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    Les Proies
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    Ufuk K
    Ufuk K

    523 abonnés 1 486 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 août 2017
    " les proies " de Sofia coppola prix de la mise en scène du dernier festival de cannes est un thriller au féminin plaisant. En effet malgré un univers assez limité j'ai pris plaisir à suivre ce huis clos sensuel et tordu avec en prime un casting 5 étoiles ( kidman, farell, elle fanning et kirsten dunst).
    Sylvain P
    Sylvain P

    341 abonnés 1 358 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 août 2017
    Si l'esthétique SofiaCoppolienne convenait (et même magnifiait) certains des univers de ses précédents films (Marie-Antoinette, Lost in Translation, Virgin Suicides...), force est de constater que dans le contexte d'un film aussi dramatique et historique, cette qualité se transforme en un défaut qui confère au snobisme ridicule, voire à la parodie. Les Proies est un ratage total.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 août 2017
    Ce film est d'une lenteur accablante, le scénario est mou, sans aucun intérêt.
    L'histoire manque réellement de profondeur, on ne comprend pas tout, on ne comprend pas les réactions de tel ou tel personnage, juste il fallait qu'il ou elle fasse ça pour déclencher la suite, donc il ou elle le fait.
    Bref je reconnais à ce film un casting intéressant et .... puis c'est tout en fait.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 août 2017
    Les images sont superbes et les actrices magnifiques, sinon rien d'intéressant, pour ceux qui ont lu le livre, Coppola à pris beaucoup de raccourcis et il manque des personnages majeurs.
    C'est dommage, le talent est là mais il manque le truc qui fait la différence.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 août 2017
    Je suis déçue. Appatée par la bande-annonce je m'attendais à un film différent.
    Certes niveau esthétique c'est un film superbe et magnifiquement tourné mais niveau intrigue c'est fade fade fade
    Flaw 70
    Flaw 70

    262 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 août 2017
    Sofia Coppola s'est imposée tout au long de sa carrière comme une cinéaste de l'ennui. Pas que ses films soient ennuyeux (même si The Bling Ring met à rude épreuve) mais elle s'intéresse à l'ennui du quotidien et au vide que peu procurer l'existence. Et avec son nouveau film, The Beguiled, elle ne compte pas encore trahir ses thématiques et ce qui fait l'essence de son cinéma. Nouvelle adaptation d'un roman du même nom après un film, aussi du même nom, de Don Siegel en 1971, Coppola entend bien se lancer dans son premier remake et prenant cette histoire et la soumettant totalement à son regard si singulier. Surtout qu'ici elle renvoie directement à son premier film, The Virgin Suicides, de quoi promettre un retour aux sources salvateur pour la réalisatrice qui a quelque peu perdu de sa force avec ses derniers films ? Pas vraiment.

    Après avoir marqué tout le monde avec son très bon The Virgin Suicides et l'excellent Lost in Translation, ses deux premiers films, Sofia Coppola à ensuite souffert de la comparaison avec ses derniers. Beaucoup voulant retrouver la sensibilité et l'impact de ces œuvres mais elle n'a jamais vraiment réussi à retaper aussi juste. Avec Somewhere, qui reste malgré tout une belle réussite, elle tentait beaucoup trop de surfer sur ce qui faisait le charme de Lost in Translation mais l'originalité en moins. C'est aussi ce qui va faire du mal à son The Beguiled, car à trop vouloir rappeler The Virgin Suicides elle ne fait que le citer sans retrouver son essence. En terme de mise en scène, elle utilise souvent les mêmes plans pour symboliser l'enfermement et elle finit plus par s'auto-citer que de vraiment apporter quelque chose de nouveau à son cinéma. Après elle offre quand même une mise en scène solide, notamment dans ses premiers instants où la caméra se fait plus voyeuriste et trouble surtout dans sa manière d'utiliser la brume pour instaurer une atmosphère mystique. D'ailleurs techniquement le film est irréprochable, la photographie est somptueuse et magnifie chaque scènes d'une atmosphère à la fois pesante mais aussi incroyablement douce, nous enroulant dans un faux sentiment de confort sans pour autant enlever le sentiment d'un danger qui plane. Que ce soit dans la reconstitution d'époque, les cadres et le montage, le film s'avère carré et sans fausse note même si globalement il manque de fulgurance. Le film à eu le prix de la mise en scène à Cannes et même si il ne démérite pas il n'est quand même pas exceptionnel sur ce point.

