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Votre avis sur Midnight Special ?
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Grosse déception. Plus Jeff Nichols avance dans le temps, plus ses films baissent en niveau. Le scénario est, faut l'avouer, vraiment pas mauvais. Pour le reste, c'est une autre histoire. Michael Shannon est d'un pathétique dans son jeu, c'est assez rare que je dise ça mais il faut le dire quand c'est vrai. Ne parlons même pas du petit garçon qui est carrément insupportable avec ses mimiques et son jeu surfait (pas d'excuse pour les enfants car je peux sortir une liste longue comme mon bras ou ceux-ci sont très bons). Joel Edgerton est transparent comme son rôle. Seul Kirsten Dunst et Adam Driver sauvent la mise. Les effets spéciaux ne sont pas dignes d'une aussi grosse production. La bande son est copiée sur des films comme "Sunshine" déçoit car elle présente à chaque scène et au bout d'un moment, le mal de crâne se fait sentir. C'est long, très long, on s'ennuie et on tourne clairement en rond pour un film qui aurait pu durer bien trente minutes de moins. La fin est pas mauvaise mais je reste quand même sur ma faim. En fait le problème de "Midnight Special", c'est qu'il aurait pu être très bon mais on passe plus de temps avec des dialogues interminables qu'à des images en rapport avec le gamin et je trouve ça dommage. Comme je l'ai dit au départ, l'idée de base est très bonne mais en quasiment deux heures, on n’approfondit pas le sujet et c'est du gâchis tout simplement. Enfin bref, une sacrée désillusion et pour être honnête, je m'attendais à bien mieux mais bon, on ne peut pas plaire à tout le monde. 9/20.
"Midnight special" n'a vraiment rien de spécial. Un film raté ou l'on s'ennuie qui tient sur un scénario bancal et un final grotesque. Pas de quoi s'extasier devant ce film très approximatif de J. Nichols qui nous a habitué a bien mieux (take shelter)!
C est bién tristement que je mets deux étoiles car je suis fan de Mike Nichols dont le Take Shelter était fascinant et le Mud, un cran en dessous, envoûtant.
La volonté de créer une science fiction " des années 50" ne fonctionne pas, pas plus que l histoire pour le moins nébuleuse et une fin très série B.
Malgré tout, le rapport père fils sauve un peu le film et Michael Shannon est encore une fois très bon.
Peut être qu il s agit de ces films qu on attend trop et pour lesquels on est un peu trop sévère?
La volonté de créer une science fiction " des années 50" ne fonctionne pas, pas plus que l histoire pour le moins nébuleuse et une fin très série B.
Malgré tout, le rapport père fils sauve un peu le film et Michael Shannon est encore une fois très bon.
Peut être qu il s agit de ces films qu on attend trop et pour lesquels on est un peu trop sévère?
Midnight special a la poésie des grands Spielberg et une sensibilité en plus qui sert parfaitement ce film. Je m'attendais à un film de science-fiction est c'est un film d'émotion qui en ressort avec une odeur de road-trip. Les inspirations de l'oeuvre semble infinie. On y voit l'influence de la Route, les couleurs de Super 8, la poésie de E.T, et même oui même certaines touches de Prédictions, film pourtant médiocre mais avec de bonnes idées.
Le scénario semble plutôt évoquer la crainte des parents en général de voir leur enfant s'en aller pour un autre monde, prendre leur envol seul. Dans cette optique, le petit héros du film semble parler avec un vocabulaire qui est trop grand pour lui. Les parents alors ne verraient donc jamais leurs enfants grandir. C'est ce qui selon moi expliquerait que cet enfant parle peu, et si bien. Il s'agit d'un jeune adulte, que les parents ont bien du mal a laisser partir.
Du point de vue des acteurs,le meilleur pour moi est Michael Shannon qui s'illustre par son jeu de regard. On sent dans ce regard humide la fierté douloureuse que peut avoir un père pour son enfant. Cette envie de mort lorsque l'enfant dont on s'est occupé malgré les difficultés s'en va. Kirsten Dunst joue bien son rôle de mère brinquebalante.
Les effets spéciaux sont finalement assez peu nombreux pour un film se disant de science fiction. Ils sont peu nombreux, et ils sont bons, pleins de beauté et empreints de cette sensibilité, de cette lumière qui semble varier d'une minute à l'autre du film.
