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    Licorice Pizza
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    3,7
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    379 critiques spectateurs

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    ben desiles
    ben desiles

    45 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 janvier 2022
    Ce film m'a fait penser à la série américaine Happy Days que l'on voyait dans les années 1970. Il ravira sans doute ceux qui ont la nostalgie de cette époque ou qui aimeraient l'avoir connue. Personnellement, il m'a ennuyé et j'ai eu l'impression d'avoir vu cela déjà cent fois, l'american way of life, le rêve de devenir acteur, les premiers flirts, les premiers castings, les premières scènes de jalousie. Bref, sans intérêt.
    Jean C.
    Jean C.

    6 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 janvier 2022
    aucun intéret! des sketchs pas droles sans rapport entre eux et une absence d intrigue !seule la musique nous fait sortir un peu de notre torpeur!passez votre chemin!!
    Bob le cinéphile
    Bob le cinéphile

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 avril 2022
    Un jour il faudra m'expliquer l'engouement pour Paul Thomas Anderson. J'ai trouvé son dernier film indigeste. Les personnages sont tous plus insupportables les uns que les autres. Ce sont tous des jeunes têtes à claques arrivistes, opportunistes et prétentieux alors que ce ne sont que les loosers qui vendent des matelas à eau. Les deux personnages principaux passent leur temps à faire un jeu du chat et de la souris agaçant puisqu'on sait très bien comment ça va finir entre eux.

    La plupart des événements du film n'ont aucun sens, on passe souvent du coq à l'âne entre deux scènes. Le protagoniste est présenté comme acteur au début, puis il devient vendeur de matelas à eau, un moment il se fait arrêter pour meurtre mais est relâché sans que ça ait le moindre impact sur le reste de l'histoire, puis il devient gérant de jeux d'arcade, puis il y a une scène avec Sean Penn qui fait de la moto, puis une scène avec Bradley Cooper qui joue un hippie taré (la seule scène vraiment drôle). La mère du protagoniste, assez présente au début, disparaît complètement du film. Il y a des scènes d'auditions pour des rôles qui n'aboutissent à rien... On retrouve aussi la classique vulgarité gratuite sur le sexe de PT Anderson. Il aime bien faire lâcher à ses acterus des "suck dick", "cock", "fuck" complètement malvenus et gratuits. J'ai toujours trouvé que la vulgarité dans ses films est embarrassante.

    Le film dépeint la vallée de San Fernando dans les années 70, quelque chose que PT Anderson a bien connu. La reconstitution et le tournage en pellicule donnent vraiment un aspect "seventies" au film, ce qui est plutôt sympa. Mais pourquoi ? Pour suivre deux tocards prétentieux et opportunistes animés par un "je t'aime, moi non plus" pendant 2 heures et quarts ? Non merci, aucun intérêt pour moi.
    Charles R
    Charles R

