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    Licorice Pizza
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    377 critiques spectateurs

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    norman06
    norman06

    306 abonnés 1 606 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 janvier 2022
    Une œuvrette mineure dans la riche filmographie de Paul Thomas Anderson. Ce teen movie qui hésite entre le premier et le second degré ne manque pas de charme mais se noie sous les conventions et clichés du film de reconstitution rétro. On peut être surpris par les papiers dithyrambiques d’une certaine presse. La persistance de la doxa de la politique des auteurs ?
    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    31 abonnés 254 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 mars 2022
    « Licorice Pizza » est un méli-mélo mielleux de plus de 2h, j’aurais déjà du m’en douter avec le titre du film. C’est triste, j’ai pas du tout apprécié le scénario entre deux acteurs qui ont l’air de faire semblant ou du moins d’être en disharmonie constante. Le jeu du chat et de la souris fonctionne 5 minutes, mais j’ai besoin de plus de concret pour en faire un film. C’est terriblement long, je veux bien me perdre dans une narration remplie d’idées et de parenthèses, mais le film change de thème comme de chemise. Franchement, je n’en voyais pas le bout et je ne comprends pas les intentions de Paul Thomas Anderson sur ce coup. C’est bien filmé avec de jolies plans, mais filmer le néant n’apporte rien. J’ai beau mettre de l’eau dans mon vin, le verre reste à moitié vide.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    48 abonnés 744 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2022
    Pas question de rejoindre les critiques élogieuses du dernier Anderson. Certes, la musique rock californien des années 70s est plutôt réussie, certes il y a quelques trop rares scènes pétillantes - la vente"sexy" au téléphone par Alana Haim de waterbeds ou l'apparition de Sean Penn- mais l'ensemble est décousu- volontairement parait-il?- les images de la banlieue californienne et de la jeunesse au lycée ont un air de déjà vu mille fois dans les cinémas d'Hollywood, et la supposée différence d'âge entre les deux protagonistes pas crédible. Coté jeune acteur, C. Hoffmann ne restera pas dans les mémoires. En deux mots, pas de défaut majeur, pas d'impudeur, mais en revanche rien de saillant ni d'émouvant. Il manque des ingrédient relevés pour donner du gout à cette pizza à la pâte pourtant bien cuite. cinéma - janvier 2022
    cortomanu
    cortomanu

    66 abonnés 406 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 janvier 2022
    On a connu P.T. Anderson plus inspiré. Dès le début cette comédie sentimentale décalée sonne faux et les personnages sont bien peu inspirants et intéressants. S'ensuivent des péripéties sans intérêt, qui n'apportent rien et peinent à sortir le spectateur de son ennui léthargique.
    Le film est également bien trop long et rempli de vide. Seule la bande son, et la reconstitution des seventies est réussie et permet d'éviter le naufrage total. Q
    Mais quel ennui !
    Jonesss
    Jonesss

    53 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 janvier 2022
    Je n'ai pas compris l'intérêt de ce film. C'est creux, plat, je me suis ennuyée du début à la fin. L'étoile est pour la photo qui est très belle mais c'est tout.
    mat niro
    mat niro

    308 abonnés 1 733 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 février 2022
    J'attendais ce film depuis un moment et force est de constater que je n'ai pas été déçu. Paul Thomas Anderson situe son action en 1971. Alana et Gary vont se rencontrer pour ne plus jamais se quitter dans une vie qui ne sera pas de tout repos. Ces deux jeunes vont se tourner autour dans une romance tellement chaste qu'elle n'en est que plus touchante. A travers les personnages de Alana et Gary, le cinéaste donne au film une douce mélancolie rétro de l'Amérique des 70's. Il se permet même d'égratigner la course au profil qui caractérise l'époque avec les matelas à eau ou les flippers. 135 minutes de bonheur avec deux jeunes acteurs époustouflants et une scène formidable avec Monsieur Sean Penn.
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    177 abonnés 380 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 janvier 2022
    Formidable, drôle, émouvant, magnifiquement interprété par deux jeunes acteurs qui nous entrainent dans un film jubilatoire mêlant teenage movie et comédie romantique. Paul-Thomas Anderson filme avec mélancolie une Amérique en train de disparaitre et qui est ravagée par le wokisme et la cancel culture. "Licorice Pizza" montre avec nostalgie la fin du modèle de société des années 60 et 70. Il nous expose avec tendresse et humour, la félicité perdue de cette époque de grande liberté. Paul-Thomas Anderson filme avec un réel plaisir la rage de vivre de ces jeunes qui ont cru à un idéal de liberté et de bonheur. La mise en scène nous entraine dans un tourbillon d'émotions mélangeant, rire, joie, bonheur, tristesse et amertume. Du très grand et très beau cinéma.
    Bdfoucher
    Bdfoucher

    46 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2023
    Un bon mélo vintage, bien ficelé et plein de gaité avec une bande son avec les tubes des années 70 en vogue en Californie, à LA plus précisément, où se déroule l'essentiel du film.