Le jeu sur les lumière aurait d'ailleur pu être pu être mieux exploités mais on ne va pas se plaindre.
Très beau... et la musique de cleerdance cleerwater revival est le très bienvenue à la fin du film. spoiler: Petit spoiler, qui ouvre je n'espère pas à une suite. Les yeux du père s'illumine aussi à la fin. Faisons marcher notre imagination, c'est mieux ainsi.
Le scénario semble plutôt évoquer la crainte des parents en général de voir leur enfant s'en aller pour un autre monde, prendre leur envol seul. Dans cette optique, le petit héros du film semble parler avec un vocabulaire qui est trop grand pour lui. Les parents alors ne verraient donc jamais leurs enfants grandir. C'est ce qui selon moi expliquerait que cet enfant parle peu, et si bien. Il s'agit d'un jeune adulte, que les parents ont bien du mal a laisser partir.
Du point de vue des acteurs,le meilleur pour moi est Michael Shannon qui s'illustre par son jeu de regard. On sent dans ce regard humide la fierté douloureuse que peut avoir un père pour son enfant. Cette envie de mort lorsque l'enfant dont on s'est occupé malgré les difficultés s'en va. Kirsten Dunst joue bien son rôle de mère brinquebalante.
Les effets spéciaux sont finalement assez peu nombreux pour un film se disant de science fiction. Ils sont peu nombreux, et ils sont bons, pleins de beauté et empreints de cette sensibilité, de cette lumière qui semble varier d'une minute à l'autre du film.
Le jeu sur les lumière aurait d'ailleur pu être pu être mieux exploités mais on ne va pas se plaindre.
Très beau... et la musique de cleerdance cleerwater revival est le très bienvenue à la fin du film. spoiler: Petit spoiler, qui ouvre je n'espère pas à une suite. Les yeux du père s'illumine aussi à la fin. Faisons marcher notre imagination, c'est mieux ainsi.
Déçu après avoir vu les éloges de la presse. Le film a d'indéniables qualités stylistiques, avec de bons acteurs ; de beaux thèmes sont abordés, mais si vous aimez les films qui vous font partir d'un point A pour arriver à un point B, passez votre chemin. J'ai été vraiment déçu par la fin. Au début on ne sait pas d'où on vient, ni ce qui se passe, puis cela se précise avant que l'on s'achemine inexorablement faire une fin ... ?!! je dirais entre nulle et banale. Quand un enfant a des super-pouvoirs et qu'il est sûr de son coup, ça ne provoque aucune anxiété chez le spectateur : il a l'impression que tout est sous contrôle et que tout va bien se passer. C'est à ce moment où le gamin prend le contrôle des choses que le film devient, à mon sens, mauvais. Il ne reste que la douleur, bien interprétée il faut le dire (K. Dunst est magnifique sur ses derniers plans) mais qui est attendue.
"ultime preuve que Jeff Nichols est bien l'héritier de Steven Spielberg."
Qu'est ce qui faut pas lire comme connerie sérieux, quand je pense que ces journalistes sont rémunerés pour écrire de telles anneries.
Suffit d'avoir des voitures des années 70 et des papiers peints à motif pour qu'un réalisateur soit le nouveau Steven Spielberg ... ?
Bref passons, Midnight Spécial joue certainement sur la nostalgie des productions Spielberg des années 80, normal vu l'age de Jeff Nichols. Mais l"hommage n'est pas aussi réussi que "Super 8" pour ne citer que lui.
Midnight Special reste un film sympa, malheureusement le scénario tient sur une demie feuille de PQ pour reprendre l'expression consacrée, et manque cruellement de densité.
Il vous fera passer un bon moment mais ne restera pas dans les mémoires.
Qu'est ce qui faut pas lire comme connerie sérieux, quand je pense que ces journalistes sont rémunerés pour écrire de telles anneries.
Suffit d'avoir des voitures des années 70 et des papiers peints à motif pour qu'un réalisateur soit le nouveau Steven Spielberg ... ?
Bref passons, Midnight Spécial joue certainement sur la nostalgie des productions Spielberg des années 80, normal vu l'age de Jeff Nichols. Mais l"hommage n'est pas aussi réussi que "Super 8" pour ne citer que lui.
Midnight Special reste un film sympa, malheureusement le scénario tient sur une demie feuille de PQ pour reprendre l'expression consacrée, et manque cruellement de densité.
