AlloCiné
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Votre avis sur Maggie ?
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C’est probablement la première fois qu’un film sur un virus classique qui infecte la race humaine n’est pas considéré comme un nanar à deux balles. « Maggie » est un thriller sombre, mélancolique et victime de son propre travail.
Un papa gâteau (Arnold S.) voit son unique fille contaminée par un virus qui la ronge peu à peu. Ainsi, tout au long du film la tendre jeunesse se retrouve brillamment plongée dans l’obscurité la plus concrète. Par ailleurs, il est important de noté qu’Arnold joue un rôle complètement différent de ce qu’il a l’habitude de jouer. Ce hors-contexte lui semble plutôt favorable puisque sans ronchonner il arrive à immerger d’autant plus que les dialogues sont loin d’être d’une complexité extrême.
Un ensemble qui est rattrapé par son travail. Même si les composantes du film sont intéressantes, la production joue la carte de la lenteur. Très apprécié dans « Under The Skin » avec Scarlett Johansson, cette lenteur n’est pas du tout au goût du jour avec « Maggie ». Le spectateur n’étant déjà pas rassuré dans la noirceur du film, ce n’est surement pas la fluidité de la narration qui le fera remonter.
Ainsi, bercé entre de bonnes choses et de mauvaises choses, « Maggie » se considère comme une balance qui trouve son juste équilibre et sa moralité mais qui souffre beaucoup trop de sa lenteur déconcertante.
Un papa gâteau (Arnold S.) voit son unique fille contaminée par un virus qui la ronge peu à peu. Ainsi, tout au long du film la tendre jeunesse se retrouve brillamment plongée dans l’obscurité la plus concrète. Par ailleurs, il est important de noté qu’Arnold joue un rôle complètement différent de ce qu’il a l’habitude de jouer. Ce hors-contexte lui semble plutôt favorable puisque sans ronchonner il arrive à immerger d’autant plus que les dialogues sont loin d’être d’une complexité extrême.
Un ensemble qui est rattrapé par son travail. Même si les composantes du film sont intéressantes, la production joue la carte de la lenteur. Très apprécié dans « Under The Skin » avec Scarlett Johansson, cette lenteur n’est pas du tout au goût du jour avec « Maggie ». Le spectateur n’étant déjà pas rassuré dans la noirceur du film, ce n’est surement pas la fluidité de la narration qui le fera remonter.
Ainsi, bercé entre de bonnes choses et de mauvaises choses, « Maggie » se considère comme une balance qui trouve son juste équilibre et sa moralité mais qui souffre beaucoup trop de sa lenteur déconcertante.
Moyen. Je pensais verser une larme et voir Arnold déchirant en train de me surprendre, mais non (bon, il joue bien et il est classe, mais bon). Le film à une tension incroyable par contre... chaque scène me foutait la frousse et la musique n'aidait en rien à me calmer, je n'attendais que de voir Arnold car je me sentait vraiment épanoui quand il était à l'écran, sindrôme Terminator ?
La fin est trop vite bâclée et ce flash back oO ça marchait dans Armageddon mais là non... sinon les décors et la lumière (enfin, les quelques passages lumineux) sont pas mal du tout, mais quand c'est sombre... c'est sombre, et quand tu passes du sombre au clair ça te fait mal aux yeux lol.
Sinon, gros point faible : c'est quoi cette VF ??? déjà que nous sommes allez le voir en se fiant à allociné comme quoi le film est proposé en VOSTFR, et là on tombe dans une salle avec un film en VF mais sous titré pour sourd et mal entendant... euh ouais faudrait penser à revoir vos informations allociné kinépolis parce quand je vois Arnold enlacer sa fille en début de film et qui parle mais qu'on entend rien car; pas doublé en VF, ça fait bête... voilà.
