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    Kubo et l'armure magique
    Note moyenne
    4,2
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    Votre avis sur Kubo et l'armure magique ?

    190 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 novembre 2016
    Un véritable enchantement pour nos rétines grâce à l'incroyable travail effectué par les animateurs, ce film a été fait par des passionnés et cela s'en ressent du début jusqu'au générique de fin. Mais au delà de cette beauté et prouesse artistique, Kubo et un magnifique conte initiatique avec des sujets importants tels que la famille, le deuil ou l'accomplissement de soi sous la forme d'une quête en trois étapes (façon un peu jeu vidéo) qui raviront les petits et les grands.

    La critique complète sur mon blog: mesmotsen169.blogspot.fr
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 novembre 2016
    Un film d'animation qui tranche avec ce qui se fait actuellement. C'est fait avec beaucoup de poésie mais ca traine parfois en longueur. Dès lors, les plus jeunes d'entre nous peuvent vite se désintéresser.
    Cine vu
    Cine vu

    141 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 novembre 2016
    Un conte magnifique mû par la magie de l’origami

    L’histoire de Kubo, en voix off, nous est contée dès le début de l’aventure. A l’image, un esquif ballotté par une mer vigoureuse et, tout de suite une mise en garde, « si vous devez cligner des yeux, c’est maintenant »… Le ton est donné et dès à présent il ne faudra pas cligner des yeux sous peine de manquer…

    Le conte c’est le jeune héros lui-même qui nous le raconte, il est Kubo, il était dans ce bateau secoué par les éléments en compagnie de sa mère; tous deux fuyaient.

    Dès lors le film nous tient, petits et grands (pas trop petit tout de même: 8 ans) et ce pour ne plus nous lâcher; attaché que nous sommes aux basques de Kubo, et ses deux acolytes: une Madame Singe et un scarabée Samouraï !

    Le film a des accents shakespeariens sous influence Kurosawesque tant il nous montre que la famille peut être aussi une menace. Le film est traversé -à dessein- d’hommages -influences-références. En vrac: « La planète des singes » « les 7 Samouraî » « Tigre et Dragon » ou « Kill Bill »… Ce avec finesse et subtilité tant cela n’est jamais appuyé.

    L’animation est d’une rare maîtrise, précise, fine, habile et jolie.

    Kubo est doté de magie à l’aide de son Shamisen (sorte de long banjo) et la grâce s’envole sous les sons et les papiers aussi, devenant tour à tour, samouraï, oiseau, vaisseau… Tel le film lui-même dans ce qu’il dit ou ce qu’il révèle.

    Travis Knight réalise un premier film très beau, très prometteur aussi, qu’il a produit également c’est sous l’étique de producteur déjà que nous le connaissions avec « Les Boxtrolls » séduisant mais un chouia faible du scénario.

    Avec un tel talent, le rejeton n’est obligé de reprendre le commerce de la chaussure ! Puisqu’il n’est autre que le fils de Phil Knight (créateur de Nike) car il a nul doute trouver chaussure à son pied dans le monde du Cinéma, où il sera peut-être tenté d’adapter -puisqu’on échappe difficilement à sa famille ! – « Cendrillon’ et sa pantoufle de vair ou bien « Le grand blond avec une chaussure noire » « Les chaussons rouges » ou encore « La comtesse aux pieds nus » mais ce dernier ne serait pas du goût de papa.

    Mais de cela on se fout, puisque c’est aussi ça la famille, par ailleurs le plus beau thème du Cinéma.
    orlandolove
    orlandolove

    135 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 novembre 2016
    Esthétiquement réjouissante, cette riche aventure se suit avec plaisir. On peut juste regretter quelques petites longueurs conséquence de dialogues superflus.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 octobre 2016
    Kubo et l'Armure magique repose sur une idée merveilleuse : intégrer au cœur du film un discours sur la fabrication des histoires. On parle de métatextualité (une oeuvre qui parle de son fonctionnement, réfléchit sur elle-même ) . Cette mise en scène nous prodigue quelques-un des plus beaux moments de poésies du film.
    Petit bémol peut-être : l'animation (images -sauf si on a apprécié l'esthétique de Coraline ou des noces funèbres- et la violence de certaines scènes si vous comptez le voir avec un maternel).

