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Votre avis sur Nebraska ?
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Road movie signé par Alexander Payne nous baladera entre le Nebraska et le Dakota du Sud, le réalisateur nous plonge dans une relation intime entre un père et son fils. Ils apprennent à nouveau à s'entendre mais ce n'est pas facile. Les paysages américains sont de toute beauté dans ce noir et blanc qui rend le film tout de suite plus auteuriste. Un bon film du réalisateur américain même si ce n'est pas celui que je préfère.
Un excellent film - très touchant - une musique, une photographie, des acteurs, un sujet profond - véritable road movie quasi sur place dans ces paysages du Nebraska en noir et blanc
Très déçue par ce road movie !!
On est très loin de Telma et Louise et de Une histoire vraie !!
Le fait que ce soit en noir et blanc n'arrange rien,!
C'est beaucoup trop cliché. Tant de personnages négatifs et caricaturaux, ce n'est pas crédible !!
C'est une mauvaise propagande "anti Trump "
dans le style "voyez qui sont les électeurs des Républicains !!
L'idée de faire un film "pro démocrate" à deux balles a gâché cette histoire
On est très loin de Telma et Louise et de Une histoire vraie !!
Le fait que ce soit en noir et blanc n'arrange rien,!
C'est beaucoup trop cliché. Tant de personnages négatifs et caricaturaux, ce n'est pas crédible !!
C'est une mauvaise propagande "anti Trump "
dans le style "voyez qui sont les électeurs des Républicains !!
L'idée de faire un film "pro démocrate" à deux balles a gâché cette histoire
Très beau film sur la vieillesse et les liens père-fils, dans une Amérique rurale et désabusée, le scénario de ce road-movie est sans surprise. Ce qui fait la force de l’émotion repose sur le talent des acteurs (le vieux dans son entêtement, le fils dans le regard qu’il porte à son père, la mère, grivoise à souhait) et la superbe photographie en noir et blanc donnant de la profondeur et une mélancolie sourde. La caméra est parfois contemplative, le ton parfois enjoué mais la misère sociale et affective y est dépeinte avec une grande acuité, dans une dignité proche du sans-faute. Belle pépite cinématographique !
Agréablement surpris par Nebraska ! J'ai eu un peu de mal à rentrer dedans au début car le film est un peu "pince sans rire", je veux dire par là que c'est une comédie mais avec un ton très calme et lent et des personnages très crédibles et réalistes, ce qui ne rend pas les blagues hilarantes à s'en tordre par terre mais pour autant, les dialogues sont très bien écrits et m'ont décroché pas mal de rire. Nebraska se rapproche dans le fond de "Little Miss Sunshine" que j'ai vu il y a peu : on suit une petite famille qui va d'un point A à un point B, seulement dans Nebraska, il n'y a majoritairement que le père et son fils, ce qui rend le film beaucoup plus intimiste mais crédible aussi. Les relations entre les personnages sont de ce fait très réussies et les personnages attachants, alors même qu'il n'y a pas spécialement d'événements marquants ou de grands moments d'émotions. Seul petit regret de mon côté, c'est la couleur noire et blanche du film qui viennent donner un ton sombre et triste à l'œuvre alors que ce n'est pas forcément justifié, je pense que des couleurs plus vives auraient rendues ce road trip beaucoup plus mémorable à la manière de Little Miss Sunshine ou Into The Wild. Nebraska reste un bon film avec des personnages très bien écrits et des dialogues excellents, malgré son rythme lent, j'ai passé un bon moment devant et je vous le conseille !
Un road-movie contemplatif d'une belle simplicité, reposant principalement sur un duo d'acteurs en osmose, jouant parfaitement les dialogues et situations qui les opposent et les relient. Effet feel-good immédiat!
David a un père persuadé d’avoir gagné à la loterie suite à une publicité. Il va donc l'accompagner dans une ville perdue du Nebraska.