Un film très moyen. La musique est très prenante aussi, la scène du "au revoir" de son amie à Maggie ma vraiment ému, mais c'est tout... fin bâclée, film moyen, mais avec de belles choses quand même. J'espère que
La fin est trop vite bâclée et ce flash back oO ça marchait dans Armageddon mais là non... sinon les décors et la lumière (enfin, les quelques passages lumineux) sont pas mal du tout, mais quand c'est sombre... c'est sombre, et quand tu passes du sombre au clair ça te fait mal aux yeux lol.
Sinon, gros point faible : c'est quoi cette VF ??? déjà que nous sommes allez le voir en se fiant à allociné comme quoi le film est proposé en VOSTFR, et là on tombe dans une salle avec un film en VF mais sous titré pour sourd et mal entendant... euh ouais faudrait penser à revoir vos informations allociné kinépolis parce quand je vois Arnold enlacer sa fille en début de film et qui parle mais qu'on entend rien car; pas doublé en VF, ça fait bête... voilà.
Un film très moyen. La musique est très prenante aussi, la scène du "au revoir" de son amie à Maggie ma vraiment ému, mais c'est tout... fin bâclée, film moyen, mais avec de belles choses quand même. J'espère que
Si vous allez voir Maggie pour voir un film de zombie, n'y allez pas !
Schwarzenegger est censé donner du rythme et du dynamisme aux films mais dans Maggie, même si son interprétation tient la route, l'histoire est tellement légère et le rythme du film tellement lent que vous fuyez à toutes jambes dès la fin du 1er quart d'heure...
La transformation progressive de sa fille en zombie suite à un virus aurait du permettre au film d'accélerer la cadence. Mais là rien : pas une scène d'action, pas un rebondissement et une fin minable....
Un film à oublier dans la carrière de Schwarzi...
Schwarzenegger est censé donner du rythme et du dynamisme aux films mais dans Maggie, même si son interprétation tient la route, l'histoire est tellement légère et le rythme du film tellement lent que vous fuyez à toutes jambes dès la fin du 1er quart d'heure...
La transformation progressive de sa fille en zombie suite à un virus aurait du permettre au film d'accélerer la cadence. Mais là rien : pas une scène d'action, pas un rebondissement et une fin minable....
Un film à oublier dans la carrière de Schwarzi...
"Maggie" prend les attentes du spectateur à contrepied et s'éloigne de ce que l'on aurait pu imaginer d'un film de zombies avec Schwarzie (de l'action testostéronée sur fond de gore rigolard, en gros). Il y a ici un refus du spectaculaire qui décontenancera plus d'un bouffeur de pop-corn, et l'on a droit à un drame intimiste presque contemplatif contant l'histoire d'un père aimant voulant préserver le plus longtemps possible sa fille contaminée. Arnold est étonnant de sobriété et d'émotion à peine contenue face à la jeune et douée Abigail Breslin ("Little Miss Sunshine", "Bienvenue à Zombieland"...). Le film n'est pas toujours à la hauteur du script - le réalisateur abuse un peu trop à mon goût des longues focales tremblotantes, il y a quelques longueurs, la détresse psychologique de la jeune fille face à sa décrépitude physique pourrait avoir plus de force - mais il est plaisant de regarder un film de zomblard qui sorte du registre habituel, qui commence à sentir le réchauffé. Du zombie, il y en a peu dans ce film. Il y a surtout de l'humain.
rarement vu un film aussi plat et ennuyeux. On a l'impression qu'un tétraplégique a puisé le scénario dans un des épisodes les plus soporifique des séries de zombie à la mode. Vu revu et micro-ondé à la sauce 1er prix au fond du magasin. Le pire est que ce film est que ce film est censé nous impliquer dans un drame psychologique. tellement irréel insipide qu'on s'endort au beau milieu pour se réveiller sans avoir rien raté. Un pur navet de la surproduction "culturelle"
selenie
La plupart des résumés du film envoient une image de film de zombies classique, il en est rien. L'idée est d'en faire un mélo familial sur la maladie, une maladie qui aurait pu être le sida ou une autre pandémie. Dans un rythme lancinant et mélancolique on suit la lente agonie de Maggie, toute fataliste que son père tente en vain de soulager, de soutenir, d'aimer envers et contre la logique implacable de la fin. L'anti-Thèse des George A. Romero en sommes. Un père est joué par un Schwarzenegger méconnaissable malgré tout on sent que pleurer n'est pas pour lui.
