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Laura L
8 abonnés
103 critiques
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3,5
Publiée le 25 janvier 2017
Je ne peux pas dire que j'ai été déçue mais surement pas autant charmé que je l’espérai. Les films de Woody Allen sont des films que j'attend avec impatience chaque année car je suis une grande fan de tout son univers. Ici et à mon plus grand désarroi la magie n'a pas opéré et je ne me suis pas retrouvée envoûtée par la poésie et l'intelligence du film. De plus Kristen Stewart m'a paru totalement insipide, n'illuminant pas ce film comme ont l'habitude de faire les actrices jouant pour Woody Allen. On se retrouve donc avec un joli film, loin du chef d'oeuvre cependant ... et pas le premier que je conseillerai de ce grand monsieur.
Cette fois-ci je ne suis pas d'accord avec les critiques presses spectateurs car on attendait beaucoup de l'arrivée de Woody Allen dans le cinéma des années folles et le résultat est assez platonique et nous devons le diviser réellement en deux parties. Quand on regarde la gestion des décors, la maîtrise des acteurs et surtout la réalisation, le réalisateur à lunettes excelle et fait passer son envie de décrire cette belle époque à travers sa caméra.
Mais reste le scénario inexistant ainsi que des dialogues trop longs et assoupissants, vous serez obligés de décrocher à un moment donné et on ne vous en voudra pas .Kristen Stewart et Jesse Eisenberg sont en roue libre et débitte leur texte sans apporter de nuances dans leur jeu. A trop vouloir soigner sa mise en scène, Allen passe à côté de son sujet. Dommage.
Vu en « rattrapage » dans le cadre du festival Télérama….et pour moi, toujours cette même gène devant le cinéma de Woody Allen…trop bavard, et comme cela ne suffisait pas, il s’ajoute en voix off…certes ce chassé croisé amoureux dans les années 30 est une gentille bluette qui se laisse regarder, chaque acteur fait son petit cabotinage dans son coin, mais dieu que c’est superficiel. Il y a une certaine élégance, quelques belles images même si ces tons qui tirent sur l’orange deviennent vite horripilants, comme toujours la musique est bonne…quelques moments d’humour…peu d’émotion…trop surfait à mon goût !!!
Un excellent film de Woody Allen. Jesse Einsberg incarne Bobby le fils d'un bijoutier pauvre devenu coursier d'Hollywood. Steve Carell interprète Phil Stern un légendaire producteur de cinéma. Kristen Stewart tient le rôle de Vonnie , sa secrétaire et maitresse séduisante. Blake Lively joue Veronica l'épouse de Bobby une riche fournée de la haute société.
Si Kristen Stewart et Jesse Eisenberg s'intègrent très bien dans l'univers de Woody Allen, son scénario est assez plat.
Belles images, beau casting, musique originale. Hélas, le charme du cinéaste a disparu. On est bien loin de "Match Point", mais pourtant si proche de "L'homme irrationnel" ...
Que s'est-il passé ? Scénario déjà-vu ... Dommage.
Tiens, Woody Allen semble s'être réveillé d'une longue catatonie. Il ne s'est pas encore totalement remit, tant ce film peine à se lancer en tentant de nous faire suivre toute les tribulations de la vie de ses personnages. Mais peu à peu, il retrouve ses couleurs : la qualité des acteurs, la famille, le désespoir des amours déchus... Manque encore un peu d'émotion et de quitter la superficialité des hyper-riches.
Avec Café Society, Woody Allen nous offre un très bon film. L'histoire est plaisante à suivre avec ce triangle amoureux qui va nous réserver des surprises. L'ambiance des années 30 est parfaitement retranscrite avec les voitures, les costumes et les décors qui sont magnifiques. Ça fait classe. De toute façon clairement la grande force du film est que visuellement il frôle la perfection! Et on le remarque dès la scène d'ouverture qui est sublime avec ces couleurs saturés de bleu. Et tout le film est comme ça, très coloré. Les jeux de lumières sont maitrisés à la perfection et la réalisation de Monsieur Woody Allen est somptueuse, chaque plan est mirifique et c'est un vrai régal pour la rétine. Tous ça nous offre de jolies scènes. Côté acteurs on est gâté avec Jesse Eisenberg qui m'a agréablement surpris, Kristen Stewart qui à le look parfait pour cette époque, Corey Stoll le frère mafieux de Bobby ainsi que Steve Carell l'oncle. Les personnages sont intéressant et les dialogues particulièrement soigné et très agréables avec un jolie phrasé. La b.o. quant à elle, est bonne avec une prédominance de jazz. Petit regret pour la fin qui aurait pu être plus travaillé mais elle ne gâche pas ce très bon petit Café Society que je vous conseil de voir pour son histoire certes mais aussi surtout pour son esthétique qui vous éblouiras.
