque en noir et blanc sans dialogues !
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 février 2022
    Si la curiosité pouvait nous faire reconsidérer cette seconde adaptation de Kenneth Branagh, sachant son regrettable « Crime de l’Orient Express », il nous serait impossible d’imaginer atteindre aussi rapidement le seuil de médiocrité. Ce que transpire ce joyeux d’Agatha Christie, ce n’est plus la magnifique photo, édifiée dans la version de John Guillermin en 1978, ce sera plutôt la mauvaise tranche momifiée d’un plateau Égyptien, factice et dénuée de la rêverie promise. Hercule Poirot de nouveau à la barre, toujours pas de Miss Marple pour le cinéaste britannique, l’aventure le long du célèbre fleuve des années 30 pouvait interpeller, malheureusement pour un châtiment dont il n’est pas près d’échapper.

    La séquence d’ouverture sondait toutefois l’espoir, quant à sa réalisation et son sens du cadre, choses que l’on ne retrouvera plus après cela, hélas. Et quand bien même, cette introduction cherche à explorer les cicatrices et le passé amoureux du détective belge, il serait vain de considérer ses faits d’armes comme un enjeu d’importance, si ce n’est pour nous les rappeler en dénouement. Avec l’âme d’un Shakespeare qui ne semble pas vouloir cohabiter avec l’univers de l’écrivaine, Branagh s’embarque dans une croisière qui n’a plus rien de palpable, plus rien d’étincelant, quand tout sonne faux, du décor jusque dans les dialogues. D’ailleurs, il sera compliqué de passer à côté de la justesse technique des fonds verts et autres caméras qui voltigeront pour un rien. Le sentiment de grandiose semble vouloir habiter chaque instant, alors que tout semble avoir été maladroitement introduit, une fois la galerie de personnages présentés.

    Le réalisateur n’hésite donc pas à aller jusqu’au bout de son idée, louable dans l’intention, mais qui sera plus difficile à encaisser à la vue d’une telle indigence dans sa pauvre mise en scène. Il ajoute et déforme évidemment des éléments du roman, mais ne font que gonfler le volume du récit, déjà inutilement dense. On se perd dans autant d’accusations qui ne superposent aucune tension et c’est bien un problème lorsque l’on a des crimes à élucider. L’identité du, voire des coupables, ne semblent pas l’intéressé plus que cela, ce qui aurait pu davantage développer le profil de certains passagers, modernisés par ses soins. Mais pas de festin à l’arrivée, juste le prolongement d’un flottement qui dure depuis trop longtemps. L’ex-fiancée peut effrayer, mais disparaît dans un sommeil scénaristique, qui préfère icôniser des plans absurdes, où la mariée prête ses traits à Cléopâtre.

    Il est donc consternant de se présenter devant un « Mort sur le Nil » (Death on the Nile), qui grille toutes ses cartes d’entrée et qui ne cherche pas plus que cela à rendre la lune de miel plus sucrée ou digeste. Si c’est avec un œil plus désabusé qu’il convient de le découvrir, c’est déjà un sacrilège rien que d’y songer, non pas que le support mérite simplement plus d’attention. Mais que l’on développe au moins les déboires de l’amour et de ses conséquences sur ceux qui la convoiterait, au lieu de distiller des paillettes numériques qui ont tendance à nous renvoyer dans une salle sombre, où l’intérêt se perd de minute en minute. Un Poirot mélancolique n’a pas eu son compte et nous aurons au moins cela en commun avec cette relecture qui coule à pic.
    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    183 abonnés 1 084 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 février 2022
    Une adaptation qui massacre le roman, et surtout les personnages. Si au moins le film était beau, mais non ! Entre effets spéciaux numériques ratés et choix de cadrage désastreux, Branagh noie son film.
    La critique complète sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
    LEVUAD
    LEVUAD

    3 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 février 2022
    Aïe ! Aïe ! Aïe ! quel désastre que ce remake (et non nouvelle adaptation) complétement bousillé par des changements à caractère woke et cancel culture minant l'histoire.
    Je sais bien qu'il faut par moments donner un coup de jeune, insuffler de la modernité aux oeuvres du passé.
    La télé anglaise a très bien réussi avec la série Sherlock Holmes avec Benedict Cumberbatch et Martin Freeman en transposant la série de nos jours avec tout ce que cela charrie. Autre exemple : les petits meurtres d'A.Christie pour France 2, romans transposés en France en 1939 puis les 50's et dernièrement dans les 70's.

