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    Jurassic World: Fallen Kingdom
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    benoitG80
    benoitG80

    3 410 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juin 2018
    « Jurassic World : Fallen Kingdom » a un gros atout au niveau de sa réalisation très efficace et très spectaculaire (Juan Antonio Bayona), mais un gros point faible quant au scénario archi prévisible et au fond toujours dans le même schéma de fonctionnement (Colin Trevorrow) !
    Alors oui, on frémit devant ces monstres qu’une poignée d’hommes veulent sauver de l’éruption d’un volcan au point de risquer leur vie sur cette île en fusion...
    On se doute bien que cette mission n’est pas aussi désintéressée que cette petite bande veut bien le croire, et les méchants et cupides mégalomanes seront évidemment eux les vrais rapaces !
    Tout cela est très vite clair à l’écran, de même que la suite annoncée, dans laquelle on devinera évidemment chaque rebondissement, chaque réaction et ce quel que soit le bord de chacun avec tout un lot d’incohérences inévitables au passage...
    Cependant, tous ces énormes et moins gros bestiaux, font toujours très très peur en étant plus vrais que nature...
    Et au fond à chacune de leur apparition ou de leur grognement on tremble, et on se demande bien à quelle sauce, ils mangeront leur proie !
    À ce niveau, le film remplit son contrat sans équivoque...
    Si les héros ne nous surprennent pas trop, un des points intéressants réside également dans le rôle de la petite Maisie interprétée par Isabella Sermon, qui donne ainsi dans une scène terrible et angoissante une dimension psychologique que n’auraient pas renié les auteurs de quelques célèbres contes pour enfant, foi de Bettelheim !
    On se trouve ainsi replongé dans le petit chaperon rouge, version décuplée question grandes dents !
    Alors pour le spectacle cet énième opus vaut le déplacement et le coup d’œil d’autant plus que là aussi, on a droit à quelques très gros clins d’œil que l’on ne reverra pas de sitôt et au fond tant mieux !
    Par contre l’histoire fleure bon la manipulation du spectateur qui d’instinct a tout deviné, et a surtout bien compris qu’en le menant par le bout de son nez, on va droit vers de nouvelles aventures, lorsqu’on voit la décision prise en conclusion !
    Il n’en reste pas moins que l’on est tout content de trouver à la sortie un univers bien tranquille et paisible, peut-être juste avec la peur de voir son gentil petit york transformé en monstre préhistorique en rentrant chez soi !
    Jérémie
    Jérémie

    142 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2018
    L’histoire change, tente de se renouveler par un scénario différent. Mais, comme trop souvent, les acteurs sont caricaturés. Des gentils contre méchants, un hybride qui devrait tout détruire se retrouve aisément malmené.
    A côté, c’est visuellement sympa, la tension est malgré tout présente, pas mal de scènes font référence à Jurassic Park, ce qui ravit le fan que je suis.
    Mais ce film est trop facile, trop bateau. Avec le final, il est évident qu’il y en aura d’autres. En espérant qu’ils vont trouver la bonne formule, mais je garde à l’esprit que rien ne vaudra finalement le premier Jurassic Park, qu’importe les copies et tentatives.
    RedArrow
    RedArrow

    1 663 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juin 2018
    Il avait beau avoir dépensé sans compter, John Hammond n'avait sans doute pas prévu la bêtise humaine infinie qu'il a lui-même engendré. À l'heure qu'il est, on imagine sans mal le pauvre vieux milliardaire en train de faire des saltos dans sa tombe devant l'étendue des dégâts. Non seulement ses successeurs inconscients ont eu l'idée brillante de rebâtir un parc à dinosaures malgré toutes les catastrophes de la trilogie précédente pour finir par voir à nouveau d'un peu trop près les dents des gros lézards génétiquement modifiés mais voilà que, trois ans plus tard, l'humanité se déchire encore sur leur sort. En effet, un volcan a décidé de se réveiller de façon bien pratique pour éteindre une nouvelle fois la race des grands reptiles qui ne demandaient rien à personne. Alors ont-ils les mêmes droits que les espèces animales menacées communes de par leur existence défiant les lois de nature ? Pas le temps de tergiverser sur cette question pourtant passionnante, on l'expédie rapidement avec une apparition de Jeff Goldblum et hop, nous voici de retour sur l'île aux dinos avec les personnages de Chris Pratt et Bryce Dallas Howard pour sauver quelques spécimens avant le cataclysme. Comme d'habitude (et comme personne n'a toujours rien appris des opus précédents), toutes ces intentions honorables servent bien entendu le dessein noir d'un homme aussi cupide que machiavélique, prêt à tout pour s'emparer et surtout faire n'importe quoi avec les dinosaures...

