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    Licorice Pizza
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    379 critiques spectateurs

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    Tumtumtree
    Tumtumtree

    169 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2022
    Quelle déception ! Alors que s'annonce un désert cinéphilique de plusieurs semaines en ce début d'année 2022, on attendait beaucoup du regard porté par PTA sur la jeunesse des années 1970, après avoir décortiqué l'histoire de couple archi-sophistiquée de Phantom Thread. La bande-annonce était très prometteuse. Les tous premiers plans du film le sont aussi, notamment un long plan séquence où les deux personnages principaux tombent instantanément amoureux l'un de l'autre en une discussion des plus animées. Mais le film s'enlise vite. Cette jeune femme de 25 ans n'osant pas assumer son amour pour cet ado de 15, les deux amis passent en mode "je t'aime moi non plus", au risque des répétitions et de la lassitude. Ces 2h15 semblent franchement en durer 4. Quantité de scènes paraissent tout à fait arbitraires et inexplicables, comme les caméos de Sean Penn et Bradley Cooper. On descend une colline en marche arrière à bord d'un camion sans essence, on s'immerge dans une campagne électorale sans queue ni tête, on vend des matelas pneumatiques puis des flippers, on se propose pour un casting télé assez tendu, etc. etc. Mais pourquoi ? Mystère. Peut-être simplement pour dresser la chronique d'une petite ville californienne des années 1970. C'est trop peu. Espérons que PTA sera plus inspiré la prochaine fois...
    SUZY AND MEE
    SUZY AND MEE

    140 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 janvier 2022
    Une histoire d'amour entre un jeune gars prêt à bouffer l'Amérique et à lui vendre n'importe quoi, une sorte de Donald Trump de 15 ans, et une brune Barbara Streisand de 10 ans son aîné... les deux suant la jeunesse et l'enthousiasme et passant leur temps à courir dans la rue sur une bande son géniale...il y avait de quoi rester collé à son siège...!
    En réalité, c'est un gros BOF...! : le réalisateur fait du remplissage avec des scènes qui bien souvent apparaissent sans intérêt pour l'histoire... il fallait absolument filer un cachet à Sean Penn et Bradley Cooper alors on leur a inventé un petit rôle qui n'apporte rien ... l'analyse psychologique des personnages est au ras des pâquerettes et nos deux héros n'évoluent guère finalement malgré l'amour qui leur tombe dessus et plus de deux heures et quart de film...!
    cinono1
    cinono1

    305 abonnés 2 058 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 janvier 2022
    C'est bien mais c'est long. Une chronique de l'adolescence narré par PT Anderson, c'est tentant. Ce réalisateur a un talent presque indécent, la manière dont il parvient à injecter de l'inattendu dans chaque scène est stupéfiante. Il arrive aussi qu'il se perde dans sa narration et c'est un peu ce qu'il se passe ici. Le film s'appuie sur peu de ressorts narratifs une fois la première heure passée. 2 jeunes attiré l'un par l'autre sans qu'ils se l'avouent. Anderson retrouve les parfums de l'adolescence, la frime, les bloquages, les paradoxes, l'envie de vite grandir, qu'il renvoie au spectateur mais sans l'accompagner d'une histoire solide ou des personnages consistants. Il y a un manque d'émotion malgré les scènes étonnantes, les travellings de toute beauté.... Le parfum se dissipe vite donc, le film finit presque dans la banalité et la langueur.
    Epikouros
    Epikouros

    42 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 janvier 2022
    J'ai couru voir ce film, propulsé par la réputation du réalisateur (maints films m'ont emballé dont "Magnolia"), dopé par une critique parisienne unanime. Résultat ? A la mesure de mon attente. Interminable, nunuche et filmé à la va comme je te pousse. Une série de scénettes, une attraction sentimentale peu probable, des couleurs passables, des interventions de stars superfétatoires et interminables, ici ou là un sourire, il est vrai... Et je vais y aller à mon coup de griffe politiquement incorrect : il est est dit que les deux jeunes acteurs sont "atypiques". En bons français, ça se traduit : moches comme deux poux ! Leur talent ne suffit pas et le happy-end est improbable. Bref, c'est raté, yankee certes, mais adolechiant et abyssalement creux.
    SuperJS
    SuperJS

