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Votre avis sur Robin des bois, la véritable histoire ?
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"Robin des bois, la véritable histoire", comédie française réalisée par Anthony Marciano, sortie en 2015.
Un pastiche de l'histoire de Robin des Bois avec Max Boublil, Malik Bentalha, Patrick Timsit, Gérard Darmon, Ary Abittan,
et Géraldine Nakache à l'humour décalée et un peu bêbête, ce qui ne gênera pas les amateurs du genre, dont je suis.
C'est correctement réalisé, parfois drôle, sans être génial, ce n'est pas si mal.
Un film passé inaperçu qui a connu un échec lors de sa sortie, mais qui joue son rôle de petit divertissement.
Un pastiche de l'histoire de Robin des Bois avec Max Boublil, Malik Bentalha, Patrick Timsit, Gérard Darmon, Ary Abittan,
et Géraldine Nakache à l'humour décalée et un peu bêbête, ce qui ne gênera pas les amateurs du genre, dont je suis.
C'est correctement réalisé, parfois drôle, sans être génial, ce n'est pas si mal.
Un film passé inaperçu qui a connu un échec lors de sa sortie, mais qui joue son rôle de petit divertissement.
Une des comédies les plus marrantes de ces dernières années. Liste d'acteurs impressionnantes et max boulbil au top
robin des bois est censé être de l'action, de la guerre contre les riches qui font souffrir les pauvres. leurs donner ce qu'ils n'ont pas pu avoir: du bonheur et une protection contre le mal. comment un tel scénario peut il tourner en comique ??? qu'on m'explique. c'est une blague ? film comique sur robin des bois ?? les français le cherche il n'y a pas d'autre mot les français le cherche a faire des bouses pareil.
Peu inspiré rien ne pouvait impressionner dans Robin des bois, la véritable histoire. Une comédie folle rappelant d'autres parodies iconoclastes mélange de différentes formes d'humour beaucoup trop brutal. Mais ce n'est qu'un petit film plus que modeste proposant peut-être une version provocante de l'évolution de Robin des bois. Et il y a peut-être des miettes de l'humour français et encore. Mais ce n'est qu'un détail dans une si petite contribution. Un voyage à l'intérieur des grands thèmes utilisant les influences des films avec des héros romantiques. Mais ce film est une blague enfantine dans laquelle dans de nombreuses scènes, la perte de mesure, l'humour inconvenant et les références sexuelles sont des piliers de base. C'est vulgaire et provocateur mais ce n'est pas surprenant. L'histoire de Robin des Bois a été et demeure une source généreuse de parodies et ce film n'est pas un exemple...
Des copains cherchent une idée de film. Revisited les classiques est un... Classique ! Allons-y pour Robin des bois Problème, il y a déjà pléthore de versions, y compris parodiques. Pour se décaler à coup sûr, on joue le contre-pied, (Robin enfoiré et assez stupide) l'anachronisme du langage, pompé sur kamelot. Le tout donne une sauce indigeste, pas drôle (sauf à de rares moments soyons honnêtes). Les acteurs ne s'en tirent pas mal, vu la faiblesse du scénario et des dialogues ! C'est le seul point positif.
C'est pas toujours très drôle et Max boublil est souvent à claquer mais on rigole tout de même de temps en temps et l'idée de rendre Robin des bois comme un parfait salaud est finalement bien trouvé. Bref ça se laisse regarder mais rien d'extra pour autant.
Film sans intérêt les blague sont lourdes et désagréables. Vraiment pas drôle, je le déconseille vivement
Au secours ! C'est lourd, c'est bête, c'est graveleux inutilement, c'est joué avec les pieds, on voit les gags arriver gros comme une maison. Et encore, quand je dis gag, c'est façon de parler, car ce n'est même pas drôle. À fuir !