    Mais The Beguiled souffre aussi de la comparaison avec son prédécesseur, le film de Siegel. Car même si sur la forme il se montre impeccable, on ne peut pas en dire autant sur le fond. Le film étant très court il ne prend pas le temps de vraiment développer ses personnages et nous donnent l'impression d'un développement succinct qui oublie les principaux atouts d'un huit clos et d'une guerre des sexes, la tension et la dualité. Même si embrasser le point de vue des femmes, là où le film de Siegel suivait plus celui de l'homme, est judicieux notamment dans la manière que Coppola suggère que l'un et l'autre sont très semblables, le tout manque d'approfondissement. On constate que l'homme comme les femmes sont à la fois prisonniers de leurs désirs mais aussi de l'ennui de leur quotidien. D'ailleurs la cinéaste est plus intéressée par ce dernier point que le premier ce qui enlève pas mal de tensions et crée même certaines longueurs. Il est intéressant de voir comment ils se séduisent pour se sortir de leurs quotidiens, chacun étant l'attraction de l'autre, et de voir aussi comment ce quotidien se retourne contre eux et qu'ils réagissent de la même façon lorsqu'ils se sentent menacés, par la violence. Coppola les prend avant tout pour des créatures victimes de leurs instincts mais ne pousse jamais la réflexion très loin et finit par la réduire aux femmes contre les hommes. Ce qui s'avère décevant et loin de la dualité passionnante qui découle derrière ce sujet. Surtout que le film ne brille pas non plus par sa subtilité à cause de dialogues trop appuyés et d'un casting assez effacé. Au final seuls Kirsten Dunst, très juste, et Colin Farrell, impeccable même si il n'a pas le charisme d'un Clint Eastwood, sortent un peu du lot face à une Nicole Kidman monolithique et Elle Fanning qui se contente de faire le minimum.

    The Beguiled est un peu la confirmation que le cinéma de Sofia Coppola tourne en rond. Elle reste une cinéaste au regard singulier et pas inintéressant mais apporte de moins en moins de soin à ses scénarios quitte à passer à côté des réflexions les plus palpitantes. Elle les esquisse mais ne semble plus intéressée à les explorer. En résulte un film relativement bien fait sur la forme, la mise en scène est très solide même si classique, mais vain sur son fond. La qualité technique ne suffit pas à faire un film et même si certains éléments maintiennent l'intérêt ici et là on plonge de plus en plus dans ce qui fascine la cinéaste, l'ennui. The Beguiled est donc une oeuvre relativement moyenne qui se montre plus faible que les films qu'elle tente de citer et surtout elle n'est pas vraiment soutenue par un casting en demi-teinte.
    Wikus83
    Wikus83

    26 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 août 2017
    Après avoir filmé l'ennui et la mélancolie avec brio (Virgin Suicides, chef d'œuvre absolu pour son premier film) comme avec paresse (Somewhere), Sofia Coppola reste dans l'exploration du désir féminin avec un casting 4 étoiles (Colin Farrell, Nicole Kidman, Kirsten Dunst, Elle Fanning).

    Sauf qu'à ralentir, c'est le spectateur qui s'ennuie ferme dès les premières minutes.
    C'est indéniablement beau, mais tellement interminable qu'après avoir lutté pendant plus d'une demi-heure pour essayer de m'intéresser à cette histoire de femmes troublées qui minaudent devant un soldat recueilli dans leur pensionnat pendant la guerre de Sécession, je suis sorti de la salle.

    Quel dommage de réussir autant ses deux premiers films et de se fourvoyer autant ensuite.
    soumiya75
    soumiya75

    6 abonnés 158 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 août 2017
    Bof bof on s'ennuie ferme durant quasi tout le film... malgré un casting interessant, je suis déçue ...
    Pierre Andre E
    Pierre Andre E

    14 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2017
    Malgré un jeu d'acteur plutôt brillant ( surtout chez Kidman et Dunst ), on ne sort pas beaucoup de la rêverie à la David Hamilton... Un beau soldat blessé qui éveille la libido endormie de quelques femmes... Il aurait fallu plus d'audace dans la mise en scène et les enjeux pour que l'on se sente vraiment emporté. Du coup, la fin arrive un peu comme un pétard mouillé...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 août 2017
    Un film mou, lent, on s'endormirait bien mise à part deux trois scènes sympa pour le peu d'action du film .... Coppola nous a habitué a bien mieux!
    Séverine M
    Séverine M