    52 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 janvier 2022
    C’est d’abord un titre qui questionne. « Licorice Pizza » : dites-moi, ça veut dire quoi ? Pizza à la réglisse (!)… Alors on se renseigne et on finit par découvrir que c’est le nom d’une prestigieuse enseigne de vinyles implantée en Californie dans les seventies. Et de musique il ne va pas manquer tout au long des 2h15 que dure le dernier film de Paul Thomas Anderson.
    Soit donc un cadre bien précis : Los Angeles en 1973 (la précision est d’importance). Gary est un jeune homme joufflu et rondouillard qui du haut de ses quinze ans – il en paraît un peu plus – ne manque ni d’énergie ni d’esprit d’initiative. Fatigué de jouer les kids stars, il n’a pas froid aux yeux et dès les premières séquences le voilà qui drague Alana, l’assistante du photographe venu au lycée pour effectuer les traditionnelles photos individuelles des élèves. Or Alana a vingt-cinq ans : bon, d’accord le Gary en question est baraqué, mais il y a tout de même une certaine différence d’âge.
    Il n’importe : Gary est persévérant et il saura parvenir à ses fins… mais pour cela il lui faudra attendre la fin du film. Cela dit, il va s’attirer la complicité d’Alana et c’est ainsi qu’ils vont tous deux monter des affaires dont la plus étonnante est celle des « water beds » qu’ils sauront gérer au milieu d’une marmaille de teenagers prompte à donner un coup de main.
    Les épisodes s’enchaînent dans un joli désordre et le spectateur ne peut qu’être conquis par l’énergie déployée par cette jeunesse avide d’action et d’invention. Mais le grand mérite revient au metteur en scène Paul Thomas Anderson dont on avait salué l’originalité et la maîtrise lors de précédents films. Quel art de filmer ! Quel art de la direction d’acteurs, surtout quand il s’agit de jeunes ados qui sont tout feu tout flamme et dont il faut canaliser les énergies…
    Toutefois, si la jeunesse est centrale dans le film, toutes les tranches d’âge sont représentées : aussi voit-on Sean Penn cabotiner tant et plus dans un rôle d’acteur vedette porté sur la boisson qui, à force de vouloir en imposer, finit par se ridiculiser ; ou bien encore Tom Waits en réalisateur tout aussi imbibé que son acteur fétiche, ou Bradley Cooper mégalomane et parfaite tête à claques qui sera victime de la crise pétrolière qui commence à sévir.
    Et puis bien sûr il faut saluer la jeunesse et l’impétuosité de Cooper Hoffman, le fils du regretté Philip Seymour, ainsi que la superbe prestation d’Alana Haim qui a momentanément délaissé la musique pour se hisser d’emblée au plus haut niveau de la comédie.
    Le film est une ode à la jeunesse, mais aussi à la musique endiablée des seventies et l’on ne se lasse pas d’entendre un nombre considérable de titres qui ont eu les faveurs d’un public jeune dans ces années commencées sous le règne de l’insouciance mais que la crise pétrolière allait sérieusement entravées. Bien sûr, on ne peut que penser au film de George Lucas American Graffiti, même si le contexte de ce dernier était celui des sixties. Il n’empêche : même goût de l’énergie et de la « fureur de vivre » adolescentes et bien sûr même type d’accompagnement musical même si les références ont changé d’un film à l’autre.
    Nostalgie du réalisateur ? Pas vraiment : il n’avait que trois ans lorsqu’éclate le premier choc pétrolier… Mais le spectateur ne peut ressentir le film que comme l’expression de la nostalgie d’une époque où l’esprit d’entreprise se donnait libre cours sans état d’âme, où les portes étaient grandes ouvertes à une jeunesse avide de nouveautés, où les flippers venaient d’être légalisés, véritables symboles d’une jeunesse mordant la vie à belles dents.
    Louis BLAIN
    Louis BLAIN

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 janvier 2022
    Critique presse dithyrambique !
    Résultats : film sans intérêt. J'ai l'impression d'avoir vu cette histoire 1000x. Je pense qu'il s'adresse à un club d'initiés qui sont alors capables de savoir d'où viennent telles ou telles scènes vues à l'écran.
    Un film pour avoir un intérêt doit nous parler en abordant un vrai sujet. Là c'est quoi le sujet ?
    Les films les plus intéressants en ce moment ne sont pas américains, mais iraniens ! Étrange non.
    PhilippeR
    PhilippeR

    5 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 janvier 2022
    C'est assez irritant d'aller voir un film encensé par la critique ("génie", "lumineux", "aérien") et de se retrouver devant une interminable suite de scènes décousues et un film qui fait du sur place pendant 2h30. On s'ennuie vraiment beaucoup: vous voilà prévenus.
    vidalger
    vidalger

    324 abonnés 1 252 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 janvier 2022
    Excellent film ressortissant du genre généralement galvaudé du "teen-movie" et qui- surprise ! - n'est ni gnangnan ni trash. Voilà une histoire d'amour adolescente qui sait rester correcte sans être prude mais qui explore, avec une grande liberté de ton, les sentiments d'attirance, de jalousie ou de trahison. L'humour, toujours présent dans le scénario, les attitudes ou les dialogues, fait passer les pires extravagances dans le champ du réalisme. On pense notamment aux séquences avec les personnages interprétés par Bradley Cooper ou Sean Penn. Tout en badinant et en se situant clairement dans le registre du divertissement, le film est en même temps une exploration sociologique du milieu des jeunes gens des années 70 dans une Amérique encore corsetée dans des traditions qui nous paraissent, avec le recul du temps et la distance géographique, un peu exotiques. Alana Haim crève l'écran dans son premier rôle au cinéma. Gageons qu'on la reverra bientôt dans d'autres productions.
    John Henry
    John Henry

