Derniers Avis : Maggie - Page 13

Film surfant sur la vague de walking dead et du jeu vidéo "the last of us". malheureusement, ce film tres plat est dans le creu de cette vague. dommage.

Petite critique rapide du film Maggie réalisait Henry Hobson, avec Arnold Schwarzenegger et Abigail Breslin dans les rôles principaux.
L'histoire se déroule dans un monde ravagé par une épidémie qui transforme ceux qui sont infectés en "zombie" de façon très lente (4 à 8 semaines). Nous suivons Wade (Arnold Schwarzenegger) est sa fille Maggie (Abigail Breslin) qui se fait mordre dé l'ouverture du film. Nous voyons alors tous au long du film les événements qui se produiront par rapport a cette tragédie.
Pour moi ce film est un petit chef-d’œuvre de très bon niveau, jusqu’à ce qu'arrive la fin qui, pour moi et tous simplement raté! L'histoire et très sympathiques, voir le personnage de Schwarzy et vraiment super, le père près à tous pour protéger sa fille tous en sachant qu'elle est condamnée. Je tiens à préciser que n'est pas un film avec des armées de zombies où Schwarzy prend ça machine-gun pour tous les dégommer, loin de là, pour dire spoiler: il ne tue que trois zombies
dans le film.
Voilà pour moi manque la fin, mais je vous conseille fortement Maggie pour passer un bon moment.

Le réalisateur exploite de très bonnes idées mais ne va pas au bout de ce qu'il veut nous dire. Le personnage qu'incarne Schwarzenegger est très intéressant mais on retombe parfois dans le champ/contre champ bateau d'amour à l'eau de rose. Tout de même, ce n'est pas un film de zombie comme les autres. La zombification est à l'image d'un cancer qui affaiblit petit à petit nos proches et qui nous obligent à imaginer un avenir sans eux. Le réalisateur a expérimenté une nouvelle voie pour le film dit d'horreur. Ici, plus d'amour que d'horreur.

Shwarzy dans un post-apo-zombie ? Ouai pourquoi pas ! ...
Alors autant shwarzy est (plus ou moins) convaincant dans son rôle de père, autant il y en a redire sur le scénario !

Premier point : c'est lent. Très lent. TROP LENT. Il n'y a pas d'action. Je pensais que Shwarzy allait un peu se fritter avec les autorités, mais non, il met juste un pain à un pauvre flic de campagne.

Ensuite : les liens entre les personnages sont mal amenés, on ne comprend pas certains liens spoiler: (relation avec les enfants boby et bidule ? Ils ne servent strictement à rien ! et pourquoi la belle mere ne s'en va pas avec les enfants ?! et quelle est la relation avec la belle mere? Un pauvre collier?!)


Et surtout : Tout le monde est stupide. Le scénar ne tient pas debout. On met ça sur le compte de l'amour, du fait qu'on soit 'humain' mais ça ne prend pas. Une infection ça se gère, et là ça n'est pas le cas, c'est vraiment impossible que le gouvernement soit aussi nul dans de telle circonstance. spoiler: Il y a une quarantaine, un couvre-feu, mais à part ça quand on trouve des gens infectés dans la rue, après un bref examen ils ont droit de rentrer chez eux ? Vous êtes sérieux ? Ils sont juste enregistré dans un registre et un docteur téléphone pour rappeler qu'il faut bientôt la ramener en quarantaine. Non mais sérieusement ! C'est n'importe quoi ! Les consignes de sécurité : pas toucher les infectés. Tout le monde le fait. Tout le temps. A part ça quand elle se fait arreter, Maggie est dans une chambre isolée et tout le monde ou presque à des masques. Et c'est pas tout : c'est le médecin généraliste s'occupe des 'zombies' ? il lui file la seringue qui est utilisé pour la quarantaine, mais c'est "hyper douloureux et très long". Ah bon ? Ils ne connaissent pas la morphine ? Le gaz ? Morphine ?


De plus, personne n'a peur des infectés. Soirée entre potes ? Ok pas de soucis ! spoiler: Et le lendemain sont petit ami se transforme !
C'est n'importe quoi !

Bref. Et cette fin ... affligeante. Tout ça pour ça. spoiler: Elle se jette du toit. Et si elle se casse juste une jambe ça se passe comment ?


Conclusion : Décevant au possible.

Il y a le plaisir de retrouver Schwarzy à l'écran, et la surprise de le voir dans un rôle plus taillé à se mesure (le monsieur à pas loin de 70 ans et il n'est plus guère convaincant dans les films d'actions), sans compter l'attrait pour me thème du film, pandémie/zombie/apocalypse, orienté drame, où on suit l'aventure de cette petite famille face à l'inévitable : un enfant contaminé qui va bientôt subir les effets de l'infection et se retourner contre les siens, affamé. On pouvait donc espérer un scénario bien senti, qui réussirait à faire monter en puissance le drame jusqu’à sa fin inéluctable. Hélas ce n'est absolument pas la cas ! Point de montée dramatique, le scénario n'est pas du tout maîtrisé du point de vue du rythme, et les scènes d'un ennui mortel se succèdent les unes aux autres, sur fond de ciel couvert et de crépuscule, le réalisateur n’ayant rien trouvé d'autre pour créer une atmosphère délétère. Pire, le réalisateur joue la carte des violons du début à la fin, l'histoire se transformant en une longue scene d'adieu écœurante à force d'être aussi insistante dans le pathos.

