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I'm A Rocket Man
276 abonnés
3 077 critiques
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2,5
Publiée le 3 février 2024
Dessin animé qui ne m'a pas emballé autant que je l'aurais souhaité... bon j'avoue j'étais un peu dissipé et ca ne m'a peut etre pas aidé mais j'ai trouvé ça un peu décevant quand même.. la légende est pourtant plaisante pis la quete du petit garçon aussi surtout que la guenon est adorable mais je n'ai pas réussi à accrocher ! Le graphisme est laid, les décors ne m'ont pas plu (hein Sam & Michael) et l'histoire devient lassant au bout d'un moment ! Pas un moment de solitude non plus mais pas le coup de coeur non plus !
Un conte initiatique épique dans un Japon médiéval rêvé, doté d’une animation en stop motion visuellement sublime au service d’un récit moins trippant.
Une surprise visuelle mélangeant stop motion et effets visuels. Les studios Ardman montrent qu'ils sont les maîtres en la matière. Cependant, l'histoire est un peu longue.
Kubo et l'armure magique est un très joli film d'animation réalisé en stop motion. Je suis toujours impressionné par le travail titanesque que cela doit représenter et le résultat est magnifique.
L'histoire est plutôt touchante et m'a captivé tout du long, bien qu'on puisse y trouver quelques longueurs par moment. Le ton y est assez humoristique et fonctionne plutôt bien dans l'ensemble, grâce à une VF agréable à suivre. L'animation est tout bonnement magnifique, avec des idées originales comme l'utilisation d'origamis tout au long de l'aventure de Kubo.
Le film forcent trop sur les interactions entre les personnage, le début est plutôt bien réussi mais la relation entre le scarabée et le singe sont surjoués. De plus on voit absolument tout arrivé à l'avance, il n'y a aucune surprise. Heureusement, certaine scènes sortent du lots et peuvent un peu émerveiller.
Ce film est vraiment pour les plus jeunes. Car il y a beaucoup de mièvreries tout au long du film que les plus jeunes pourront plus facilement encaisser.
superbe film, tres beau visuellement, les personnages , l'histoire .... tout est rassemblés pour passer une tres bon moment, vous pouvez le regarder les yeux fermés , c'est un vrai bonheur
Difficile de croire que le film est vraiment en stop motion, tout est tellement fluide, chaque instant regorge de détails d'animation, c'est vraiment bluffant (le making off aussi). Et en plus c'est super beau, les décors sont variés et on se promène avec plaisir pour suivre l'histoire. L'histoire en elle-même n'est certes pas révolutionnaire, peut-être un peu longue avant de commencer mais offre plusieurs surprises et plus de subtilité qu'habituellement dans des films d'animation. La musique est également réussie, et contribue à la direction artistique impeccable du film. Une très bonne surprise pour un film que j'avais complètement loupé à sa sortie.
Enfin un film d'animation fantastique en stop motion qui combine avec justesse et sensibilité toutes les bonnes ficelles de ce qui fait un grand conte : une épopée merveilleuse, un récit initiatique, du mystique, un enthousiasme inaltérable, une tendresse infinie, une aventure pleine de rebondissements. Certes très loin de ce que proposent actuellement les grands studios de cinéma d'animation à succès (Disney/Pixar, Dreamworks, Blue Sky, Aardman, Ponoc, Ghibli, Illumination), Kubo reste un film captivant visible par toute la famille. Laissez-vous donc embarquer dans cette comédie d'aventure fantasy spectaculairement mise en scène !
Animation impressionnante et prenante par la force de ses récits et la dramaturgie qui s'en dégage. Kubo est un conteur c'est en même un jeune garçon et une sorte de guerrier. D'une part par les circonstances mais aussi par un double aspect du film comme dans un film de Burton il y a des formes de morbide et des bons sentiments qui se mélangent non innocemment. Au juste une sorte de mythologie et de culte des morts qui rend le tout un peu impénétrable malgré les multiples attrapes qui mettent en valeur l'identité du garçon et ce qui représente le bien dans le film. Un peu comme le sentiments d'effets calculés complexes servi par une imagerie bien maîtrisée.
Ils ne sont plus très nombreux, les esthètes de l'animation aux plasticines. Comme de juste, ils ne bénéficient pas de la même attention que leurs collègues en 3D, qui règnent sur le royaume des merveilles (de 7 à 77 ans). Il serait pourtant mensonger de réduire le contexte à une confrontation entre studios, attendu que leurs ambitions sont rigoureusement les mêmes (si l'on s'en tient aux meilleurs films). Kubo et l'Armure magique permet à Laika d'opérer à une vraie percée dans le domaine, avec un fable initiatique réaffirmant une profession de foi pour le graphisme stop-motion. Les idées de mise en scène et la parfaite utilisation des outils à disposition convainquent dès les premières minutes. L'image par image s'inscrit dans une forme immémoriale de transmission, comme en témoignent les multiples références du film à l'art pictural : Kiyoshi Saitō, La Grande Vague de Kanagawa, Ray Harryhausen, l'origami,... Kubo plie littéralement l'Histoire en 4 afin de la transformer en conte moral universel, perpétuant cette idée de perpétuer la mémoire au travers de la parole, du papier protéiforme (et de l'image, bien entendu). Travis Knight (à la réalisation) ne bénéficie des budgets confortables de Pixar. Il choisit donc de concentrer ses séquences démonstratives à une poignée de minutes, mais elles sont de toute beauté (notamment le combat sur/sous l'eau). Le reste du film se polarisera exclusivement à l'odyssée intérieure d'un enfant pour trouver la lumière au sein d'un univers obscur, déchiré par la tragédie familiale et les despotes qui s'entêtent à défendre les traditions néfastes. Personnellement, je trouve que le récit aurait pu prêter le flanc à un peu plus de légèreté, bien que le personnage du scarabée plaisantin présente quelques petites saillies humoristiques. Kubo se présente néanmoins comme une alternative assez originale d'occuper l'imaginaire et ouvrir les portes à la culture étrangère.
Kubo vient renverser la tendance en faisant la part belle au stop motion, chose de plus en plus rare et risquée. ça lui apporte un charme indéniable, et l'esthétique, très asiatique, permet d'apprécier pleinement l'animation. L'histoire, bien que classique, oscille entre aventure, fantastique et humour pour le plus grand plaisir de tous. L'interdiction aux moins de 10 ans est justifiée car les 2 sorcières peuvent éventuellement effrayer les plus jeunes.
Les studios Laika nous invitent à prendre part à une aventure familiale qu'on ne voit pas tous les jours dans l'animation. Kubo est un jeune garçon, conteur à ses heures et virtuose de l'origami, qui doit composer avec un quotidien instable et un passé flou, une famille brisée. En gardant espoir et curiosité, il parviendra à faire face aux menaces qui l'assaillent. style visuel captivant et travail d'animation minutieux musiques magnifiques belle ôde à la famille