Un film génial! J'y suis allé surtout pour les graphisme et le stopmotion et j'en suis ressortis ravie et toujours aussi émerveillé par le bulot qui est derrière ! Les expressions des personnages sont géniale avec un gros coup de cœur pour le singe haha. Les origamis et leur animations sont aussi très sympathiques!
En plus de ce côté esthétique/technique, l'histoire est inintéressante et touchante. C’est vraiment un (très) bon film! A aller voir (que l'on soit petit ou grand ;p)
Beau, intelligent, drôle, belle BO et surtout, il y a une histoire bien ficelée. C'est fou ce que les gens peuvent faire quand ils décident de réfléchir à un scénario
Un excellent film d'animation et une très bonne surprise. Poésie et magie sont au menu tout au long du film. Une très belle histoire digne des films d'animation japonais. Très belle mise en avant de l'origami ;)
Film d'animation incroyable qui nous emmène dans un tourbillon du début à la fin. La bande annonce maintes fois revue j'attendais avec impatience ce film et quelle réussite. L'animation en stop motion donne au film une vivacité incroyable, et une attirance pour tous les personnages. Même si la production est estampillée Universal studios, ce film se démarque clairement de l'animation Dreamworks ou Disney par son originalité.
C'est le 1er film issu des studios Laika que je vois et j'ai peur d'avoir commencé par le plus fabuleux. Difficile en effet de passer derrière un tel choc visuel. Mixant stop-motion et CGI, la démarche du studio s'avère ici pleinement cohérente et grandiose. SI l'histoire se révèle assez basique et conformes aux codes du genre (le récit initiatique), il ne faut pas s'arrêter là et au contraire, se laisser porter par l'ambiance enchanteresse et vraiment immersive. Techniquement, rien à dire, c'est de la bel ouvrage. Animation fluide, effets spéciaux soignés, créativité et audace à chaque seconde, travail de titan sur les costumes et les mouvements, péripéties spectaculaires et surtout, une émotion qui touche en plein coeur. Appuyé par un casting vocal VO de toute beauté (avec un M. McConaughey qui démontre un potentiel inexploité dans le registre comique), le film captive et impressionne. S'invitant, en termes qualitatifs, à la tables des géants (Pixar et Disney, Dreamworks dans une moindre mesure), il ne manque à ce prodigieux spectacle et à ses talentueux animateurs qu'un gros succès au box-office. Mais sinon, il faut absolument voir ce film, qui est fait pour un large public et qui propose un voyage, un univers, un message bref tout un ensemble de choses qui font défaut au cinéma actuel. C'est beau, touchant, virtuose, emballant bref, c'est à voir ! D'autres critiques sur
Encore une prouesse visuelle de la part du génial studio Laïka (Coraline, Paranorman et les Boxtrolls) ! Impressionnant comme c'est beau ! Surtout le combat avec le géant squelette. Mais hélas, l'histoire n'est pas aussi bien que leur précédents films. J'ai moins accroché et c'est dommage. L'histoire m'a aussi moins emballé. Je pense que de prochains visionnages m'aideront à apprécier le film à sa juste valeur. Mais pour le moment, j'ai trouvé le film beau mais sans ce petit plus qui faisait l'originalité de leur films. Peut-être est-il plus adulte que les précédents. A voir tout de même !
Une très belle histoire, ponctuée par de jolies répliques, notamment "Tu es ma quête" remplaçant le traditionnel et usé "je t'aime". De plus, il s'agit d'un réel film d'animation au sens propre du terme qui n'utilise ni images de synthèse, ni dessins. Un conseil, restez jusqu'à la fin du générique où un storyboard vous attend agrémenté d'un petit morceau de making-off. À voir, ne serait-ce que pour la poésie des images.
