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Fêtons le cinéma
689 abonnés
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3,0
Publiée le 8 février 2019
Avec la nouvelle saga Jurassic World nous glissons d’une construction-parc à une construction-monde, et se trouve par conséquent emportée l’aspect ludique d’un récit qui jadis s’apparentait sans difficulté à une merveilleuse attraction d’un parc à thèmes auquel Steven Spielberg donnait vie non en qualité de scientifique mais en qualité d’artisan. Or c’est l’inverse qui se produit ici : l’écriture souffre d’un sérieux plombant où sont traités corollairement l’extinction d’une espèce et le devoir de l’homme d’en préserver les spécimens, le clonage des êtres et les droits de ces créatures à partager le monde de leurs créateurs. Par conséquent, Jurassic World : Fallen Kingdom se change en produit hybride qui veut traiter de trop de thèmes entrecroisés et ancrés dans une politisation des enjeux qui désamorce souvent l’aventure. Le film ne prend pas assez le temps de réfléchir, saisi à la gorge par les conventions d’un modèle de divertissement qui exige des rebondissements toutes les dix minutes. Alors s’accumulent les messages écologistes, féministes, scientifiques relativement au clonage, tout cela servi dans une soupe d’effets visuels. Derrière la caméra, un spécialiste du cinéma d’épouvante qui – et on le ressent – s’en donne à cœur joie dans les séquences horrifiques d’ailleurs magistralement orchestrées, mais s’ennuie le reste du temps devant des enjeux qui ou le dépassent ou ne l’intéressent guère. De piteux dialogues alourdissent une dramaturgie déjà plombée par sa prévisibilité incroyable. Seule la composition musicale signée Michael Giacchino apporte un souffle épique et grandiloquent qui colore le film de tonalités nouvelles. Ce qui pose problème réside dans l’introduction de stéréotypes inhérents aux blockbusters actuels : un second degré omniprésent et insupportable porté par des seconds rôles insipides (et des têtes d’affiche incolores), la surenchère constante qui veut toujours plus grand toujours plus gros toujours plus fort. Or il n’en est rien. On voit bel et bien un royaume s’effondrer, celui d’une histoire racontée à cet enfant qui siège en chacun de nous, avide d’aventures et d’émerveillement, d’épouvante par instants, et qui ne trouvera ici qu’une déclinaison acceptable d’une recette éculée. La recette de toutes les sagas actuelles que l’on pourrait aisément faire converger : Jurassic Park, La Planète des Singes, X-Men et autres super-héros...
Il paraît que les dinosaures ont disparu une première fois à cause des conséquences d'une gigantesque éruption volcanique ! Eh bien, c'est reparti pour un tour dans ce nouvel opus de Jurassic World. Autant, j'étais sceptique dans les premières minutes de film (ils veulent sauver les dinosaures mais ils oublient peut-être qu'il reste aussi des dinosaures sur Isla Sorna, l'île voisine de l'ancien Jurassic Park/actuel Jurassic World (qui sont sur la même île).. Mais à part ça et quelques autres petites incohérences, ça reste un très bon film ! J'ai beaucoup aimé les références à Jurassic Park et notamment John Hammond et à son histoire passée ; c'est quelque chose qui a beaucoup manqué dans le premier Jurassic World. Le mélange Humour/sérieux est très agréable ; beaucoup d'actions, pas mal de suspens, des acteurs charismatiques et des effets spéciaux impressionnants, voilà la recette d'un très bon film ; mieux que son prédécesseur d'ailleurs ! Cependant, c'est un film qui change des précédents par son ambiance et sa réalisation mais ce n'est pas plus mal comme ça car le résultat est bon et le film original. Seul point vraiment négatif pour moi, c'est la fin : spoiler: les dinosaures sont libres et c'est tout ? Y a des raptors dans les rues, un T-Rex qui se promène, des Diplodocus dans la forêt, des dinosaures au main de terroristes, et personne ne pense à les recapturer ou a appeler la police ?? mais bon, on va se dire que ça laisse le champs libre à un autre film... même si ça à l'air d'inquiéter personne quand même... Enfin, j'aime aussi les sujets plus profonds abordés comme la manipulation génétique comme arme ou comme réel danger pour notre futur ; ou encore la préservation animale ; ou encore que les animaux, tout sauvages qu'ils soient, peut vivre en communion avec l'homme si ce dernier reste à sa place..
Quand les premières bandes-annonces sont sorties, je dois bien avouer que je n'étais pas du tout hypé par le film. Pourtant, j'aime beaucoup la trilogie Jurassic Park et j'avais bien aimé le premier Jurassic World mais je ne sais pas, les bandes-annonces de cette suite ne m'emballaient pas plus que ça. Mais bien sûr j'y suis allé parce que je voulais voir ce que donnait cette suite et je dois bien avouer que je fus agréablement surpris. Le film est bon et plus profond qu'il n'y paraît. L'histoire est sympa à suivre et la réalisation de Juan Antonio Bayona est totalement maîtrisée. De plus, il insuffle de véritable scènes de tension qui manquaient de le premier Jurassic World. J'ai également beaucoup aimé le parallèle qui est fait entre les traitement des dinosaures et celui des animaux. Les scènes d'action sont bien menées, les effets spéciaux sont irréprochables et même si on ne sait pas trop vers quoi va se tourner le troisième opus, force est de constater que la fin du film promet quelque chose d'intéressant. Une suite dont je n'attendais rien mais qui fut une bonne surprise.