    "Jurassic World" premier nom faisait partie de cette vague de reboots qui n'en avaient pas l'appelation officielle mais dont le but était clairement de trouver la formule magique pour à la fois séduire et ne pas froisser ancienne et nouvelle génération. Forcément clivant par son côté polissé, l'opus de Colin Trevorrow jouait à fond la carte de la nostalgie sur fond de grand spectacle quitte à ne pas proposer grand chose de neuf sinon un film divertissant se reposant sur la base du rêve de voir le fameux parc en fonction se concrétiser avant sa dévastation attendue. Cette démarche quelque part rassurante par sa non-prise de risques appelait presque de fait un deuxième épisode s'extirpant de ce carcan nostalgique pour aller enfin explorer de nouvelles ramifications de cet univers et définir ainsi une véritable identité propre à justifier l'existence de cette nouvelle trilogie.

    Autant l'avouer tout de suite, le bilan de "Fallen Kingdom" n'est pas très glorieux sur le fond. Malgré un départ posant de belles bases autant philosophiques qu'écologiques sur l'approche à adopter vis-à-vis de l'existence même de ces créatures nées de la main de l'Homme, le scénario une nouvelle fois signé Colin Trevorrow (avec Derek Connolly) bifurque assez vite vers le manichéisme le plus pur en grillant à peu près tous les tenants et aboutissants de la globalité de son intrigue au bout de la première demi-heure. Les forces en présence sont bien trop rapidement révélées et l'éternel affrontement entre gentils scientifiques et hommes d'affaires cruels/militaires des épisodes précédents reprend ses droits sans chercher à créer la moindre surprise. "Fallen Kingdom" semble dès lors tout faire pour privilégier l'action et l'omniprésence de dinosaures (on a bien sûr droit à une nouvelle ultime espèce hyper-carnassière-de-la mort-qui-tue génétiquement modifiée) au détriment d'affirmer un propos réellement inédit. Pire, dans sa dernière partie, le film s'enfonce dans le grotesque à force d'enchaîner les énormités illogiques (on peut certes penser que le plan des méchants très méchants était prévu depuis un moment mais de là à tout voir s'enchaîner en quasiment moins d'une journée, c'est fort !) ou les twists discutables (la révélation autour d'un certain personnage car ce qu'elle implique rapporterait bien plus et se révélerait beaucoup plus pratique à vendre qu'un simple trafic de dinos mais bon...).
    En fait, au final, "Fallen Kingdom" n'est finalement qu'un "vulgaire" épisode de transition dont les enjeux les plus intéressants sont une nouvelle fois repoussés au film suivant et où les héros ne paraissent être que des silhouettes évadées du souvenir du film précédent face à une opposition bien trop caricaturale pour être marquante (on ne parlera pas des petits nouveaux déjà évanouis de nos mémoires... à part peut-être Daniella Pineda en scientifique combative).

    MAIS (oui un énorme MAIS !), "Fallen Kingdom" a un énorme atout dans sa manche : Juan Antonio Bayona. Renvoyant à l'ère du crétacé la mise en scène fonctionnelle de l'épisode précédent, le réalisateur impose sa patte en permanence, jouant sur la référence constante autour des deux premiers films de la saga (de la séquence d'ouverture pluvieuse avec les fondamentaux d'attaques de dinos les plus spielbergiens aux multiples clins d'oeils adressés à des moments-clés du "Monde Perdu") tout en parvenant à les mêler à son propre style pour faire de"Fallen Kingdom", un blockbuster avec des moments de cinéma, des vrais et, reconnaissons-le, ça faisait un petit moment qu'on n'avait pas vu autant de personnalité se dégager d'un film de cette envergure. L'espagnol impressionne vraiment, cherchant toujours à dénicher une petite trouvaille visuelle là où on ne l'attend pas dans un plus grand ensemble (ce mini plan-séquence génial où Pratt affronte les gardes), se montrant généreux par sa capacité à capter toute l'ampleur d'un événement pour la transmettre et la faire ressentir au spectateur ou réussissant tout de même à faire naître de l'émotion dans un scénario pourtant si faiblard en spontanéité (les scènes entre Blue et son dresseur notamment). Et puis, il y a toute cette "partie-signature" où Bayona fait carrément d'une attaque de l'ultimate dinosaure, celle d'un monstre de conte de fée prêt à dévorer une fillette blottie sous ses couvertures, une petite merveille à elle toute seule qui confirme que "Fallen Kingdom" a déniché un metteur en scène doté d'une vision capable d'amener la saga vers d'autres cieux.

