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    The Fabelmans
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    4,2
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    856 critiques spectateurs

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    J31frites
    J31frites

    9 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2024
    Un joli film en partie autobiographique, Spielberg y raconte son amour pour le cinéma, ce qui l'a amené à en faire, les traumatismes de son enfance entre son université antisémite et le divorce difficile de ses parents. Le père y tient toujours la figure d'opposition à l'épanouissement de l'enfant mais en plus nuancé.
    Une qualité évidente du film est donc son aspect biopic, sa capacité à changer d'intrigue et d'interêt tout en sachant rebondir par moments.
    La mise en scène est beaucoup dans la suggestion évidente et riche en émotions. C'est superbement filmé et les acteurs sont très bons -notons la présence du réalisateur David Lynch qui en incarne un autre, John Ford. On rit beaucoup mais on est souvent pas loin des larmes également, que ce soit pour les quelques hommages au septième art ou pour les drames familiaux. Des personnages très intéressant et drôle comme celui de l'oncle Boris.
    John Williams toujours à la partition compose exclusivement pour du piano et c'est joli.
    Quelques clichés par-ci par là, toujours sur le harcèlement, les films américains ont du mal avec ça il faut croire. spoiler: La partie avec Monica est particulièrement frustrante, à quoi ça sert une relation si t'as déjà prévu d'y mettre un terme à un moment ? On est aurait également aimé a
    voir plus d'éléments sur les inspirations de Spielberg ou des techniques de réalisations, mais ce film reste une très bonne comédie dramatique.
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2024
    Les Fabelmans, ce sont les Spielberg, même pas déguisés. Le père est un brillant mais austère ingénieur-informaticien. La mère est une artiste quelque peu instable. Le fils subit son choc-fondateur du cinéma à l’aube des années 50, en découvrant un déraillement de train dans ‘Sous le plus grand chapiteau du monde’ de Cecil B. De Mille. De prime abord, on pourrait croire que Spielberg est simplement en train de relater la jeunesse qu’il eut à l’apogée de l’empire, comme aurait dit Brett Easton Ellis : les joies pures de l’enfance, l’espoir sans cesse renouvelé dans la croyance que demain sera meilleur qu’aujourd’hui mais aussi les failles et les déchirures du modèle parental et l’anti-sémitisme dont tout jeune Juif a fait l’expérience à un moment ou à un autre. Comme toujours, Spielberg peut se montrer touchant, parfois même dur, mais sans jamais se départir de sa bienveillance amusée envers l’enfant et l’adolescent qu’il fut et les personnes qui ont gravité autour de lui, et sans hésiter à utiliser son art pour ré-imaginer, ré-inventer ou même corriger quelques instants charnières de sa vie, anecdotiques en apparence, puissamment révélateurs sur le fond, dont il aurait souhaité qu’ils se déroulent différemment. Là où ‘The Fabelmans’ transcende la simple auto-biographie fantasmée, c’est dans son dévoilement silencieux de la nature de ce hobby devenu passion puis profession, et dont Spielberg fut l’un des plus célèbres représentants de la seconde moitié du 20ème siècle. Il y a des évidences, comme cette conviction que le cinéma est la rencontre de la technique et de l’art, de la science et du rêve, à l’instar du couple hétérogène formé par ses parents. Ou encore, la prise de conscience précoce du réalisateur, qui se dévoile au fil des courts-métrages et des westerns tournés avec sa troupe de scouts, ou dans ce reportage sur une sortie scolaire à la plage, du pouvoir infini de la créativité et de la puissance des images, de la manière dont elles peuvent susciter des émotions et des conséquences inattendues, et de la responsabilité qui en incombe à celui qui les a tournées. Il ne s’agit pourtant là que du sommet émergé de l’iceberg : les talents de mise en scène de Spielberg étant ce qu’ils sont, le film est truffé de décision artistiques singulières et significatives, d’une symbolique sophistiquée mais jamais hermétique qu’on repère sans nécessairement la comprendre au premier visionnage, comme si le réalisateur choisissait de s’adresser à la part semi-consciente du spectateur, qui saisira intuitivement ce qui se joue sans pouvoir réellement l’expliquer rationnellement. Finalement, dans ‘The Fabelmans’ comme dans une bonne partie de la filmographie de Spielberg, tout tourne autour d’un divorce : les films de Spielberg, des plus sérieux aux plus familiaux, sont généralement hantés par une angoisse de l’abandon et c’est encore une fois le cinéma qui a le dernier mot puisque c’est en montant, à la demande de son père, un film de vacances, que le jeune Fabelman prend conscience de l’implosion familiale qui va survenir. Il y a donc une part de culpabilité indissociable à ces images volées à la réalité, assimilées à un interdit divin dont la compréhension entraîne le bannissement du jardin d’eden. Pourtant, ‘The Fabelmans’, s’il convoque des souvenirs pas particulièrement agréables, parvient à maintenir un côté solaire. Même au coeur des moments les plus sombres, le trauma fondateur reste un crime sans coupables et il y a cette petite musique qui surnage, la conviction portée par Samuel Fabelman que si le cinéma est à l’origine de tout le mal existant, il apporte également sa solution et sa consolation. A près de quatre vingt ans, Spielberg n’en est de toute façon plus à régler des comptes ou à étaler ses blessures de façon mal maîtrisée : c’est un homme apaisé, qui a sans doute passé beaucoup de temps à réfléchir à ce que le cinéma représentait pour lui, quel était le fil conducteur invisible qui reliait sa filmographie, ce qu’il a cherché à exprimer pendant près de cinquante ans sans vraiment s’en rendre compte. ‘The Fabelmans’ est, outre une évocation d’une passion qui ne l’a jamais quitté, une manière de convoquer le souvenir de ses parents, récemment décédés, de rendre à chacun ce qui lui appartient et ce que lui-même leur doit. De dire merci, en toute simplicité.
    Alfabre
    Alfabre

