La mise en scène lugubre, jouant sur les ombres, ces décors sans vie, morts, désolé, brrr ça fait froid dans le dos, et j'aime ça. J'ai vu la version de 1h11 (donc la version en noir et blanc), bien que l'image de ma version était assez désastreuse, j'ai trouvé que ça donnait un cachet au film, quelque chose d'authentique, de vrai, de malsain, de fou, de libre.
Heureusement que les copies n'ont pas été détruites, Murnau livre un chef d'oeuvre ici, une oeuvre bien que narrativement amputée de certaines caractéristiques de Dracula qui arrive à trouver une identité, une force, un truc génial quoi.