    Gary Valentine (Cooper Hoffman) 15 ans, culotté et sympathique, tombe amoureux au premier regard de Alana Kane (Alana Haïm) , photographe de 25 ans qui s'étiole à prendre des clichés dans les lycées. Gary se déclare très vite mais la sauce ne prend pas.

    Gary qui est entreprenant emmène Alana (comme chaperon légal ) à NYC où il passe des auditions puis il l'associe (comme garante majeure) à ses idées multiples de business dans une société où il est possible d'entreprendre comme on respire.

    L'attirance/dépendance se bâtit petit à petit quand Gary monte une entreprise de matelas dernier cri, remplis d'eau. Ensemble ils participent à des virées épiques, sur fond de pénurie d'essence liée aux tensions au Moyen Orient. Alana plus mûre et qui a grandi dans une famille juive (les trois sœurs du groupe Haïm sont à l'écran dans le rôle des trois sœurs Kane), a vécu en Israël est sensible au climat politique.
    Mais Gary en Californie n'en a cure et lance un palais du flippeur...

    Alana essaie bien de lui échapper en rejoignant un jeune politicien en vogue, Joël Watch, qui la déçoit pour n'être pas capable d'assumer son homosexualité et donc ses idées. Elle tranche finalement pour Gary, intrépide et constant, et l'histoire finit par un baiser partagé.

    Comme toujours, le réalisateur Paul Thomas Anderson , cinéaste ultra oscarisé et qui traîne une réputation d'expérimentateur créatif, est précis. Le scénario est bien conduit pour n'être pas qu'une histoire d'amour de plus de deux heures. La phographie est claire et la musique de fond à l'unisson. On se sent bien dans ce film surtout si on connaît cette époque beaucoup moins moralisatrice que l'Amérique d'aujourd'hui.

    C'est d'ailleurs sans doute à dessein que le paradis perdu est ainsi montré .

    A voir donc.
    Ufuk K
    Ufuk K

    472 abonnés 1 408 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 janvier 2022
    " Licorice Pizza " sérieux prétendant aux prochain oscar est une romance qui fonctionne par moment. En effet Paul Thomas Anderson maitrise son sujet en dirigeant à la perfection le tandem acteurs Alana Haim et Cooper Hoffman avec une restitution des années 1970 funk et cool avec aux passages des séquences qui sort du lot cependant j'ai trouvé la dernière partie loupé car l'histoire se disperse de trop notamment les scènes avec Bradley Cooper sans aucun intérêt, donc au final touchant mais pas transcendant.
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    27 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 février 2022
    Un scénario léger et sans prise de tête guidé par une excellente réalisation et un casting à l'unison nous donne un incroyable résultat.
    Michel C.
    Michel C.

    242 abonnés 1 386 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2022
    Merci Paul Thomas Anderson dit PTA pour une fresque fraîcheur et de jeunesse ! Dans les années 70, et une insouciance de tous les instants - pas une seule violence à noter - seulement de l'envie, envie de s'amuser, envie de progresser, envie d'entreprendre et envie d'amour !! Pas mal non ? Cette romance toute en fantaisie et en poésie entre ces 2, Alana Kane (Haim) et Gary Valentine ( Cooper Hoffman), pour lesquels la vraie différence d'age d'une dizaine d'années n'est pas aussi flagrante, en tout cas jamais gênante, est imprévisible. Peut être par ce que les 2 tourtereaux ne sont pas des canons, justement, n'ont aucune prédisposition physique, ils sont juste magnifiques de volonté, d'énergie, et d'optimisme.... Tout est simple, car ils ont tout en eux, et ils devinent, lui très vite, elle, on ne sait pas trop, que leur avenir sera ensemble, et pas autrement..... C'est magnifiquement filmé, rythmé, et accompagné musicalement à la perfection. Quelques longueurs inutiles, pour 2h15, tout de même, d'un film qui vous donne la banane et vous redonne le sourire....fascinant....!!**
    paganini
    paganini

    8 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 janvier 2022
    superbe teen movie qui nous balade simplement dans un été californien des 70's. Sean penn et Bradley Cooper genial en guest pimentent le casting. juste un peu perplexe par le fait qu'un gamin de 15 ans accompagné de sa bande de potes de 13 ans puissent monter et gérer des business et que ça soit normal...
    Didier C.
    Didier C.