    Alors pourquoi diable avoir confié l'écriture du scénario à Colin Trevorrow resté coincé dans l'esprit de reboot du précédent et ne sachant apparemment plus quoi raconter, pourquoi ? "Fallen Kingdom" donne ainsi en permanence l'impression d'avoir une jambe d'athlète (Bayona) et une autre complètement atrophiée (Trevorrow) pour, au final, ne pas savoir comment tenir debout. Il ne reste alors plus qu'à saluer un spectacle réussi pour les yeux, bien trop rare pour un blockbuster de ce genre, et à espérer qu'un malheur arrive à Colin Trevorrow d'ici un troisième épisode dont il doit prendre les rennes.
    Lorry Bard
    Lorry Bard

    8 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 juin 2018
    SPOILS EN VUE!!!!!

    J’aimerais comprendre comment on peut passer outre les défauts énormissimes du scénario malgré un bon visuel...

    Avant de parler du scénar, je reviens vite fait sur les dialogues : toujours la recherche de la petite phrase choc, comique ou qui voudrait nous amener à réfléchir (si on a 9 ans...) après 3 lignes de texte (faut pas trop en demander apparemment), le tout ponctué par une musique pompeuse à chaque fois. Bref, bof.

    Sur l’histoire maintenant, on apprend que les millionnaires qui ont conçu le parc avaient investi un paquet de blé sans se demander si le volcan de l’île était actif... pas mal!
    Owen se prend un anesthésiant pour dino tranquillou et fait du contortionisme pour éviter de la lave qui aurait du le cramer depuis un moment.
    Un dino a apparemment le cuir assez dur pour gérer de la lave qui lui coule sur la tête pendant que le métal d’une voiture fond.
    Pendant une cavalcade de dinos qui veulent échapper à une nuée ardente en pliant une forêt entière, aucun de ces animaux ne va bousculer la « boule véhicule ».
    Dans cette même cavalcade, contre l’instinc de survie, un vilain dino décide de bouffer nos héros (pendant que la nuée ardente fait une pause) mais heureusement, gentil T-Rex arrive à la rescousse.
    Owen est pris par la nuée ardente........ mais s’en sort : voilà quoi, dans ton fion Tazieff.
    Apparemment l’éruption volcanique s’arrête le temps que nos champions sortent de l’eau et retrouvent les vilains qui embarquent les dinos sur un bateau.
    L’éruption reprend et nos héros récupèrent un camion (grâce aux clés laissées dessus) et arrivent à embarquer de force sur le bateau (où il restait la place pour un camion) avec grand fracas... sans que personne ne s’en rende compte.
    Ils retrouvent Blue pour la soigner et c’est là que l’on apprend qu’un vélociraptor peut pleurer... oui, pleurer de chagrin. Il lui faut une transfusion et pour cela nos 2 champions vont faire de l’humour coincés dans un camion avec un T-Rex. Ce dernier se réveille après s’être fait monté dessus en mode rodéo... il se libère une patte mais Owen s’échappe en faisant une roulade entre ses dents. Le T-Rex hurle, abime le camion avec ses griffes mais bizarrement n’attire aucun soldat... de toute façon, dès que la porte du camion est refermée, il ferme sa gueule donc ça n’aurait été qu’une perte de temps pour ces derniers de venir.
    Arrivés à Terre, i se font finalement choper et sont mis dans une cellule prévue pour les dinos dont ils sortiront car le bestiau de la cage voisine déteste entendre quelqu’un siffler... et qu’il préfère s’attaquer à un mur plutôt qu’à des barreaux.
    Les vilains méchants créent le méga dino très vilain encore plus badass et plus intelligent que celui d’avant.
    Le secrétaire, chef des pas gentils, qui épargne évidemment nos héros arrive à faire venir des dizaines d’autres vilains très riches du monde entier... en une nuit.
    Après que notre dino perce-muraille soulève la moitié des convives, le vilain chasseur décide de piquer une dent au dino ultime. Il lui balance une bonne dose d’anesthésiant et le bestiau tombe. Sans sourciller, l’autre gland ouvre la porte de la cage et là on s’aperçoit que mega-dino est resistant aux anesthésiants et qu’il peut jouer la comédie et faire des clins d’oeil et des sourires à la caméra... en réfléchissant un poil, il y avait peut- être moyen de trouver une autre solution pour le faire s’échapper non?
    La gamine et notre couple parfait se retrouvent face au monstre ultime et Claire se fait transpercer la cuisse par une griffe. Le dino préfère suivre la petite parce qu’elle crie (trop intelligente la bêbête). La fille file se cacher... dans son lit. Pendant ce temps, vilain dino grimpe sur le toit du chateau. Pourquoi? Histoire d’avoir un hurlement au clair de lune. Il repère l’enfant grâce à son super odorat de la mort génétiquement modifié (il n’y était pas arrivé dans la salle des ossements juste avant alors qu’ils étaient 3 et à seulement 2 mètres de lui... mais bon pour leur défense, ils tournaient autour d’un meuble). Le dino prend tout son temps pour attaquer la petite, laissant ainsi Owen arrivé (il a deviné dans cet immense chateau qu’il n’avait jamais visité qu’elle viendrait se cacher ici) et tenter de l’anesthésier (oh le con!) mais heureusement, Blue,q ui vient de se faire opérer de la cuisse, met à l’amende la vilaine bestiole.
    Fuite sur les toits, Owen et l’enfant sont acculés mais Claire surgit avec un vrai flingue (que Owen n’avait pas trouvé) et surtout un garrot magique. Elle vise son chéri, puisque le dino est programmé pour buter ceux qui ont un point rouge sur eux, puis Owen tente un magnifique glissé sous le monstre pour faire pêter la verrière et espérer qu’il s’éclate en bas sur les cornes du tricératops (ossements). Je dis ça comme ça, mais tirer directement sur la verrière déjà fragilisée, ça pouvait le faire aussi. Bref, ça rate mais Blue arrive et dans une chûte en mode pile ou face, elle gagne.
    Pendant ce temps, le vilain secrétaire ne s’est pas enfui. Il a du mater un épisode de sa série en attendant que nos héros libèrent les dinos restants. Dinos libérés car la gamine qui a appris qu’elle était un clone les prend en pitié (belle utilisation de cet aspect de sa vie...........). Bref, le vilain se fait bouffer parce qu’encore une fois le T-Rex préfère manger que s’échapper.
    Au final on nous fait croire que l’homme va devoir cohabiter avec les dinos maintenant qu’ils sont libres mais au pire, si l’armée ne peut pas les buter, vu le petit nombre (11) de spécimens dans la nature, suffit d’attendre qu’ils meurent.

