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    Johnny got his Gun
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    4,0
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    159 critiques spectateurs

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    Francois D.
    Francois D.

    2 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 novembre 2024
    Un des films les plus terribles
    Un cauchemar éveillé
    Vu années lycée ( 1986-87)
    Un film à voir avant de s’engager
    BabsyDriver
    BabsyDriver

    84 abonnés 818 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2024
    Ayant découvert le film en salles mais sur le tard après l'avoir longtemps imaginé, Johnny Got His Gun m'a décontenancé : je pensais que le film se déroulait entièrement à l'hôpital et en noir et blanc, alors que Dalton Trumbo inclue des flash-backs de la vie de son martyr en couleurs (et qui ne sont d'ailleurs pas les moments les plus inspirés ou ayant le mieux vieillis du film). Cela reste en tous cas une expérience très forte et radicale, sans doute le film le plus absolument antimilitariste qui soit, avec son héros réduit à l'état le plus essentiel d'humanité - la conscience brute - pour dénoncer un monde lui aussi au niveau le plus minime d'humanité.
    antistress
    antistress

    2 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 septembre 2024
    J'ai mis 5 étoiles mais il est impossible de noter ce film comme on le ferait pour un divertissement.

    Œuvre majeure, formant avec Freaks et Elephant Man une sorte de triptyque pour nous questionner sans détour sur la nature humaine.

    D'un point de vue formel, la réalisation est dingue et le travail de l'acteur qui fait en VO la voix off est exceptionnel.
    eve land
    eve land

    2 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 septembre 2024
    particulier mais intéressant et dynamique, bien filmé, toute une digression sur le puritanisme, un film anti guerre, avec tellement d'image symbolique
    Dahrar
    Dahrar

    27 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 septembre 2024
    Le sujet est passionnant, mais la réalisation a beaucoup vieilli et l'acteur principal est trop mollasson pour convaincre.
    leodi
    leodi

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 septembre 2024
    un réquisitoire contre les horreurs de la guerre....après un tel film ( et un tel livre) comment peut il y avoir encore des guerres. pas étonnant qu il ait été interdit.....
    Léo Peteytas
    Léo Peteytas

    17 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 septembre 2024
    Johnny a tout. Un travail, une petite amie, de l'espoir et des rêves ; un avenir, qui s'annonce radieux. Car, la vie est belle. Oui mais voilà, il y a cette foutue guerre. Engagé pour accomplir "son devoir" envers la patrie, il quitte sa vie rangée. Comme tant d'autres jeunes, il ne mesure pas ce qui l'attend : La boue, la crasse, les balles et les obus qui sifflent, la peur. De se faire tuer, mais aussi de rencontrer l'autre. L'ennemi. Celui qu'on doit tuer. Qui est-il ? Quelle importance ? C'est l'ennemi. Un pauvre type comme tous les autres, qu'on a embrigadé pour faire le nombre, alimenter l'inextinguible brasier. Qui consume tout, à commencer par les hommes au front. Gravement blessé, réduit à l'état de "légume" incapable de ne plus rien faire - sinon bouger la tête -, mais toujours conscient, Johnny va quitter un enfer pour un autre : être prisonnier de son corps, et de la solitude. On le croit mort ; il est pourtant toujours en vie. Cette situation inouïe provoque d'abord un sentiment d'effroi. Petit à petit, il se mue en désespoir. Quel temps fait-il ? Quelle heure est-il ? Quel jour, quel mois ; combien de temps est passé depuis le jour ou tout est parti en vrille ? Que deviennent les êtres aimés ? Impossible de savoir. Le diagnostique du médecin étant établi, il est inconcevable de le remettre en cause. Et Johnny, qui est toujours là, prisonnier de sa situation. Il peut bien tout tenter, c'est peine perdue. Plus homme, ni jeune amoureux, ni rien du tout ; il est une sorte de chose clouée à un lit, et qu'on maintient en vie car... c'est comme ça, et pas autrement. Telle est l'injustice de cette histoire, portée par quelques scènes d'une extraordinaire humanité. La guerre est une monstruosité qui bousille tout. "Dulce et decorum est pro patria mori" - Il est doux et honorable de mourir pour sa patrie, qu'il disait l'autre, Horace. Mais autant que ça soit les autres, hein. Venant de quelqu'un qui est mort bien tranquille dans son lit cette phrase pourrait prêter à sourire, si son esprit n'avait pas été repris dans tous les discours nauséabonds qu'on nous sert sur la guerre. Quelle plaie.
    GéDéon
    GéDéon

