Fspoiler: ilm psychologique sur le thème de la prise de décision d'un père dont la fille est infectée par un virus qui rend les personnes des zombies . Ce n'est pas un film de zombies au sens propre du terme, mais plutôt un film émouvant où le réalisateur adonné à l'acteur un rôle plus profond, très loin de ses autres personnages dans le passé et il s'en sort que bien. Un film très réussi sauf pour les amateurs de gore.
Maggie pourrait être une alternative aux films de zombies de plus en plus banals, mais il se révèle être trop mal exploité. Le film a un certain potentiel pourtant: l'histoire est originale (un peu moins dans son déroulement) en montrant le côté humain d'une épidémie de zombie au lieu du côté apocalyptique et destructeur. Un choix intéressant et bienvenu soutenu par un Schwarzenegger inhabituel dans un rôle calme et qui livre une bonne prestation, sans non plus être exceptionnel. Mais le film est beaucoup trop calme, trop plat, ne livrant pas de rebondissement attirant l'attention ou permettant de la relancer. L'histoire suit ensuite un déroulement trop classique, sans vraie surprise et avec beaucoup de prévisibilité (on devine la fin du film très rapidement). C'est vraiment dommage qu'on s'ennuie tellement devant ce film qui avait un gros potentiel et de bonnes idées mais qui n'arrive pas à les mettre en œuvre de manière intéressante.
d'une longueur insoutenable, aucun intérêt, si ce n'est de faire perdre 1h40 de votre vie. Ce n'est pas un film d'horreur, il n'y a aucun suspens, mais ce n'est pas non plus un bon drame. L'émotion n'est pas au rendez-vous, tout est plat, lent, vu et revu, bref, passez votre chemin
Les amateurs de film de zombie seront déçus par Maggie. Si ce film s’inspire du concept de zombie de Romero (transformation suite à des morsures, morts-vivants cannibales et ayant perdu toute conscience), on est loin du traitement du sujet par Romero ou par l’actuelle série- tv walking dead. Il ne s’agit pas en effet d’un film sur le thème du « survival », c’est-à-dire de personnes essayant de survivre par tous moyens dans un monde hostile. Maggie est avant tout un mélodrame se focalisant sur la relation entre le père (Scharzy) et sa fille atteinte du virus qui la transforme progressivement en zombi. Le sujet porte essentiellement sur l’accompagnement d’un malade en fin de vie et d’une certaines manière de l’euthanasie d’une personne qui souffre, sauf qu’ici au lieu d’un cancer ou autre maladie dégénérative, on a affaire à un virus zombi, un virus qui transforme progressivement le malade en zombi jusqu’à sa transformation finale où il devient un danger pour ses proches. L’idée est intéressante mais mal exploitée. Outre, certaine situation absurde (spoiler: scène des policiers qui viennent chercher Maggie ), Maggie manque de rythme.
Agréablement surpris par ce film! Alors que je m'attendais à une énième histoire de zombie, c'est plutôt une oeuvre assez sensible sur la maladie et le deuil; pas larmoyant mais émouvant, tout en retenue, et avec un Schwarzenegger surprenant dans ce rôle de père qui refuse de voir sa fille dépérir et mourir. Vraiment très bien!
Suite à une terrifiante pandémie qui semble avoir anéanti une bonne partie de l’espèce humaine dans un futur indéterminé, les personnes infectées sont placées en quarantaine jusqu’à leur transformation en zombie. Maggie est l’une de ces personnes, qui vit une transformation qui lui amènera une mort cruelle, mais au lieu d’être placée en quarantaine, son père obtient le droit de la garder un maximum de temps, un père campé par un Schwarzy qui semble s’essayer à un rôle dramatique, avant la sortie du prochain « Terminator ».