    Et j’oublie un tas de trucs, je vous livre ça à chaud.

    La real est superbe, l’image et la manière de filmer c’est du bon boulot mais l’histoire est plus que WTF!

    Bien sur que l’on peut faire l’impasse sur des anomalies du scénar mais là c’est toutes les 5 minutes qu’un truc louche arrive.

    On est à des années lumière d’un Jurassic Park premier du nom, sublimé par la musique et dont les dialogues (petite pointe d’humour bien amenée de temps en temps) ne ternissaient pas une ambiance oppressante qui n’est pas présente ici.
    À aucun moment on a peur pour nos héros. On sait qui va mourir et qui va survivre dès l’introduction des personnages. On a le choix entre les gentils et les méchants, pas d’autres alternatives, ce qui est encore une fois bien différent du chef d’oeuvre de 1994.

    Bref, pas ma came du tout :)
    Mel A
    Mel A

    25 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 juin 2018
    Non, non, non! Jamais j'aurais cru mettre une seule étoile à un film Jurassic Park, mais là je ne peux vraiment pas faire autrement, je n'arrive pas à trouvé beaucoup de points positif à ce film.
    Le début, sans être prometteur, n'est pas horrible, la scène ou ils quittent l'île a failli me faire verser une larme. L'utilisation d'animatronics ajoute de la valeur au film à mes yeux, au lieu de se concentrer uniquement sur du numérique.
    Mais ce sont là les seuls point positifs.
    L'histoire n'a pour moi rien d'exceptionnel, oui c'est un nouveau genre de soucis lié aux dinosaure mais en soit ça ne révolutionne pas le genre, j'ai même trouvé cette problématique fade. L'équipe de héros est fade aussi, je n'ai pas trouvé ces personnages inoubliables ou important. Les facilitées de scénarios sont trop flagrantes, il y a une incohérence qui m'a sauté aux yeux à moins que j'ai mal compris la filiation de la gamine de l'histoire.
    D'ailleurs parlons en de cette petite, l'actrice a vraiment bien joué je trouve, mais son rôle ne sert à rien! Les choses qu'elle découvre ne servent pas les héros de l'histoire qui se renseignent tous seul de leur côté, le secret de la gamine n'a pour moi "rien d'extraordinaire' dans le sens ou on le découvre vite fais mais ce n'est pas une séquence bien posée ni importante au regard du spectateur (du moins au miens), j'ai même trouvé que cette découverte était un mauvais moyen de relancer la machine.
    Les scènes s'enchaînent, j'ai deviné chaque quiproquos, chaque scène même du film, tout est prévisible! Même les scènes de Rex sont mal utilisés, ce sont des scène récurrentes que l'on s'attend à voir, elles sont là depuis le début et ça ne me gêne pas que ce soit réutilisé, mais ça n'a aucune superbe.
    A aucun moment je n'ai eu de frisson, de moments qui m'a collé sur mon siège, les 5 voir 10 premières minutes du film sont pour moi les meilleures.
    Pour faire court: pour moi ils ont tué Jurassic Park.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    631 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 juin 2018
    Ce cinquième volet de la franchise réalisé par J.A. Bayona ("The Impossible", "L'orphelinat") m'a bluffé et entièrement transporté. Mes réticences suite au premier reboot de 2015, agréable mais sans surprises, se sont ici totalement évaporées par ce scénario plus noir, confondant nostalgie et nouveautés avec efficacité. Au départ, on a l'impression de repartir comme en 40 avec cette scène d'exposition sous une pluie torrentielle et la présentation des nouveaux personnages mais les rôles secondaires se révèlent être rapidement charismatiques et drôles. Ceux qui déplorent la vacuité du scénario ne sont pas fan au point de remarquer avec quel honneur et respect le jeune réalisateur espagnol a tourné ce volet, qui se distingue des précédents par ses scènes d'action à couper le souffle et la terreur ravivée face aux vilains dinosaures ! En effet, l'une des forces majeures du film réside dans ses scènes d'horreur similaires aux scènes cultes du premier volet lorsque le T-Rex vient écrabouiller la voiture dans la boue : la mise en scène réussit à nous faire peur à nouveau, avec des belles images de cauchemars... Il en va de même pour l'émotion et l'humour, qui, de façon plus succincte et étonnante, nous rappellent avec nostalgie la magie des premiers films de Spielberg. Je ne m'attendais pas à verser ma petite larme devant un blockbuster, encore moins face à un cinquième volet d'une franchise, c'est