Une adaptation catastrophique de la légende de Robin des bois, bien que le film comporte un scénario bien faible, l'interprétation de Max Boublil est encore pire... Je déconseille fortement de perdre du temps pour CA
Fêtons le cinéma
Il fallait certainement une bande de potes pour incarner à l’écran la bande de Sherwood : le sens de la camaraderie s’en trouve renforcé. Mais fallait-il à ce point déserter l’écriture en construisant le film sur une succession de blagues tirées, on peut le supposer, des concours de blagues auquel se livre le petit groupe une fois réuni ? Comme Alad’2 quelques années plus tard, cette mouture parodique de Robin des Bois n’a rien à dire de la légende qu’elle investit, si bien qu’on se demande si c’est l’argent qui a servi de motivation principale ou alors la propension d’artistes issus, pour l’essentiel, de la confession judaïque à tourner en dérision le cliché monétaire, ce qui laisse l’argent au cœur des préoccupations. On ne cesse de brader l’héroïsme, d’évaluer les pertes et les profits, de courir après les trésors, de payer une chambre d’hôtel, de racketter des enfants, de voler une femme sur le point de se faire violer. Or, cette obsession de l’argent ne propose aucune relecture un tant soit peu pertinente de la légende, hormis le fait que ladite légende repose sur une bonté propre à la fiction et ici démasquée. C’est parodique, nous dira-t-on. Sauf que toute parodie est d’essence politique. Pensons au Jabberwocky de Terry Gilliam qui, sous la reconstitution burlesque et extravagante d’un Moyen Âge sombre, sale et cruel, incarne dans son anti-héros la propension du fou à révéler le mal d’une société contrainte de vivre dans la peur. Rien de tel ici, pas une once de réflexion. Alors quelques dialogues fonctionnent, quelques blagues font rire. Mais ce que l’on retient en sortant de cette Véritable Histoire, c’est la gratuité de ce triste spectacle aussi vulgaire qu’inerte et fort mal mis en scène : il suffit de voir les séquences voulues épiques pour manquer de rendre son déjeuner, tant la caméra et le montage échouent à traduire cinématographiquement la confusion et l’enchaînement des actions à l’œuvre. Tout gesticule, on n’y voit goutte. Surtout, le plus grand défaut du long-métrage est son absence de progression dramatique : là où Alad’2 saute d’un lieu à un autre, passe d’un temps ancestral à notre époque contemporaine en stationnant sur la plage où Christophe Colomb et ses hommes débarquèrent jadis, là où Alad’2 cache sa médiocrité derrière le mouvement de sa structure, Robin des Bois version Marciano erre dans la forêt, va et vient sans but ni motivation, nous assomme de plans répétitifs et peu inspirés. Autrement dit, le détournement parodique ne s’ouvre jamais au spectateur, mais semble circulaire voire autarcique : il s’engendre et s’alimente lui-même. Laissons donc ce petit monde répéter inlassablement la laideur de Marianne ou les stratifications identitaires de Frère Tuck, au risque de nous faire détrousser de notre temps et de notre énergie.
Le début est plutôt pas mal avec quelques répliques drôles mais à trop vouloir faire de l'humour ça devient insupportable, pourtant j'aime plutôt bien Boublil et il y a un bon casting mais malheureusement vous avez détruit la véritable histoire de Robin des Bois, qui est mon héros de mon enfance.
Je réfléchis mais pour l'instant je n'ai pas encore vu de film aussi mauvais que cette bouse de la comédie française qui se veut hors code en déterrant et ridiculisant L'histoire originale.. Dommage de voir ces bons acteurs finirent ainsi
Benito G
On ne va pas dire que c est une réussite... Enfin production française parodiant on va dire le principe de robin des bois. L ensemble même si le rythme évite des longueurs. Les acteurs ne sont pas brillant et l histoire aussi prévisible soit elle. Ne brille pas par son scénario et son ensemble tentant un humour potache, vulgaire et parfois (le mot est peut-être juste) lourdingue. Sent l humour français que l on a déjà pu voir ailleurs. Du moins dans la façon ou il est mis en avant. Mais de toute évidence il ne s adresse pas a un public familial, même si sans avertissement, on pourrait le penser. Heureusement que le film ne dure pas plus longtemps, même si c est déjà trop. On esquiserra peut-être quelques sourires forcé mais sa vole très bas. Et rien de spécial ne relève le scénario, casting ou autre. On se demande comment le film a pu atteindre le demi million... Mais l idée aurait pu, si exploité et pensé autrement aurait peut-être pu mieux fonctionner, mais on en est loin. Bref, vite vu (malheureusement), vite oublié.
