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Un visiteur
1,5
Publiée le 6 juin 2018
Je vais faire simple, je n'ai pas l'habitude de commenter un film mais là je me suis sentie obligée.. une réelle et énorme déception des scènes improbable spoiler: la sphère ouvert au couteau qui ne résiste pas à une balle des dinosaures qui rentre dans des box de la taille d'un garage... Un baryonix qui trouve la lave un peu chaude mais sans plus et j'en passe...
Je rigolais dans le premier de voir Claire courrir en talon mais la c'est le pompom .Bon courage car je crois bien que pour la première fois j'ai trouvé un film trop trop long..
Le scénario de Jurassic World était une sorte de remake de celui de Jurassic Park. Celui de Jurassic World : Fallen Kingdom allait-il être un remake de celui du Monde perdu : Jurassic Park ? Le début du film pouvait laisser penser que cela risquait d'être le cas, si on mettait de côté le principe de l’irruption volcanique, mais le film part rapidement dans une toute autre direction pour aller vers quelque chose d’assez inédit. Ce scénario qui aurait donc pu être l’élément fort du film se révèle au final son point faible. En effet, il accumule les rebondissements peu crédiblesspoiler: (le twist concernant Maisie) , et les comportements des personnages sont souvent idiots idiotsspoiler: (le chasseur qui rentre dans la cage au risque de se faire dévorer uniquement pour récupérer une dent ; cette même petite fille qui se cache dans son lit pour échapper aux dinosaures, alors qu’elle est trop âgée pour agir ainsi, ou encore le geste final de celle-ci…) . De même, l’utilisation du personnage d’Ian Malcolm est assez inutile et est tellement rapide (une seule scène découpée pour se situer au début et à la fin du film) qu’elle semble être plus un argument publicitaire qu’autre chose. Heureusement, la réalisation de Juan Antonio Bayona rattrape amplement ces grosses faiblesses de scénario. Le cinéaste enchaîne des plans visuellement sublimes, sait parfaitement créer la tension et rend ses scènes d’action lisibles (ce qui est tellement rare de nos jours que cela mérite d’être salué). Ainsi, d’un point de vue de la pure mise en scène, Jurassic World : Fallen Kingdom peut être considéré comme le meilleur volet de la saga après le premier Jurassic Park. De même, la musique de Michael Giacchino est très efficace même si elle ne possède pas de thèmes mémorables comme avait pu en créer John Williams par le passé. Au final, Jurassic World : Fallen Kingdom est un volet tiraillé entre un scénario plombé par des personnages aux comportements non crédibles et une mise en scène sublime qui rend le tout extrêmement divertissant et bourré de suspense.
Le film est sensiblement mieux que le premier Jurassic World. Ce n’est pas forcément le casting qui s’est amélioré car il était déjà plutôt bon dans le premier volet, c’est surtout dans la mise en scène qui est mieux construite et du coup bien plus élaboré. Le dimension psychologique entre les êtres humains et les animaux est bien mis en avant et fait donc réfléchir. C’est un bon divertissement, très clairement pas le meilleur dans sa catégorie mais ça se défend sans aucun problème.
Une suite plus impressionnante, mieux rythmée et plus développée que l'originale. Les personnages sont davantage traités tandis que les scènes d'action sont mieux gérées.
Loin du parc à thème et de la flore aussi sombre que veut le retranscrire Bayona dans l'évolution du décors, on frémi tout de même par son ingéniosité. Pas le plus marquant, à l'image du troisième volet mais de quoi renouveler la franchise vers d'autres territoires, ce qui manquait cruellement à l'extension proposé par Spielberg avec son monde perdu.
Après la bonne surprise du reboot Jurassic World, on ne pouvait qu'imaginer qu'une suite arriverait. On sait même que la nouvelle saga sera constitué de 3 films. Bon celui-ci se révèle assez banal. L'histoire raconte la tentative de sauvetage des dinosaures coincés sur leur île qui sera dévasté par un volcan en éruption. Comme toujours, le film révèlera de sombres humains prêts à tout pour en faire des armes. La 1ère partie du film concentré sur le sauvetage est très agréable à suivre mais la seconde partie est d'une débilité sans nom. On peut même dire que c'est du grand n'importe quoi. Bref : après 45min de film, vous pouvez aller vous coucher -_-
Je crois que c’est encore pire que ce que j’avais imaginé en voyant la bande annonce. Comment le film peut-il avoir une note aussi élevée? Est-ce que le pseudo combat pro-animaux vous empêche de voir que ce film se moque de vous en insultant vos capacités intellectuelles? C’est parti pour du spoil.