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2024
    Spielberg est un immense réalisateur et encore une fois il nous entraîne dans dans cette autobiographie sans concession.
    Au delà de son histoire personnelle, il interroge intelligemment sur les rapports de couple, sur le cinéma et sur 'Art en général.
    Raphaël Rayé
    Raphaël Rayé

    1 abonné 40 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 octobre 2024
    Une pépite, en ce mot j’entends que ce film vaut bien 5 étoiles, mais la perfection ne peut être au cinéma et c’est ce qui rend tous longs et courts métrages uniques, ici Spielberg nous a produit un excellent long métrage qui selon moi est un biopic incontournable pour les passionnés de cinéma.
    pvh
    pvh

    36 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2024
    Un film captivant, intéressant de découvrir le parcours du réalisateur, même si très certainement romancé. L’acteur principal joue avec justesse, bravo !
    alexis69c
    alexis69c

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 septembre 2024
    4,5 sur 5 parce que je m’attendais à un peu plus de Spielberg. Nous suivons un jeune homme fan de film et de vidéo qui devient cinéaste le parcours montrer par spielberg est beau
    Michael R
    Michael R

    103 abonnés 1 255 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 septembre 2024
    Spielberg livre un film en partie autobiographique qui sonde la création à travers une fresque familiale sensible et non dénuée d'intérêt lorsqu'elle verse sur les névroses et secrets d'une mère découverts par le fils, et l'équilibre fragile qui s'installe. Et si la caméra de Spielberg est toujours aussi géniale et la narration fluide pour une fresque fleuve (2h30), le propos est lyophilisé et manque cruellement de tension. Est-ce que Spielberg a voulu faire son œuvre testamentaire car il est en perte de vitesse ? J'espère que le prochain film du maître me fera mentir.
    LaCritique
    LaCritique

    11 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 septembre 2024
    Biopic de l’enfance faussement intéressante de Steven Spielberg, The Fabelmans a au moins le mérite de prouver que toute histoire n’est pas nécessairement bonne à adapter au cinéma (si c’était encore à prouver).