    Ah et par contre: Scénaristiquement parlant :
    -Euh Kubo... L'armure elle servait à quoi?
    Bilade C.
    Bilade C.

    2 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2016
    Une quête initiatique pour s'approprier son passé et garder son humanité, deux indispensables à la construction du héros. L'esthétique est vraiment exceptionnelle et vaut sûrement le détour. Le film pêche toutefois par son manque d'équilibre, entre des séquences profondes et magiques, et d'autres frisant le mièvre (quel dommage quand on imagine le travail et la passion mis en œuvre).
    Guillaume C.
    Guillaume C.

    86 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2016
    Original c’est le premier mot qui m’est venu à l’esprit en regardant ce dessin animé.
    Du moins original sur la forme, un design graphique unique particulièrement réussit et un Japon médiéval (rarement exploité hors animés) mâtiné de fantastique, le tout pour un rendu aussi beau qu’envoutant. Niveau ambiance et esthétisme « Kubo et l’armure magique » est une réussite totale et nous transporte dans un monde poétique presque onirique.

    Le fond en revanche est plus classique, prenant la forme d’une quête initiatique via un jeune garçon qui part à la recherche de son avenir mais aussi de qui il est. Du déjà vu, oui mais c’est parfaitement maîtrisé et surtout très fin, plusieurs thèmes sont abordés, en particulier l’amour et le deuil, la perte. « Kubo et l’armure magique » traite ces sujets avec beaucoup de justesse, ce qui rend l’œuvre émouvante sans jamais tomber dans la surenchère d’émotions caricaturales, pudique mais assez fort.

    Ajoutez à cela un trio de personnages très attachants, une histoire bien rythmée entre action, réflexion et contemplation le tout avec une touche d’humour et vous obtenez une bonne surprise malgré une fin un peu trop expéditive et facile.
    Kubo n’en demeure pas moins un très bon dessin animé.
    ned123
    ned123

