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Dieu sait que j'aime le cinéma de Woody Allen, mais autant dire que Café Society a le même défaut que porte "L'Homme Irrationnel" à savoir trop ressembler à du Woody Allen. On bondit dans la folle Amérique mondaine des années 30 (quels décors !) au côté de la fabuleuse paire Kristen Stewart / Jesse Eisenberg qui vivent une romance riche en rebondissements. Néanmoins, le film m'arrive pas être marquant et même si il est agréable à regarder (cette petite touche jazzy comme Woody sait si bien la faire...) il sort vite de notre tête : le scénario est très conventionnel et ressemble déjà à pas mal de films de notre illustre réalisateur. Le tout manque de chaleur, d'un grain de folie pour qu'il puisse devenir mémorable.
Dispensable mais pas mauvais pour autant.
Dispensable mais pas mauvais pour autant.
BAM ! Une bonne petite claque de Woody pour rappeler les bonnes injustices de la vie sentimentale.
Un bon casting et une mise en scène efficace avec une touche de légèreté toujours présente.
Un bon casting et une mise en scène efficace avec une touche de légèreté toujours présente.
T-Tiff
"Café Society" de Woody Allen propose un triangle amoureux inédit, avec un casting assez inattendu, mais qui fonctionne de manière surprenante. On retrouve ainsi Jesse Eisenberg, Kristen Stewart et Steve Carell. Le dernier nommé est tout particulièrement bon dans son rôle. Mais, ce trio d'acteur mis de côté, Woody Allen ne nous offre rien de très original dans ce nouveau film. Le film est très soigné, avec des dialogues très bien écrits, une narration impeccable et une élégance admirable, mais il manque un petit quelque chose pour que "Café Society" rentre dans la liste des grands films de Woody Allen. La musique de jazz nous amenant entre Los Angeles et New-York est tout de même particulièrement agréable. Romantique et délicat, "Café Society" ne sort peut-être pas assez des sentiers battus mais on garde un grand plaisir à le visionner.
'Café Society' est dans la droite lignée des Allen des six ou sept dernières années : tout à la fois drôle et mélancolique, virevoltant, merveilleusement écrit, mais aussi un peu vain. 'Café Society' surnage néanmoins grâce à ses extraordinaires acteurs, et à son scénario fuyant qui nous emmène de Los Angeles à New York.
Pourquoi toujours tout mélanger ? Pourquoi Woody Allen devrait-il toujours refaire Annuie Hall ou je ne sais quelle oeuvre bien intellectuelle dont raffolent les critiques ? Au contraire, même si tous ses films se ressemblent, Woody a au moins le mérite de la qualité et de la fraîcheur. Oui, Allen aime le jazz, la parlote, les années 30 et les jolies filles, et alors ? L’important n’est-il pas de faire des films qu’on prend plaisir à regarder ? Celui-ci en fait partie même s’il semble moins profond et accompli que d’autres. On a plaisir à constater le rôle inhabituel donné à K.Stewart qui nous livre une belle partition, la toujours flamboyante Blake Lively, ainsi qu’une image et une reconstitution soignées.
Ce n’est pas LE film de Woody Allen, mais c’est un bon film de Woody Allen. Et il faudra un jour que les Cahiers du Cinéma cessent de faire du Cahiers. Massacrer ce film uniquement parce-qu’il ne ressemble pas au Allen qu’ils veulent voir ne les grandit pas. Décidément, le critique-intello a encore de beaux jours devant lui, malheureusement.... mais bon, ça fait bien dans les salons parisiens.
Ce n’est pas LE film de Woody Allen, mais c’est un bon film de Woody Allen. Et il faudra un jour que les Cahiers du Cinéma cessent de faire du Cahiers. Massacrer ce film uniquement parce-qu’il ne ressemble pas au Allen qu’ils veulent voir ne les grandit pas. Décidément, le critique-intello a encore de beaux jours devant lui, malheureusement.... mais bon, ça fait bien dans les salons parisiens.
Un peu déçu quand même. L'écrin est très beau (couleurs, décors, musique, casting..) mais le diamant manque d"éclats et de carats.
Ce n'est pas l’histoire ultra simple et le triangle amoureux ultra classique qui me rebute, mais son traitement par Woody Allen.