    Outre hyperbole, ce serait mentir de dire que tout est à jeter dans le film.
    Le tournage de son premier court métrage de guerre est un bel hommage à ce qui deviendra plus tard son chef d’œuvre tandis que les 10 dernières minutes du film - en particulier la dernière scène - sont franchement réussies.

    Mais globalement… on a du mal à voir ce qu’a voulu faire Spielberg avec The Fabelmans. Les péripéties initiatiques d’un jeune cinéaste en herbe qui n’a finalement eu une vie que très banale ne parviennent pas à créer les émotions attendues chez le spectateur, même lorsque l’on essaie de nous les arracher.
    Un comble pour un réalisateur dont la filmographie est reconnue pour cela.

    Alors certes, le film est léché et la photographie est sans grande surprise appréciable, mais The Fabelmans reste un film très moyen qui nous renvoie aux premières heures d’un réalisateur. Comme un écho au jeune cinéaste maladroit dépeint dans le film. A trop vouloir replonger dans son enfance, Spielberg semble avoir finit par s’y perdre.
    Qu’à t-il voulu démontrer ?
    Iloonoyeil
    Iloonoyeil

    26 abonnés 227 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2024
    Bonjour,

    Probablement, le film le plus personnel de Steven Spielberg ou comment l'art cinématographique a positivement " envahi " ce réalisateur dans son enfance puis son adolescence.

    Voici un film qui tourne autour des notions du souvenir et du pardon évidemment......


    Une belle analyse du cinéma qui transforme le réel pour en faire une fiction qui conduit à la vérité profonde d ' une vocation artistique.........'

    Notons que David Lynch interprète le rôle de John Ford dans ce grand film .

    Bien à vous.

    Gérard Michel
    pentarou
    pentarou

    5 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 août 2024
    Il faut reconnaître que Spielberg est un des meilleurs réalisateurs de ces dernières décennies. Son film nous emporte de bout en bout sans pourtant raconter une histoire si incroyable que ça mais il sait mettre en scène et rendre ça passionnant. Certaines ne m'ont pas parlé du tout mais c'est ma sensibilité par rapport à certains sujets. Pas un film que je penses revoir un jour mais en tout cas un film à voir rien que pour sa réalisation magistrale.
    Ricky
    Ricky

    1 critique Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 août 2024
    Certe on plonge dans les arcanes du prodigieux Spielberg et de cette propension filmique mais on s'ennuie malgré tout sur le long.
    CritiqueCiné
    CritiqueCiné

    7 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 août 2024
    *"The Fabelmans" est un vibrant hommage au cinéma, où Spielberg mêle la magie enfantine qui a fait sa renommée à une introspection plus sombre et personnelle. Le film touche par sa sincérité et sa capacité à capturer l'essence du cinéma comme moteur de vie. Si quelques longueurs ralentissent parfois le récit, elles n'enlèvent rien à l'émotion brute qui se dégage de cette lettre d'amour à l'art qui a façonné Spielberg. Un bijou de tendresse et de nostalgie qui nous rappelle pourquoi le cinéma nous fait rêver.*
    MiNineySha
    MiNineySha

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 août 2024
    Un très beau film, nous plongeant dans un des moments les plus importants de la vie de Spielberg où tout se mélange. De superbes plans, de l’humour, on retrouve la sublime réalisation se trouvant dans tous les films de Steven Spielberg !

    Un film touchant, qui met extrêmement bien en scène la passion de l’enfant qui l’a amené à ce qu’il est maintenant. Avec de l’autodérision et de la modestie, Spielberg nous met des étoiles dans les yeux !
    alex dbs
    alex dbs

    2 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 août 2024
    Un joli film autobiographique ! très bon casting ! très émouvant par moment, dommage qu'il a flopée
    fandedvd
    fandedvd

    2 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juillet 2024
    Je ne comprends pas les notes si élevées et les commentaires si élogieux. Je n'ai rien aimé, ni le jeu des acteurs, ni l'histoire, ni.... Rien. Ennuyeux au possible. Terriblement décevant.
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