Avant de reprendre son rôle de Terminator pour la quatrième fois, Arnold Schwarzenegger s'offre une parenthèse dans sa carrière d'Action Hero pour jouer dans Maggie, un drame sensible visiblement inspiré par la série The Walking Dead , première oeuvre du réalisateur Henry Hobson qui ne semble pas franchement attiré vers l'horreur. Un regard différent sur le genre pour spectateurs bien conscient de ce qui les attend.

Attention, si vous vous attendez à voir des hordes de zombies attaquer d'innocents survivants, vous vous êtes trompé de film. L'histoire de Maggie s'intéresse avant tout aux derniers survivants comme la série The Walking Dead en supprimant tout ce qui pouvait y apporter de la tension. Ici l'épidémie touche à sa fin et c'est à peine si l'on verra cinq créatures de tout le long métrage. Un long métrage que l'on peut difficilement qualifié d'horrifique et qui n'est d'ailleurs accompagné que d'un simple avertissement, ce qui veux tout dire.

La seule chose emprunté des films de George A. Romero c'est le fait qu'on ne nous expliquera rien de l'épidémie qui a touché le monde. Coupé du monde dans leur petit patelin américain, Wade et sa petite famille recomposé pense avant tout à eux. Il n'y a même pas besoin de sortir armé ou se barricader tant le danger semble désormais presque écarté. Ce qui a conduit au drame la pauvre Maggie qui en adolescente écervelée à voulu vivre une vie normale dans un monde qui ne le permettait plus.

En réalité les zombies ne sont qu'une excuse pour attirer en salles un public auquel au final le film ne s’adresse pas vraiment. On aurait très bien pu imaginer la même histoire avec une véritable maladie contagieuse en phase terminale. Le long métrage y aurait gagné en réalisme et en compassion. Les fans de films d'horreur attendent forcement avec impatience que Maggie se transforme là où le réalisateur voudrait qu'on s'émeut sur son sort en laissant traîner la transformation sur des semaines. Henry Hobson se plante sur toute la ligne et n'arrivera pas à nous faire verser une larme sur le sort de la pauvre Maggie.

Que dire des effets spéciaux lamentables du long métrage, la transformation progressive de Maggie en zombie est drôlement sommaire. Quelques veines qui noircissent et des yeux qui changent de couleur, on est très loin du splendide travail de KNB sur la série The Walking Dead. Même les morts vivants complètement transformés ne sont pas à la hauteur et ne font du coup vraiment pas peur.

Découverte dans Little Miss Sunshine, l'actrice Abigail Breslin avait réussi à échapper aux morts vivants il y a quelques année de cela dans l'excellent Bienvenue à Zombieland. Elle a eu moins de chance ce coup ci puisque c'est elle qui incarne Maggie, l'héroïne du premier film réalisé par Henry Hobson. Alors qu'on aurait pu craindre le pire, Arnold Schwarzenegger se montre vraiment étonnant dans ce rôle sensible qui lui va plutôt bien. L'ex-Mr Univers devrait sérieusement songer à se réorienter dans ce registre plutôt que de vouloir réincarner tous les personnages qui ont fait sa gloire.

Est-ce parce qu'il s'agit d'une co-production américaine et suisse que le film est si lent ? L'histoire de Maggie se traîne vraiment en longueur pour ne rien raconter. Mais le pire c'est que le scénario n'avait clairement pas besoin de morts vivants pour un tel sujet car cela aurait pu être bien plus émouvant avec une maladie réaliste. Henry Hobson cherche à rivaliser avec The Walking Dead avec encore moins de moyen qu'un épisode de la série. Les fans du genre risquent d'être très déçus comme ceux d'Arnold Schwarzenegger qui ne s'attendront pas à le voir jouer les papa gateaux au lieu de se castagner avec des morts vivants.

Film d'une lenteur phénoménale, aucune compassion pour les personnages. Il ne se passe strictement rien., il n'y a aucune surprise. C'est ennuyant à mourir. Passez votre chemin !

Un film touchant. Un Schwarzennegger surprenant. Quelques appréhensions au début mais le résultat est satisfaisant.

Un film pas mauvais dans l'ensemble avec un Schwarzy comme on voit rarement: sobre et émouvant dans ce rôle de père dont la fille est gravement infectée par un virus dont on sait pas grand chose finalement. Malheureusement, le rythme du film est très lent et ça manque beaucoup de suspens ou de tension pour en faire un véritable bon film. Dommage!!