    11 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 mai 2022
    Un bijou de fluidité. Une évidence. Un conte amoureux vintage qui sait, dans une grande simplicité nous émouvoir, nous surprendre, nous faire rire, nous faire peur. Il s'en dégage une originalité et une fraîcheur irrésistible. Un film que je n'avais pas envie de voir finir...
    jérômeW
    jérômeW

    14 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 janvier 2022
    Lent long sans scénario trop coloré
    Invraisemblable et chianti l'ennui suinte malgré quelques scènes bien léchées
    Acteurs peu emballant et leur relation semble hors sol
    Réalisateur surcoté
    Cinememories
    Cinememories

    444 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 janvier 2022
    L’événement de ce début d’année nous rassemble du côté de chez Paul Thomas Anderson (Boogie Nights, Magnolia, There Will Be Blood) et sa banlieue natale de Los Angeles, encore. Pas question de l’attendre dans un vertige froid, mais dont la précision aura porté la fin de carrière de Daniel Day-Lewis dans « Phantom Thread ». Ce qui pourrait succéder au conte fantasque de Tatantino à Hollywood tient avant tout d’une anecdote et d’un souvenir. La démarche de la narration suivra ce concept naïf, mais qui laisse une grande liberté au cinéaste, qui n’aura plus qu’à faire graviter ses personnages autour d’une spirale relationnelle et sociétale, dont il a déjà prouvé la pertinence et les limites. Cette fois-ci, il confronte deux aimants, qui n'héritent pas de la meilleure polarité. Et lorsqu’on les rapproche suffisamment, une étrange sensation de magnétisme s’installe, comme s’il fallait isoler les mauvaises ondes, pour ne laisser que la fièvre de l’adolescence s’exprimer d’elle-même.

    Mais l’avenir sourit à ceux qui osent. C’est le mot d’ordre dans cette vallée de San Fernando, qui vit d’un opportunisme éphémère. C’est dans cette même optique que le lycéen de 15 ans, Gary Valentine (Cooper Hoffman), fit la rencontre d’Alana Kane (Alana Haim), assistante photographe qui compte dix bougies de plus que son auto-attitré prince charmant. Candide jusqu’au bout de la fantaisie, Gary possède un certain charme qui rappelle les motifs des teenage movies, mais avec un ton plus bluffeur et le réalisateur canalise parfaitement les impulsions du personnage, pour qui le véritable défi de son existence reste de préserver son cœur pour la rayonnante Alana. Cela a commencé avec une pirouette autobiographique, à l’occasion d’une photo de classe et on y reviendra constamment, à cette demande, qui suscite de plus en plus d’intérêt au fur et à mesure que les protagonistes surclassent les obstacles, tantôt attendus, tantôt farfelus. La mentalité est donc sous le joug de l’âge, qui contraint à rendre cet amour ou cette relation impossible. Et c’est à cela que l’on reconnaît le fil fantôme du cinéaste, qu’importe dans quel sens on le tire, les deux êtres opteront pour ce repère, pourvu qu’ils soient intimement liés.

    Et bien que le sous-texte politique trouve de l’écho jusqu’à nos jours, c’est qu’il y existe bien une transition manquée ou bien un rétropédalage plus regrettable. De l’arrestation arbitraire à l’ombre de la famille Manson, le film ne cesse d’être transparent sur une époque, qui a laissé les Etats-Unis sous Nixon dans une crise de confiance, et donc dans le déclin de sa jeunesse, la seule fortune qui contribue au visage d’une nation qui brasse les cultures sans le vent. La faute à qui ? Personne n’est innocent ou à l’écart d’un vice, mais ce sont bien les adultes qui témoigneront de cette amertume, notamment avec un Bradley Cooper excentrique et dans un déni profond, tandis que Sean Penn arrive au bout de son rodéo. Ajoutons à cela Benny Safdie, dans le rôle d’un politicien maladroit dans ses convictions, et nous avons là toute une gamme de fractures sociales que les héros subissent, malgré le manque de fuel ou un manque de sincérité.

    La balade de Paul Thomas Anderson est sans doute à contre-courant de ce qu’il a accompli, mais il revigore un peu plus ce genre de récit, qui serait rapidement tombé dans l’oubli dans les mains de quelqu’un d’autre. L’adolescence est une quête intérieure avant tout, qui passe de la rêverie à la désillusion, puis de la confrontation à la réconciliation et c’est ce que nous raconte le Californien, allongé sur son matelas à eau. En misant sur son entourage et des visages familiers, « Licorice Pizza » rappelle le « Roma » de Cuarón, avec une fibre surréaliste, propulsant Gary et Alana dans un décor qui reflète le même testament des années 70, dans un geste personnel.
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