dire l'efficacité divertissante de cette réalisation, qui pour moi, a le mérite d'être sur le podium de la saga ! Coupé en deux parties distinctes, je me suis laissé surprendre et touché sans y croire à la base et je n'ai pas vu le temps passé. Certes, on se demande toujours à quoi sert le personnage de Bryce Dallas Howard à part crier mais l'action en vaut la chandelle, au point que j'irai le revoir avec plaisir (chose très rare chez moi, surtout pour un film d'une telle ampleur). Le rythme haletant et toute cette diversité de dinosaures suivent les traces du mythique film d'aventures de Spielberg tout en apportant une réflexion sur l'inconscience et l'égoïsme des Hommes face à un phénomène révolutionnaire qui les dépasse totalement. Bref, une vraie personnalité se déploie et de ce charme envoutant, un je-ne-sais-quoi renoue intelligemment avec une authentique terreur enfantine enfouie en nous depuis notre premier visionnage de "Jurassic Park". J'en avais des frissons...
    Alexarod
    Alexarod

    279 abonnés 1 867 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 mars 2021
    Le problème des suites c’est la surenchère, quasi systématique et toujours exagérée. A force les scénaristes se sentent obligés d’aller plus loin, tant dans le spectacle que dans l’histoire, tout ça pour justifier l’existence même du film, et la plupart du temps le « plus » se transforme vite en « trop »…
    Cet opus ne fait pas exception, le pire c’est que c’était prévisible dès sa création. Le souci majeur c’est qu’on se rend compte dès le début que ce n’est pas soigné et qu’on est sur un épisode prétexte à faire des thunes : on sacrifie le réalisme pour le spectacle, encore, sauf que là c’est trop grossier. Franchement créer un tel complexe, qui coûte des millions, avec des investisseurs et une recherche scientifique à la pointe sur… un volcan ? Non mais sérieux… surtout que le concept a déjà fait un four avec Jurassic Park. Enfin le pire demeure l’éruption. Déjà que les dinosaures et les hommes aillent plus vite que les coulées de lave ou les roches passe encore, mais que la nuée ardente et que ça ne les brule pas (sans parler de les recouvrir) c’est méconnaitre et la science et l’Histoire (Pompéi), et ça m’étonne même pas…
    Je me suis dit que j’allais passer outre mais ils ont rajouté un nouveau dinosaure modifié génétiquement pour en faire un plus balaise (oui comme dans le précédent), en prenant des risques inconsidérés juste pour récupérer de l’ADN d’un autre dino déjà modifié en labo (donc oui, des gènes artificielles, faites par l’homme et qu’on peut donc retrouver avec un équipement), puis ils ont racolé afin de coller à un mouvement actuel avec leurs droits des animaux à défendre envers et contre tout , et enfin spoiler: ils nous ont balancé (c’est le mot car entre 2 portes, 5 minutes à la fin) le clonage de la petite fille qui ne sert à rien et n’a aucune incidence
    , bravo. Ajoutez à ça la conclusion « Bienvenue dans Jurassic World » car des dinos ont été lâchés dans la nature, comme dans le 3 en fait hein ? Puis c’est pas comme si seul un individu de chaque espèce avait été sauvé, et qu’ils n’ont plus leur côté hermaphrodite, et que par conséquent ils sont voués à disparaitre progressivement…
    Du coup j’ai pas pu zapper les inepties, quand c’est trop, trop gros, trop illogique, trop « j’oublie les faits des opus précédents », trop ricain quoi ça devient dur. Sinon pèle mêle on retrouve le héros boy scout incompris, de nouveau séparé de la directrice repentie qui passe de business woman à ardente militante pro animaux dont elle se servait sans vergogne (sic), des clichés à la pelle (l’informaticien couard qui se découvre face à l’adversité, les femmes fortes et courageuses, le financier véreux prêt à tout spoiler: et qui trahit tout le monde
    , le militaire borné et barré, le sauvetage du T-Rex etc), des musiques soit oubliables soit trop grandiloquentes, c’est prévisible et manichéen, des FX aléatoires mais quand même quelques clins d’œil à d’anciens opus.
    En fait, sans le budget pharaonique et la réputation de la saga ce long métrage serait un nanar, voir un navet puisqu’ils se sont mis en mode Disney (pas de sang, vu le thème c’est abusé). Rien ne va mais on continue pour capitaliser et faire fructifier la saga, qu’importe si on pond une suite minable le public s’y habitue et revient. Tant mieux pour eux, tant pis pour nous…
    Béatrice L
    Béatrice L