    157 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 octobre 2016
    J'ai vu un film... qui est un réel chef-doeuvre tant il réussit l'insigne exploit d'exploiter à fond la technique de la motion capture, avec une narration totalement maîtrisée, et qui apporte tellement de surprises qu'on est séduit, éblouit , intrigués et totalement surpris... La culture japonaise dans son rapport à la tradition, à la violence et à l'aventure fascine l'occident et s'ouvre sur des codes innovants... Et résultat, le film fait cohabiter la poésie, le quotidien, les monstres, les mythes, le rêve dans une approche multi-dimensionnelle. Certaines séquences sont d'une beauté époustouflante, et certains scènes sont littéralement de l'ordre du jamais vu... Ce film saura séduire tous les publics car la vie, l'âme, les sentiments, sont retranscrits avec des feuilles de papiers, et des techniques assez anciennes...; Comme quoi, on peut faire du neuf dans les idées avec des techniques qui ont déjà fait leurs preuves. Le tout numérique n'est pas la garantie du succès et ce film en est la preuve... A voir donc, sans tarder...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 octobre 2016
    Des petites choses assez belles plastiquement, mais l'ensemble reste cependant assez ennuyeux et répétitif.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 333 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2016
    Et voilà qu’au final j’attribue trois étoiles à ce « Kubo »… Or, ces trois étoiles, elles cachent vraiment plein de sentiments contradictoires me concernant. Bah oui, parce que l’air de rien, pendant tout le film, je n’ai jamais réussi à me défaire d’une drôle d’impression ; comme si ce que je ressentais face à ce « Kubo » n’était qu’un étrange mélange d’apathie et de frustration. Plus d’une fois, durant la projection, je me suis demandé qu’elle pouvait être la raison de sensations aussi ambivalentes. Pendant un long moment je me suis dit que l’apathie venait certainement du fait que l’histoire et l’univers que ce « Kubo » me proposaient étaient finalement bien fades et sans idée, et que la frustration n’était qu’une réaction face aux quelques fulgurances créatrices auxquelles le film se risquait quelques fois. Parce que oui, c’est vrai qu’il est riche de belles trouvailles visuelles ce monde médiéval japonais que nous offre « Kubo » : je pense notamment à l’usage des origamis, le concept et le visuel des sœurs vengeresses, l’univers parfois dark instauré avec beaucoup de style… Mais bon, seulement voilà, au-delà de cette belle ornementation, le fond est un peu creux et l’histoire m’a donné l’impression de tourner à vide. Qu’elle est au fond bien banale cette quête initiatique proposée, mais surtout – pire encore – que les personnages qui l’animent sont lisses ! Ah ça ! Qu’il s’agisse de Kubo, de la mère, du singe, du scarabée : je n’ai été pris d’aucune empathie pour aucun ! Le pire c’est qu’ils parlent tous beaucoup pour ne rien dire. Les phases de dévoilement de l’intrigue sont mal amenées ; le rythme est pour moi bien trop lent sur l’ensemble des deux premiers tiers ; et l’enchaînement de ces petites blagues sensées désamorcer régulièrement les situations anxiogènes laminent par leur niaiserie des dialogues déjà pas super bien ajustés. Bref, même si c’était joli, pendant un bon moment, je me suis dit que ce n’était clairement pas suffisant pour que la magie opère me concernant. Pour moi, la forme doit être au service de l’histoire. Ou au minimum l’histoire doit être au diapason de la forme. Or, là, ça n’a clairement pas été le cas… Enfin… Pas le cas, jusqu’au dernier tiers. Parce que oui, avec le dernier tiers, mon regard a fini par évoluer sur cette œuvre. Je disais qu’au départ j’avais perçu ce « Kubo » comme un film à l’histoire et à l’univers bien fades mais dans lesquels étaient parvenus à surnager quelques belles fulgurances formelles. En fait non. Avec ce dernier tiers je me suis en fait dit qu’en fin de compte, non, l’histoire et l’univers n’étaient pas si fades que ça. En fait, ils étaient même plutôt riches, audacieux et disposant d’une réelle personnalité discursive et formelle. ( spoiler: L’idée de l’enfant qui redécouvre finalement ses parents en complétant cette histoire qui était là leur, et qu’il parvienne à nouer une relation plus ou moins métaphorique au travers des amulettes, sorts, mythes laissés par eux, je trouve ça particulièrement bien foutu. De même, traiter ainsi des questions de deuils et de transmission, oser créer de la confusion dans des valeurs pourtant d’habitude sacralisées comme peut l’être la famille, tout cela ce sont des concepts assez originaux et décalés qui, pour le coup colle bien à l’univers formel proposé.
