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    The Fabelmans
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    863 critiques spectateurs

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    RGA_vivre
    RGA_vivre

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 décembre 2024
    Sûrement mon film préféré de Spielberg. Quel talent. Un film à montrer à tous les enfants ou jeunes ados qui doutent de leur potentiel
    Seskapil
    Seskapil

    13 abonnés 196 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 décembre 2024
    The Fabelmans me laisse mi-figue, mi-raisin. Le film comprend deux histoires très différentes. La naissance d’un amoureux du cinéma est passionnâtes avec de très jolies scènes. C’est hélas atténué par la place trop grand éprise par les problèmes de la famille et surtout de cette mère qui est pour moi un personnage très désagréable à suivre.
    Le film aurait gagné à se recentrer sur le gamin et à être plus court surtout.
    C B
    C B

    10 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 décembre 2024
    J’ai tout aimé
    la réalisation : le jeu des acteurs, les personnages, les décors etc
    Et oui, il ne se passe pas grand-chose (encore que personnellement j’ai vu mille choses) mais ça m’a énormément parlé et touché.
    Spielberg est très fort sur ce registre, merveilleux.
    Ben
    Ben

    4 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 décembre 2024
    Un bon film où on entre dans l’intimité de la légende. Un plongeon dans un passer pas simple ou l’époque nous frappe de plein fouet. Immersion garantie
    Dirty Sale
    Dirty Sale

    8 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2024
    Steven Spielberg et John Williams, que dire de plus. Après tout ce que ce cinéaste nous a donnés, il continue d’épater avec un léger retour aux sources et au style Amblin tel que E.T. dans l’ambiance et la féerie. Cette autobiographie a été réalisée de main de maître, comme toujours, où l’on sent son amour familial et son amour pour le 7e art dans une histoire bien rythmée malgré sa longueur. Une histoire d’ailleurs bien trop avancée pour prononcer le mot « fin ». Je vous aime profondément et merci pour tout….
    Elias El Atlassi
    Elias El Atlassi

    4 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 décembre 2024
    The Fabelmans est une œuvre intime et profondément émouvante de Steven Spielberg, qui nous ouvre une fenêtre sur sa propre jeunesse et sa passion pour le cinéma. Ce film est autant un hommage à l’art du storytelling qu’une exploration des liens familiaux complexes et des rêves qui façonnent une vie.

    La photographie, signée Janusz Kamiński, est magnifique. Chaque scène est soigneusement composée, jouant avec la lumière et les ombres pour capturer à la fois la magie du cinéma et les moments plus sombres et conflictuels de l’histoire familiale. Les séquences où le jeune Sammy Fabelman découvre les possibilités infinies de la caméra sont particulièrement mémorables, traduisant à l’écran l’émerveillement d’un enfant face à un nouveau monde.

    L’originalité du film réside dans sa manière de mélanger la fiction et les souvenirs personnels de Spielberg. Le récit est sincère et nuancé, évitant les pièges du mélodrame pour offrir un regard authentique et souvent drôle sur les luttes d’un jeune cinéaste en devenir. Les scènes touchantes sont équilibrées par des moments légers, créant un film à la fois profond et accessible.

    Les performances des acteurs sont remarquables, en particulier Gabriel LaBelle, qui incarne Sammy avec une justesse et une sensibilité impressionnantes. Michelle Williams et Paul Dano brillent également dans leurs rôles de parents, offrant des performances riches et émouvantes.