Il vous fera passer un bon moment mais ne restera pas dans les mémoires.
Cinq ans après avoir été révélé au grand public avec le sympathique "Take Shelter", qui marquait déjà la deuxième collaboration entre le réalisateur et son acteur fétiche Michael Shannon, Jeff Nichols revient pour son quatrième long-métrage, "Midnight Special" qui a fait l'unanimité des critiques tant chez les spectateurs que chez les spectateurs. Très souvent comparé à Steven Spielberg et ayant bénéficié d'une couverture médiatique flatteuse, "Midnight Special" est un film Ô combien particulier dont seuls les amateurs d'exercice de style y trouveront leur compte. Lent, ennuyeux, incroyablement soporifique, l'intrigue est d'une maigreur alarmante, elle tient sur une ligne et encore il faut écrire en gros : un père amène son fils d'un point A à un point B. C'est tout. On attend, on se dit que ça va venir, que l'intrigue va se mettre en place mais non rien ne se passe et les paupières commencent à se fermer toute seule. D'un mortel ennui et doté d'une multitude d'incohérences, le film se révèle mou, poussif, sans saveur et la prétendue latitude laissée au spectateur pour le laisser imaginer certains aspects cruellement manquant du scénario est davantage une paresse intellectuelle qu'un exercice de style. Côté acteur, Kristen Dunst est aussi transparente qu'un fantôme, Michael Shannon quant à lui se débrouille pas trop mal et parvient à rendre sa relation avec son fils attachante. Aux commandes, Jeff Nichols livre une sublime mise en scène avec une belle photographie bien que cela ne suffise pas à nous faire oublier le profond ennui que l'on a éprouvé en regardant ce "film".
« Midnight Spécial » fait beaucoup penser à « Rencontre du Troisième Type » (40 ans après sa sortie) avec un soupçon de « E.T. », époque où S.Spielberg suggérait des aliens et la peur de leur arrivée (ou de leur départ) sans véritablement les filmer, sans grands effets mais de manière diablement efficace. Son économie de moyens poussait le Maître-réalisateur à bidouiller des plans suggestifs qui doublaient l’angoisse et la pression, sans jamais la mettre sur pellicule, visant directement la (l’in-)conscience du spectateur. J.Nichols s’inspire beaucoup de cette méthode, jouant la carte du non-spectaculaire, du non-explicatif, du minimum d’effets spéciaux et du minimum de dialogues, pour instaurer une pression et une angoisse grandissantes tout le long de son film. A l’époque des blockbusters aux effets spéciaux dégoulinants et aux explications de texte simplistes et trop explicatives, « Midnight Spécial » peut désarçonner le spectateur amateur de pop-corn-movie, par ses non-dits et ses silences, particulièrement dans sa première partie. Puis, le road-movie prend un peu d’épaisseur et on comprend vite qu’on n’en saura pas davantage sur les motivations des protagonistes. Ce qui fait donc l’originalité de ce film (ses interrogations constantes) sont aussi ses limites dans le manque de passion qu’il nous procure. Très bon casting, de l’étonnante K.Dunst au prometteur A.Driver. M.Shannon confirme à nouveau sous la caméra de J.Nichols son talent mutique voire phobique, qui avait déjà impressionné dans leur précédente collaboration « Take Shelter ». Hommage au genre ou volonté de se démarquer par son originalité, ce film de S.F. atypique s’apprécie dans les deux sens.
Des mois que je n'avais rien écrit sur le site, mais Midnight Special valait la peine que je partage mon sentiment. Pour ma part, je ne le présenterai ni comme un chef d'oeuvre, ni même comme un excellent film. Il s'enlise un peu vers l'heure et certaines invraisemblances m'ont gêné parfois. Mais quelle fin ! Quelle impression ! Alors que je commençais à anticiper la fin et à m'agiter sur mon fauteuil, je dois bien dire que les 20 dernières minutes m'ont littéralement scotché. Doit-on regarder un film pour sa fin ? Portée à ce niveau là, avec par ailleurs un film de très bonne facture et un "special theme" absolument superbe, oui.
Sorti en février dans les salles françaises, « Midnight Special » n’a jamais dépassé la frontière et pourtant, le film avait créé un tel engouement dans l’hexagone que nous attendions impatiemment son arrivée chez nous… en vain. Par chance, sa sortie en DVD/Blu-ray fin du mois dernier nous a permis de nous faire notre petite idée sur le dernier film de Jeff Nichols tant encensé.