Dans un pays plongé dans une ambiance apocalyptique et crépusculaire en raison de la survenue d'une grave et inexplicable pandémie, un père tente de protéger sa fille,
spoiler:
comme il en a fait la promesse à Sarah, la mère de l'adolescente, avant qu'elle ne décède.
Il refuse de l'abandonner comme les autorités sanitaires ont ordonné de le faire pour toutes les personnes frappées par cette pandémie. Il s'agit d'une maladie terrible, totalement inconnue, extrêmement contagieuse, aussi incurable qu'inquiétante, qui fait de ceux qui en sont victimes des parias et quasiment des zombies. Les malades voient leur corps se décomposer peu à peu et sont finalement atteints de graves symptômes psychiatriques transformant leur personnalité de façon terrifiante. Transformation physique effrayante et douloureuse et transformation psychologique qui fait d'eux insidieusement des êtres qui n'ont plus grand chose d'humain.
Excellent film, même s'il se démarque fortement des habituels films de zombies. Un Schwarzy étonnant, très bon dans un rôle inattendu qui lui va très bien. Un super papa tendre et protecteur, très touchant et vrai. La jolie Abigaïl Breslin incarne avec talent le rôle de sa fille chérie. Quant à la maladie zombie, elle ne me paraît pas tout à fait impossible. Elle réunit certains symptômes dermatologiques, nerveux et psychiatriques qui évoquent plusieurs autres maladies telles que la lèpre et la rage.
Il refuse de l'abandonner comme les autorités sanitaires ont ordonné de le faire pour toutes les personnes frappées par cette pandémie. Il s'agit d'une maladie terrible, totalement inconnue, extrêmement contagieuse, aussi incurable qu'inquiétante, qui fait de ceux qui en sont victimes des parias et quasiment des zombies. Les malades voient leur corps se décomposer peu à peu et sont finalement atteints de graves symptômes psychiatriques transformant leur personnalité de façon terrifiante. Transformation physique effrayante et douloureuse et transformation psychologique qui fait d'eux insidieusement des êtres qui n'ont plus grand chose d'humain.
Excellent film, même s'il se démarque fortement des habituels films de zombies. Un Schwarzy étonnant, très bon dans un rôle inattendu qui lui va très bien. Un super papa tendre et protecteur, très touchant et vrai. La jolie Abigaïl Breslin incarne avec talent le rôle de sa fille chérie. Quant à la maladie zombie, elle ne me paraît pas tout à fait impossible. Elle réunit certains symptômes dermatologiques, nerveux et psychiatriques qui évoquent plusieurs autres maladies telles que la lèpre et la rage.
mal tourné mal joué,un film soit disant avec des zombies alors que l on en voit a peu pres 5 dans tout le film maggie aurait pu attraper la grippe cela n aurait rien changé, a recommander aux copains que vous n aimez pas
C'est original, c'est intéressent, c'est bien joué, et l'ambiance est plutot réussi. Mais bon sang...qu'est ce que c'est que cette réalisation, les plans sont moches et bardés de symboles clichés et inintéressent, sans compter l'effet de flou que le realisateur a souhaité appliqué à presque toute ses scènes. Le sens en est évident, mais je regrette, c'est laid, et j'avais les yeux qui pleurait au bout de 30 minutes à force de scruter ces espaces flous, sans compter que tous les personnages sont filmés en super gros plan, au point qu'un quart de l'écran était envahis par son nez. Et j'exagere à peine.
spoiler:
Quant à l'histoire, elle lance une réflexion qui se termine abruptement sans reelement rendre interessente cette scène finale qui prend un symbole christique assez degueu. Lorsque le final cut arrive, un gout de cendre nous reste dans la bouche. Tout ça pour ça ?