    89 abonnés 523 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2024
    En 1971, le réalisateur américain Dalton Trumbo signe son premier et unique long-métrage. Il s’agit d’un film bouleversant qu’il est impossible d’oublier après l’avoir visionné. Un soldat complètement atrophié se retrouve sur un lit d’hôpital. Incapable de parler mais conscient, il tente de communiquer avec le personnel médical tout en se remémorant son passé. A partir de ce concept narratif glacial, le spectateur est embarqué dans un tourbillon d’émotions, allant de la révolte à la compassion tout en souhaitant intérieurement que le terrible sort de cet homme prisonnier de son corps prenne fin. Certes, les délires oniriques, constitués de nombreux flashbacks, créent un rythme hachuré d’inégale valeur. Mais, la portée universelle et intemporelle du message emporte tout sur son passage. Bref, une violente critique de l’absurdité de la guerre et de l’acharnement thérapeutique.
    Alexis Gatito
    Alexis Gatito

    2 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2024
    Film très intéressant et marquant sur les horreurs de la guerre ou la cruauté de la science, qui a aussi inspiré la chanson "one" de Metallica. C'est glauque et oppressant, évidemment la lenteur peut rebuter, mais autrement le film ne serait pas crédible. A voir.
    Ti Nou
    Ti Nou

    508 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2023
    Seul et unique long-métrage réalisé par Dalton Trumbo, Johnny s’en va t’en guerre est un pamphlet pacifiste et antimilitariste sorti en pleine guerre du Viêt Nam. Un film à la fois très politique et émouvant.
    Napoléon
    Napoléon

    146 abonnés 1 570 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 mars 2023
    Une oeuvre antimilitariste convaincue. Le film partait avec une bonne idée mais est mal exploitée. Le film n'utilise que l'argumentation de la victimisation pour défendre son sujet. Les scènes de rêve s'avère inutiles, même hors sujet vu le sujet avec des dialogues sans intérêts et l'émotion est absente.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 707 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 mai 2021
    Je ne sais pas si c'était original en 1971 mais Johnny s'en va-t-en guerre ne m'a pas présenté une seule nouvelle idée. Je ne vois pas non plus en quoi ce film parle de la guerre à part le fait que nous savons qu'il est censé être un film anti-guerre. Et que nous savons que le héro principal a été blessé à la guerre. Il n'y a probablement qu'une seule scène qui se passe dans une guerre. Peut-être que si le film durait trente minutes ce serait disons un film décent. Mais tel qu'il est c'est beaucoup trop long pour une idée aussi simple...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 novembre 2020
    Ce film est vraiment très particulier. Pas gai pour 2 sous, c'est plus qu'un drame. Il nous entraîne dans les divagations d'un grand blessée de guerre, transformé en momie egyptienne, qui se morfond dans son lit d'hôpital, en repensant a certains moments de sa vie passée. C'est du sérieux.. . Heureusement il a avec lui une petite infirmière bien gentille qui le câliné et lui apporte un peu de douceur. Les médecins eux, ils s'en foutent bien de lui vue son état... Bon si vous aimez le blues et les trucs intellos regardez ce film qui a eu la palmé d'or à Canne, histoire de ne pas mourir idiot, mais molo molo. Enfin pour rester positif, Vous verrez qu'apres avoir vu "Johnny s'en va-t-en guerre" , vous pourrez vous dire qu'il vaut mieux être cool, entier et en bonne santé qu'amoche comme ça dans un hôpital de campagne...
    Bernard D.
    Bernard D.

    114 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 novembre 2020
    « Johnny s’en va-t’en guerre » de Dalton Trumbo (1972) est un film profondément antimilitariste qui aurait pu être un chef-d’œuvre sans ces scènes en couleurs qui certes traduisent les souvenirs et les fantasmes du soldat, mais sont parfois un peu cul-cul en dehors de la toute première scène où ce père dit à sa fille d’aller dans sa chambre avec son petit ami qui va partir à la guerre. Les scènes de souvenir de pêche évoquent trop « Et au milieu coule une rivière » de Robert Redford (1993), et sont patriotiques à l’américaine. Je ne parlerai même pas des scènes avec Jésus pourtant inspirées semble-t-il par Luis Buñuel !
    Toutes les scènes en un noir et blanc très contrasté traduisent à merveille le livre éponyme du réalisateur publié en 1939 (2 jours après le début de la Seconde Guerre mondiale) et dont la lecture est poignante. Force est de dire que Dalton Trumbo a parfaitement su l’adapter à l’écran avec ces gradés forts de leur « prouesse médicale », et inversement cette jeune infirmière qui réussira à communiquer avec cet homme tronc sans vue ni ouïe et sans langue ni mâchoire inférieure.
    A noter que ce film qui a reçu un Grand Prix Spécial et le Prix de la Critique Internationale lors du Festival de Cannes, est sorti aux USA en pleine guerre du Vietnam et dans la mouvance des manifestations Peace & Love… mais il aura quand même fallu attendre plus de 50 ans pour qu’on puisse enfin montrer à l’écran la boucherie qu’a été la Grande Guerre même si dès 1957 Stanley Kubrick avait pu sortir « Les sentiers de la gloire ».
    youliyouli
    youliyouli

    13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mai 2020
    Il ne faut pas trop en dire. Il faut regarder ce film, recevoir cet énorme pavé dans la tête. On nous l'amène lentement, entre scènes romantiques et scènes de guerre. Génial
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