Autant le coupe Stewart- Eisenberg fonctionne à la perfection , spoiler: autant le couple Carell -Stewart détonne complètement
. Et pour un triangle amoureux ça le fait pas..
De fait, la magie et l'émotion fonctionnent difficilement et même le final spoiler: n'arrive pas a me trier une petite larme
.
Mais je vous rassure, l'ensemble se regarde sans problème, même si l'alchimie ne prends pas complètement.
Ce n'est pas l’histoire ultra simple et le triangle amoureux ultra classique qui me rebute, mais son traitement par Woody Allen.
Autant le coupe Stewart- Eisenberg fonctionne à la perfection , spoiler: autant le couple Carell -Stewart détonne complètement
. Et pour un triangle amoureux ça le fait pas..
De fait, la magie et l'émotion fonctionnent difficilement et même le final spoiler: n'arrive pas a me trier une petite larme
.
Mais je vous rassure, l'ensemble se regarde sans problème, même si l'alchimie ne prends pas complètement.
Le scenar est naze mais la forme est splendide. Surtout la photo magnifique et la beauté de Kristen Stewart qui crève littéralement l'écran. Pas le meilleur. Pas le pire. Comme le Beaujolais nouveau. Il est très bon de temps en temps, passable souvent mais on l'attend et y goute chaque année en se disant "peut-être l'année prochaine". Bref un Woody sans surprise qui se regarde tout de même très bien mais qui je pense j'oublierai finalement assez vite
« Un café, s’il vous plaît ! »
Il en fallait un pour aborder cette première journée de folie pure .
Café Society, le nouveau Woody Allen, un an après L’homme irrationnel. Le film a lieu dans les années 30 à New York où Bobby (Jesse Eisenberg), lassé de travailler dans la bijouterie familiale, décide de tenter sa chance au pays du cinéma, Hollywood.
Bobby tombe en amour de Vonnie (Kristen Stewart), secrétaire de Steve Carell dit Phil le grand patron. Seul problème Vonnie n’est pas libre et sort avec un journaliste souvent en déplacement. … Bobby ressentant un lien entre eux, ne s’en décourage pas pour autant. Il est assez tard 2h34, pour écrire une critique de tout point constructive.
Il en fallait un pour aborder cette première journée de folie pure .
Café Society, le nouveau Woody Allen, un an après L’homme irrationnel. Le film a lieu dans les années 30 à New York où Bobby (Jesse Eisenberg), lassé de travailler dans la bijouterie familiale, décide de tenter sa chance au pays du cinéma, Hollywood.
Bobby tombe en amour de Vonnie (Kristen Stewart), secrétaire de Steve Carell dit Phil le grand patron. Seul problème Vonnie n’est pas libre et sort avec un journaliste souvent en déplacement. … Bobby ressentant un lien entre eux, ne s’en décourage pas pour autant. Il est assez tard 2h34, pour écrire une critique de tout point constructive.
maxime ...
Café Society trime un peu dans ses prémices, la période L.A est sympathique mais peine à trouver l'osmose. Le retour à N.Y change la donne, cela faisait un petit moment que je n'avais pas vu la ville filmé par Woody Allen, du moins pas comme cela ... Les protagonistes de cette histoire prennent eux aussi plus de poids dans ce second axe, Jesse Eisenberg et Kristen Stewart bien entendu mais aussi Jeannie Berlin, Corey Stoll, Ken Scott, Sari Lennick ... La veine mélancolique du film ressort et trouve un écho dans ces ultimes minutes, jolie et bien pensé. La colère de Woody Allen est atténué, mise en demeure tout du moins ... Café Society n'est pas exempt de tout reproche, mais disons que ces qualités prime sur ces défauts !
Haaaaa Woody Alen. Ses films sont d’une rare poésie et d’une grande qualité. À chaque fois il nous transporte dans une époque, un univers, un monde si bien travaillé qu’on s’attend à le retrouver en regagnant sa voiture.
C’est simple, c’est beau, c’est doux. Allez le voir.
PS: le casting est parfait !
C’est simple, c’est beau, c’est doux. Allez le voir.
PS: le casting est parfait !
