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    Firestarter
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    134 critiques spectateurs

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    RedArrow
    RedArrow

    1 660 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 mai 2022
    Si jamais vous cherchez à ressentir une souffrance équivalente à une brûlure au troisième degré sur vos parties génitales, voici la nouvelle adaptation de "Firestarter" (aka "Charlie" en VF) d'après le roman éponyme de Stephen King ! La première version cinématographique de 1984 avec une jeune Drew Barrymore n'avait déjà pas convaincu les foules, la fournée 2022 accomplit l'exploit de faire encore bien pire !
    Certes, à sa décharge, face à la multitude d'histoires d'êtres aux super-pouvoirs traqués par les autorités ayant pris le relais, celle de Charlie, petite fille aux dons pyrokinésiques poursuivie par une mystérieuse agence gouvernementale en compagnie de son père, encourait le risque d'avoir grandement perdu en originalité au fil des années mais on imaginait naïvement que le style de Stephen King, notamment sur le soin apporté aux portraits psychologiquement malmenés de ses protagonistes (et le plus déviant d'entre eux, Rainbird) ou sa manière de retranscrire l'impact des pouvoirs à travers les mots, pouvait être du pain béni pour un réalisateur chargé de mettre à nouveau des images sur le langage de cet imaginaire à consonance évidemment plus sombre que d'autres. Et Keith Thomas, auteur d'une belle atmosphère pesante au sein de son premier long-métrage d'épouvante "The Vigil" (déjà pour Blumhouse), ne paraissait pas être le choix le plus maladroit en vue de s'acquitter de cette mission derrière la caméra...
    Mais bon, on ne tournera pas plus longtemps autour du pot, la désillusion est au final totale. Et également très rapide dans la révélation de son ampleur : on n'a même pas le temps de voir naître quelques braises incendiaires à l'écran que "Firestarter" nous vide l'équivalent d'une vie de douches glacées sur la tête par le désastre qu'il représente.

    En plus de modifications qui n'apportent strictement rien de constructif à l'ensemble, on réalise en effet très vite que le récit du roman a été vidé de sa substance dans l'unique but d'en rester au schéma le plus rudimentaire de cavale fantastique, où des personnages réduits à de simples pantins unidimensionnels (les motivations réécrites de certains sont devenues totalement risibles, pauvre Rainbird...) paraissent uniquement destinés à établir un bodycount peu impressionnant de grillades humaines & autres victimes de manipulations télépathiques sur leur passage. Bref, tout ce qui pouvait faire la différence de "Firestarter" dans le monde des fugitifs aux capacités surhumaines a tout bonnement été gommé au profit de la trame la plus monocorde du genre, en aspirant toutes les émotions véhiculées par les personnages du roman dans le néant scénaristique de son adaptation sommaire.

    Et, si vous comptiez sur Keith Thomas pour faire la différence en termes de mise en scène, pas de chance, le bonhomme n'est plus que l'ombre de lui-même, à des années-lumière de la personnalité prometteuse que l'on avait décelée dans "The Vigil", à la tête d'un long-métrage que l'on imagine bien sûr de commande et vendu sur la seule idée d'associer avec opportunisme les noms de King et Blumhouse en haut de son affiche.
    À part une dernière partie où l'équipe de tournage semble être tombée par hasard sur une vieille caisse de néons colorés en se disant que ce serait bien d'en mettre partout pour donner un peu d'identité au visuel (spoiler: non, ça ne l'est pas), "Firestarter" mettra un point d'honneur à être formellement au diapason de la pauvreté de ce qu'il a raconté. Même lorsqu'on y décèle quelques velléités de s'attarder sur la relation père-fille en son coeur, le film prendra un malin plaisir à sacrifier ces instants pour l'issue la plus facile, synonyme d'un cahier des charges fatigué où des FX numériques gênants sont privilégiés afin de passer d'une exécution pyrokinésique oubliable à une autre (la capacité de "pusher" mental est presque mieux appréhendée à l'image, c'est dire).
    Au milieu de tout ça, il ne restera finalement plus que la petite flamme de la bande-son omniprésente de John Carpenter (pas sa meilleure, elle est même à la limite de la caricature de ce que l'on peut attendre de lui) pour donner de vagues relents 80's à l'entreprise mais les efforts du maître resteront hélas vains devant la catastrophe.