    86 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 juin 2018
    Il faut y aller juste pour voir des dinosaures et des effets spéciaux, toujours impressionnants, mais c'est tout. Surtout ne rien attendre de l'histoire assez nulle et tirée par les cheveux. Ne pas y aller non plus pour les acteurs à qui on laisse très peu de place car les personnages n'ont aucune psychologie et sont tout le temps en action. Les méchants sont des caricatures. Il y a une jolie fille, un beau mec, un informaticien et une gamine. Cela ne vous rappelle rien. Toujours les mêmes recettes. Bref une suite à voir en laissant votre cerveau au vestiaire.
    Alice025
    Alice025

    1 664 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2018
    Une suite attendue et qui a comblé mes attentes ! Dès la scène d'ouverture, on dispose déjà d'un avant-goût de ce second volet : plus sombre et encore plus époustouflant. La première partie du film repose essentiellement sur l'expédition sauvetage des dinosaures suite à l'imminente explosion du volcan, tandis que la seconde partie devient un huit-clos dans un manoir. On discerne bien l'action et l'aventure d'un côté, puis l'aspect terreur/horreur de l'autre. Le réalisateur Juan Antonio Bayona a réussi à imposer sa touche personnelle et cela se voit.
    La tension est bien présente, certaines scènes font d'ailleurs froid dans le dos notamment grâce à l'indoraptor, nouvelle créature génétiquement modifiée et encore plus terrifiante que la précédente.
    Le scénario peut effectivement sembler un peu répétitif par moment et c'est là le point faible du film, mais il en fait aussi sa force suite à la réflexion du rapport de l'homme face à ces dinosaures. Faut-il sceller leur destin en les laissant mourir sachant que c'est l'homme lui-même qui a recréé une espèce disparue ? A force de se prendre pour Dieu, les conséquences sont toujours plus lourdes. Ainsi, on ressent une grande empathie envers ces créatures, voire une grande tristesse notamment sur une scène marquante.
    Cette suite est donc une belle réussite, où l'on s'en prend plein la vue par ses effets spéciaux, son dynamisme, ses moments de frissons et d'émotions, malgré un petit air de déjà-vu. Je finirais juste par un petit coup de gueule concernant Dr Ian Malcolm, personnage emblématique des Jurassic Park. On nous annonce son grand retour dans ce volet, finalement pour une durée d'à peine deux minutes, pas génial le marketing.