    33 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 janvier 2022
    Le long, très long, bien trop long parcours de 2 jeunes séparés par 10 ans d’âge, oscillant entre amitié et amour. Errance, incursions dans le dur monde des « adultes » par le biais de rencontres, références made in US de cette époque qu’il faut sûrement connaître pour éventuellement les apprécier : on se demande où Paul Thomas Anderson veut en venir (le sait-il lui-même ?), pourquoi les critiques sont-elles si bonnes, et quand (et comment ?) cette histoire, certes très bien jouée par tous les acteurs, va enfin se terminer vu le rythme monotone et affreusement ennuyeux.
    Au final, tout ça pour ça ???? 😥😓😪
    Rėgine Buchholtz
    Rėgine Buchholtz

    19 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 janvier 2022
    Rempli de clichés dans tous les domaines (tenues, lumières, situations, prises de vue, scénario...) avec des acteurs sans charisme. Le jeune homme est vraiment un "jeune Donald Trump", l' héroïne indéfinissable. Film très ennuyeux. Seule la musique peut le sauver.
    velocio
    velocio

    1 311 abonnés 3 140 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 janvier 2022
    Mais qu'est donc devenu le Paul Thomas Anderson de "Boogie nights" et de "Magnolia" ? Certes, il arrive toujours à réaliser quelques plans séquence de qualité mais, sinon, son dernier film est totalement vide, totalement creux, il n'est absolument pas habité par ses personnages, l'histoire n'a aucun intérêt, et, à part les 5 premières minutes, on ne cesse de s'ennuyer profondément. Quant à la musique, on en entend presque sans arrêt, mais quand on connait la qualité de la musique californienne au début des années 70, on est vraiment surpris des choix effectués. Problème de droits trop chers ?
    Petitgraindesable
    Petitgraindesable

    20 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 janvier 2022
    Tout est moyen dans ce film. Il est ni-ni, il n'est donc pas grand chose. Le thème est rabâché, mais le problème n'est pas là. L'évolution des sentiments est rabâchée elle aussi. Les scènes invitant les guest stars ne sont là que pour les placer dans le casting, sans cohérence. Les références à la judéité sont incongrues, comme d'autres scènes encore. Si la seule originalité est de présenter des héros sans maquillage et peu séducteurs, le projet est un peu court. Les deux jeunes jouent plutôt bien, sans parvenir à être attachants. Je ne suis pas sortie du film dans l'allégresse promise par de nombreuses critiques, mais un petit peu énervée de m'être fait avoir, et d'avoir perdu quelques heures de ma vie.
    folyr
    folyr

    32 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 janvier 2022
    Sur le nom de P.T. Anderson, je suis allé le voir de confiance. Quelle déception ! Voilà un scénario décousu, avec des péripéties successives dont on se demande ce qu'elles viennent faire là, des personnages auxquels on ne s'attache pas, dont on ne connaît rien, aucun pay off des situations posées, on a l'impression d'un scénario écrit sur un coin de table, avec des anecdotes hétéroclites. Que sont venus faire Bradley Cooper et Sean Penn dans cette galère ? L'histoire d'amour en elle-même ne nous intéresse pas, même si les comédiens sont excellents.
    cosette2010
    cosette2010

    51 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 janvier 2022
    Quelle déception. Scénario décousu et sans intérêt. Les acteurs n'ont aucun charisme. On s'ennuie ferme. L'intervention de Sean Penn n'apporte rien à l'histoire. C'est long, très long. Heureusement que la musique est bonne et qu'on se promène en camion dans les collines de LA.
    selenie
    selenie

