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L'homme sans nom
158 abonnés
985 critiques
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3,5
Publiée le 14 février 2024
Même si le film commence à L.A. dans un environnement peu commun chez Woody Allen, plus verdoyant et sablé, il retourne vite à son décor urbain préféré (NY). Kristen Stewart, Jesse Eisenberg et Steve Carell forme un triangle amoureux qui fonctionne bien, dans des décors sublimés par une des meilleures photo dans un film de W. A. ! Pour son récit, Cafe Society ne se démarque pas tellement, les rebondissements sont attendus quand on connaît la filmo d'Allen, mais on passe un bon moment devant sans prétention.
Woody Allen tient à réaliser un film par an, cela donne visiblement un sens à sa vie. Sauf que cela fait longtemps que le réalisateur chouchou des cinéphiles intellos français s'est embourgeoisé et n'a plus rien à dire que les reformulations sempiternelles de ses obsessions sur le couple et l'infidélité, sur fond de vague autodérision juive. Résultat typique : Café société se déroule dans le milieu mondain hollywoodien des années 30 avec une reconstitution en toc, des acteurs aussi fades qu'anachroniques et une histoire sans intrigue au dénouement bien prévisible. Bref, un film peu crédible et d'un ennui mortel avec des acteurs célèbres, là pour faire vitrine.
Mitigé sur ce xième film de W Allen qui visite la haute société des années 1930 avec un parallèle entre Hollywood et New York. Mon impression est que parler de l'histoire du cinéma hollywoodien est assez casse gueule pour un réalisateur expérimenté. On suit les mésaventures amoureuses d'un jeune homme avec une vue sur plusieurs autres membres de sa famille. Le tout avec une foule de détails mais tout cela est trop fouillis, si bien que malgré la bonne reconstitution de l'époque on se perd dans des intérêts moindre et vaseux, impertinents plus qu'intelligents, tout comme les dernières images dans un flou artistique.
On ne pourra pas retirer de ce film son ambiance années 30 parfaitement reconstituée. Pour autant, ce que le film raconte et la romance entre les 2 personnages principaux ne suscitent pas d'intérêt particulier. On a juste un joli objet finalement un peu futile.
Vis à vis de Woody Allen, Il y a, depuis longtemps, deux écoles: les indifférents et les fans. Autant le dire d'emblée, je fais partie de la deuxième catégorie. J'aime son univers, sa vision nostalgique du monde, son romantisme, son amour des femmes, ses goûts musicaux, son refus du vérisme, son humour bien sûr. Tout cela se retrouve dans Café Society. Je n'essaierai pas de convaincre ceux que Woody irrite. Ce serait peine perdue. La petite musique allenienne touche ou énerve (et je peux le comprendre). Mais moi je marche, je cours, je vole. Ici, la reconstitution de l'époque (les années 30) est somptueuse, les choix musicaux étourdissants. Le montage est incroyable. Les personnages sont, comment dire, simples, animés de sentiments somme toute banals. Et puis Hollywood, quoi... Pas de leçons, pas de morale, juste des sentiments. J'ai adoré ce film. Peut-être le dernier chef d'oeuvre du grand Woody.
Comme d’habitude, Woody Allen nous concocte un récit plein de légèreté, toujours avec une prise de vue top et une reconstitution d’époque , ici années 30, vraiment réussie. La sublime de beauté Kristen Stewart est l’atout féminin du film, tandis que les deux hommes qui se la disputent, un jeune et un ancien, mettent l’ensemble en musique. A ce propos, WA accompagne toujours ses histoires de musique jazzy, sans doute pour mettre en valeur la légèreté de son propos. Sans doute pas la plus grande de ses oeuvres, mais une indéniable « patte » reconnaissable entre mille. Très plaisant, avec une belle morale finale.
Tout Woody : virtuosité de la mise en scène, beauté des cadrages, élégance des dialogues, humour (noir) juif, nostalgie et tristesse des amours perdus, le tout dans une exquise musique jazzy...mais abus du filtre orange dans la photographie quand même !. Blake Lively est sculpturale, Kristen Stewart adorable et Jesse Eisenberg un parfait alter ego.
Un bon Woody Allen ne se refuse pas… Nous avons donc, sur la foi des critiques professionnels, commencé à visionner ce beau film. Beau? Oui, enfin rien d'extraordinaire nous a-t-il semblé. Un premier bâillement après 5 minutes, deux après 10, puis nous avons jeté l'éponge après 15 minutes. Nous avons certainement eu tort mais nul n'est tenu de regarder un film sur la base des opinions des autres. Didier Pennas dans ses 10 commandements du bon lecteur rappelle le droit de ne pas lire, de lire un bout et d'abandonner, etc. Ici nous avons appliqué le droit d'abandon devant la logorrhée tellement Allenienne. La magie de cette histoire nous est complètement passé à côté.
Café society dans les années trente, l'ancêtre de la jet-set et aussi le café new-yorkais où évolua Billie Holidays voilà qui décrit bien le décor de ce film de WA. Le monde magique du cinéma du maître new-yorkais qui nous amène à Hollywood avant de nous inviter dans sa ville grâce aux tribulations d'un famille juive pas très simple. Un très bon moment de cinoche.
Cafe Society est un film de Woody Allen plutôt sympathique, même s'il est extrêmement classique dans son intrigue. Le casting est très bon et Woody Allen sait toujours s'entourer de très bon comédiens : Jesse Eisenberg, Kristen Stewart, Steve Carell ou Blake Lively. Le film fonctionne, les personnages sont intéressants, ils sont bien interprétés, on arrive à adhérer à l'histoire, mais finalement le triangle amoureux n'a rien d'original dans la filmographie du cinéaste (si ce n'est qu'elle se déroule en partie à Hollywood et pas complètement à New York). Au final, un film charmant, mais qui, dans la multitude des longs-métrages de Woody Allen, ne restera pas parmi les meilleurs.
Woody Allen choisit encore l'amour comme thème principal de ce film et il nous montre à quel point il est difficile d'être satisfait de nos choix dans ce domaine. Des acteurs talentueux embellissent le film, Steve Carell en homme riche et puissant, Kristen Stewart en femme indécise en amour et Jesse Eisenberg en garçon un peu trop gentil. Esthétiquement le film est une prouesse, les décors des années 50 sont sublimes et les éclairages colorés vraiment sublimes. On pourra juste reprocher à Woody qu'il fait un peu toujours le même scénario. "Café Society" est un film de qualité mais il ressemble un peu trop à beaucoup d'autres films de l'intello à lunettes.
Délicieux feel good movie, Woody Allen est toujours aussi brillant. On se laisse bercer par le piano et le Jazz. J'ai aimé le jeu des acteurs, le scénario, la photographie, la musique, enfin tout. On en redemande.
Conventionnel, bavard, théâtre filmé, histoires à l'eau de rose sans profondeur ; bref, du Woody Allen classique qui ne casse pas des briques. Un ennui mortel rehaussé par quelques décors et costumes chaleureux.
Ceux qui aime Woody Allen ne seront pas décus si ce n'est par un doublage purement et simplement indigne ! La question est : comment peut-on laisser sortir une telle version française ? Pour notre plus grand plaisir, M. Allen, soyez plus exigent svp...