J'ai vraiment passé un super moment de cinema grnd spectacle et d'aventure. On en prend plein les yeux avec des clin d'oeils des précedente épisodes mais ça dose de nouveauté est au rendez voius . Chris Pratt, est parfait avec ce petit air desinvolte a vous faire craquer. Les dinosaures sont parfait et si realistes . Un très bon moment que je conseille fortement
La suite est aussi bien que le premier !! Il y a un rapport humains/animaux très intéressant, touchant. Au final, une belle moralité avec beaucoup d’effets spéciaux , tout pour passer un bon moment.
Très attendu, « Jurassic World 2 : Fallen Kingdom » ressuscite une énième fois nos défunts dinosaures mais, même si les péripéties ne surprennent plus vraiment, l’intrigue quant à elle, renouvelle le genre avec virtuosité. Poignant et moderne, en s’appuyant sur un degré écologique, « Jurassic World 2 » constitue un vivier de réflexions sociétales. spoiler: Alors que le volcan de l’île Isla Nublar fait irruption et menace les dinosaures de disparaître , la question de sauver l’espèce se pose. Doit-on laisser l’histoire suivre son cours ou préserver ces êtres qui ne sont que le fruit d’une nouvelle création de l’homme ? En accréditant cette pensée, le film énonce frontalement les conséquences néfastes de l’humanité sur la nature. Au cours d’une première partie acerbe, braconnage, maltraitance et vente aux enchères des bêtes sont mis en scène. Quelques passages parfois douloureux à regarder qui démontrent l’impuissance de l’animal face à tant de cruauté, spoiler: on note cette scène où un braconnier collectionne et arrache les dents des dinosaures impuissants.
La voiture, l’avion, les maladies mortelles… L’être humain entretien peu à peu sa propre extinction et la création de l’ère Jurassic ne constitue finalement que sa propre démonstration capricieuse et irréversible. S’exposer inconsciemment à une telle conception naturelle réinstaure une chaîne alimentaire bien trop hostile à nos sociétés. Du coup, un retour à l’écran réussi dans lequel le jeune réalisateur, Juan Antonio Bayona, parvient lestement à mettre en corrélation l’esprit spectaculaire d’un box-office grand public et l’écriture implicite d’un film d’auteur. Evolution scientifique oblige, cette nouvelle ère de la saga s’adapte et ne parle non plus de clonage comme dans les premiers numéros, mais de créatures génétiquement créées et modifiées. Milles et une combinaison possibles donc, l’histoire se permet les extensions les plus bluffantes comme les plus effrayantes. Bye Bye le tyrannosaure, ce sera un monstre composé d’essences issus de plusieurs espèces qui sera désigné comme l’effrayante bête. Et il fait vraiment peur… Les jeunes générations se raviront de retrouver Chris Patt et Bryce Dallas Howard, mais que les incontournables se consolent… Les personnages Benjamin Lookwood, Ian Malcolm et Henry Wu sont aussi de la partie ! Des fortes têtes emblématiques dont la présence constitue une suite directe relative aux anciens numéros. Bien évidement, dans le contrat, le film correspond à un Jurassic pur et dur. Un méchant dinosaure à combattre, quelques hommes qui se font dévorer, il faut cependant admettre que l’enchaînement des scènes est si fluide que notre appétit carnassier n’ayant pas vu le temps passé, demeure un tantinet insatisfait sur la fin… Ce sera sans compter sur la malice reptilienne de nos producteurs qui laisse apparaître une ouverture explicite quant à un troisième numéro. Bilan : « Jurassic World 2 : Fallen Kingdom » a dévorer en une bouchée ! Toutes les critiques et plus encore sur Cinephilion.net !
Scénario tellement paresseux... beaucoup de facilités et des clichés à gogo. Le message de sauvegarde des espèces en danger est très mal diffusé par le réalisateur et les acteurs ne croient pas en leur rôles... aucune prise de risque.
Il est rare que je sois aussi en colère et déçu en sortant d’un film mais là ... j’avais été plutôt content du world 1, jouant sur la nostalgie même si il était pas très original mais celui ci est une arnaque totale ! Seules les 5 premières minutes sont acceptables le reste n’est une succession d incohérences, de scènes prévisibles ... le film copie même la planète des singes sans scrupules ( voir la fin ) bref, ils ont tué une deuxième fois les dinosaures. Honteux
Super film , on rentre bien dedans , beaucoup mieux que le premier . Donne à réfléchir sur certains points de l'humanité. Les acteurs sont supers et les musiques magnifiques. Un voyage .
On retrouve plus ou moins le même genre de viol cinématographique auquel on a pu assister au cours du premier JW. Bref on ressent trop qu’il n’y a plus aucune inspiration et que la licence est seulement devenu une pompe à fric.
Rien de neuf au pays où le Dino et roi. Bayona fait ce qui peut et l'on retrouve sa pâte de temps à autre. Celui du réalisateur a qui l'on doit déjà "L'orphelinat" en 2008, "The Impossible" en 2012 et tout récemment "Quelques minutes après minuit" en 2017. Le voilà de retour avec un divertissement qui devrait comme tout bons dinosaures qui se respecte mourir et ne plus jamais revenir. Sauf que... la suite sur Boulevardducinema.com
Vous n’aurez jamais vu autant de dinosaures de votre vie. Cet épisode flirt avec l’horreur parfois. Beaucoup de références à des scènes emblématique du tout premier Jurassic Park.