Réalisé par le bougre auquel nous devons le fabuleux générique de « The Walking Dead », « Maggie » dispose également de la particularité d’être un film de zombie dramatique avec Schwarzy, choisissant la voie de l’intimiste plutôt que celle du spectaculaire qui envahit le genre. Et il faut dire que la présence du chasseur de Predator n’est pas pour déplaire et est miraculeusement plaisante, assoiffée de nostalgie et d’amour pour un rôle peut commun.
« Maggie » est un film très simple, très lucide, qui filme la laideur pour en extraire la beauté, qui filme la douleur pour en ressortir la joie. À la fois sensible et divertissant, sans pour autant apporter un certain style. Un mélodrame, un film post-apocalyptique « réaliste », sans couleur, majoritairement aussi pale que la peau de cette fille à la lente agonie. Et entre les performances languissantes des acteurs et la science totale du maquillage dégueulasse.
Offrant à Schwarzenegger le rôle le plus profond de sa carrière, le film à toutefois du mal à s’élever malgré la surprenante interprétation de l’acteur et sa trajectoire qui va vers l’intimisme minimaliste et total. Le réalisateur Henry Hobson ayant du mal à se démarquer, ne montrant jamais si oui ou non il est capable de faire autre chose et suivant une ligne courte, peut être trop simple.
Un film surprenant mais pas sans lourdeur, qui se sert de son contexte pour paraître original mais finalement très convenu. Laissant sur une petite déception, « Maggie » reste néanmoins un film bien savoureux, simple, touché par la grâce malgré un flagrant manque d'idée.
Après, voir mon Schwarzou se faire mettre à terre par un policier qui ne fait pas un quart de son poids et qui lui souffle un « I’ll be back »… Oui, c’est un peu blessant.
Oh Maggie, si tu savais ... Si tu savais à quel point l'idée de tes créateurs promettait un joli film, une attraction bienvenue dans une période décidément pauvre en audace, une histoire humaine, sociale, et - pourquoi pas - politique. Si tu savais, Maggie, à quel degré d'intensité s'élève la frustration du spectateur venu spécialement pour toi, tes beaux yeux de mort-vivant, et tes belles promesses. Tu es trop lente, Maggie ; trop clichée, trop explicite, trop expressive. Le charme n'opère pas et l'ennui - cette bonne heure d'ennui - ferait presque regretter le petit élan de curiosité ayant poussé la porte du cinéma.
Maggie est un film différent de se qui se fait en Zombies, n’attendez pas là un film à la Résident évil ou plus récemment Word War Z, c'est bien un drame, non pas le films mais son genre : "film dramatique". Le film traite la menace bactérienne au second plan pour ce concentrer sur la relation d'une famille dont l'un des membres est infecté (en l'occurence Maggie) Bien que le jeu des acteurs soit plutôt convainquant, l'image de papy Schwarzie en rôle de père dérange un peu, mais bon sa passe, en revanche ne pas le voir en action plombe le film déjà bien lent, il vaut mieux le voir la journée au risque de piquer du nez le soir. Traiter un films de zombies en drame n'est pas évident, il me semble même que c'est une première, mais je n'attend pas cette vision, mais plutôt un film à la "The last of Us" (jeux vidéo). A voir, mais pas pour trop chère.
Grand adorateur du gouverneur, je me suis laissé tenté. Et je n'aurais pas dû. Un film de zombie sans zombies. Le mode zombie ne servant que de prétexte à une pleurniche trop télécommandée. La sauce ne prend pas, il ne se passe rien et on ressort de la salle la tête encore plus vide.
Film vraiment excellent basé sur le côté humain des personnages et non sur les zombies. L'actrice qui joue Maggie est vraiment superbe. Alors oui Schwarzenegger ne tape comme un bourrin dans ce film mais ça change et c'est ce qui m'a plu. Je ne suis pas du tout amateur de film zombie mais ce film m'a beaucoup plus pour le côté humain des personnages qui a été vraiment bien exploité. Je vous le conseille fortement.
Très déçu la bande annonce n'est en aucun cas le reflet du film manque de dialogue et d'imagination cependant l'idée et plutôt original très changent des film de zombie apocalyptique habituel