    4 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 septembre 2017
    Un film bien joué, un style Sofia Coppola retrouvé mais rien de plus ... ni bon, ni mauvais film, on en ressort partagé mais pas emballé !
    benoitG80
    benoitG80

    3 429 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2017
    "Les Proies" ne sera déjà pas le film de Sofia Coppola le plus marquant et donc le plus réussi !
    En étant une adaptation du roman de Thomas P. Cullinan et un remake du film de Don Siegel, ce dernier opus ne se démarque en rien...
    Comme le suggère l'affiche, on remarque d'emblée une recherche indéniable dans le travail de l'esthétique au niveau de la photographie, des couleurs, des lumières et de l'atmosphère en général, et sans doute à cause de cela, le film de Sofia Coppola, passe à côté de son enjeu...
    On reste en effet surpris du peu de profondeur psychologique de chacun des personnages, ce qui fait que tout reste superficiel, comme enlisé dans une forme stylisée et délicate.
    Ce parti-pris a toutefois le mérite d'apporter une vraie rupture entre le milieu luxueux, raffiné et ouaté de cette institution privée pour jeunes filles et celui terrible de la guerre qui sévit juste à côté !
    La barrière apparemment imperméable est ici rompue par l'accueil de ce caporal nordiste blessé, et le bouleversement créé par cette présence vaut cependant le détour !
    Sofia Coppola arrive à installer le climat qu'on attendait sans cependant aller jusqu'au bout de ce que l'on était en droit d'espérer...
    La frustration, le désir, la jalousie fusent de toutes parts parmi ces êtres, mais sans analyse véritable.
    Il manque en effet une certaine intensité à ces relations humaines, voire une violence dans cette excitation, ici trop gommée ou trop contenue !
    La réalisatrice semble aller trop vite, voulant tout montrer, tout expliquer comme le ferait une élève appliquée, si bien que le spectateur n'a plus ici qu'à regarder sans se poser de questions !
    Du très beau cinéma qui reste pertinent par son sujet, mais moins abouti qu'il ne le promettait suite à des comédiens dont le potentiel n'a pas été assez exploité.
    Colin Farrell, Nicole Kidman et Kirsten Dunst et Elle Fanning pour ne citer que ce quatuor, avaient bien plus à donner et donc d'autres partitions à jouer !
    Un peu dommage à ce niveau...
    yohanaltec
    yohanaltec

    99 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 août 2017
    Sofia Coppola livre avec Les Proies un film intimiste d'un pensionnant de jeunes filles durant la guerre de Sécession aux États Unis à travers des personnages simples et une tension palpable de la première à la dernière minute. Les actrices, les toutes jeunes comme les plus agées, livrent une admirable performance face à un Colin Farrell impériale, démontrant au cours de ces dernières années qui l'est l'une des valeurs sûres du cinéma anglo saxon. La tension sexuelle est grandement plaisante et fait naître un sentiment de malaise, ressenti de manière magistrale à travers les personnages. Le final est incroyable de brutalité, mais également d'une certaine finesse. On regrettera peut être certaines longueurs, ce qui est un petit peu dommage pour un film d'1h30. Je n'ai pas vu le film original, mais il est généralement apprécié, ce qui ouvre probablement une voie pour un visionnage prochain.
    Le film d'Ariane
    Le film d'Ariane

    79 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2017
    La réalisatrice signe un film en tous points élégant mais curieusement assez désincarné. Elle ponctue son scénario de répliques perfides et de dialogues ironiques assez efficaces qui illustrent avec humour la tension sexuelle et la frustration régnant dans ce gynécée. Malheureusement, malgré un casting impressionnant, je trouve que les personnages manquent de relief. C'est criant chez Colin Farrell dont la partition est plutôt insipide. À l'annonce de ce projet, je m'étonnais qu'on s'attaque au remake d'un film aussi réussi que celui de Don Siegel en 1971. Chef d'œuvre d'ambiguïté, la première version était autrement plus subversive, poisseuse, violente et perverse. Portée par un Clint Eastwood au sommet de son sex-appeal, on avait toutes envie (enfin je crois :-) de lui refaire son pansement ! Le regard féminin que Sofia Coppola pose sur cette histoire tragique manque cruellement de chair et d'audace. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 août 2017
    Un casting super voila ce qui donnait envie d'aller voir ce film !
    Pour être brève il ne se passe rien pendant 1h30 pas d'action, aucun suspense !
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