    107 abonnés 708 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 janvier 2022
    Une maitrise totale de cinéma, jamais grandiloquent, mais toujours juste, incroyablement maitrisé, beau, élégant mais pas déférent, énergique mais pas hystérique, Licorice Pizza est un régal de cinéma, d'inventivité et de tenue maitrisée. SI on a parfois peur que le film ne s'éparpille, ce n'est jamais le cas et Paul Thomas Anderson rattrape toujours la sauce de façon magistrale, centré sur ses personnages, sur leur quête, infime, d'un baiser. C'est magistral de bout en bout. Ca se termine comme un opéra insensé et magnifique, sur une note parfaite, qui nous ramène à l'évidence d'un film Du très grand art.
     Kurosawa
    Kurosawa

    590 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 avril 2022
    Il se murmurait que Paul Thomas Anderson allait se tourner vers une ambiance plus chaleureuse après la froideur – relative – de "Phantom Thread". À la vision de "Licorice Pizza", on est étonné par la sensation qui nous a été procurée et qui, de mémoire, ne l'a jamais été de la part d'un des précédents films de PTA, à savoir celle d'avoir vécu durant 2h15 dans un rêve, une bulle idéale de drôlerie, d'amour et d'émotion. Mais chose étrange, cette bulle n'est pas coupée du réel ; au contraire, Alana et Gary y sont même pleinement connectés (l'une plus âgée, n'a toujours pas d'emploi, mais cherche justement à s'insérer dans la vie active ; l'autre, plus jeune, encore ado, a déjà une carrière d'acteur et est même presque has been) et vont tenter de s'accorder, à la fois sentimentalement et professionnellement. Joindre ces deux adverbes n'est pas innocent, car là réside une bonne partie du génie de PTA que de prendre le contre-pied de ce que l'on attend d'une romance : si Alana et Gary s'aiment bel et bien, il ne parlent presque jamais d'amour et il faut attendre la toute fin pour les voir s'embrasser, mais ils progressent à travers leurs affaires commerciales ; et quand leur relation bat de l'aile, c'est vers la politique que se tourne Alana. Moins qu'une description de l'Amérique des années 70, le film montre surtout à quel point le monde marchand et économique est pris d'assaut par des personnes qui n'en ont pas encore l'âge : il est même drôle de voir à quel point Gary et ses amis sont beaucoup trop jeunes pour monter ce commerce de matelas à eau. Ce dérèglement qui voit des ado agir comme des adultes pourrait sonner comme la fin d'une innocence si, justement, cette affaire n'était pas aussi le moyen pour Gary et Alana de passer du temps ensemble (n'est-ce pas, d'ailleurs, une des composantes évidentes d'une relation amoureuse !), parfois de se séduire, à l'image de la scène géniale où Alana apprend à Gary comment convaincre un client au téléphone, plus globalement de vivre des émotions dans des moments pour le moins singuliers, telle cette scène culte du camion dévalant en marche arrière une pente sur les hauteurs de San Fernando, un moment suspendu déjà gravé dans les mémoires cinéphiliques. Il faudrait revoir plusieurs fois le film pour saisir ses spectaculaires virages narratifs (l'actorat, la famille, la politique, le commerce), mais ce qui frappe et ce quel que soit la "thématique" abordée, c'est la puissance d'incarnation égale à chaque scène : elle doit certes à la direction d'acteurs de PTA, mais surtout à un talent de dialoguiste qui donne à chaque discussion une évidente singularité et à un choix d'ancrer l'action dans une époque dépourvue d'une technologie high-tech, ce qui renforce ainsi la tangibilité – comme dans cette scène où Gary utilise son téléphone fixe pour appeler Alana, mais il est épié par son petit frère qui l'écoute dans le salon : cette situation burlesque n'aurait par exemple pas été possible en inscrivant le récit dans notre temps. En un peu plus de deux heures, on a donc le sentiment d'être allé très loin (ce qui n'est pas si anormal, au vu de l'année où se déroule l'intrigue) et en même temps d'avoir été d'emblée familier avec des personnages tantôt attachants tantôt peu sympathiques, l'impression d'avoir (re)découvert une époque et pris le pouls d'une ville en passant sans itinéraire préétabli d'un endroit à l'autre, et en s'y confrontant véritablement à chaque fois. "Licorice Pizza" est un film émouvant, entêtant, qui ne demande qu'â être revu pour que l'on en saisisse toutes les subtilités et être savouré de nouveau afin de bien mesurer le caractère littéralement exceptionnel de sa proposition.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    778 abonnés 1 527 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2022
    L'année commence bien avec cette comédie romantique se passant dans les années 1970 dans la région de Los Angeles.
    Gary a 15 ans mais en paraît 18, il est débrouillard, culotté et entrepreneur dans l'âme.
    Alana a 25 ans mais fait plus jeune, elle est un peu désinvolte et pas du tout douée pour les relations sociales.
    Face à la caméra de Paul Thomas Anderson, ces deux jeunes gens vont se livrer à un chassé-croisé amoureux délicieux bourré de fantaisie et de contre-pieds.
    Le duo Alana Haim (du groupe musical Haim) - Cooper Hoffman est totalement imprévisible mais c'est justement ça qui fonctionne ici.
    C'est séduisant, délicat, drôle, léger, juvénile et euphorique, les passages avec Sean Penn ou Bradley Cooper sont inoubliables !
    Un vrai bonbon rétro plein de charme et de liberté !
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Alexis B
    Alexis B