"Terminator" contre les Zombies ? Le retour de "Schwarzy" en "T-800", c'est pour bientôt dans toutes les salles obscures, mais là, le vétéran revenu au cinéma après une longue parenthèse politique, est en père de "zombie" (Abigail Breslin - devenue "Little Miss Sunset", en somme), douloureux et aimant - "Maggie" (le petit nom de la pauvre créature) donne à voir une sorte de piéta inversée (le père/la fille), avec fragments de fin de vie, dans une Amérique rurale et désolée, aux couleurs froides. Ceux qui imaginaient assister à un film de zombies "classique" n'y trouveront jamais leur compte. Mais la parabole en fait proposée par Henry Hobson (la mystérieuse maladie pouvant aisément se comprendre en quelque mal réel, type Sida ou Ebola, ravageur pour le lien social et familial, autant que pour la seule santé publique) est très moyennement convaincante, par ailleurs... Comme l'est la prestation de Schwarzenegger, s'essayant à total contre-emploi. "Sobriété" (souhaitable, vu le sujet) ne peut se limiter à exposé étique... On reste sur sa faim, au bord d'un propos simplement silhouetté.

Une arnaque pour les amateurs de films de zombies, un drame psychologique creux et ennuyeux pour les autres. Une épidémie transforme de braves gens en zombies, et les personnes contaminées sont priées de se rendre en zone de quarantaine au plus vite. Sauf que Schwarzie c'est pas un rigolo, il décide donc de garder sa fille, mordue par une de ces créatures, aupres de lui, quitte à braver les forces de l'ordre (comprenez par là les deux flics rednecks de son village). On essaie donc de suivre sans s'endormir la dégénérescence de l'adolescente dans la maison familiale à grand renforts de fausses scènes de suspense et de dialogues lénifiants sur fond de piano. le film est classé (-10) pour faire plus d'entrées ciné, ce qui explique sa platitude générale. Le scénario est quant à lui très vide... A fuir!

Un rôle nouveau pour shwarzy, franchement bien maîtrisé. Mais le film est prévisible, trop pencher sur le côté dramatique et un peu trop lent à mon gout. Il ne s'y passe pas grand chose hormis de long dialogues un peu creux à mon sens. Dommage car Maggie avait du potentiel, potentiel qui n'est pas assez exploité scénaristiquement.

maggie et un film éxcéllent et très beaux j'ai adoré ce film ca change des films de zombies que j'ai vu auparavant.car je suis un fan aussi de films de zombies mais maggie et une bonne surprise pour moi et j'ai passer un bon moment cinéma sinon le film et prenant du début a la fin et je ne me suis pas ennuyer une seconde et en plus j'ai etait pris par l'histoire et le drame de ce pére et de sa fille,sinon arnold Schwarzenegger et tout simplement bluffant et génial ca le change de ces roles habituelles il et tout bonement époustouflant et l'actrice qui incarne maggie et superbe dans le role de maggie et j'aime l'alchimie qui passe entre les deux acteur et actrice sinon malgré le manque d'actions ce film et un chef-d'oeuvre et tout et très bien ficelé scénario,'acteurs,tout quoi une réussite compléte un petit bijoux un film a voir.

Plutôt sympa! Etant un adepte des zombies, ce film m'a bien attiré, même si on est pas vraiment face à une violente invasion comme dans un "World War Z", "The Walking Dead" ou autres. Sa change et sa fait plaisir. Ici, on se sert plus du côté zombie pour développer une relation entre un père et sa fille. Le film ne fait pas vraiment peur. A la limite, il est juste sombre (comme le montre l'affiche). La musique est là pour nous confirmer qu'on regarde un film dramatique, plus qu'un film d'horreur, ce qui est intéressant. Le côté où spoiler: la transformation se fait en quelques semaines confirme également ce point du long métrage.
Cela permet de développer une histoire plutôt accrocheuse, avec un rythme assez lent, bien que l'on est pas loin de s'ennuyer par moments. Schwarzenegger change ses habitudes de gros dur, de T-800, "Expendables"... pour interpréter ici un père tendre et touchant, prêt à tout pour le bien de sa fille, dans un film à petit budget. En revanche, la fin laisse vraiment à désirer. J'ai été assez déçu à ce niveau là. Je trouves que sa se termine trop vite, qu'il manque quelque'chose. C'était voulu bien sûr, mais moi j'ai trouvé ça dommage. Aussi, j'aurais aimé que le film aille plus loin, et soit encore plus émouvant. Bref, une réussite pour un premier long métrage de Henry Hobson, un film cool et original mais sans plus tout de même, et qui se fera assez vite oublier.

Le rythme est effroyablement lent, l'atmosphère opaque, les personnages sans vie. Cette façon d'utiliser les flous et les plans "icôniques" avec peu de dialogue sied bien à Schwarzy en masquant ses imperfections d'acteur, mais à force d'"utiliser l'outil estompage" un peu partout, on s'ennuie ferme dans ce brouillard sans aucune inspiration.