    cinephile-critique.over-blog.com
    Louis DCiné
    Louis DCiné

    186 abonnés 824 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 juin 2018
    L’un des films que j’attendais le plus cette année ! « Jurassic World » a été pour moi un retour réussi de l’une des plus célèbres sagas cinématographiques. Le film de 2015 a même été jusqu’à devenir le troisième plus gros succès au box-office mondial à la période de sa sortie. Suite au succès et 3 ans plus tard, nous voici déjà à un moment où la franchise Jurassic Park prend rapidement encore plus d’ampleur avec ce « Fallen Kingdom », que l’on peut aussi appeler le deuxième film de la nouvelle trilogie. En sortant tout juste d’une avant-première, je dois dire que mon avis sur le film est au final assez mitigé. Je pense même être légèrement déçu. Tout d’abord, j’ai eu la sensation de trouver le temps long devant certaines scènes. Il y a un problème de rythme plutôt flagrant dans le film je trouve. La deuxième moitié me semble notamment trop étendue en longueur et on a tendance à s’ennuyer. Aussi, c’est assez regrettable de constater que bon nombre de scènes importantes du film ont déjà pu être vues dans les bandes annonces. Je n’ai ainsi personnellement eu aucune surprise pendant le visionnage. Je pense que l’Indoraptor n’aurait pas dû montrer le bout de son museau à partir de la seconde bande annonce. Le nouveau dinosaure sera d’ailleurs incontestablement moins intéressant et mémorable que l’Indominus Rex qui était le centre de l’intrigue de « Jurassic World ». Autrement, les acteurs font le taf. On peut tout de même souligner la présence de Jeff Goldblum qui signe un retour justifié. Son personnage de Ian Malcolm ne sert pas à grande chose tout de même dans le film et on le voit malheureusement trop peu. Côté réalisation, le metteur en scène espagnol Juan Antonio Bayona prend le relais de Colin Trevorrow qui est devenu scénariste ici. Certaines scènes restent très spectaculaires. La caméra est bien manipulée et offre des plans variés pour une meilleure immersion du spectateur. Michael Giacchino est définitivement l’un des compositeurs les plus importants en ce moment. Après s’être occupé de la bande son de beaucoup de récents Pixar, « Rogue One » ou encore « War for the Planet of the Apes », il certifie une musique honorable et même plus poussée je trouve que ce qu’il avait fait avec « Jurassic World ». Autrement, les dinosaures sont plus réalistes que jamais. Ce n’est pas impossible qu’il s’agisse de l’épisode où il y a le plus de créatures visibles. Ce qui est sûr, c’est qu’il y a plus d’espèces présentes qu’auparavant. Outre le célèbre T-Rex, Vélociraptor, Brachiosaurus… c’est cool de voir un Carnotaurus par exemple. Je pensais que le film allait être plus sombre que le premier mais ce sera juste valable à mon sens seulement par rapport à la luminosité. En effet, beaucoup de scènes se déroulent de nuit, et il y a toujours une pointe d’humour sans spécialement qu’il y ait plus de sang autour des dents des carnivores. Bref, j’ai aimé le film mais je garde l’idée d’avoir été un peu déçu. « Jurassic World 2 » marquera très probablement moins les esprits que son prédécesseur. Cependant, il reste un agréable blockbuster qui remplit toujours son rôle de divertissement. J’ai très envie de voir la suite.
    Requiemovies
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    205 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2018
    J.A Bayona rentre dans la cours des (grands ?) réalisateurs demandés par Hollywood pour leur grammaire cinématographique clairement marquée par le statut d’auteur. Après L’orphelinat, The Impossible et le magnifique et récent Quelques minutes après minuit, le réalisateur espagnol tente d’imprégner (pression des studios inclus) sa patte sur ce blockbuster. Si l’histoire écrite à quatre mains par Derek Connolly et Collin Trevorrow (réalisateur du précédent opus, également prod éxécutif ici, aie…) souffre d’un manque d’ambition et de cohérence parfois, la mise en scène de J.A. Bayona tente de sortir le meilleur de ce spectacle. On passera d’entrée sur certaines incohérences, détails même, mais qui rendent certaines séquences risibles, par exemple la puissance des dinosaures jamais retranscrite avec logique, le tout numérique permettant tout et n’importe quoi dans la mise en scène de scènes d’action, du plus au moins logique, et ce dans une dynamique exagérée et incohérente. Les masses ne sont jamais filmées pour qu’on y croit, ce qui dénature l’intérêt et la crédibilité de certaines scènes.
    Passé cet argument qui nous beaucoup dérangé, Jurassic World : Fallen Kingdom garde tout de même les belles intentions que J.A. Bayona a voulu insuffler au film. La noirceur et la dureté réaliste qui ont fait la qualité des précédents films du réalisateur est bien présente, tout comme le tutoiement régulier qu’il tente de porter à l’enfance, écho de ce que Spielberg avait introduit dans la franchise. Il tente alors de mixer le neuf et le vieux (fan service oblige), séquences humoristiques et noires qui donnent au film un certain ADN original qui finit par séduire après coup. Jurassic World : Fallen Kingdom acquiert pour le coup un certain charme une fois sortie de la salle, charme qu’on ne sentait pas forcément pendant le film. Sous l’ambivalence de tenter d’imposer sa patte comme de contenter les producteurs exécutifs J.A Bayona livre un épisode transgenre entre séquences purement dingues dans les idées comme dans la mise en scène ; et d’autres un peu foutraques presque guignolesques. Un patchwork qui au final fonctionne dans sa maîtrise totale de surprendre le spectateur par le rythme imposé. Sorte de roller coaster ou rien ne semble s’arrêter et où on retrouve des bribes d’un certain cinéma spectacle proche de ce qu’on pouvait découvrir dans les films du même genre dans les années 80, en dénote les scènes d’expositions, d’introduction très intéressantes. Pour le reste, sur une fin qui le confirme, dommage que cet épisode ne soit que celui d’une transition vers le suivant, en ça Jurassic World : Fallen Kingdom en perd un peu de son âme, ça et sa difficulté permanente a garder le même cap, la même qualité sur l’ensemble du film. Belle surprise cependant d’un réalisateur pas totalement et intégralement noyé par les demandes du studio. requiemovies.over-blog.com
    floflo2204
    floflo2204

