Mon avis en quelques mots: On a rarement vu aussi ennuyant! Un film-arnaque.
On s'étalera pas sur le sujet. C'est bien filmé et bien joué mais c'est tout. Sinon c'est vide et ennuyant, ce n'est pas de l'horreur, c'est à peine angoissant et clairement pas effrayant. Une arnaque vendue par un titre racoleur, une affiche inquiétante et une bande-annonce angoissante, mais rien de tout ça ne se retrouve dans le film. Un film plein de RIEN.
Énième film sur la peur provoquée par une épidémie du type morts-vivantsspoiler: (on le devine car on ne saura jamais exactement quelle est cette épidémie) . Les personnages sont peu attachants, l’histoire est vue et revue, le tout est assez ennuyant malgré quelques passages rehaussant le toutspoiler: (l’affrontement final entre les deux familles) . À force de vouloir éviter le spectaculairespoiler: (on ne voit jamais, à l’exception peut-être de la première séquence, quelle est la menace que les personnages craignent) , Trey Edward Shults signe un film prétentieux, assez soporifique et très décevant qui heureusement possède une durée assez courte (1H37).
Pire film que j'ai vu au ciné ses 10 dernières années. aucun intérêt. On s'ennuie du debut à la fin. NUL. Ne dépensez pas votre argent pour ce film il n 'en vaut absolument pas la peine
Avis : Un film très atypique mais techniquement bien fichu. On est face à un survival bien plus qu'à un film d'horreur. On a même carrément l'impression d'y voir du Walking Dead là-dedans. Le long métrage se démarque de par son ambiance pesante, de par sa lenteur hypnotisante, de la découverte des personnages avec une certaine psychologie déployée même si pour un bien pas assez pousser. On plane parfois dans une espèce de mystère et l'ensemble peut nous laisser sur le carreau tant ce n'est pas du tout un film facilement abordable. Il demande un effort au spectateur pour le plonger au cœur de ce long métrage. J'ai beaucoup apprécié la réalisation avec parfois des plans étranges comme ceux filmant un long couloir s'assombrissant de plus en plus, avec aussi parfois des changements de format d’image sans doute pour symboliser quelque chose comme le rêve ou encore les plans filmant la nature. La bande son est peu présente mais elle reste bonne et participe au travail d'ambiance très réussi. Casting réduit mais où Joël Edgerton et la mimi Riley Keough y sont très bons. It Comes At (Black) Night est une petite curiosité pour les amateurs de cinéma de ce genre. Ma note : 7/10 !
J'étais hyper emballée par la bande annonce. Le film n'était pas du tout à la hauteur des mes attentes. Il est long, très long.... Aucune tension, aucun suspens, on arrive même pas à s'attacher aux personnages ou à avoir peur pour eux... En réalité il ne se passe strictement rien. Et honnêtement je m'attendais à un revirement de situation à la fin, en vain.... Rien n'est expliqué, on ressort du cinéma avec plein d'interrogations. Il y à plein de choses que je ne m'explique pas: ATTENTION SPOILEEEEERS -spoiler: Qui ou qu'est ce qui tue le chien? Car on le voit aboyer mais on ne distingue rien, pas même une forme ou une silhouette.
-Pourquoi est ce que Will ment sur son soit disant frère??
- Pourquoi Will et sa famille décident-ils de fuir? j'en ai conclu qu'ils avaient appris que Travis était infecté mais comment l'ont-ils deviné????
-Qui est véritablement somnambule? le petit ou Travis???
Franchement je ne comprends pas le rôle de certains personnages...
Autant de question qui restent en suspens et qui me laissent complètement dubitative
Sur une histoire réduite à la plus simple expression du genre - un huis clos dans une maison isolée où une famille est menacée par un mal venant de la forêt environnante - le réalisateur vise au réalisme psychologique et à la métaphore sociétal (l'éternelle peur de l'autre). Un programme minimal, qui a sa pertinence et son exigence, mais qui reste finalement un peu trop théorique. D'autant que le cinéaste se fait roublard quand il use d'effets grossiers (musique tonitruante et cauchemards récurrents) pour dramatiser son huis-clos ascétique. A force de jouer la carte du film de genre rélexif, "It comes at night" en devient trop lisible et finalement sans grand mystère. Après un long tunnel scénaristique où l'intérêt s'émousse, la fin, radicale, joue l'électro-choc, mais reste très attendue. A force de se vouloir intelligent, le film de genre se dévitalise...
Malgré une ambiance pesante et inquiétante, « It Comes at Night » n’arrive pas à surprendre avec un thriller psychologique en manque de suspens, de rebondissements et d’enjeux. Le rythme est agaçant et le scénario manque en crédibilité. Heureusement que la mise en scène rattrapera le coup avec des décors glaçants et une bande sonore remarquable. La critique intégrale sur mediashowbydk.com
Je n'ai pas compris le but du film il n'y avait pas d'action et c'était loin d'être un film d'orreur Je chercher toujours le sens du film je n'ai strictement rien compris ?
Film d'épouvante ? Pas sûr ... Film policier ? Pas sûr non plus. En tous les cas, ce "It comes at night" échappe à toutes les catégorisations. Car si le mal vient de l'extérieur, un virus a priori dont on pressent les conséquences sans jamais trop les mesurer de façon tangible, il émane surtout de l'intérieur de cette maison où vont cohabiter de force deux familles. En quelque sorte, ce long-métrage est une illustration de la paranoïa qui est capable de nous saisir dans toutes les situations extrêmes de tension. La paranoïa est telle qu'on pense au chef d'oeuvre de Stanley Kubrick "Shining" où la figure du père à la fois charismatique et détraquée hante un lieu clos, en l'occurence ici une maison perdue dans la forêt. A l'issue du film, il est complexe de faire une description clinique précise des modalités de contamination du virus. Or, c'est toute la force de ce film. Le réalisateur cultive les non-dits, les ambiguïtés. Il ne montre jamais, et à la manière d'un Alien, il suggère des monstruosités sans jamais les donner à voir. C'est le spectateur qui fabrique son propre film d'épouvante, car, objectivement, rien n'a de raison à provoquer de l'horreur. En ce sens, "It comes at night" réinvente totalement un genre qui s'est largement abreuvé de possessions, de fantômes, de psychopathes et de zombies en tout genre. La monstruosité sommeille en chacun des personnages. Il faut souligner une mise en scène brillante, précise, qui réussit le pari de la peur et de l'oppression psychologique. "It comes at night" constitue un objet cinématographique original et anxiogène à souhait.
Oh la la mais qu'est ce que c'est que ce film .Ont sait pas le pourquoi du comment arrive cette epidemie! Quel nullité ont s'ennuie a mourir il ne ce passe carrément que dalle NUL
Bon début, intrigue intéressante, jeu d'acteurs bon, tout est là, malheureusement le film reste plat tout du long on reste même pas sur ça fin on a hâte de sortir !