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carbone144
72 abonnés
748 critiques
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2,0
Publiée le 10 mars 2024
Film très personnel de Spielberg. Il permet de le comprendre avec une certaine tendresse. Toutefois, c'est long et c'est chiant. On dirait quelqu'un qui raconte sa vie et finit par nous faire soupirer. Les cinéphiles dingues de la connaissance à l'atome près du cinéaste et de son cinéma pourront avoir à coeur de visionner cette oeuvre tout en étant déçus, Même moi, son contenu m'a lassé. Beaucoup de longueurs, beaucoup de bla-bla. Les séquences "famille heureuse / famille triste" se répètent de trop.
'' Patine un peu proprette et légèrement artificielle qui prévaut chez Spielberg depuis une dizaine d'années '' , '' académisme pesant '', '' mièvrerie familialiste '' : voilà 3 expressions lues sur ce film et que je partage...
La Légende vivante signe un retour aux sources de son enfance avec merveilleuse autobiographique nuancée. Toujours aussi impressionnante, la réalisation nous plonge dès le début dans cette bouleversante histoire, stimulante et drôle. " The Fabelmans " insuffle une belle énergie notamment avec son empreint aux codes du teen movie à grand coup joyeuse bande de potes, de caïd et de découverte de l'Amour. Steven Spielberg rend un hommage au septième Art, par une poignée d'images sensibles, de projecteur et de caméra à l'ancienne ou de manipuler la pellicule sur ses bandes de montages. C'est une déclaration d'Amour pour le cinéma que rend hommage le légendaire Spielberg avec son récit d'une sensibilité vraiment touchante. En retournant sur les pas de sa jeunesse, le père d'Indiana Jones signe une œuvre qui rend hommage à sa vocation à travers une poignante fable familiale de toute beauté.
Il m'arrive souvent de penser que si j'apprécie autant les films des années 80/90, c'est par nostalgie. Si l'on retrouve encore de nos jours de bons films, il leur manque assez souvent "un petit quelque chose" qui ne rend pas la "chaleur" des films que l'on voyait avant.
Et puis je regarde un film de Spielberg qui viens de sortir et je me rappelle que non, ce n'est pas de la nostalgie.
Excellent film de Steven Spielberg qui vient se livrer à nous les spectateurs sur son enfance qui a été assez difficile d'après ce que nous raconte le film. Je trouve cela très courageux de se livrer, notamment sur sa vie familiale et le harcèlement qu'il a vécu. C'est un peu triste que son père n'est pas pu voir le film car il est décédé 3 ans auparavant. Si je devrai émettre une critique, ce ne serait pas sûr le film mais sur le doublage VF qui aurait pu être mieux réalisée.
Film le plus intimiste de Spielberg s'il en est , ce Fabelmans me tentait particulièrement après les critiques dithyrambiques sur ce long métrage qui ironie de la chose a été le plus gros échec de Spielberg au box office.
On suit donc cet enfant , puis cet adolescent et ce jeune adulte dans sa vie de tous les jours avec cette vie de famille un peu particulière et la relation, de sa mère avec le meilleur ami du couple J'ai bien aimé la partie sur comment ce jeune découvre sa passion pour le cinéma , comment il arrive à monter ses mini courts métrage, son inventivité ( percer la bobine avec une épingle par exemple) c'est génial et touchant. La partie sur la famille est certes intimiste mais finalement pas très intéressante, un poil longue et quelque peu " déjà vu" Pour être honnête j'ai bien aimé ce film il m'a touché pas certains aspects, les acteurs sont bons notamment Gabriel Labelle, mais j'ai été chagriné pas des petits détails et défauts notamment les parents qui en quasiment 20 ne changent absolument pas physiquement, certaines longueurs et lenteurs et une histoire somme toute banale d'un gamin qui découvre les joies du cinéma dans une famille torturée qui va se séparer.
Spielberg n'a plus rien à prouver, un géant du cinéma mais sur le film en lui-même quand je vois la moyenne des notes de la presse à 4.9 sur 5 et celles des spectateurs à 4.3 sur 5....je comprends pas. D'un point de vue général, les acteurs sont très bon, il y a quelques moments plutôt sympas au niveau technique et réalisation, mais c'est plutôt long.....même parfois très long. Un film doit générer des sensations ...des émotions, personnellement je n'ai pas ressenties grand-chose pendant environ 2h30, a part d'être rentré un peu dans l'intimité du réalisateur pour ses débuts et dans son contexte familial. The fabelmans ne fera pas partie des films que je vais revoir contrairement à beaucoup d'autres films de Spielberg.