Les personnages : Claire passe de capitaliste insensible à directrice d’une ONG de défense des animaux. Ça peut passer, mais c’est un remake de Hammond entre JR et TLW. Une idée pas très originale et qui au final sert d’alibi à toute cette histoire.
Owen retourne sur l’île pour sauver Blue bien qu’il soit en fait contre cette opération. Il sait courir dans une nuée ardente et a battu le record du monde d’apnée en milieu aquatique dinosaurien. Sinon ses petites phrases humoristiques finissent par lasser.
Le doc et le geek sont deux nouveaux personnages, pourtant, même si ils sont potentiellement intéressants en début de film, ils disparaissent brusquement pour réapparaître dans les 30 dernières secondes. Incompréhensible.
Lockwood est l’alter ego de Hammond, le co-créateur de JP... mais on n’a jamais entendu parler de lui. Sa faiblesse physique annonce la manière dont il va mourir, sous un coussin, tenu par son bras droit stupidement cupide et qui a la fabuleuse idée de vendre les dinosaures sauvés de l’île. Scénario plus con que ça tu meurs.
La petite fille ne sert pas à grand chose au final, sauf pour dire que papy est un génie du clonage. Quand au chasseur... aïe aïe aïe, c’est un fétichiste des dents assez con pour rentrer dans la cage d’un carnivore hybride inconnu et instable psychologiquement.
Avec des personnages comme ça, impossible de faire un bon scénario, à moins que ce soit ce scénario niveau primaire qui force les personnages à être et à agir comme des écervelés. Le sauvetage des dinosaures est plutôt sympa et agréable visuellement, mais ne dure qu’une quinzaine de minutes à tout casser. Quel dommage.
Après ça c’est le vide absolu. Ça se résume à méchant vs gentil, avec l’argument très poussé du méchant pour moucher le gentil : « Si je fais ça aujourd’hui c’est parce que toi tu as fait ça hier, donc tu vaux pas mieux que moi lolilolilol ». Je vous laisse juger. On vend donc des dinosaures aux enchères pour tout : guerre, agriculture, animal de compagnie, etc.
Au final, le vilain hybride qui est branché sur les ondes d’un flingue (oui, le... dino-alien saute sur celui qui est visé par le flingue de son propriétaire... dans JW, la génétique est une discipline dans laquelle on peut tout se permettre), inutile de préciser que le Dr Wu est un génie.
Pour finir, parlons du méchant dino-Alien : c’est un mélange entre le Raptor et l’Indominus Rex... qui contenait déjà du Raptor. C’est censé expliquer en sous texte pourquoi il est si intelligent, rapide, malin, habile, cruel et vorace.
Quand JP est sorti, le T-Rex et le Raptor faisaient le boulot quand il s’agissait de faire peur, et cette peur était presque réelle parce qu’on savait que ces créatures ont foulé le sol terrestre. Maintenant ils ont été rabaissés au niveau d’animaux de compagnie que l’on dresse, ou qui viennent bouffer celui qui est sur le point de nous tuer (Trex vs Carnotaure, Indominus Rex) et n’inspirent plus aucune crainte. Le problème c’est que les hybrides sont tellement « inhumains » (pour des dinosaures on dirait « indinos ») que l’on y croit pas un instant. Comment être effrayé ou émerveillé par un truc en lequel on ne croit pas?
Mention spéciale du n’importe quoi pour la fin du film. Les dinosaures sont libres sur le continent humain. Oui, le T-Rex va au zoo et le Raptor regarde la civilisation du haut d’une falaise. Bienvenue à Jurassic World.
« Car l'amour de l'argent est la racine de tous les maux »
La saga Jurassic World enseigne l'amour des dinosaures en combattant la cupidité des entreprises, qui veulent monopoliser la vie sur Terre pour leur ignoble gain personnel et destructeur.
Oui il y a un réel problème d'écriture, ça je le reconnais totalement, mais que voulez-vous, j'ai trouvé ça vraiment pas mal malgré tout. Il faut dire que lorsque l'on a un bon réal sous la main, ba ça aide un peu. Visuellement c'est très réussi, la photographie est particulièrement soignée et belle, et le réalisateur s'amuse avec ses jeux de lumières. Cependant il vrai que le film souffre de gros defauts scénaristiques, mais c'est tout de même mieux que le précédent JURASSIC WORLD quand même !