Sorte de croisement entre « Un monde meilleur » (avec Kevin Costner) et « Rencontre du 3ème type », le film présente un scénario dynamique et intelligent. Ici, on ne rencontre pas de véritable « méchant », juste une course contre le temps, contre des personnes qui poursuivent toutes un but différent mais qui n’ont qu’une obsession : découvrir les pouvoirs surnaturels d’Alton. L’histoire nous sert un suspense crescendo, jusqu’à une apogée impressionnante et inattendue. Au fil des minutes qui s’égrainent, on découvre pourquoi l’enfant est si important, qui sont ceux qui le poursuivent sans trop dévoiler leurs intérêts personnels non plus : Jeff Nichols sème le doute et permet ainsi à chacun d’y aller de son interprétation propre.
Pour nous guider dans cette histoire fantastique, une panoplie d’acteurs les plus excellents les uns que les autres, à commencer par Michael Shannon (« 99 Homes », « Free Love »). Derrière son air impassible se cache un père inquiet et désireux de préserver son fils d’une exploitation déraisonnée de ses pouvoirs impressionnants. Le comédien fait preuve d’une maîtrise totale de son rôle (comme souvent) avec un charisme que beaucoup peuvent lui envier. Et que dire de ce jeune acteur Jaeden Lieberher, touchant et si expressif dans son jeu, par la parole ou par ses attitudes ? Remarqué dans « St Vincent », l’ado de 13 ans à encore de belles heures cinématographiques devant lui (on chuchote d’ailleurs qu’il serait à l’affiche de
« Çà », la prochaine adaptation du livre de Stephen King). L’équipe ne serait pas complète sans l’acteur et réalisateur Joel Edgerton (« The gift », « Exodus »), toujours excellent quelque soit le rôle qui lui est confié et Kristen Dunst, marquée par les années mais toujours aussi performante et juste. On notera la présence d’Adam Driver dans un rôle désuet et presque dispensable au film… mais soit, on apprécie toujours retrouver ce grand comédien (il mesure en effet 1m89) au ton grave.
Si le casting est excellent, l’histoire originale, l’ambiance bien plantée et la dynamique maîtrisée, on est par contre moins emballé par la réalisation à proprement parler. Après avoir lu d’excellentes critiques (ou des avis présentant le film comme une réinvention de la Science fiction), qui faisaient de Jeff Nichols le digne successeur de Steven Spielberg, on doit avouer que de notre côté, nous avons apprécié l’expérience sans pour autant la trouver révolutionnaire. Les effets spéciaux particuliers, volontairement cheap ou non (on pense aux yeux rouges d’Alton proches de ceux de Superman dans « Batman V Superman ») dans un premier temps, excellents en fin de film, le sujet bien exploité sans pour autant sortir des sentiers battus, font que pour nous, ce « Midnight Special » n’est pas le film de l’année que l’on nous avait annoncé…
Sorte de croisement entre « Un monde meilleur » (avec Kevin Costner) et « Rencontre du 3ème type », le film présente un scénario dynamique et intelligent. Ici, on ne rencontre pas de véritable « méchant », juste une course contre le temps, contre des personnes qui poursuivent toutes un but différent mais qui n’ont qu’une obsession : découvrir les pouvoirs surnaturels d’Alton. L’histoire nous sert un suspense crescendo, jusqu’à une apogée impressionnante et inattendue. Au fil des minutes qui s’égrainent, on découvre pourquoi l’enfant est si important, qui sont ceux qui le poursuivent sans trop dévoiler leurs intérêts personnels non plus : Jeff Nichols sème le doute et permet ainsi à chacun d’y aller de son interprétation propre.
Pour nous guider dans cette histoire fantastique, une panoplie d’acteurs les plus excellents les uns que les autres, à commencer par Michael Shannon (« 99 Homes », « Free Love »). Derrière son air impassible se cache un père inquiet et désireux de préserver son fils d’une exploitation déraisonnée de ses pouvoirs impressionnants. Le comédien fait preuve d’une maîtrise totale de son rôle (comme souvent) avec un charisme que beaucoup peuvent lui envier. Et que dire de ce jeune acteur Jaeden Lieberher, touchant et si expressif dans son jeu, par la parole ou par ses attitudes ? Remarqué dans « St Vincent », l’ado de 13 ans à encore de belles heures cinématographiques devant lui (on chuchote d’ailleurs qu’il serait à l’affiche de
« Çà », la prochaine adaptation du livre de Stephen King). L’équipe ne serait pas complète sans l’acteur et réalisateur Joel Edgerton (« The gift », « Exodus »), toujours excellent quelque soit le rôle qui lui est confié et Kristen Dunst, marquée par les années mais toujours aussi performante et juste. On notera la présence d’Adam Driver dans un rôle désuet et presque dispensable au film… mais soit, on apprécie toujours retrouver ce grand comédien (il mesure en effet 1m89) au ton grave.