Spielberg a son meilleur, son cinéma à un file rouge constant, le divorce, la séparation, l'absence. Cette fois il crève l'abcès et va au cœur de son inspiration, ce n'est pas un film sur les débuts brillants d'un jeune cinéaste en devenir qui sur le papier n'est pas un pitch si enthousiasmant mais l'histoire d'une famille dysfonctionnelle comme on résume l'affaire de nos jours, les acteurs sont tous brillants ou très bien dirigés au choix, l'émotion est partout, la réalisation brillante, c'est du grand cinéma sans être glauque, aucune scène inutile, les sœurs de Spielberg dans le film sont également touchantes de vérité.
Si l'on compare les événements qui se déroulent pendant les 2h30 de ce film à ceux racontés dans tous les autres métrages du réalisateur culte, on pourrait penser que l'intrigue est bien maigre. Celui qui a forgé l'imaginaire de toute une génération et créé le cinéma moderne livre ici une oeuvre 100% intimiste, et il est bien placé pour la raconter puisqu'il en est le personnage principal.
10 secondes... C'est plus ou moins le temps qu'il m'aura fallu pour être happé par ce film. Ni la promotion ni le synopsis ne m'avaient convaincu, et pourtant Spielberg le magicien m'a tout fait oublier sur la première image, sur les plans d'une intense délicatesse de son photographe fétiche Janusz Kaminski, sur les premières notes de Williams ; une dream team qui apparemment dira son dernier mot en même temps qu'elle rendra son dernier souffle. Cette oeuvre EST Spielberg, du moins tout ce qu'il a montré à travers le cinéma : un passionné méticuleux, amoureux du grandiose et obsédé par la caméra.
Ici, le bluff a été de montrer une enfance somme toute confortable en mettant un accent prononcé sur tous les événements qui ont bouleversé le réalisateur durant sa jeunesse, les mettant en exergue d'une manière unique et redant le tout absolument passionnant. Speilberg a toujours su montrer le quotidien de manière tendre, drôle et intéressante, ici il pousse la chose à son paroxysme, en ne montrant que ça. Et c'est un régal.
Spielberg est un conteur hors pair qui nous présente le récit d'un jeune garçon qui, dès son plus jeune âge, utilise le cinéma comme refuge et comme moyen de contrôle. De son enfance à l'âge adulte, il découvre le pouvoir du cinéma à la fois sur les autres et sur lui même. Une belle histoire tendre et riche en émotions sur le rôle du cinéma dans la vie de chacun, racontée par un passionné et un maître de l'art.
J'ai trouvé l'histoire globalement inintéressante. Je suis sûr que tout ça est très important et émouvant pour Spielberg mais… Ces histoires de ‘coming-of-age’ sont souvent assez ennuyeuses. Spielberg relie ça à l’importance majeure du cinéma, et les meilleures scènes du film viennent de ce thème, notamment un dernier plan magnifique, mais ce n’est pas assez pour susciter un réel intérêt.
The Fabelmans est un film en partie autobiographique de Steven Spielberg et en bien des aspects il m'a beaucoup plu. Le film a comblé mes attentes, Spielberg nous montre le développement de sa passion pour le cinéma, passion que nous partageons et nous le regardons évoluer depuis des petits films d'enfant jusqu'à des cours métrage d'adolescent. C'est très immersif, on a la sensation de grandir avec le personnage et d'être complétement à l'époque du XXème siècle. D'ailleurs tout cet aspect histoire du cinéma est très intéressant. Dans les scène ou Sammy montre ses réalisation , le réalisateur nous propose trois plans, une vue sur le public de derrière, concentrant notre attention sur Sammy face au film, une sur les réactions des spectateurs et/ou Sammy de face et une directement face à la projection et j'ai trouvé très immersif (au cinéma du moins) que la bande son s'adapte pour que le bruit du projecteur provienne du fond de la salle lorsqu'un plan est fait sur la projection, donnant l'impression de vivre la scène. Autrement le film nous fait passer par plusieurs émotions, il est à la fois drôle mais surtout émouvant par son histoire, on sent que Spielberg veillait à retranscrire son point de vue, lorsqu’il était jeune et n'était pas encore devenu un expert en son art. Par ailleurs tous les acteurs jouent très bien, même celui jouant Sammy jeune et les décors et costumes sont superbes. En revanche j'ai quelque reproche à faire au Fabelmans, premièrement, le film à des longueurs, tout particulièrement l'intrigue sur la mère, Mitzi, redondante et ratée. Au lieu de nous montrer un esprit artistique, passionné et pouvant montrer son fils qu'il peut vivre de son "hobby", Spielberg nous présente un personnage très antipathique qui, peut-être, est digne de la réalité mais prend beaucoup trop de place dans un film qui explore déjà beaucoup de thèmes. J'ai également trouvé les scènes de lycée trop clichées mais encore une fois on ne peut pas connaitre l'exacte réalité qui a inspiré Spielberg. En conclusion the Fabelmans est un film imparfait mais très bon.