Poétique, folklorique et empli de magie. C'est clairement un film d'animation dédié aux adultes tant les messages qu'il véhicule sont profonds: spoiler: Le rapport à la mort et les peurs de l'humain qui en découlent (abandon, solitude) mais aussi l'amour (de nos parents, de la vie en elle même) . Il faudra plusieurs lectures pour en saisir toutes les subtilités. Si les métaphores vont échapper aux plus jeunes, le film les séduira par ses personnages drôles et attachants et les moults péripéties de Kubo dans l'accomplissement de sa quête. Et puis visuellement c'est une claque, on nous offre vraiment un travail abouti et de qualité. En résumé rien à redire, c'est pour ma part un chef d’œuvre!!!spoiler: spoiler:
Au debut on dirait un film pour les petits enfants, qui évolue dans la poésie et l'humour plus second degré pour adulte, puis retombe pour l'eau de rose Réussite visuelle et poétique qui emporte vraiment dans le milieu du film
(...) A une époque où le tout numérique règne en maître, le plaisir enfantin et peut-être primaire de retrouver des volumes qu’on pourrait toucher, manipuler, fait forcément son effet. Le lightning apporté par cette prise de vue réelle contribue évidemment à la magie de l’ensemble et le travail gigantesque que la production de ce film a demandé force le respect et Frank Passingham, chef opérateur sur « Chicken Run », « Les pirates ! Bon à rien, mauvais en tout » ne laisse pas de doutes quant à la qualité de la photo du film. L’animation prouve une fois de plus que Pixar et/ou Disney ne sont pas forcément les maîtres du genre. Les moyens ne sont pas les mêmes mais sous l’appui de la force d’un récit exceptionnel, car pluriel, l’ensemble est d’une intelligence devenue rare. Comme une sorte de clin d’œil au cinéma presque enterré de Tim Burton, drôle de pied de nez au dernier film du réalisateur qui sort ce mois-ci (voir critique). Portée sur par des valeurs dont l’animation reste parfois le seul étendard, car elle permet presque toutes narrations possibles, « Kubo et l’armure magique » donne dans le majestueux, la simplicité et la grandeur à la fois. Ainsi dans la catégorie récit initiatique et filiation le film semble totalement se détacher des précédentes animations qui se sont essayées au genre. Dans un récit imprégné d’une poésie japonisante, les essors de cette histoire n’en demeurent que plus doux, immergées dans onirisme total et entier, c’est un conte et une mythologie en même temps qui défilent devant les yeux du spectateur. Petits et grands sont donc séduits sous et par différents aspects et ce « petit » film qu’on n’attendait pas forcément fait figure de meilleur film d’animation de l’année dans la dernière ligne droite pour les Oscar. Touchant sans verser vers le lacrymal, malin par son fond comme par son jeu (la quête initiatique nous ramène à la base des contes les plus anciens et enfantins), Travis Knight réalise un film majestueux, magnifique visuellement, fait avec les mains et le cœur. Constat un peu simple de nos jours, mais réelle bouffée d’air dans un cinéma qui oublie parfois le plus simple, nous faire rêver et nous procurer un plaisir fort et élémentaire.
Le studio d’animation en stop motion Laika n’a déjà plus rien à prouver en termes techniques. Coraline l’avait efficacement introduit au marché, tandis que ParaNorman et les Boxtrolls avaient entériné sa place en tête de file de l’industrie. Cependant, il restait une chose que le studio n’avait pas encore accomplie : la réalisation d’un film à la portée réellement universelle, qui s’imposerait comme l’arrivée à maturité d’une équipe aux compétences artisanales impressionnantes mais pas totalement épanouies au niveau narratif. Certes, l’attente était importante, mais elle était à la hauteur des accomplissements passés. Alors lorsque Laika a finalement révélé la bande-annonce de son prochain film, l’intense curiosité s’est rapidement mêlée à la perplexité : pourquoi un studio américain irait-il chercher aussi loin que le Japon pour raconter une histoire semble-t-il archétypale, tout à fait adaptée à un contexte occidental auquel l’équipe serait plus proche, plus culturellement à même d’en tirer une puissante expression ?
La critique complète est à lire sur Film Exposure.
C'est le premier film des studios Laika que je vois, et je ne suis pas déçu ! Kubo est visuellement et techniquement très réussi ; les films d'animations réalisés en stop-motion sont rares et ça change agréablement (bien que j'aime aussi les images de synthèse). L'histoire arrive à capter notre attention jusqu'au bout même si elle est classique. Le film est profondément imprégné de la culture japonaise, lui donnant un vrai identité ; et les scénaristes n'ont pas hésité à écrire une histoire assez dure pour un film d'animation spoiler: (exemple : la cruauté de certains membres de la famille de Kobu, qui ont assassiné son père ). Je n'ai pas aimé les méchants de ce film par contre, leurs motivations sont difficiles à saisir et en plus spoiler: s'il sont si puissants, pourquoi ont-ils tant de mal à localiser et à tuer Kubo ? Kubo est quand même une œuvre que je recommande, et rien que pour les prouesses techniques déployées, (ce qui ne dénigre en rien les autres qualités du film) soutenez Laika en allant le voir au cinéma !