    6 285 abonnés 6 191 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2022
    Pour commencer, on ne peut passer à côté d'un paramètre essentiel, celui des deux personnages principaux et de leurs interprètes. Alana/Haim est sans maquillage, ne cache pas ses cernes, et Gary/Hoffman ne son côté joue avec son acné. Par contre, leur 10 années d'écart ne se voit pas réellement, ce qui empêche tout intérêt et/ou enjeu sur cette importante différence d'âge, d'autant plus que le jeune de 15 ans est mature, ambitieux et devient entrepreneur alors qu'elle est encore chez ses parents, n'est pas encore indépendante et ne sait pas vraiment ce qu'elle veut. C'est le plus gros soucis du film. Mais pourtant ça fonctionne à merveille, ils nous touchent, nous émeuvent, nous font sourire, nous agacent aussi mais ils sont aussi une vraie source de jouvence. Avec eux Paul Thomas Anderson nous replonge avec délice dans les années 70 avec une dose de nostalgie non feinte. Une B.O. inspirée, des seconds rôles savoureux, une reconstitution idéalisée des seventies avec ces petits détails qui font tout (Viêtnam, homophobie, crise pétrolière,... etc...). Une chronique amoureuse réjouissante qui évite les clichés du genre, ce qui est en soi déjà un cadeau.
    Site : Selenie
    Yves G.
    Yves G.

    1 481 abonnés 3 497 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2022
    À Encino, près de Los Angeles, au début des 70ies, Gary (Cooper Hoffman) tombe amoureux au premier regard de Alana (Alana Haim). Il a quinze ans mais il est déjà presque autonome, assume seul la garde de son frère cadet, tourne dans une série télévisée, a un sacré esprit d’entreprise. Elle a vingt-cinq ans, est couvée par une famille juive étouffante, n’est pas sûre d’elle. S’aimeront-ils malgré leurs différences ?

    Le pitch que je viens d’écrire pourrait laisser redouter le pire : une RomCom sirupeuse dont les deux héros, sans surprise, dépassant les obstacles qui s’opposent à leur amour impossible, finiront, au dernier plan du film, par courir dans les bras l’un de l’autre pour s’unir dans un baiser qui durera toujours. Sans vouloir en divulguer la fin, "Licorice Pizza" présentent ces ingrédients-là…. mais les accommodent selon une recette délicieusement originale.

    Commençons par jeter un oeil à l’affiche. Il est d’usage, dans les films qui racontent une histoire d’amour, d’y voir les deux héros s’enlacer t’endrement en se lançant des regards espiègles et/ou énamourés. Rien de tel ici : l’héroïne est au premier plan, les mains sur les hanches, un brin effrontée et semble nous lancer un regard de défi. Le héros est au second plan, adossé à une voiture, les mains… comment dire…. Vers où dirige-t-il un regard dont on devine qu’il s’accompagne d’un sourire ? Vers Alana. Ce sera donc l’histoire d’un garçon qui aime une fille qui lui tourne le dos.

    Arrêtons nous à présent sur le choix de ces deux acteurs. On est loin des stéréotypes hollywoodiens. Le personnage de Gary est interprété par le fils du regretté Philip Seymour Hoffman (que PT Anderson avait souvent fait tourner). Il a quelques kilos en trop, le visage couvert d’acné et une coiffure impossible. Alana Haim est la révélation du film : une jeune Barbara Streisand avec un nez « tellement juif » (c’est pas moi qui le dis mais une directrice de casting), un corps athlétique, toujours en mouvement. Exit Ken et Barbie.

    Un mot enfin sur le titre. Sa police rappelle celle d’"American Graffiti", le film iconique de Georges Lucas sur cette période. Le surlignage qui l’entoure est le même que celui utilisé pour l’affiche de "Grease". On attendra en vain pendant les deux heures du film que s’éclaire sa signification. Le réalisateur confesse dans le dossier de presse qu’il s’agissait d’un diner d’Encino où sa famille se rendait parfois, dont le nom et les sonorités lui rappellent son enfance.

    S’agit-il donc d’un film autobiographique ? pas tout à fait. Paul Thomas Anderson est né en 1970. Il a donc une douzaine d’années de plus que Gary. Mais il est né et a grandi à Encino et "Licorice Pizza" a le parfum de madeleine de ses amours enfantines.