    Que dire du film de K. Bragnah...perso' j'ai détesté justement à cause de ces références wokisme et cancel culture. spoiler: Cela dénature totalement le personnage de Salomé Otterbourne et de sa fille dans le roman original (devenue sa nièce dans le film). Alors que Poirot fuit plutôt cette écrivaine alcoolique, exubérante et ses théories érotiques (pas si bêtes que cela au final) là on a un Poirot face à une Salomé, une belle femme Afro-américaine, chanteuse de blues qui joue de la guitare électrique et dont la carrière est gérée par la nièce. Nièce amoureuse de Book le pote de Poirot , jeune homme fringant vivant sous la coupe de sa mère, qui refuse l'amour de la nièce et de son fils. Or, dans la version originale, Book n'est pas le pote de Poirot et le fils est homosexuel repoussant la proposition de la fille Otterbourne. Sans compter les relations mère/fils quelque peu bizarres. L'homosexualité est évoquée clairement par le couple de Bowers, la dame de compagnie, et Mme Van Schuyler l'employeur. Il faut que ce soit plus révolutionnaire donc on laisse tomber la subtilité.On y va à la truelle. Salut au docteur Bessner toujours docteur mais devenu Lord ex-fiancé transit de Linnet ! Sans compter l'avocat américain de Linnet qui gère ses affaires alors lui c'est devenu cousin Andrew, de type Indien avec un patronyme arménien, volant sa cousine Linnet mais tellement attaché à elle et vice-versa.


    Je continue sur le scenario. Depuis quand Hercule Poirot a fait la Iere guerre où il aurait moyennement défiguré l'obligeant au port de la moustache ? Sans compter son envie de devenir fermier. Honteux !!!!!!! Poirot s'exile en Angleterre au début de la guerre et était membre de la gendarmerie royale belge.
    La mécanique du meurtre qui est le sel et le piment de cet opus est littéralement...oubliée. Du coup, un meurtre ouais ok et ???????

    Je m'arrête là pour les éléments personnage et scenario.
    Le coup final : le recours aux images numériques de pas très bonne qualité. Et cela se voit régulièrement.

    Je ne comprends pas que les héritiers d'A.Christie n'ont rien dit, eux si tatillons sur les adaptations et autres reprises.
    JudyCarlotta
    JudyCarlotta

    72 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 février 2022
    Coche toutes les cases du politiquement correct. Ou comment financer des projets très personnels par des trucs qui ratissent très large. C'est la seule explication que j'ai pu trouver pour comprendre l'existence de ce machin. Cela dit, Brannagh a l'air de s'amuser follement. De bien belles images.
    Orang-ette
    Orang-ette

    1 abonné 27 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 février 2022
    Mais que suis-je allée faire dans cette galère ?
    J'ai frôlé la crise d'apoplexie sur mon siège lors de la séance du Crime de l'Orient-Express réalisé par K. Bragnnah. Donc quand il annonce sur un ton joyeux à la fin du film qu'il est attendu en Egypte, j'avais décidé de ne pas le suivre. Et pourtant je suis allée en Egypte de fond vert limite carton pâte.

    Alors Mort sur le Nil ??? Comme beaucoup j'ai en tête la version de 1978 avec P. Ustinov mais j'ai surtout en t^te l'excellente adaptation TV avec l'excellentissime David Suchet. Car s'il y a bien une version de Mort sur le Nil respectueux du roman, très bien interprétée et prenante (même si on connaît l'histoire du début à la fin) c'est bien cette adaptation. Sans compter le plaisir de la regarder en VO tant D. Suchet est...Belge !

    La version de K. Bragnnah est loupée. Déjà la réalisation : j'ai vraiment été gênée par l'utilisation à mort du fond vert et des images de synthèse. Sans compter tous ces filtres colorants...je sais bien qu'en ces temps troublés tourner dans cette partie du monde peut se révéler délicat mais il y a d'autres pays qui auraient pu servir de décors naturels réduisant un peu voire pas mal ce recours au fond vert.

    Le scenario : des personnages ajoutés, un passé inventé pour Hercule Poirot totalement hors de propos par rapport aux romans, des points wokisme et cancel culture à pleureur (oui Monsieur Bragnnah, A. Christie évoque de façon très subtile l'homosexualité mais entre 2 femmes, mais chez un des personnages masculins), une première partie de film longue...Mon Dieu que c'est long avant d'arriver au 1er meurtre alors qu'après cela s'emballe (bah oui...y'reste plus que 1heure pour le 2ème meurtre, l'enquête de Poirot, la résolution etc..etc...).

    Hercule Poirot : NNNNNOOOOONNNNN ! mais quelle honte d'avoir pensé et mis en scène un tel Hercule Poirot : sportif, alerte, un poil grand bourgeois aventurier plein de panache. Et alors en VO, K.Bragnnah est total à la ramasse sur l'accent francophone. Les autres interprètes ont plus le sens du French accent que lui. Revenir au classique : David Suchet !
    René Philibert
    René Philibert

    19 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 avril 2022
    Mort sur le Nil, version woke, multiples anachronismes et casting inclusif, c'est la nouvelle recette de cette adaptation du classique d'Agatha Christie. La pauvre, elle a du se retourner dans sa tombe. Je préfère la version de 1978...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 juillet 2022
    Je veux bien admettre que le ketchup se marie avec les frites mais ici cela donne un pudding indigeste. Pitié M. Branagh, arrêtez le massacre !!!
    Яшка Янчиков
    Яшка Янчиков

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 février 2022
    Agatha Christie se retourne dans sa tombe. Son œuvre a été massacrée pour servir la culture du vide émotionnel. La propagande bien-pensante nauséabonde impose une actualisation des personnages maladroite ou plutôt malhonnête. Ceci ne sert pas la cause des minorités, bien au contraire.
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top