Ma première incursion dans le cinéma de Woody Allen. Ne me frappez pas ! Je connais grandement les défauts de ce réalisateur prolifique depuis les années 80 en tournant en moyenne une oeuvre/an (un sacré marathon en perspective) qui flirte régulièrement avec les mêmes ingrédients relevant parfois du mimétisme et de l'automatisme. Vu que c'est ma première fois, autant vous dire, que j'ai fortement apprécié cette lettre d'amour au cinéma et aux quiproquos de ce Café Society. Oeuvre qui respire la générosité, les personnages (au casting de série hallucinant) hauts en couleurs et à un degré d'humour subtil et malicieux. Un Woody Allen au top de sa forme dans une oeuvre maîtrisée de bout en bout. A commencer par son propos, relativement simple mais qui permet de relever la richesse des dialogues entre les différents protagonistes. Une fin totalement maîtrisée qui permet de clore un chapitre de manière efficace: le spectateur, à la fin de la conclusion, ne souhaite pas en connaître davantage. Il est donc nécessaire de relever également le tempo et le rythme de son histoire morcelé qui parfois, et ce sera le défaut principal du film, s'éloigne un peu de son propos général (notamment lors du développement de la famille new-yorkaise de Bobby Dorfman pas forcément utile à l'intrigue principal). En bref, une oeuvre fort sympathique, riches en couleurs et en personnages par une réalisation inspirée et inspirante. Sublime.
Woody Allen est parfois comme Maupassant, il ne raconte pas grand-chose, mais qu'est-ce qu'il le raconte bien ! C'est élégant, parfaitement bien maîtrisé avec une direction d'acteur exceptionnelle et un humour souvent très noir. Allen prend à rebrousse poils les codes de la comédie romantique nous expliquant qu'on peut très bien aimer deux personnes ne même temps. Ce film ne peut cependant rivaliser avec les chefs d'œuvre du maître, mais se situe dans la bonne moyenne de sa production.
Pas le meilleur Woody Allen c'est sur!On est plongé au coeur du show-business des années trente entre New-York et Los Angeles.L'esthétique est plutôt réussie,les couleurs sont très belles et on rentre vite dans cette ambiance raffiné et glamour.Les acteurs sont convaincant!la fin est cohérente! mais le scénario est quand même très léger en rebondissement pour un Woody Allen,après avoir mit la barre si haute on s'attend toujours à plus forcément.Ce n'est pas mauvais mais ce n'est pas non plus un incontournable dans les oeuvres de Mr Allen de mon point de vue évidemment! 2,5/5 .
On la sentirait presque fatiguée, l'écriture de Woody Allen, tout est là, tout est prêt, tous les ingrédients sont sur la table, les meilleurs qu'on puisse trouver et pourtant il manque cette épice, ce coup de fouet, ce mouvement du poignet qui fait que le repas sera prodigieux. L'ambiance rendue est terrible, les acteurs sensationnels mais on n'est jamais transporté, on ne voyage pas, on ne pleure pas, on n'est pas emporté par le tourbillon de l'amour, devant la tristesse des destins. On est témoin, simplement. C'est bien. Mais on était à deux doigts d'être emporté
Encore une fois Woody Allen réussit à nous embarquer dans son univers magique où l'amour reste le fil rouge. Une photo et une mise en scène extraordinaires nous font revivre la folie d'Hollywood et du New York des années 30 sur fond de romance éternelle, mais contrariée. Un film Interprété avec brio par deux acteurs de talent, un amoureux, transi Jesse Eisenberg et une indécise, la très belle Kristen Stewart.
J'avais subi pas mal de mauvais films de ce genre avec Woody Allen, et finalement, Café Society reste plutôt sympa. Dans l'intrigue rustique, Jesse Eisenberg et Steve Carrell se livre un espèce de combat d'intrigue amoureuse alors qu'ils sont issus de la même famille. En découle, peut-être cette absence de scène de romance qui auraient valu des ennuis profonds, et finalement, le film, kitsch jusqu'au dent s'avère être une belle nouvelle amoureuse.
Encore une fois, un Woody Allen correct mais sans plus, trop prévisible, sans originalité. Si l'univers est plutôt bien retranscrit, on peine à s'attacher aux personnages, tout est écrit d'avance. Eisenberg et Carrell restent trop lisses, et ce film ne m'a pas réconcilié avec Kristen Stewart, qui est parfaitement taillée pour ce rôle malgré tout. Comme le souligne le personnage principal à un moment, comment on peut hésiter un instant entre Blake Lively et elle ? Le coeur a ses raisons, Allen aussi. Mais voilà on attend sans cesse un renouvellement du propos, une réécriture d'une histoire déjà racontée des dizaines de fois. Même quand c'est Woody qui s'en charge (je le préfère quand même devant la caméra qu'à la narration), ca ne suffit pas. Les décors du New York et du Los Angeles des années 30 sur fond de mafia et d'âge d'or du cinéma ne suffisent pas à masquer les lacunes d'un scénario déjà étalé à toutes les autres époques.