Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
4,0
Publiée le 7 juin 2018
Bon Film et suite dans la continuité du 1er World. Effets speciaux grandiose. et jolie transition vers un futur 3 qui promet. À voir et attendez vous à quelques jolie frayeurs :).
Ce film est à "Jurassic World" ce que "Le Monde Perdu" est à "Jurassic Park" : un épisode dispensable, est qui sera effacé de la chronologie lors du prochain reboot de la saga. Toute la cohérence du premier épisode est ici effacée, pour une surenchère absurde de scènes et de personnages stéréotypés. spoiler: Entre le grand manoir aux 28 sous-sols immenses, lieux d'expériences génétiques et de ventes aux enchères entre grands méchants très très méchants, et les gestionnaires et militaires véreux, on atteint un niveau de clichés rarement atteint.
Tout n'est pas à jeter, et les effets spéciaux, le rythme global et les clins d’œil aux autres films de la saga sauvent du naufrage, mais ce film reste une grosse déception.
Difficile pour moi de dire du mal de ce film, car j'adore Chris Pratt et j'adore Jeff Goldblum et, comme on dit, l'amour est aveugle. Mais globalement, je pense que le film est parfaitement réussi car tous les ingrédients y sont. Il y a des gentils qu'on adore, des méchants qu'on déteste et qu'on a envie de voir mort avant le générique de fin, il y a des l'action, des effets spéciaux, de l'humour pour faire retomber la tension et il y a aussi une bonne histoire. Il est peut-être un peu plus effrayant que le film précédent à cause de la mise en danger de la petite Maisie, jouée par la jeune Isabella Sermon. Je pense qu'il n'y a rien que je n'ai pas aimé dans ce film. Il dépasse les 2h, mais ça va tellement vite qu'on ne s'en aperçoit même pas. Perso, j'en reprendrais bien une dose, mais il va falloir être patient, car le 3éme film est prévu pour 2021.
Bon bon bon... cette nouvelle saga a vraiment un problème de fond. Le premier élément qui me vient à l'esprit ? C'est la ressemblance à peine surprenante avec "Le Monde perdu : Jurassic Park". Même si l'objectif final n'est pas complètement identique, le reste n'est franchement pas si différent : spoiler: on capture les dinosaures restés sur l'île après la disparition du parc, on les ramène vers un lieu plus civilisé et on cherche à s'en servir pour divertir un public ou permettre à des magnats en tout genre d'assouvir leurs pulsions dépensières . On constate donc bel et bien que sur le fond, "Jurassic World" peine à créer du suspens et ce même avec les divers retournements de situation de la première moitié du film. Que dire de la forme ? La réalisation ne fait pas transparaître de réels défauts et les dinosaures sont impressionnants. Cela dit, le direction d'acteurs me semble bâclée par instants et le sur-jeu est présent dans beaucoup de scènes. Si je devais prendre un exemple, ce serait Bryce Dallas Howard : j'ai toujours bien apprécié cette actrice mais ici, il faut avouer que certaines de ces expressions font "fausses" (pour ne pas dire exagérées) et ne sont pas toujours adaptées à la situation (ah et puis les cris à tout va ça va bien 5 minutes...). Je ferai aussi remarquer qu'on a une nouvelle fois droit à notre personnage ridicule pour "détendre l'atmosphère" et rajouter un côté humoristique. Selon moi, c'est tout à fait inutile. En résumé, je suis relativement déçu ; les scènes gênantes ne manquent pas et l'ensemble est trop prévisible.
"Jurassic World : Fallen Kingdom est un assez bon divertissement, surtout grâce à son côté technique. Les scènes d'action et les décors sont très bien réalisés, la musique est très bonne et le rythme est très bien maîtrisé. En dehors de ça, le gros point noir du long-métrage, c'est son intrigue qui manque clairement de développement et d'intérêt (seules quelques pistes pour la suite ont réussi à vraiment me captiver, mais pour cela, une bande-annonce aurait pu faire l'affaire...). Jurassic World : Fallen Kingdom est donc techniquement un assez bon film de divertissement, mais j'espère que la suite saura nous apporter une intrigue mieux travaillée."
Du grand spectacle comme on aime. Le cast est impeccable, Chris Pratt et Bryce Dallas Howard en tête. La réalisation est superbe et les effets spéciaux grandioses. L’histoire est certes un peu bateau mais ce genre de film étant un pur divertissement elle n’est qu’accessoire. On sursaute plusieurs fois et on est tendu au fauteuil de scènes en scènes dans l’attente de savoir ce qui va arriver à nos héros. Idéal pour passer un bon moment entre amis.