    Paul Thomas Anderson est un des plus grands réalisateurs américains contemporains. Il a acquis cette réputation en un quart de siècle et avec moins de dix films qui, tous ou presque, ont enthousiasmé la critique : "Boogie Nights", "Magnolia", "There Will Be Blood" (son plus grand succès), "Phantom Thread"… Son cinéma n’est pas reconnaissable au premier coup d’oeil comme le serait celui de son homonyme, Wes Anderson, ou de Quentin Tarantino. Mais il y revisite souvent les mêmes thèmes (la famille unie, déchirée, recomposée) tire toujours le meilleur parti d’une bande musicale très riche (comme le montre évidemment "Licorice Pizza" qui puise abondamment dans les standards des 70ies) et attache un prix particulier à la qualité de l’image (il est un des rares réalisateurs à être resté fidèle au 35mm).

    Il réussit avec "Licorice Pizza" une sacrée gageure : réaliser un film surprenant à partir d’une trame éculée. On devine dès sa première image comment il se terminera. Et pourtant on reste en alerte pendant tout le film – les esprits chagrins pourraient estimer que son dernier quart est de trop. Pourquoi ? Parce que cette histoire est faussement commune. Gary et Alana sont des adolescents comme tant d’autres ; mais ils sont uniques. Leur différence d’âge – censée constituer le principal obstacle à leur amour – s’efface très vite. Gary s’avère beaucoup plus mature que ses quinze ans – au point parfois de laisser douter de la crédibilité de certains épisodes de sa vie ; Alana au contraire a la vie cadenassée d’une ado couvée par des parents hyper-protecteurs.

    "Licorice Pizza" est traversé par une immense vitalité, une réjouissante fraîcheur. C’est un film plaisant, sans que se cache derrière cet adjectif dévalorisé la moindre ironie condescendante. C’est un film qui m’a plu. C’est un film qui, je l’espère, vous plaira.
    antoine b.
    antoine b.

    2 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 janvier 2022
    Long, trop coloré, personnages peu attachants, scénario laissé au vestiaire, on s'ennuie ferme. Je ne comprends pas le succes critique de ce petit truc sans intérêt.
    Poupée zoom
    Poupée zoom

    10 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 juillet 2022
    Culture américaine .La salle était comble , les critiques encensent film qui à mon goût ne convient pas à l’ADN Français. On s’ennuie ferme . Pas un seul dialogue intéressant. Quelques belles images , mais plus de deux heures…
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 janvier 2022
    Ils ont l’un et l’autre des têtes de vendeurs de voitures d’occasion. Première contrariété du destin, fi des moteurs à pistons, ils vont se retrouver dans la fabrique et la commercialisation de matelas à eau. Lui 15 ans, elle 10 de plus. Ils sont tous les deux puceaux. Ils le resteront jusqu’à la fin du film. Pourtant, c’est un film d’amour, leur histoire d’amour. Malheureusement, ils sont tous les deux moches, moches comme des poux. Lui, grassouillet et boutonneux. Elle, le teint brouillé, la bouche tordue et les seins plats comme une planche à billets ! Cela ne devrait pas nécessairement obérer leur chance de vivre une belle histoire. Les moches aussi ont le droit d’aimer, non d’un gouda à la fraise ! Mais ils ne sont pas obligés pour autant de vouloir partager leurs élans avec tous jusqu’à en faire un film…

    Parce que c’est là où cela se gâte. On a du mal à éprouver une quelconque empathie pour les jouvenceaux. Leur histoire bancale se voudrait drôle et déjantée. Elle nous tire un ou deux sourires sur les 2h15 que dure la pochade. Le seul moment où l’on est sur les jantes, c’est lorsque le camion qui livre les matelas gonflables descend en marche arrière, sans moteur et tous feux éteints, un raidillon. On imagine notre Bébel national grimpé sur le marche-pieds du 15 tonnes et dirigeant la manoeuvre, une main sur le volant, l’autre tenant sa canne en l’air et l’éclat ultra-bright de son dentier pour illuminer la scène. Là, les américains avaient visiblement un petit budget, pas de quoi se payer une cascade digne de ce nom. Sinon pour faire venir Sean Penn, pour une scène vintage que l’on préfère oublier. Mais qu’est venu faire le Jimmy de Mystic River dans cette galère ?

    Quel ennui ! C’est sûrement bien filmé, mais filmer le vide, cela ne nourrit pas son spectateur !
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