Ce film n'a aucun sens, pas d'histoire et ne fait même pas peur, a aucun moment du film on nous explique l'intrigue qui n'en est même pas une. Un vrai désastre.
Scandaleux dans le fait qu'il ne se passe rien mais je suis parti avant la fin quand le "héros" tire sur un type et que c'est son bébé qui est touché..,no way pour moi...
Un film anxiogène et paranoïaque à l'atmosphère réussie malgré un sérieux déficit de rythme et de clarifications. Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
It comes at night part d'une idée originale qui ouvre à plein de possibilités, mais malheureusement le scénariste et le réalisateur ou les deux réunis sont tombés en panne d'inspiration ce qui donne un résultat incomplet. Ambiance de la vie quotidienne en journée et ambiance de peur la nuit, une peur inexpliquée et donc assez incompréhensible. Comme The autopsy of Jane Doe, vu précédemment, ce film est interdit aux moins de 12 ans. Incohérent ! Pour Jane Doe j'ai flippé tout du long et là à force d'attendre qu'il se passe réellement quelque chose, je bien faillis m'endormir. Pas un sursaut, pas un frisson, pas un sourire, bref ce film ne m'aura arraché que des soupirs d'ennui. Dommage, car comme je le dis en commençant l'idée de base n'était pas mauvaise, mais une idée sans habillage, ça donne à peu près ce film. Il ne vaut même pas le 4€ de la fête du cinéma.
Encore un film mal étiqueté. Ce n'est pas du tout un film d'horreur mais bien un thriller psychologique et un bon ! Un de ceux dont on ressort en se demandant ce qu'on aurait fait à la place des protagonistes. Et c'est bien ça le but et l'intérêt du film et non pas l'action ou l'explication de cette situation ou un quelconque dénouement. Pour ça allez voir Transformers au lieu de critiquer ce film à coup de "Tout ça pour ça" qui ont failli me décourager.
En lui-même, le deuxième film de T .E. Shults n’est pas mauvais, mais il est vendu de la manière la plus trompeuse qui soit. Tout d’abord, ce n’est pas à proprement parler un film d’horreur, mais bien plutôt un film d’anticipation qui ressemblerait davantage à un film d’auteur issu de Sundance ou encore au Take Shelter de Jeff Nichols. C’est une œuvre sur une angoisse, celle de la destruction de toute civilisation. Seulement, si le suspense est bien présent au début du métrage, l’absence totale d’action, de retournement de situation ou même d’un début de commencement d’explication rend le film abscons et surtout très ennuyeux. L’ambiance reste bonne, les acteurs sont impeccables et l’idée même n’est pas inintéressante en soi, mais qu’est-ce que l’on s’ennuie. Entre deux chaises, le métrage n’est ni un bon film de genre (pas de fun, pas assez jusqu’au-boutiste) ni un film d’auteur suffisamment consistant pour qu’on y voit autre chose qu’une complainte sur la fin des valeurs familiales américaines. Dans le genre, on préfère très largement It Follows, qui, lui, savait parfaitement allier les deux options (peur et réflexion). Une déception, surtout au vu des critiques bien gentilles à mon goût.
Quel regret d'être allée voir ce film! Une histoire sans queue ni tête , quelques scènes d'angoisse sans plus , on nous raconte la survie d'une famille au milieu des bois qui essaie d'échapper à une maladie ... boring !! Fuyez
Le temps est aussi long en salle que celui passé par les protagonistes a créer un semblant de tension dans ce film... Tout est survolé, on commence à peine à avoir quelques suées froides que tout retombe à plat. De plus le jeu des acteurs frôle souvent le ridicule, pas vraiment aidés par des dialogues soporifiques. Bref il ne faut pas se fier aux accroches des critiques presse, si ce film est un chef d'œuvre de l'horreur pour eux, c'est le chef d'œuvre de l'ennui pour ma part.
Certains seront déçus se trouver devant un film d'horreur qui n'en est pas un, mais qui est plutôt un drame à la limite du thriller psychologique. "It comes at night" repose entièrement sur une atmosphère angoissante et oppressante, et sur les relations entre les divers protagonistes. Le film est constamment sous tension, ce qui contribue à en maintenir l'intérêt tout du long. Le jeu des acteurs est fabuleux, montrant les enjeux et l'importance de l'unité familiale dans une ambiance de chaos. Mais au final on a quand même l'impression de s'être (un peu) fait avoir, malgré quelques passages un peu flippants.
Si son scénario et les idées défendues semblent parfois instables, It Comes At Night surprend par son ambiance, sa mise en scène et sa photographie. Déjà intéressant dans Krisha, Trey Edward Shults prouve qu'il sait manier une caméra et diriger des acteurs à la perfection.
Film sans sens! Je m'attendais à plus mais on ne comprend rien. Je suis hyper déçue parce que je m'attendais à un vrai bon film d'horreur. Mais juste des petits moments de sursaut vite oublié par une intrigue maigre.
"Un chef d'oeuvre de l'horreur" en haut de l'affiche et une bande annonce percutante et mystérieuse, il n'en fallait pas moins pour nous mettre l'eau à la bouche. Par ailleurs le premier quart d'heure répond à priori aux attentes et puis ... PRENDS MOI POUR UN JAMBON ! Et je ne parle pas du Monique Ranou découenné, non non ! Ce film est l'arnaque de l'année ! Un vulgaire film d'infestés sans le sou qui sous couvert de psychologie de comptoir veut se faire passer pour la surprise de l'année. Mais le pire dans tout ça, c'est que s'il avait été vendu pour ce qu'il est, on aurait pu sans en attendre trop passer un moment sympa devant mais là et au vu de la publicité faite dessus on était surtout en droit d'attendre un sommet du frisson, il y a clairement tromperie sur la marchandise. En lieu et place, on se retrouve en face d'un thriller psychologiquement grossier sans queue ni tête, certes bien joué, mais pour la tension, il faudra repasser ... on s'ennuie ferme durant 1h30 à la faveur d'un scénario vu et revu, sans surprise et également sans jump-scare. Pourquoi rester me direz-vous ? Et bien pour la fin bien évidemment, il va forcément se passer quelque chose, certains mystères vont s'éclaircir ... ouais c'est ça ... on nous aura pris pour des glands jusqu'au bout ...