Si le casting est excellent, l’histoire originale, l’ambiance bien plantée et la dynamique maîtrisée, on est par contre moins emballé par la réalisation à proprement parler. Après avoir lu d’excellentes critiques (ou des avis présentant le film comme une réinvention de la Science fiction), qui faisaient de Jeff Nichols le digne successeur de Steven Spielberg, on doit avouer que de notre côté, nous avons apprécié l’expérience sans pour autant la trouver révolutionnaire. Les effets spéciaux particuliers, volontairement cheap ou non (on pense aux yeux rouges d’Alton proches de ceux de Superman dans « Batman V Superman ») dans un premier temps, excellents en fin de film, le sujet bien exploité sans pour autant sortir des sentiers battus, font que pour nous, ce « Midnight Special » n’est pas le film de l’année que l’on nous avait annoncé…
Il y a beaucoup d'idées dans ce film pseudo fantastique où une secte recherche un enfant censé être le fondement de leur croyance et où les parents du petit prophète accompagnés d'un flic sont aussi poursuivi par le gouvernement qui aimerais en savoir plus sur ce petit voleur de secret d'état. Sur le papier on s'attend à une aventure pleine de suspens où le fantastique viendrait mettre du piment. Mais voilà, les différents éléments du film sont peut exploités et au final on se retrouve avec de la déception.
Déception de ne pas voir cette secte mieux décrite avec les travers que l'on imagine. Déception que le personnage de l'ami-flic-garde-du-corps ne soit lui aussi plus étudié ou n'ai plus de personnalité pour s'opposer au père et à la mère (Kirsten Dunst qui fait vraiment très vieille...). Déception que le film ne soit au final qu'une fuite à travers le pays sans aucun suspens ni aucune scène de tension qui auraient put être si haletante. Déception sur une fin qui fait plouf !
Déception de ne pas voir cette secte mieux décrite avec les travers que l'on imagine. Déception que le personnage de l'ami-flic-garde-du-corps ne soit lui aussi plus étudié ou n'ai plus de personnalité pour s'opposer au père et à la mère (Kirsten Dunst qui fait vraiment très vieille...). Déception que le film ne soit au final qu'une fuite à travers le pays sans aucun suspens ni aucune scène de tension qui auraient put être si haletante. Déception sur une fin qui fait plouf !
Un film de science-fiction américain de Jeff Nichols assez vide, froid et sans grand intérêt. L’atmosphère de lenteur, de torpeur et d’inquiétude qui était brillante dans "Take Shelter", nous pousse ici à un rapide ennui... La faute à un scénario bien peu inspiré et traité de façon superficielle, et à une mise en scène complètement dénuée de suspense et de poésie. De plus, malgré des acteurs de qualité comme Michael Shannon, Kirsten Dunst ou encore Adam Driver, les personnages apparaissent tous comme bien peu attachants. Un film décevant !
gabdias
J.Nichols se pose en digne héritier de Steven Spielberg en empruntant les pistes sinueuses du thriller de science-fiction s’appuyant sur des mondes parallèles, sur des valeurs familiales. S’il ne lui manque pas grand chose pour y parvenir, Nichols fait preuve d’un beau sens artistique et visuel pour atteindre le summum.
Un film certainement incomplet et un brin précipité sauvé, non sans peine, par un casting brillant et une écriture intelligente. Reste le poids d'interrogations inexpliquées : on voudrait en savoir d'avantage, on voudrait comprendre et découvrir l'ensemble des ficelles de ce grand jeu surnaturel, mais le réalisateur en a hélas décidé autrement. Une expérience à tenter, tout de même, pour les adeptes d'irréel.
Du mystère tout au long, du suspense, mais il ne se passe franchement pas grand-chose, et ça met le film par terre...
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