Jurassic World (premier du nom) manqué cruellement d'originalité et de véritable identité. Colin Trevorow n'avait pris aucun risque et offrait simplement un hommage correct au premier Jurassic Park de Steven Spielberg. Avec Jurassic World - Fallen Kingdom, Juan Antonio Bayona ne nous livre pas non plus un film sans défaut mais un film avec une vraie empreinte artistique. La photographie est à certains moments vraiment impressionnante. Le design du nouveau dinosaure hybrique est magnifique et véritablement terrifiant par son aspect sombre et ses yeux jaunes. Ses déplacements sont hyper inquiétants. La dernière partie du film est vraiment marquée par le style J.A Bayona !
On y retrouve l'ambiance de "Quelques minutes après minuit". Quant au T-Rex, je trouve que pour une fois, c'est intéressant de le mettre un peu en retrait, tout en lui offrant des apparitions vraiment marquantes. Cette fois c'est Blue qui devient le dinosaure emblématique de ce second Jurassic World. Les personnages, quant à eux manquent de profondeur et de réel intérêt mais ils sont appréciable dans l'ensemble. Le film a tout de même de nombreux défauts et de grosses facilités scénaristique. Les méchants et leurs intentions en font partie notamment. Alors oui, Fallen Kingdom est loin du chef d'oeuvre qu'était Jurassic Park mais son travail photographique et sa mise en scène rendent cette oeuvre vraiment intéressante. La scène d'introduction est d'ailleurs un scène vraiment bluffante je trouve. Les jeux d'ombres et de lumières sont aussi très remarquable tout au long du long métrage ! Il y a une vraie recherche de faire des plans sublimes. spoiler: Je pense à plusieurs scène comme celle avec le T-Rex en scène d'ouverture, celle de l'Indoraptor qui crit sur le toit illuminé par la lune ou encore celle de la chute de Blue et de l'Indoraptor, du toit en verre.
Il y a également certains détails plutôt intelligents je trouve spoiler: comme le T-Rex assourdi par une explosion du volcan, qui finit par partir ou l'Indoraptor qui peine à faire demi tour pour faire face au personnage de Bryce Dallas Howard, en marchant sur la structure du toit en verre...
Vraiment dommage que Colin Trevorow ne nous n'ai pas livré un meilleur scénario mais le travail visuel de Juan Antonio Bayona mérite d'être salué car depuis les 2 premiers Jurassic Park, aucun film n'avait eu droit à une telle mise en scène !
La profondeur du message délivré spoiler: par le personnage de Jeff Goldblum est très profonds. Il permet de souligner que nous devons être responsable de nos faits, que ce soit des réussites ou des échecs. L'Homme a toujours su s'adapter même face à ses erreurs.
L'image du T-Rex, qui symbolise le roi des dinosaures, face au [spoiler]lion, qui symbolise le roi de la Jungle est hyper parlante pour résumer les propos du Dr Malcom.[/spoiler]
Franchement je suis très heureux de cette suite. Un scénario qui sort de l'ordinaire, une tentative d'ajouter des problématiques profondes à l'univers et le fait que les dinosaures ( nombreux et variés) sont présents dans 80% des scènes me comble de joie.
C'est parfois un peu facile mais j'ai eu le frisson à certains moments ! Ce film est ce que j'attend d'une suite grand publique dans cet univers.
Bon, maintenant je vais devoir me trouver un pachycephalosaurus, c'est bien pratique ces petites bêtes la !