    ) Au final, l’œuvre se révèle même assez originale dans son ton et cohérente dans son univers, ce qui me surprend même étant donné le goût d’inachevé qu’elle me laisse à l’esprit. Non, en fait le vrai problème de « Kubo » c’est que c’est un film dont les bonnes idées sont noyés dans une écriture vraiment médiocre. Il y a dans l’écriture de ce film tout un marasme de clichés et de stéréotypes qui n’ont rien à foutre là. Et voilà notamment que les studios Laïka nous ressortent une fois de plus un scénario de jeu-vidéo, fait d’accumulation d’épreuves sans véritable dynamique. S’ajoute à cela des résolutions assez mécaniques, la plupart du temps dépourvues de véritable logique ( spoiler: Kubo qui est sauvé des fonds marins par les flèches du scarabée c’est quand même un peu fort de roquefort… Des flèches tirées sous l’eau ? Sérieux ? Et pourquoi lui, le scarabée, il ne se fait pas hypnotiser quand ils voient les yeux sous-marins ?... Il est immunisé ? Si c’est le cas, comment ça se fait qu’il n’a pas su foutre la main sur le plastron sans souci ? Il a fait quoi pendant ses dix minutes passées sous l’eau ? D’ailleurs, sa nature de scarabée le rend aussi champion d’apnée ? Et pareil pour Kubo soit dit en passant ? A moins que ce soit le plastron qui lui permette de respirer sous l’eau ? Enfin, à considérer que le plastron, la lame et le heaume servent à quelque-chose, parce qu’on les a un petit peu cherché durant tout le film pour qu’au final ce soit son youkulele qui lui permette de lutter contre Dark Papy ! Non mais c’est fou comment ce film semble se foutre lui-même de sa propre histoire !
    ) Mais le pire dans toute cette écriture reste sûrement l’incroyable erreur de casting concernant le personnage principal. Que ce soit dans son character design que dans son attitude et ses postures, Kubo est juste une application standard du banal cliché du petit-garçon héros de film pour enfant. Il est lisse. Il n’évolue pas. Au mieux il ne transmet rien, au pire il est tête à claque avec son sentimentalisme à deux balles ou bien avec sa manière exaspérante de se la péter. Un tel personnage dans un tel univers manque de singularité et de subtilité. , On ne peut pas faire pleinement décoller un univers atypique avec des personnages typiques. Ça devrait être une règle inscrit sur le fronton de ce studio qui, pourtant, à su exceller par le passé avec le magnifique « Coraline » (dont le personnage principal d’ailleurs était la parfaite antithèse de Kubo, comme quoi…) Bref, c’est vraiment chiant pour le coup que ce film soit si mal écrit, parce que, me concernant, c’est clairement ça qui a bridé mon plaisir, même sur la fin. Discours pas clairs ; volonté d’instaurer des ambigüités qui sautent dans la minute qui suit ; pistes amorcées mais finalement non conclues… Ah ça ! Ça me frustre ! Et ça me frustre d’autant plus qu’il y a vraiment du bon à tirer de ce film. Avec tout le matériau qu’il y avait là-dedans, il y avait vraiment moyen de faire quelque-chose qui me fasse décoller au firmament ! Bon après, ça ne retire pas à ce « Kubo » que malgré tout, il a su me prodiguer bon-an-mal-an, un certain plaisir. Donc voilà, « Kubo » pourquoi pas… Mais surtout à condition de savoir faire le tri. Vous voilà prévenus…
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 octobre 2016
    L’histoire de Kubo et l’Armure Magique se déroule au cœur du Japon et le spectateur est dès le début immergé dans cette ambiance asiatique, tant grâce aux personnages qu’aux paysages remarquablement réalisés. L’origami japonais joue un rôle très important en ajoutant une touche de magie et d’innocence au film.
    Les personnages sont très attachants et bourrés d’humour.
    Seul point faible : le scénario. En effet, le héros arrive un peu trop facilement à ses fins...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 octobre 2016
    Un véritable enchantement visuel !! Quelle merveille de film d'animation !! Le choix des marionnettes confère force, densité, fragilité et poésie aux personnages; le jeu des papiers d'origami qui se plient et de se plient au gré des envie de Kubo, en plus d'être d'une incroyable poésie, démontre une maîtrise et une prouesse technique exceptionnelles.
    Et quelle richesse narrative !! Quête d'identité, acceptation de la perte, acceptation de sa différence, grandir, affronter ses peurs, importance de l'entraide, de la bienveillance..... ce film est une mine extraordinaire d'interprétations et joue brillamment et intelligemment sur une alternance de douceur et de violence, d'émerveillement et de dynamisme, de beauté et de noirceur....En somme, une définition du monde.
    Je suis sortie extrêmement émue..
    Mention spéciale pour la scène des lampions et des défunts. Juste magique et d'une beauté remarquable.
    Mollusquemou
    Mollusquemou

    37 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 octobre 2016
    Beau film d'animation : très beau film à voir. On sent qu'il y a eu une envie de bien faire au niveau du scénario. Mais pour moi ce n'est pas abouti. Il y a dans l'histoire comme un goût d'inachevé. Dommage!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 octobre 2016
    Superbe histoire très bien menée
    Les images sont géniales
    J'ai adoré du début à la fin
    Un conte très touchant
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    412 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2016
    Kubo vaut tout autant pour son physique que pour ce qu’il raconte. Entre magie et tradition, le récit nous entraîne dans une quête aussi bien poétique qu’épique. Plus adulte qu’il n’y paraît, le film apporte des réflexions intéressantes sur la famille, le sacrifice, l’amour, et sur l’humanité. Le tout bien servi par des doubleurs exceptionnels dont la voix suffit à éveiller notre imagination. Il n’y a pas que l’armure qui était magique…
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