    À travers l'inutilité de cette nouvelle adaptation, Blumhouse donne le sentiment d'avoir ordonné à Charlie de brûler les pages du propre roman dont elle est issue et, par la même occasion, de réduire en cendres le début de carrière de Keith Thomas (on espère pour son avenir qu'il a du sang de phœnix car il sera dur de se remettre d'un coup pareil). L'échec est donc complet, allant même jusqu'à donner des envies de pyromanie au spectateur vis-à-vis de l'entièreté de cette production au thermostat désespérément inerte.
    PIERRE-QUI-ROULE
    PIERRE-QUI-ROULE

    61 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 juin 2022
    Un sujet similaire à Carrie. Le film remplit le contrat d'un bon scifi thriller (ce n'est pas un film d'horreur).

    Comme Carrie le thème tourne autour d'une jeune fille et comment elle fait face à ses harceleurs.


    Sincèrement je ne comprends pas les mauvaises critiques. Ça ne mérite pas 5 étoiles mais surtout pas les 1 étoiles.

    Sans doute un fait de mouton qui suit bêtement les autres avis.
    Thomas D
    Thomas D

    85 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juin 2022
    Je met chef d'œuvre Parceque les notes sont trop basse . Je trouve que les gens sont trop dur avec ce film . D'abord il est pas mauvais . Le film sur 1 h 30 , alors il se doit d'être rapide et pas le temps de s'attarder sur les approfondis. Les acteurs sont bons surtout la petite et on découvre un zac efron plus mûr . Le film ne m'a pas dérangé même si la fin me laisse dubitatif. Il était pas génial .... mais pas mauvais non plus .
    Acidus
    Acidus

    715 abonnés 3 706 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 mai 2022
    N'ayant ni lu le roman de Stephen King ni vu sa première adaptation de 1984, je découvre Charlie et son pouvoir de pyrokinésie avec ce "Firestarter". Bien mal m'en a pris. Un film sans intérêt si ce n'est la formidable partition musicale de John Carpenter. Le reste n'est qu'une accumulation de clichés, un scénario sans âme à l'image de la réalisation. Pas d'ambiance, pas de bons acteurs,... Bref, pas de bon film.
    Audrey L
    Audrey L

    629 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 juin 2022
    Tout feu...tout flemme ? On sent une flemme monumentale derrière ce Firestarter, seconde adaptation filmique du roman éponyme de Stephen King, qui n'a comme unique qualité que sa musique de John Carpenter (qui rappelle fortement celle de son film Halloween). Flemme tout d'abord de nous faire découvrir les personnages, puisque ceux-ci nous sont balancés au visage sans plus de cérémonie, et ne sont jamais approfondis (on se fiche de leur sort, par conséquent). Flemme de créer une ambiance pesante : ici on se cantonne à ce que la classification "déconseillé aux moins de dix ans" veut bien dire, à savoir quelques flamèches et des hausses de son ridicules pour nous faire sursauter au premier bruit qui vient après deux minutes de silence total (allez, le flic qui vient cogner à la porte, on met le son à fond histoire de faire sauter bêtement toute l'assemblée... Mais d'ambiance ? On n'en a jamais). Flemme, méga-flemme, même, de nous expliquer les ressorts de l'intrigue, dans laquelle on navigue à vue, sans jamais vraiment savoir où on nous amène : l'origine des pouvoirs ? On ne sait pas. Pourquoi cela passe par le regard ? On ne sait pas. Pour quel projet (concrètement, pas ce qu'on promet aux candidats au début du film...) ? On ne sait pas. Pourquoi le spécialiste s'amuse à faire des tas avec ses sucrettes (comme on ne remarque que cela dans la scène - plus que ce qu'il raconte, d'ailleurs - on pensait que cela allait resservir, démontrer qu'il est fou, donner une information sur lui... Non, il aime juste faire des tas avec ses sucrettes. Bon.), pourquoi le père semble se ficher que sa gamine commence à tuer des êtres vivants (il ne la gronde pas pour le chat et tourne en dérision l'enterrement), pourquoi spoiler: le méchant retourne sa veste à la dernière seconde (il appelle la gamine pour qu'elle fonce dans le piège des agents, mais a visiblement des remords tout d'un coup et la sauve, sans qu'on ait trop compris pourquoi, ni comment il s'est évadé de sa cellule...
    Oui bien sûr...), et pourquoi on a un trou béant à la place de la conclusion (on ne sait absolument pas comment la gamine termine). Ajoutez à cela une niaiserie constante et des bons sentiments affligeants (les yeux larmoyants et les "je t'aime" toutes les deux secondes), vous obtenez un produit qui brûle les yeux, sans besoin de flamèches. Les scénaristes ont réduit en cendre les chances de Firestarter d'éviter d'être le flop monumental de l'été...
    F.Mulder
    F.Mulder