Finalement, je souligne l'effort, mais c'est malheureusement raté.
Finalement, je souligne l'effort, mais c'est malheureusement raté.
Bâclé.
Il est impossible de résumer quoique ce soit étant donné que c'est mou, durant 1h30, j'ai attendu et espéré qu'il se passe enfin quelque chose, qu'il y ait une histoire, un résumé du virus. C'est bien beau de créer un nom pour la maladie, mais hormis savoir qu'il y ait un rapport avec les récoltes, on ne va pas plus loin, on apprend des rumeurs sur la quarantaine, mais on n'en saura pas plus, aucune nouvelle des recherches et le fait que les contaminés puissent rentrer tranquillement chez eux comme si de rien n'était est tout à fait normal, ça manque cruellement de logique.
Les décors sont trop colorés, le film est trop censuré, j'avais l'impression de regarder un petit film d'auteur, pas du tout un vrai film avec un grand acteur. J'avais hâte de découvrir Schwarzy dans un rôle dramatique, eh bien, il était assez vexant, pas une grande performance, j'imaginais vraiment voir un père tout faire pour protéger sa fille, mais j'ai été assez déçu, un plan où il se force à verser une larme n'est pas une émotion et il n'a rien retranscrit du tout.
En parlant de plans, le nombre de scènes inutiles est abasourdissant, étant donné qu'il n'y a pas d'histoire, un fil rouge décevant avec la maladie de la fille, il y a donc une heure de film où on se demande l'utilité...
Et la fin, juste pourquoi ? Pourquoi cette option de facilité qui ne transmet rien, le générique arrive brusquement et je suis resté assis plusieurs secondes, ne voulant pas admettre que ça ait pu finir ainsi, je me suis même demandé si le film avait commencé.
Une énorme déception, un gros potentiel d'histoire ou de scénario pour en faire cela. Je ne saisis absolument pas les bonnes notes...
Il est impossible de résumer quoique ce soit étant donné que c'est mou, durant 1h30, j'ai attendu et espéré qu'il se passe enfin quelque chose, qu'il y ait une histoire, un résumé du virus. C'est bien beau de créer un nom pour la maladie, mais hormis savoir qu'il y ait un rapport avec les récoltes, on ne va pas plus loin, on apprend des rumeurs sur la quarantaine, mais on n'en saura pas plus, aucune nouvelle des recherches et le fait que les contaminés puissent rentrer tranquillement chez eux comme si de rien n'était est tout à fait normal, ça manque cruellement de logique.
Les décors sont trop colorés, le film est trop censuré, j'avais l'impression de regarder un petit film d'auteur, pas du tout un vrai film avec un grand acteur. J'avais hâte de découvrir Schwarzy dans un rôle dramatique, eh bien, il était assez vexant, pas une grande performance, j'imaginais vraiment voir un père tout faire pour protéger sa fille, mais j'ai été assez déçu, un plan où il se force à verser une larme n'est pas une émotion et il n'a rien retranscrit du tout.
En parlant de plans, le nombre de scènes inutiles est abasourdissant, étant donné qu'il n'y a pas d'histoire, un fil rouge décevant avec la maladie de la fille, il y a donc une heure de film où on se demande l'utilité...
Et la fin, juste pourquoi ? Pourquoi cette option de facilité qui ne transmet rien, le générique arrive brusquement et je suis resté assis plusieurs secondes, ne voulant pas admettre que ça ait pu finir ainsi, je me suis même demandé si le film avait commencé.
Une énorme déception, un gros potentiel d'histoire ou de scénario pour en faire cela. Je ne saisis absolument pas les bonnes notes...
Premier long métrage du réalisateur Henry Hobson, misant avant tout sur la psychologie que sur la débauche de violence. Un film de "Zombies" d'une rare intensité qui donne au genre zombie une toute nouvelle dimension, beaucoup plus émotionnelle.