Un peu décu par ce nouvel opus... Bien sur on retrouve l'univers mais tout est noir, moraliste, écolo... Contrairement au premier film de 1993 qui était très philosophique dans son message et avec ces personnages incomparables... Ce nouvel épisode est purement commercial, d'un côté les méchants voulant faire du business avec les dinosaures peu importe les conséquences, et de l'autre côté les gentils qui veulent reconstruire une réserve naturelle... Le problème c'est que les méchants ont déjà été vu dans les anciens épisodes, le projet est même comparable à l'épisode 2 ou 3, toujours la même psychologie moyenne, les mêmes rebondissements, et plein d'incohérences... Aucune prise de risque, le scénario n'est pas créatif. Mon seul point positif est de retrouver l'incroyable Jeff Goldblum tellement bon dans son texte et dans son interprétation... Je suis décu, car ce film aurait pu vraiment être mieux, avec un autre scénario moins spectaculaire, plus orienté vers un message philosophique entre l'homme et l'animal à notre époque. Mais malheureusement non, ce film est une pure suite commerciale, qui prépare un nouvel épisode vu que la fin est totalement baclée, bref faites vous votre propre opinion sur ce film, mais je vous préviens on est loin (très loin) du premier épisode de Jurassic Park.
Jurassic World Fallen Kingdom est un aux multiples facettes : il s’agit de la rencontre entre une très bonne réalisation et un scénario paresseux, voire inexistant. La première séquence, première entrée illégale dans le parc, est menée par une main de maître en termes de réalisation. Dans une ambiance sombre, j’ai ressenti beaucoup de tension pour les quelques aventuriers à la recherche de la dépouille de l’Indominus rex. Cette mise en bouche, plaisante, est de courte durée puisque le film s’enfonce petit à petit dans une forme de facilité scénaristique avec la présence de personnages sans fond et par conséquent aux décisions beaucoup trop absurdes pour être honnêtes (même si les seconds rôles auraient mérités d’être plus développés). La première partie du film se déroule dans le parc abandonné, où quelques mercenaires cherchent à sauver 11 espèces de dinosaures, dont Blue, le raptor presque apprivoisé. On y retrouve un parc abandonné où la nature y reprend ses droits, mais malgré tout menacé par un volcan au bord de l’irruption (excellente idée de planter un parc d’attractions au pied d’un volcan, soit dit en passant). Cette première partie est agréable et assez fidèle de ce que la franchise a l’habitude de nous proposer : des personnages dans une jungle hostile et toujours exposé au danger. Les références au premier opus de la série sont multiples mais le dernier plan de l’île est particulièrement émouvant et signe par ailleurs la fin du classicisme de Jurassic Park. La deuxième partie, dans le manoir donc, est un bazar sans nom bourré de clichés et de facilités scénaristiques. On y retrouve donc les quelques espèces sauvés de l’île pour être vendus aux enchères à des méchants riches, marchands d’armes, magnas du pétrole et [insérer votre cliché préféré]. Si l’ambiance est particulièrement sombre et aurait pu avoir le mérite de proposer un souffle nouveau à la franchise, nous sommes vite déroutés par un pseudo-scenario. Trop souvent, nous nous retrouvons dans une situation où l’histoire ne peut plus avancer : la solution est donc de faire faire des actes débiles aux personnagesspoiler: (tiens, si j’ouvrais la cage du plus grand prédateur pour lui arracher une dent – Oh non, un dinosaure sanguinaire me poursuit, je dois me cacher sous ma couette ! – Je viens de me faire transpercer la jambe mais je réussis encore à grimper sur un toit et utiliser une arme à feu (je sais aussi courir en talons dans la jungle tavu) – Héhé, je suis le méchant et je vais attendre une heure à côté du manoir pour me faire bouffer par un T-rex au lieu de fuir – Coucou, je suis un super dinosaure hybride, une vraie machine de guerre, mais je suis incapable de tuer une gamine de 10 ans (j’ai un sens moral aussi)) . Du coup, suite à cet enchainement spectaculaire de décisions plus que douteuses, on finit par lâcher l’intrigue, et attendre que le film daigne bien se terminer. Même après le pauvre héritage que laissait le premier film Jurassic World, on pouvait espérer un peu plus de profondeur dans ce film qui peut être vu, à la limite, comme un film de divertissement potable.
Scénario d'un infantilisme total, tout à déjà été utilisé dans les films précédents, on supplie pour un minimum de vraisemblance, mais non. moins bien qu'une bande dessinée, au total c'est entre nul et archi nul. J'ai failli partir au milieu. à éviter!
Comment ne pas se laisser emporter dans cette histoire riche en effets spéciaux, images de synthèse, décors somptueux, et surtout, en monstres préhistoriques plus vrais que nature ? C'est un grand moment d'évasion pour les spectateurs. Cependant, j'ai quand même trouvé que le film ne s'anime vraiment que dans sa seconde moitié après un début plus que poussif et trop bavard
encore plus fort et frissonnant que celui de 2015 ya tout se qu'il faud pour faire un très bon film de dinosaure vivement 2021 pour voir la suite en esperant encore d'action etc