Alors qu'une épidémie transformant les gens en zombie s'est propagée à travers la planète, le fermier Wade Vogel retrouve enfin sa fille, infectée par le virus. Refusant de la placer en quarantaine, il la ramène chez lui pour s'en occuper et profiter du temps qu'il lui reste avant que sa transformation ne soit définitive. Si l'approche dramatique d'un film de zombies avait de quoi séduire et pose une problématique intéressante, force est de constater que "Maggie" ne tient aucune de ses promesses. Mélodrame prévisible et terriblement mal écrit, reposant essentiellement sur des clichés dans un contexte original, le film vaudra surtout le détour pour voir Arnold Schwarzenegger s'essayer au drame, l'acteur se montrant plutôt convaincant dans ce rôle de père aimant et dévoué même s'il n'est pas aidé par des dialogues totalement ineptes. Une belle idée qui perd vite de son intérêt, se noyant dans des ficelles lourdingues, nous faisant vite souhaiter une fin rapide pour Maggie.
Quand on fait un film sur les morts vivants, on ne se contente pas de faire 1h30 en entier d'émotion ratée. Le film est mou et le scénario ne casse pas des briques. Aucune profondeur, le film démarre de la fin pratiquement donc aucun attachement ne peut se faire ni compassion et on déroule pendant 1h30 sur la même chose Raté
Ce film est génial ! Et c'est un vrai film de zombies. Pas mieux que d'autres ou moins bien mais différent. Complémentaire. C'est une vision originale. Ils faut donner leur intérêt à des choses qui serait des détails ailleurs. Là on fait dans la dentelle. Je trouve l'idée des odeurs fabuleuse et en fin de compte aussi réaliste que des scènes de violence traditionnelles. Pour Schwarzie c'est vrai qu'il est surprenant mais au fond c'est bien lui, invincible et qui tu tue tout le monde, c'est une question de quantité, de dosage, de subtilité ... de pudeur. Tous les acteurs jouent bien et l'angoisse est là, à chaque seconde qui passe, en toile de fond tranquille, inéluctable ... La musique est belle
(...) Ici, le gore se dessine dans une esthétique réaliste, loin de l’hémoglobine pure du genre, vue sur la dernière décennie (et même plus). Hélas, hors des frontières esthétiques et de l’originalité, ne reste qu’un petit film à l’ambiance marquée, dégageant une vraie proposition mais surfant peut-être sur trop de diversité de ton. A contre-courant Henry Hobson est au minimum le dépositaire de sa propre grammaire cinématographique, qu’on demande à voir exploiter sur un sujet plus dense et moins classique. Reste donc l’interprétation très solide d’un comédien en la présence du colosse Shwarzie, surprenant dans un rôle dans lequel on ne l’avait pas encore vu. Emprunt d’une certaine mélancolie, « Maggie » reste entre l’objet de curiosité, et la bande démo autant pour son réalisateur que pour un acteur revenu de loin depuis son retour face caméra. Hélas, à force d’être trop dans le méditatif, rien ne s’élève au final de cette proposition.
Tout ce que j'attendais de ce film : une ambiance ! Maggie marque un énorme point sur l'atmosphère et la mise en scène. Il y a une véritable maîtrise. Le réalisateur parvient à toucher à de l'originalité sur un thème revu à la hausse, et c'est ce que j'attendais de celui-ci. Prenons en compte aussi le fait que le côté dramatique engendrera le tout pour nous laisser une énorme pointe d'amertume dans la gorge. Maggie est un film extrêmement dur, mais terriblement tenace. Et ce, accompagné par mon idole Schwarzenegger, meilleur que jamais !
A priori un film de zombies mais il n'en est rien. Ici point de massacre au fusil a pompe ou de tranchage de têtes. Le film traite de la relation entre un père, sa fille et la mort. On aurait pu remplacer le sujet zombie par le suicide, la dépression ou toute autre maladie tel que le sida ça aurait fonctionné aussi. Schwarzi à contre-emploi ça fonctionne aussi. Il est limite reconnaissable physiquement. On le voit tendre chose rare dans la plupart de ses rôles.
Ennuyant , Le principe de Post-Apocalyptique Zombie était nouveau pour nous , et nous avons été très déçu , Aucuns rebondissements , Aucuns sentiments dans le jeu d'acteur , Des dialogues très peu riche , J'ai failli m'endormir et j'ai même fini par prier pour que le film finisse bientot.
Je ne conseille pas , à part si vous cherchez une salle noir ou que vous aimez perdre votre temps.
Une pure merveille, je l'ai vu en français pourtant. La réalisation est simplement parfaite, Arnold Schwarzenegger est surprennant dans ce film. Ce film nous prouve que les effets spéciaux ainsi que les décors flamboyants ne sont rien face à une réalisation et un montage menés à la perfection. Un dernier mot, quand on sort de la salle on a du mal à s'en remettre tellement que ce film est puissant.
Avec Maggie, Arnold Schwarzenegger prouve qu’il est capable de jouer autre chose que le héros d’action à punchlines. Dans ce film, il incarne un père de famille qui, lorsqu’il apprend la contamination de sa fille dû à un virus qui s’est propagé à travers tous les Etats-Unis, va tout faire pour la protéger et ceux malgré les règles strictes imposées par le gouvernement. Le film est plutôt bon dans son ensemble. Les acteurs sont corrects, tout comme la réalisation, et le film aborde de façon différente le film de zombie en en faisant un drame humain plus qu’un film d’horreur ou d’action. J’ai juste trouvé la fin un peu trop abrupte à mon goût, une scène de plus n’aurait pas été de trop. Voilà, un petit film bien sympathique et qui montre une autre facette de notre ami Schwarzy.
Pour moi, ils ont ouvert la brèche du film de zombie intimiste. Arnold a enfin trouvé un rôle où il peut laisser exprimer autre chose qu'un lance roquette, à savoir lui-même. Dans un rôle de père paumé il accompagne et veille sur sa fille qui part en charpie. Dur d'encaisser un tel choc, l'accompagnement dans la maladie... Un film sensible qui parfois nous fait penser à une parodie. Je m'explique, on suit la vie ou la mort de cette jeune fille, elle à la plage avec ses potes, elle qui joue dans sa maison. On frôle "la vie d'un zombie au quotidien" et le réalisateur arrive à nous faire oublier qu'il est au bord du précipice avec la blague. Un point qui aurait pu être détailler : spoiler: ces fameux camps où on parque les zombies auraient pû être montrer pour apporter plus de propos au film selon moi mais on serait sorti du champs purement relationnel pour rentrer dans le politique. Touchée par le mal alors qu'elle entre en plein âge ado...ça aussi ça aurait pu être détaillé... Il n'en reste pas moins que le film est plaisant à regarder et assez étonnant.