    17 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 juin 2022
    Au vu de ce que j'ai lu sur ce film, je ne m'attendais vraiment à rien, si ce n'est d'aller voir un "navet" mais le coeur m'en a tout de même donné envie et j'ai été agréablement surpris..
    Pour info, je n'ai jamais lu "Charlie", j'avais commencé King à l'adolescence, j'ai eu un gros vide de lecture pendant une vingtaine d'année, et j'ai repris il y a environ 5 ans.
    Je critique donc le film et non "l'adaptation".
    Alors oui, pour les grands fans d'action, c'est décevant car il y en a peu, pour ne pas dire pas du tout. Je suis sorti de la salle avec un grand sourire car, oui, je venais de me prendre une petite claque.
    L'ambiance était là, les acteurs sont bons, la musique de Carpenter envoûtante, c'est tout ce qui me fallait pour prendre du bon temps.
    J'admet qu'il y a des longueurs mais si elles sont justifiées cela ne me dérange pas.
    On comprend vite le pourquoi du comment dans le générique de début, Zac Efron est très bon en père de famille et la petite Ryan Kiera Armstrong, alias Charlie, a tout pour réussir une belle carrière de comédienne.
    Le film ne plaît pas à grand monde, je peux le comprendre si vous aimez les adaptations fidèles (à priori, celle ci ne l'est pas, à ce que j'ai entendu). Je pense qu'il est trop boudé par la critique, c'est dommage.
    El_galu31
    El_galu31

    86 abonnés 340 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 mai 2022
    Je m'attendais pas à grand-chose mais qu'est-ce que c'est long mais qu'est-ce que c'est c**** C'est simple il ne se passe rien
    d'un navet Autant c'est rare comme ça ah ouais quand
    Cool_92
    Cool_92

    285 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 juin 2022
    Pourri. Un remake du film de 1984 et du livre de Stephen King. Quasiment rien ne va, l'intrigue est nulle et datée : des mutants se font poursuivre par un méchant mutant pour le compte d'une méchante organisation qui veut utiliser la fille mutant aux pouvoirs considérables. C'est du vu et revu. On est en 2022 les gens.
    Le cssting est médiocre, même si ça fait toujours plaisir se revoir quelques minutes de Kurtwood Smith. Zac Efron n'est absolument pas le bon choix pour jouer le papa, l'indien méchant c'est hyper caricatural. La gamine c'est le ponpom : une vraie tête à claque, on n'a qu'une envie c'est qu'elle finisse par s'autobrûler. Elle est insupportable dans chaque scène, le seul moment où on l'apprécie c'est quand le bébé joue son rôle. Pourquoi faire ce genre de téléfilm aujourd'hui. 10000 séries font 100 fois mieux.
    Malgré tout la bande son est très bonne et très année 80 : pas si surprenant quand on lit John Carpenter au générique.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    525 abonnés 951 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 juin 2022
    Et si la clef pour comprendre Firestarter, c'était de regarder sa genèse ? À l'origine, c'est un roman de Stephen King donc une aubaine pour les studios de productions (à ce jour, plus de 50 adaptations ont été tirées de ses œuvres). Qu'importe si la nouvelle a déjà été transposée à l'écran en 1984 (sous le titre Charlie), vous avez bien vu que ça ne posait pas de problème pour It, Simetierre ou Carrie. D'un côté, on joue la carte de versions 2.0 fidèles aux textes sacrés tout en brossant dans le sens du poil les fans des films/téléfilms originaux. Sauf qu'ici, le projet a demandé 5 ans d'efforts et vu 2 réalisateurs (Akiva Goldsman et Fatih Akın) jeter l'éponge. On en arrive au point où le film doit exister ne serait-ce que pour limiter la casse d'un point de vue économique. Parce que d'un point de vue artistique, les dommages sont irréparables.