« Ces créatures étaient là bien avant nous. » Les dinosaures de Spielberg ont déjà 25 ans ! Suite logique de Jurassic World, Fallen Kingdom est le cinquième épisode de cette saga de monstres. Nouveau réalisateur aux commandes, c'est Juan Antonio Bayona qui remplace Colin Trevorrow (dont ce dernier s'occupe de l'écriture du scénario). L'histoire de Jurassic World 2 prend une tournure bien différente comparé au premier. spoiler: C'est l'extinction des dinosaures ! Alors qu'on assistait à un spectacle familier de son prédécesseur, Fallen Kingdom mise plutôt vers le film catastrophe spoiler: (en première partie) en basculant ensuite vers l'horreur spoiler: (en seconde partie). Bayona possède un véritable savoir-faire dans la mise en scène, il utilise des plans-séquences lors des scènes d'action spoiler: - voir l'île en feu et en cendres dû à l’irruption du volcan : quand Owen et sa troupe son poursuivis par les dinos ; lors de la vente de dinos : quand Owen intervient en se battant avec nervosité face aux militaires ; le jeu du chat et de la souris : quand l'Indoraptor veut la peau de ces « proies » au sein du manoir - ce sont des passages marquants. Le visuel est également une belle réussite, ce qui est assez rare dans le genre ! Pas étonnant que le budget soit plus conséquent (220M$ il me semble) que son aîné (150M$), avec des effets spéciaux qui livrent la marchandise nécessaire. L'atmosphère qui règne dans le film y est bien sombre, dotée d'une musique rajoutant suffisamment de tension pour qu'on frissonne davantage ! L'ensemble du casting demeure convaincant. Chris Pratt se rachète une bonne conduite spoiler: (après sa bêtise effroyable dans Infinity War qu'on ne pardonnera pas) et s'avère charismatique en ancien dresseur de raptor. spoiler: Il retrouve son ami Blue... Bryce Hallas Howard ne court plus avec ses hauts talons spoiler: - elle agit ici, sur le toit d'un bâtiment avec un fusil en main - on doit avouer que son personnage est nettement plus courageux dans Fallen Kingdom ! Pas spoiler: d'Omar Sy à l'horizon... Des personnages secondaires sympathiques en particulier les deux jeunes aux côtés de Chris Pratt et d'Howard. Ils apportent un peu de fraîcheur au niveau de l'humour. Et un méchant qui fait le job ! Bien sûr, les clins d’œil sont présents dont spoiler: le retour d'un personnage emblématique de la saga Jurassic Park qui fera ravir certains, pour le fan service. On nous met aussi un regard évident sur spoiler: cette petite fille (dans les scènes finales) voulant recopié la même identité que Spielberg dans ses épisodes mais Bayona n'est pas le créateur... Pour conclure, Jurassic World - Fallen Kingdom est un avant goût des prochains blockbusters qui vont sortir cet été ! Et remplit amplement ses promesses dans la matière. Prochain volet à spoiler: (en première partie)0 d'où la scène post-générique ? C'est ce qu'on croit...
C'est une très bonne suite. Le film fait bien son job de divertissement, tout y est : les magnifiques bêtes, les superbes effets spéciaux, l'action, l'humour, l'émotion. Bref excellent moment de détente et de divertissement.
Le néant intellectuel. Un dinosaure qui verse une larmichette lorsqu'il a mal (si, si), un autre (enfin, le nouvel hybride, pas vraiment un dino) qui fait des sourires avant d'attaquer (là aussi : si, si, je vous assure, et deux fois de suite en plus), un autre qui prend des giclées de lave sur le museau mais qui se secoue à peine et n'est pas blessé, comme si la lave en fusion faisait l'effet de la cendre... Si en voyant ça, vous n'avez pas sauté sur votre fauteuil, il faut vous poser des questions sur votre capacité à prendre du recul devant ce qu'on vous montre. L'équipe du film, elle, n'a aucun recul quant à son travail (ou nous prend tous pour des demeurés). J'en passe et des meilleures. Un film boursoufflé d'incohérences et de scènes grand-guignolesques donc, bien loin du chef d’œuvre original, et même bien en dessous d'un "Jurassic Park III" réchauffé et balourd mais pas aussi stupide que ce cinquième volet très représentatif de l'ère hollywoodienne actuelle. Même le scénario (de vilains riches trafiquants voulant faire des dinosaures des armes de combat) a été exploité il y a bien longtemps par de véritables nanars (faites vos recherches, vous verrez), c'est dire le niveau d'inspiration. Musicalement, la seconde partie du film est pétrie de compositions poussivement épiques à grands renforts de chœurs hyper présents, mais ça ne colle pas. Visuellement, c'est vaguement dans la moyenne actuelle, à savoir bourré de plans numériques hors de prix qui trahissent pourtant trop souvent, dans les textures générales ou les mouvements des créatures, une impression globale de toc et de faux. Rien à sauver, de mon point de vue.