    The Fabelmans est une déclaration d’amour au cinéma et à ses origines, un film personnel qui résonne de manière universelle. Bien qu’il soit parfois un peu long, l’émotion et la sincérité qu’il dégage en font une œuvre exceptionnelle. Une véritable lettre d’amour au septième art et à la famille.
    Noise&sound
    Noise&sound

    109 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 novembre 2024
    Un film semi autobiographique qui vaut surtout par la personne qui porte la parole - Spielberg.
    A 77 ans, il est temps d explorer la source et d en identifier les jalons. Entre chronologie factuelle et analyse psychologique, Spielberg remercie à sa façon, les rencontres qui ont forgé, même involontairement, sa relation au cinéma, au premier plan desquelles sa mère, femme solaire.
    Dikkenek666
    Dikkenek666

    11 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2024
    Un film quasi auto-biographique qui permet de connaitre une petite partie de l'adolescence du réalisateur. malheureusement, meme si c'est interessant et bien filmé, on survole et un arrive à une "fin queue de poisson".
    Lisa B
    Lisa B

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 novembre 2024
    Trois heures de bonheur, une fresque formidable, un film fleuve comme les Américains n'en font plus. J'ai adoré le voir au cinéma, je le reverrai avec plaisir sur petit écran
    J31frites
    J31frites

    10 abonnés 229 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2024
    Un joli film en partie autobiographique, Spielberg y raconte son amour pour le cinéma, ce qui l'a amené à en faire, les traumatismes de son enfance entre son université antisémite et le divorce difficile de ses parents. Le père y tient toujours la figure d'opposition à l'épanouissement de l'enfant mais en plus nuancé.
    Une qualité évidente du film est donc son aspect biopic, sa capacité à changer d'intrigue et d'interêt tout en sachant rebondir par moments.
    La mise en scène est beaucoup dans la suggestion évidente et riche en émotions. C'est superbement filmé et les acteurs sont très bons -notons la présence du réalisateur David Lynch qui en incarne un autre, John Ford. On rit beaucoup mais on est souvent pas loin des larmes également, que ce soit pour les quelques hommages au septième art ou pour les drames familiaux. Des personnages très intéressant et drôle comme celui de l'oncle Boris.
    John Williams toujours à la partition compose exclusivement pour du piano et c'est joli.
    Quelques clichés par-ci par là, toujours sur le harcèlement, les films américains ont du mal avec ça il faut croire. spoiler: La partie avec Monica est particulièrement frustrante, à quoi ça sert une relation si t'as déjà prévu d'y mettre un terme à un moment ? On est aurait également aimé a
    voir plus d'éléments sur les inspirations de Spielberg ou des techniques de réalisations, mais ce film reste une très bonne comédie dramatique.
    Marc L.
    Marc L.