    Puisque tout le budget a été grillé dans les différentes phases préparatoires, Keith Thomas doit donc livrer un film au forceps en sabrant des pans entiers de l'histoire au passage. Une intuition ? Non, il suffit de regarder l'introduction qui empilent les expositions sans liens logiques. Au spectateur d'en déduire le fin mot. Ça commence mal, et pourtant on relativiserait presque cet échec au regard de la suite. Absolument rien n'est crédible dans le déroulé. On ne croit jamais à cette situation de traque, à cette cellule familiale écrite n'importe comment, et c'est encore pire pour les autres personnages (Rainbird, d'une tristesse sans nom). À force de caractérisation aberrante, d'effets de manche ridicules (ce craquement de vertèbre) et d'incohérences en pagaille, le petit masochiste en nous accepte le désastre tel qu'il est et choisit d'en rire. En même temps, il y a de quoi.

    Même sorti en direct-to-video, Firestarter aurait été raillé pour sa grande pauvreté. On en revient à ce manque de budget, qui bride littéralement tous les départements. La photographie est tellement obscure qu'on doit plisser les yeux et s'approcher de l'écran pour déceler la silhouette ou l'environnement. Le chef op' Karim Hussain n'a probablement trouvé que ce moyen pour dissimuler la misère des décors. Mis à part la séquence tournée dans un gymnase avec une dizaine de figurants, il n'y a jamais de vie nulle part. Et certainement pas dans ce climax situé dans un laboratoire vide où les normes de sécurité sont réduites à trois fois rien. On jubile même à regarder l'attitude engourdie de l'agent de surveillance derrière les moniteurs. Quant aux effets spéciaux, Keith Thomas a au moins eu la décence de la jouer profil bas. Un maquillage sur un corps brûlé fonctionne, tout le reste est simplement redondant dans sa médiocrité.

    Pour être charitable, je donnerai un bon point à certaines compositions de John Carpenter, Cody Carpenter et Daniel Davies. Et je ne tiendrai pas trop rigueur de ce film à Zac Efron (correct) ou la jeune Ryan Kiera Armstrong. Que pouvaient-ils faire dans des conditions aussi précaires ? Il est certain qu'on ne gardera pas trace de cette variante, assemblée sans passion comme on accomplit une formalité administrative. D'un écrit dense et tordu, Blumhouse et Keith Thomas n'en retiennent que le minimum syndical. Il y avait matière à dépasser le film original (pas fameux, de mémoire), à l'inverse Firestarter invite à le réévaluer. Copie carbonisée.
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    172 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2022
    basé sur le roman du même nom de Stephen King et servant de remake de l’adaptation cinématographique de 1984
    La partition a été composée par John Carpenter, Cody Carpenter et Daniel Davies qui aussi les auteurs des remakes de la trilogie des films halloween le tournage du film a eu lieu a Toronto et à Hamilton, en Ontario
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    182 abonnés 1 846 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2022
    Sans etre un chef d'oeuvre, le film se veut divertissant, bien joué, et bien mis en scène. Zac est convaincant dans le role du père qui veut protéger sa fille à tout prix, par contre Charlie ne détache pas assez d'émotions. Et le film se veut un peu soft.. On ressent un peu l'univers Stephen King. Pour ceux qui aiment les animaux, il faut zapper la scène du chat
    Mr cinetok
    Mr cinetok