Jurassic World: Fallen Kingdom Le premier Jurassic World était la représentation de la démesure hollywoodienne. Dans un contexte futuriste il nous poser la question de comment Hollywood pouvez encore nous rendre les films attractifs alors que nous surprendre deviens de plus en plus difficile. Celui-ci se veut plus cool et nous amène dans une aventure qui prend pour sujet spoiler: la protection des animaux à l'échelle des dinosaures ! Et j'avoue c'est actuelle et surtout moins critique que le premier qui était critique envers ces propres unités de création, puisque "oui" Jurassic Wordl est produit par la machine Hollywoodiene.. Dans ce nouvel épisode, les personnages sont intéressants. Tout en utilisant les mêmes codes, le réalisateur réussit à les présentés de la même manière en changeant le contexte. Je dois dire que cela fonctionne très bien! Une mise en scène fabuleuse sur certains moments particuliers. Notamment les passages de surprisespoiler: les griffes qui s'approche , les angles de caméra exceptionnel, ou les cinématiques sans cut. spoiler: Les mâchoires qui se referment ce n'est pas surprenant certes, mais ça fonctionne toujours aussi bien sur moi. Un Dolby Atmos particulièrement efficace sur certaines scènes spécifiques. Une 3D inutile. Des musiques.. Bref j'aime les dinosaures j'aime ce film. En grand fan j'envie cette fin "La nouvelle ère véritable" ! Je m'intéresse du coup au futur choix "Post apocalyptique" ou "La chute d'un empire" #Hollywood Et du coup peut-être une des meilleures trilogies ? Je le conseille
La première partie sur l'ile volcanique avec une grosse partie pyrotechnique à la fois logique et omniprésente et un rebondissement aussi convenu qu'éculé dans le genre. La seconde partie est vue en quasi huis clos avec les meilleurs moments mais avec un maximum d'incohérences et de simple stupidité. On apprécie un bon mix entre animatronique et numérique, les effets spéciaux restent une belle réussite. Un bestiaire qui manque sans doute un peu de diversité même si le nouveau Indoraptor est particulièrement bien pensé. Sans doute le moins abouti de la franchise à ce jour... Site : Selenie
Il n’est pas étonnant de souffler un peu alors que l’on a baigné trop longtemps dans l’angoisse et la sensibilité. Beaucoup ont eu le plaisir de délivrer un panel de formules émotives, mais peu d’entre eux assument un moment d’égarement, parfois nécessaire afin de renouveler sa vidéothèque pleine de grâce et de sincérité. Un de ces serviteurs répond au nom de Juan Antonio Bayona. Le metteur en scène espagnol s’est illustré dans des drames avant tout familiaux, avec « L’Orphelinat », « The Impossible » et « Quelques Minutes Après Minuit ». Et bien qu’il propose un divertissement grand public ambigu, il renoue néanmoins avec ce qui fait de lui un auteur à part entière, ne serait-ce le temps de quelques passages rafraîchissants pour une franchise encore en chantier.
Enfin, une réelle tentative d’innover pointe le bout de son nez. Cependant, de multiples défauts scénaristiques font que l’intrigue survole ce qu’il entame. Ce sont alors d’interminables scènes de poursuites qui se précipitent vers un message à la fois écologique et humanitaire, sans surprise. La problématique du génome que l’on contrôle à souhait est remise en cause dans ce second volet qui promettait son appétit pour l’inconnu. Finalement, le film se retrouve comme un écho devant les écrits de Michael Crichton, sans saveur et sans impact. On peut noter un conflit entre les enjeux du récit et la motivation des personnages. Cela tient plus du spectacle que de l’intervention moralisateur que l’œuvre tente d’endosser.
On retrouve tout de même nos héros préférés, déserteurs d’un parc recyclé. Cette fois-ci, il fallait changer d’environnement afin de convaincre le public que d’autres options sont à l’étude. L’aventure emprunte un chemin auquel il fallait s’y attendre. La question de cohabitation reste au second plan et on préfère exploiter la férocité des créatures perdues dans un monde qui ne les accepte pas pour ce qu’ils représentent réellement. Le réalisateur éprouve le besoin de briser la barrière iconique que l’on a des dinosaures. Il n’hésite donc pas à y mettre sa patte et intervenir en faveur de « monstres » sous-exploités, que l’on fait défiler comme dans un documentaire en quête de fantasme. Pourtant, le domaine de l’imaginaire, il s’y est frotté il y a peu. Pourquoi ce dernier essai n’effleure pas nos cœurs de la même façon qu’autrefois ? La raison vient notamment d’un cahier des charges très millimétré. Le blockbuster doit mettre en avant ses codes et c’est ce qui fait du film une victime de son succès.
Bayona met entre parenthèses ses compétences pour enfin goûter au plaisir de divertir. Toutefois, sans oublier qu’il pouvait faire d’un dinosaure un véritable monstre, il s’égare dans une réalisation hésitante et cela se ressent lorsqu’un chapitre est franchi, car rien n’est jamais abouti comme il le faudrait. Reconnaissons malgré tout une ambiance lugubre et réussie qui domine « Jurassic World : Fallen Kingdom ». Le compromis est difficile à identifier dans un film qui dégage deux actes très différents et qui ne sont pas de même qualité. La première salue fièrement les cendres qui ont forgé cette saga, alors que le doucement se rapproche d’un mariage de genre, encore trop farfelu pour qu’on se sente bien impliqué. Là où l’aîné a profité de la nostalgie, ce prolongement profite de l’effet de surprise pour séduire. Malheureusement, le décalage entre le bon sentiment et un montage bâclé ne contribue pas à une bonne crédibilité de l’histoire. Si la Nature reprend ses droits comme l’œuvre le laisse supposer, c’est alors l’overdose de réalisations académiques qui vient justifier un faux pas qu’on aurait pu éviter.