    60 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 mai 2022
    Quelle déception… d’une longueur sans nom le film s’enlise dans des ramassis de chichis qui au final ne donnent rien. Le film aurait pu durer 40 minutes de moins rien n’aurait changé à la longueur interminable d’une romance cul cul, pas vraiment touchante ni intéressante. J’ai perdu mon temps à part découvrir de beaux paysages de la campagne américaine.
    Fabien S.
    Fabien S.

    559 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2022
    Paul Thomas Anderson nous offre une belle histoire d'amour au milieu des années 1970 avec Sean Penn, Tom Waits, Cooper Hoffmann, Alana Haim dans ce film choral.
    Aurelie V
    Aurelie V

    33 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 janvier 2022
    Belle photographie, BO sympa. Le rythme est lent et très "Anderson" mais on se laisse porter ici ça fonctionne bien.
    Bon moment !
    Jeanyves
    Jeanyves

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 janvier 2022
    Je ne comprends pas les critiques dithyrambiques faites à propos de ce film. Peut-être faut-il être un cinéphile averti pour apprécier.

    Les acteurs sont bons, c'est certain. Mais je me suis ennuyé terriblement, j'ai fini par craquer 1/2 heure avant la fin ne tenant plus.

    Je n'ai pas été ému et je n'ai pas ri. Pourtant d'ordinaire je suis bon public.
    Arthur Guezou
    Arthur Guezou

    160 abonnés 1 530 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 janvier 2022
    Pas terrible ; un peu décevant connaissant le réalisateur.
    Commençons par les bons côtés : en terme de réalisation le film est au top. Certains plans sont magnifiques et les techniques de Paul Thomas Anderson est tout bonnement impressionnante, des plans séquences jusqu'au travelling. Malheureusement, c'est peut-être le seul bon point.
    Maintenant les mauvais côtés : pratiquement l'intégralité des personnages sont détestables et pas hyper bien écrit, c'est-à-dire que par moment des protagonistes agissent différemment d'une séquence à l'autre. Et l'histoire est mortellement chiante ; je n'ai pas d'autres mots pour définir mon ressenti vis à vis du film.
    Pour ma part, je ne conseille pas de fou ce film surtout que le réalisateur peut tellement mieux faire.
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