    47 abonnés 1 607 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2024
    Les Fabelmans, ce sont les Spielberg, même pas déguisés. Le père est un brillant mais austère ingénieur-informaticien. La mère est une artiste quelque peu instable. Le fils subit son choc-fondateur du cinéma à l’aube des années 50, en découvrant un déraillement de train dans ‘Sous le plus grand chapiteau du monde’ de Cecil B. De Mille. De prime abord, on pourrait croire que Spielberg est simplement en train de relater la jeunesse qu’il eut à l’apogée de l’empire, comme aurait dit Brett Easton Ellis : les joies pures de l’enfance, l’espoir sans cesse renouvelé dans la croyance que demain sera meilleur qu’aujourd’hui mais aussi les failles et les déchirures du modèle parental et l’anti-sémitisme dont tout jeune Juif a fait l’expérience à un moment ou à un autre. Comme toujours, Spielberg peut se montrer touchant, parfois même dur, mais sans jamais se départir de sa bienveillance amusée envers l’enfant et l’adolescent qu’il fut et les personnes qui ont gravité autour de lui, et sans hésiter à utiliser son art pour ré-imaginer, ré-inventer ou même corriger quelques instants charnières de sa vie, anecdotiques en apparence, puissamment révélateurs sur le fond, dont il aurait souhaité qu’ils se déroulent différemment. Là où ‘The Fabelmans’ transcende la simple auto-biographie fantasmée, c’est dans son dévoilement silencieux de la nature de ce hobby devenu passion puis profession, et dont Spielberg fut l’un des plus célèbres représentants de la seconde moitié du 20ème siècle. Il y a des évidences, comme cette conviction que le cinéma est la rencontre de la technique et de l’art, de la science et du rêve, à l’instar du couple hétérogène formé par ses parents. Ou encore, la prise de conscience précoce du réalisateur, qui se dévoile au fil des courts-métrages et des westerns tournés avec sa troupe de scouts, ou dans ce reportage sur une sortie scolaire à la plage, du pouvoir infini de la créativité et de la puissance des images, de la manière dont elles peuvent susciter des émotions et des conséquences inattendues, et de la responsabilité qui en incombe à celui qui les a tournées. Il ne s’agit pourtant là que du sommet émergé de l’iceberg : les talents de mise en scène de Spielberg étant ce qu’ils sont, le film est truffé de décision artistiques singulières et significatives, d’une symbolique sophistiquée mais jamais hermétique qu’on repère sans nécessairement la comprendre au premier visionnage, comme si le réalisateur choisissait de s’adresser à la part semi-consciente du spectateur, qui saisira intuitivement ce qui se joue sans pouvoir réellement l’expliquer rationnellement. Finalement, dans ‘The Fabelmans’ comme dans une bonne partie de la filmographie de Spielberg, tout tourne autour d’un divorce : les films de Spielberg, des plus sérieux aux plus familiaux, sont généralement hantés par une angoisse de l’abandon et c’est encore une fois le cinéma qui a le dernier mot puisque c’est en montant, à la demande de son père, un film de vacances, que le jeune Fabelman prend conscience de l’implosion familiale qui va survenir. Il y a donc une part de culpabilité indissociable à ces images volées à la réalité, assimilées à un interdit divin dont la compréhension entraîne le bannissement du jardin d’eden. Pourtant, ‘The Fabelmans’, s’il convoque des souvenirs pas particulièrement agréables, parvient à maintenir un côté solaire. Même au coeur des moments les plus sombres, le trauma fondateur reste un crime sans coupables et il y a cette petite musique qui surnage, la conviction portée par Samuel Fabelman que si le cinéma est à l’origine de tout le mal existant, il apporte également sa solution et sa consolation. A près de quatre vingt ans, Spielberg n’en est de toute façon plus à régler des comptes ou à étaler ses blessures de façon mal maîtrisée : c’est un homme apaisé, qui a sans doute passé beaucoup de temps à réfléchir à ce que le cinéma représentait pour lui, quel était le fil conducteur invisible qui reliait sa filmographie, ce qu’il a cherché à exprimer pendant près de cinquante ans sans vraiment s’en rendre compte. ‘The Fabelmans’ est, outre une évocation d’une passion qui ne l’a jamais quitté, une manière de convoquer le souvenir de ses parents, récemment décédés, de rendre à chacun ce qui lui appartient et ce que lui-même leur doit. De dire merci, en toute simplicité.
    Alfabre
    Alfabre

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2024
    Spielberg est un immense réalisateur et encore une fois il nous entraîne dans dans cette autobiographie sans concession.
    Au delà de son histoire personnelle, il interroge intelligemment sur les rapports de couple, sur le cinéma et sur 'Art en général.
    Raphaël Rayé
    Raphaël Rayé

    1 abonné 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 octobre 2024
    Une pépite, en ce mot j’entends que ce film vaut bien 5 étoiles, mais la perfection ne peut être au cinéma et c’est ce qui rend tous longs et courts métrages uniques, ici Spielberg nous a produit un excellent long métrage qui selon moi est un biopic incontournable pour les passionnés de cinéma.
    pvh
    pvh

    38 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2024
    Un film captivant, intéressant de découvrir le parcours du réalisateur, même si très certainement romancé. L’acteur principal joue avec justesse, bravo !
    alexis69c
    alexis69c

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 septembre 2024
    4,5 sur 5 parce que je m’attendais à un peu plus de Spielberg. Nous suivons un jeune homme fan de film et de vidéo qui devient cinéaste le parcours montrer par spielberg est beau
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