Fait rare, Arnold Schwarzenegger, jouant ici le rôle d'un père de famille à la totale opposée d'un Conan ou d'un T-800, décide pour la première fois de jouer dans un film indépendant, et c'est bien là l'une de ses meilleures performance, pour ne pas dire la meilleure.
Les spectateurs s'attendent probablement à un film d'action à gros budget, d'où de très mauvaises critiques de leur part; mais ce n'est pas du tout le cas évidement. Petite production oblige, le film n'est pas un chef d'oeuvre d'action et de rebondissements, mais un jolie petit film indépendant, très bien réalisé et très bien interprété, se concentrant sur deux personnages, un père et sa fille, se faisant un long adieu, où règne tristesse, violence, et volonté de survivre malgré tout.
Un film plein de bonne volonté, qui renouvelle agréablement le genre, tout en offrant au spectateur un doux moment d'émotion, dans ce qui devait être à la base un film de zombie.
Schwarzenegger est parfait, Abigail Breslin est parfaite, la réalisation est sobre mais efficace, et la très belle BO renforce parfaitement le côté émotionnel du film. Un très bon premier long métrage, à la fois personnel et efficace.
Fait rare, Arnold Schwarzenegger, jouant ici le rôle d'un père de famille à la totale opposée d'un Conan ou d'un T-800, décide pour la première fois de jouer dans un film indépendant, et c'est bien là l'une de ses meilleures performance, pour ne pas dire la meilleure.
Les spectateurs s'attendent probablement à un film d'action à gros budget, d'où de très mauvaises critiques de leur part; mais ce n'est pas du tout le cas évidement. Petite production oblige, le film n'est pas un chef d'oeuvre d'action et de rebondissements, mais un jolie petit film indépendant, très bien réalisé et très bien interprété, se concentrant sur deux personnages, un père et sa fille, se faisant un long adieu, où règne tristesse, violence, et volonté de survivre malgré tout.
Un film plein de bonne volonté, qui renouvelle agréablement le genre, tout en offrant au spectateur un doux moment d'émotion, dans ce qui devait être à la base un film de zombie.
Schwarzenegger est parfait, Abigail Breslin est parfaite, la réalisation est sobre mais efficace, et la très belle BO renforce parfaitement le côté émotionnel du film. Un très bon premier long métrage, à la fois personnel et efficace.
Beaucoup de très jolis plans accompagnés d'une belle bande originale et d'une très belle prestation de Schwarzenegger qui contribuent au côté dramatique d'un contexte post-apocalyptique qui est ce que je préfère dans un film (ou série) de zombies/apocalypse.
Mais le reste manque de développement. C'est pourquoi je suis resté sur ma faim.
Le film se concentre plutôt sur la relation père/fille où le père est prêt à tout pour la protéger, sauf que le problème est là: il n'en a pas vraiment l'occasion. C'est pourquoi on a parfois l'impression que le film traine en longueur alors qu'il est pourtant très court.
De plus que le scénario étant très peu développé fait qu'il n'y a pas vraiment de dénouement.
Cependant, certains moments ont réussi à instaurer des périodes de tensions (mention spéciale encore à la musique) mais cette fois-ci de très courtes durées.
Bref, je ne sais trop quoi penser de ce film qui m'a à la fois étonné et un peu déçu...
Mais le reste manque de développement. C'est pourquoi je suis resté sur ma faim.
Le film se concentre plutôt sur la relation père/fille où le père est prêt à tout pour la protéger, sauf que le problème est là: il n'en a pas vraiment l'occasion. C'est pourquoi on a parfois l'impression que le film traine en longueur alors qu'il est pourtant très court.
De plus que le scénario étant très peu développé fait qu'il n'y a pas vraiment de dénouement.
Cependant, certains moments ont réussi à instaurer des périodes de tensions (mention spéciale encore à la musique) mais cette fois-ci de très courtes durées.