    258 abonnés 319 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 juin 2022
    KEITH THOMAS avait tout pour réussir, histoire Stephen King, musique John Carpenter ( malheureusement en sourdine et inaudible), production Jason Blum, des acteurs pourtant confirmés (casting complètement inadapté et raté), Bande annonce qui "hipe". Mais le résultat est vraiment super nul, une vraie bouse pour un cinéphile exigent. Des dialogues simplistes, des personnages sans âmes, une mise en scène au niveau zéro, tout les moments d'actions tombent à plat , le coeur émotionnel de l'histoire descend dans les oubliettes, un film même pas nanar tellement il est dépourvu de passion. Keith Thomas fait donc preuve pour son deuxième film d'une totale incompétence. On ne s'attache pas du tout aux personnages principaux malgré de nombreux dialogues (mais avec aucun rythmes) et des effets spéciaux plutôt réussis (mais pas du tout spectaculaires)...c'est vraiment dommage pour un film qui devait mettre le feu. Une inspiration Stepen King n'est pas forcément gage de qualité surtout quand c'est réalisé par un mauvais réalisateur...une preuve de plus.
    Fardos M.
    Fardos M.

    9 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 juin 2022
    Franchement je viens juste de voir le film 🎥
    Et les commentaires des autres membres
    Moi personnellement j'ai aimé
    En plus Zack au top 👍
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    178 abonnés 2 262 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juin 2022
    Tiré du roman « Charlie » de Stephen King et remake du film éponyme de 1984 de Mark L. Lester (qu’il avait réalisé entre « Class 1984 » et « Commando ») avec Drew Barrymore et Martin Sheen, « Firestarter », version 2022, est un honnête film qui ne révolutionne pas le genre, bien au contraire, tant cela manque d’épaisseur, mais se laisse regarder et n’est pas le « four » annoncé.
    Roger D
    Roger D

    79 abonnés 876 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 juin 2022
    Ayant lu le bouquin il y a quelques mois je serais un peu plus critique je reconnais. Premier soucis pourquoi refaire un remake de celui de 1984? Ils ont faient pareil pour "Ca" et "Simetierre" même si aimé King à écrit tellement de livre!!! Après le soucis c'est que les films sont d'énormes raccourci des versions papiers et celui-ci n'échappe pas à la règle...entre le changement de scénario (Charlie retrouve son père...) ou des passages énormes virés (Charlie dans le camp...ouais ouais fait très "Martine"!loool ou leur fuite) pour aller plus vite à l'essentiel. Ok au ciné certains passages peuvent faire longuet mais ces passages approfondissent les personnages alors que là bon ok ils ont des pouvoirs etc...et justement niveau pouvoir celui de papa est tellement passé à minima qu'il en devient limite risible à saigner des noeils!!! Ensuite bon Zac Efron...pas gage de qualité qui est "bon" dans des comédies (mis des guillemets à "bon") mais dans ce genre de film...ok pas nul complétement mais le fait de la petite place de son pouvoir ben voilà gâche le personnage. La petite s'en sort pas trop mal en étant assez radical avec son pouvoir quand à celui qui les poursuis il est juste là en adversaire mais pareil avec le minimum syndical alors que dans le roman il à une place importante plus on avance dans l'histoire. Petit point positif serait quand elle s’énerve et pas super beau à voir pour ceux d'en face mais encore une fois certaines en moins où c'était plus carnage manque...Même le titre fait pas super sérieux, donne plus film ou série B alors que "Charlie" c'était parfait!!!!
    Bref un remake à voir si pas vu le premier, qui aurait pu être beaucoup mieux fait car ne rend pas hommage aux talents de Stephen King dommage...
    NOTE : 4/10
    Les meilleurs films de tous les temps
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