    81 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2018
    Le grand fan que je suis de la franchise Jurassic Park ne pouvais pas manquer la sortie d'un nouvel opus, je me suis donc précipité dans les salles obscures pour découvrir cette nouvelle suite. Fallen Kingdom pose des questions très intéressantes et soulève des problématiques vues en partie dans Le Monde Perdu mais sait se les réapproprier avec un certain talent.L'île va exploser, il faut sauver tous les dinosaures présents, l'idée de départ est attirante et l'exécution l'est tout autant. L'écriture du scénario par Colin Trevorrow et Derek Connolly est vraiment excellente. Chaque scène apporte quelque chose, le spectateur ne s'ennuie pas, les révélations s'enchaînent simplement et avec une fluidité surprenante pour un film de ce calibre. Si je devais critiquer un point ce serait peut-être l'importance de la storyline entourant Blue, tout ce qui touche à ce raptor est un peu trop surfait, si ce n'est d'un point de vue comportementaliste. Il est surprenant d'avoir fait de cet animal l'un des plus attachants du reboot considérant la peur qu'il suscitait dans la franchise originale. On pourrait également s'avérer assez critique quant à la réutilisation du fil rouge du premier film, la modification génétique était une idée très originale mais la réutiliser n'est pas aussi séduisante. Cependant, on accroche facilement à l'histoire et les deux scénaristes savent raviver notre intérêt lorsque c'est nécessaire. De même, Michael Giacchino réussit à saisir toute la beauté et la subtilité de la bande originale de Jurassic Park, réutilisant certains thèmes, modernisant d'autres ou bien en écrivant de nouvelles partitions qui s'inscrivent pleinement dans l'histoire. La réalisation de Juan Antonio Bayona n'est pas optimale, certains images sont un peu hachées et certains plans ne conviennent pas du tout aux émotions attachées. Il en reste néanmoins qu'il réussit à offrir de très belles images à certains moments qui procurent bien des frissons. C'est d'ailleurs dans ces instants de pur cinéma que l'on se retrouve le plus happé par le récit bien aidé par des effets spéciaux de très très haut niveau. Les images de synthèse sont absolument magnifiques et les dinosaures sont réalisés jusque dans les moindres détails. Bryce Dallas Howard et Chris Pratt retrouvent leurs rôles précédents et même si le dernier est toujours aussi convaincant, la première a perdu en superbe et se révèle un peu trop fade dans son jeu. Les ajouts que sont Justice Smith et Daniella Pineda sont de vraies révélations tout comme Rafe Spall et Toby Jones toujours aussi excellents sur grand écran. Jurassic World : Fallen Kingdom s'avère très intéressant sur de nombreux plans mais a surtout le mérite de poser des bases très intriguantes pour un troisième volet qui se fait d'ores et déjà attendre.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 juin 2018
    Le film se regarde avec plaisir même si l'effet de surprise est passé... Le scénario prend la suite du précédent opus et nous embarque dans une virée en deux temps : spoiler: D'abord, l'île laissée à l'abandon qui est en danger avec l'éruption d'un volcan... Puis le huis-clos nocturne et effrayant dans la propriété de Lockwood...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 juin 2018
    « Jurassic World: Fallen Kingdom » est un très bon film pop-corn, disposant d’une histoire sans intérêt, d’une intrigue basique, mais d’une production époustouflante. Le rythme est très dynamique, les scènes d’action sont très impressionnantes et les effets spéciaux sont excellents. La bande originale offre des sonorités très classiques qui viennent parfaitement souligner les différentes émotions véhiculées par l’histoire. La distribution offre de bonnes prestations, mais le développement des personnages est tellement pauvre qu’ils ne peuvent pas pleinement exprimer leur potentiel. L’ensemble est grandement divertissant et offre un spectacle visuel impressionnant.
    x-worley
    x-worley

    144 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 octobre 2018
    Comme le laissé présager la bande annonce, cet opus est bel et bien mieux filmé. Mais comme le scénario est toujours aussi bidon et que les séquences d'action peinent toujours a éviter la redite on n'a aucun plaisir a suivre ça. Car y'a toujours aucun suspense. Et c'est sans parler du finale qui laisse quand même assez perplexe...
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