Bref, je ne sais trop quoi penser de ce film qui m'a à la fois étonné et un peu déçu...
un très bon film très poignant, on a peut être pas l'habitude de voir schwarzenneger dans un tel rôle, néanmoins ça colle parfaitement, pour ceux qui n'ont pas vu le scénario à beaucoups de similitude avec le film français "mutants"
Enfin une oeuvre qui traite differemet su zombie.
et schwarzie est magistrale en acteur dramatique.
seul bemol, Abigail Breslin fait clairement de la figuration a coté papa muscle, mais elle se debrouille pas si mal.
le film n'est pas lent, Mais ce n'est pas un film d'action, ne le regarde pas en esperant voir papa musclor sortir autre chose que sa petoire qui ne tirrera qu'une fois.
Je vous le conseile si vous souhaiter voir un film de zombie different
et schwarzie est magistrale en acteur dramatique.
seul bemol, Abigail Breslin fait clairement de la figuration a coté papa muscle, mais elle se debrouille pas si mal.
le film n'est pas lent, Mais ce n'est pas un film d'action, ne le regarde pas en esperant voir papa musclor sortir autre chose que sa petoire qui ne tirrera qu'une fois.
Je vous le conseile si vous souhaiter voir un film de zombie different
C'est mou, c'est lent, ça n'en fini pas...
Après ça, je peux argumenter, pour les personnes qui veulent plus d'explications.
L'idée d' Henry Hobson de vouloir tourner la zombification comme une maladie à gérer, plutôt que comme un fléau plongeant le monde dans un cataclysme, et un bain de sang où quelques survivants essaient de survivre, n'est pas mauvaise. Mais, juste l'idée...
Je ne serais dire si ça vient de l'acting ou des dialogues, ou juste du fait qu'on dirait que le film a été tourné sous "Prozac", mais en ce qui concerne l'aboutissement, c'est juste totalement raté !
On sent que le réal a tenté de donner une couleur dramatique, un coté humaniste, une émotion, sans malheureusement y parvenir ne serait ce que 5 minutes.
Classé ça dans épouvante ? Je l'aurais plutôt mis dans somnifère. Hobson aurait pu semer de ci, de là des scènes d'actions, pour rythmer un peu le tout,ou au moins par pitié pour ta femme qui t'entend ronfler comme un porc depuis plus d'une demi heure, mais non... Il a cru bon qu'avec trois de notes de piano et un tempo à 30 BPM, une larme de Shwarzi et une petite brune, l'affaire était dans le sac...
Bref... il y avait mieux à faire, qu'enfermer l'histoire "limite" dans un huit clos, avec des acteurs qui ne peuvent pas assumer ne serait-ce qu'une minute de monologue.
Après ça, je peux argumenter, pour les personnes qui veulent plus d'explications.
L'idée d' Henry Hobson de vouloir tourner la zombification comme une maladie à gérer, plutôt que comme un fléau plongeant le monde dans un cataclysme, et un bain de sang où quelques survivants essaient de survivre, n'est pas mauvaise. Mais, juste l'idée...
Je ne serais dire si ça vient de l'acting ou des dialogues, ou juste du fait qu'on dirait que le film a été tourné sous "Prozac", mais en ce qui concerne l'aboutissement, c'est juste totalement raté !
On sent que le réal a tenté de donner une couleur dramatique, un coté humaniste, une émotion, sans malheureusement y parvenir ne serait ce que 5 minutes.
Classé ça dans épouvante ? Je l'aurais plutôt mis dans somnifère. Hobson aurait pu semer de ci, de là des scènes d'actions, pour rythmer un peu le tout,ou au moins par pitié pour ta femme qui t'entend ronfler comme un porc depuis plus d'une demi heure, mais non... Il a cru bon qu'avec trois de notes de piano et un tempo à 30 BPM, une larme de Shwarzi et une petite brune, l'affaire était dans le sac...
Bref... il y avait mieux à faire, qu'enfermer l'histoire "limite" dans un huit clos, avec des acteurs qui ne peuvent pas assumer ne serait-ce qu'une minute de monologue.
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