Si on parvient à passer en mode second degré, à voir ce film comme une simple parodie, alors il est possible de l'apprécier. Les gags sont un peu lourds, parfois même très lourds, mais c'est un peu le principe de ce film.
Pour mieux cerner ce film, il faut le classer avec des films du type : y'a t'il un pilote dans l'avion et consort.
Donc, cette parodie est à réserver à ceux qui les aiment et qui savent faire la part des choses voire ceux qui ont le sourire facile.
Pour mieux cerner ce film, il faut le classer avec des films du type : y'a t'il un pilote dans l'avion et consort.
Donc, cette parodie est à réserver à ceux qui les aiment et qui savent faire la part des choses voire ceux qui ont le sourire facile.
Douze longues années après la sympathique parodie Sacré Robin des Bois, c’est le réalisateur français Anthony Marciano qui tente de tourner en dérision le célèbre justicier avec un humour franchouillard à tomber par terre. L’originalité du scénario est que Robin se comporte comme un véritable gredin, ne volant avec son ami Tuck que les pauvres, les femmes et les mendiants, le reste étant bien trop risqué. Si ce petit pitch peut s’avérer alléchant, il est complètement ruiné par un humour terriblement grossier et malaisant qui sévit durant tout le film. D’abord, Robin arrive à être drôle à peu près une fois sur dix en usant de blagues dépassées et en racontant des histoires à dormir debout que même l’enfant le plus crédule du monde (soi le jeune Prince Jean dans cette itération) ne croirait pas. Le gang de Sherwood est composé d’enfants insolents, dont le fils de Marianne qui veut absolument que Robin coucher avec sa mère, ce dernier n’en voulant pour rien au monde car il la considère comme un laideron, avant de finalement la désirer plus tard.
Tuck joue le cliché de l’homosexuel voulant pécho Robin en prenant une chambre d’hôtel avec un grand lit (un des seuls gags assez drôle reste celui où Robin sent quelque chose contre lui quand ils dorment, et qu’il s’agit en fait d’un bâton que Tuck avait ramassé dans la forêt), et se plaint souvent d’être mal traité car il serait à la fois homo, juif et arabe (même asiatique à la toute fin…). Il doit même aller faire joujou avec un autre homosexuel joué par Patrick Timsit pour que Robin puisse lui dérober tous les sacs d’or qu’il cache. Et que dire de Gérard Darmon, qui joue un shérif de Nottingham ridicule au possible avec ses cheveux hirsutes, ses approches grotesques et sa façon d’intimider les autres en murmurant n’importe quoi. Je passe sur la pause pipi des chevaliers au bord de la route, qui font prendre une bonne douche à Robin et à Tuck se cachant juste en-dessous. Le nombre de passages pouvant prêter à rire étant relativement limité, autant passer son chemin et réinsérer la cassette de Sacré Robin des Bois !
Tuck joue le cliché de l’homosexuel voulant pécho Robin en prenant une chambre d’hôtel avec un grand lit (un des seuls gags assez drôle reste celui où Robin sent quelque chose contre lui quand ils dorment, et qu’il s’agit en fait d’un bâton que Tuck avait ramassé dans la forêt), et se plaint souvent d’être mal traité car il serait à la fois homo, juif et arabe (même asiatique à la toute fin…). Il doit même aller faire joujou avec un autre homosexuel joué par Patrick Timsit pour que Robin puisse lui dérober tous les sacs d’or qu’il cache. Et que dire de Gérard Darmon, qui joue un shérif de Nottingham ridicule au possible avec ses cheveux hirsutes, ses approches grotesques et sa façon d’intimider les autres en murmurant n’importe quoi. Je passe sur la pause pipi des chevaliers au bord de la route, qui font prendre une bonne douche à Robin et à Tuck se cachant juste en-dessous. Le nombre de passages pouvant prêter à rire étant relativement limité, autant passer son chemin et réinsérer la cassette de Sacré Robin des Bois !
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