ManoCornuta
En grand angoissé qu'il est, Woody Allen éprouve de temps en temps le besoin de se rassurer par un film marquant un retour à ses fondamentaux. D'où Café Society, opposant par le biais de son alter ego (bien campé par Jesse Eisenberg) sa vision d'Hollywood et le New-York de son cœur. Si le film recèle quelques bons moments et des répliques qui font mouche dans le style allenien, il est de facture très classique et l'histoire en elle-même est un concentré de choses maintes fois faites, par lui-même ou par d'autres. Comme toujours il y a un grand soin apporté à l'esthétique, aux décors, à la lumière, et tout le film baigne dans une atmosphère très bien reconstituée des années 30. Il n'empêche que, côté inspiration, on sera loin d'être ébouriffé par ce nouveau pan de sa filmographie. Plutôt pas mal mais pas au niveau de ses meilleurs.
"Café Society" est un bon film, avec une bonne réa, une bonne mise en scène et des décors bluffants, mais après c'est pas un grand film et encore moins l'un des meilleurs films de Woody Allen. Pour être précis, "Café Society" est un film qui éblouit bien, avec des scènes de dialogues intéressantes, même si ça manque d'action, ça peut bien rebondir en fonction de l'intrigue. Justement, je vais parler de l'intrigue : C'est bien écrit, y'a aussi une très bonne structure narrative, les acteurs jouent bien, même si certains en font trop des fois, et leurs personnages sont pas insupportables, ils ont beaucoup d'allure, beaucoup de charme, mais sont pas si attachants que ça. Pour moi, le vrai point positif, c'est la musique. La BO est formidable, bien nostalgique et rentre bien dans le cadre des années 30. Mais y'a encore des bons trucs, comme je disais la mise en scène est forte, mais aussi la romance. La romance du film est vraiment bien, pas caricaturée ni bâclée, mais apporte bien ses moments dramatiques au film. C'est pas très fort en terme d'émotion, mais au moins ça passe bien. Niveau casting, Jesse Eisenberg s'en sort plutôt bien. C'est pas son meilleur rôle au cinéma, mais il reste très bon, bien sérieux, bien classe et bien investi. Kristen Stewart aussi, même si j'ai un peu de mal avec elle depuis "Twilight", là cette fois, elle a beaucoup de charme, elle joue bien et est même très touchante. Blake Lively aussi, très élégante et charmante, même si des fois elle abuse sur le concept émotif de son personnage. Steve Carrell est sympa, son personnage est drôle et il cabotine pas trop. Jeannie Berlin aussi a un rôle plutôt cool, et le reste des acteurs est bon aussi. Ce que je peux reprocher au film, c'est son manque de rythme qui peu des fois lâcher prise, mais on s'ennuie pas trop devant quand même. Donc voilà ! "Café Society" est un film au concept vraiment intéressant. C'est beau visuellement, c'est hyper maîtrisé au niveau de la mise en scène, mais pour moi, ça en fait pas un grand film pour autant. Donc matez-le si vous voulez, vous passerez un bon moment devant, vous serez assez ébloui par la lumière que donne le film, mais après, ce sera à vous de juger si c'est un grand film ou non.
Ah la la voici là l’un des derniers films de Woody Allen, Café Society nous raconte une énième histoire d’amour façon Woody Allen, le film est intéressant,on y voit le show bizness holywoodien c’est la première fois dans toute sa grande carrière de cinéaste que Woody Allen ne filme non pas en pellicule mais en numérique, et on peut dire que la photographie est très belle on voit toute sa splendeur dès le début du film avec un plan d’une maison et d’une piscine en soirée. Le film se savoure bien, il n’est pas tout de même mémorable mais là n’était pas son but premier. La fin est simple et nostalgique. Si vous êtes amateurs de film assez classique je ne vois pas pourquoi vous ne l’aimeriez pas.
Première fois que je suis un peu déçu d'un film de Woody Allen. Je trouve que le point faible est en premier lieu les acteurs principaux (le duo, pour moi, ne transpire d'aucune émotion surtout Stewart). Et le scénario, très faible. Seul les dialogues sauvent le tout et encore, sont assez prévisible. Bref, déception !
Du Woody Allen des plus classique, mais comme toujours je ne boude pas mon plaisir ! Des histoires de vie, avec une atmosphère jazzy et des costumes très chic. On manque de rebondissements mais on passe un bon moment !
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