C’est une réalisation d'Alexander Payne, Oscarisé deux fois dans la catégorie Meilleur scénario adapté pour THE DESCENDANTS (2012) et SIDEWAYS (2005). Cette fois-ci le scénario a été écrit par Bob Nelson tout de même nommé à l’Oscar du Meilleur scénario original. Le film a été présenté en compétition au Festival de Cannes.
Le style noir et blanc donne direct la tonalité voulue par Alexander Payne. Un film porté sur la nostalgie. Le résultat est sans appel, c’est beau à regarder. On sent la touche de mélancolie dans de ce fils accompagnant son père récupérer un lot inexistant. Cela va leur permettre de revenir sur les terres du patriarche.
Je vous préviens, le rythme est un peu lent, même beaucoup. Il faut rentrer dans cette histoire pour vibrer à son message. J’ai apprécié cette plonger dans l’Amérique profonde. Le contenu est authentique dans une partie des Etats-Unis oublié par Hollywood.
C’était touchant de voir ces échanges avec les habitants de cette ville devenu presque à l’abandon au fur et à mesure des années. Les personnages seront d’ailleurs assez atypiques, portant comme une symbolique. Le film ne s’arrête pas cependant à cette peinture rustique. Il va aussi se pencher sur la relation père-fils. Un lien va se créé entre les deux qui n’avait qu’une relation mécanique.
Le voyage de la dernière chance qui sera surement le dernier du père. Dasn ce cadre, je dois dire que Will Forte et Bruce Dern m’ont impressionné dans la justesse de leur interprétation.
C’est une réalisation d'Alexander Payne, Oscarisé deux fois dans la catégorie Meilleur scénario adapté pour THE DESCENDANTS (2012) et SIDEWAYS (2005). Cette fois-ci le scénario a été écrit par Bob Nelson tout de même nommé à l’Oscar du Meilleur scénario original. Le film a été présenté en compétition au Festival de Cannes.
Le style noir et blanc donne direct la tonalité voulue par Alexander Payne. Un film porté sur la nostalgie. Le résultat est sans appel, c’est beau à regarder. On sent la touche de mélancolie dans de ce fils accompagnant son père récupérer un lot inexistant. Cela va leur permettre de revenir sur les terres du patriarche.
Je vous préviens, le rythme est un peu lent, même beaucoup. Il faut rentrer dans cette histoire pour vibrer à son message. J’ai apprécié cette plonger dans l’Amérique profonde. Le contenu est authentique dans une partie des Etats-Unis oublié par Hollywood.
C’était touchant de voir ces échanges avec les habitants de cette ville devenu presque à l’abandon au fur et à mesure des années. Les personnages seront d’ailleurs assez atypiques, portant comme une symbolique. Le film ne s’arrête pas cependant à cette peinture rustique. Il va aussi se pencher sur la relation père-fils. Un lien va se créé entre les deux qui n’avait qu’une relation mécanique.
Le voyage de la dernière chance qui sera surement le dernier du père. Dasn ce cadre, je dois dire que Will Forte et Bruce Dern m’ont impressionné dans la justesse de leur interprétation.
Un film très touchant qui prend son temps (trop parfois), avec une galerie de personnages truculentes, des questions sur la vie de ceux qui ont été et qui sont beaucoup moins aujourd'hui. Belle interprétation de Will Forte et Bruce Dern. Une très belle surprise avec le parti-pris du noir et blanc qui fonctionne très très bien.
Une vraie petite pépite du cinéma indépendant américain. Sorti en 2013, ce road-movie en noir et blanc, réalisé par Alexander Payne, nous plonge au cœur de l’Amérique profonde. Un vieil homme alcoolique atteint de la maladie d’Alzheimer (l’excellent Bruce Dern) pense avoir gagné le gros lot à la loterie. Accompagné de l’un de ses fils (Will Forte), il part en quête de son prix. Le récit propose des séquences vraiment drôles avec peu de dialogues (les scènes au sein de la famille notamment) et émouvantes (le final en particulier), mais surtout le ton reste simple et juste. Bref, jamais moralisateur, toujours vrai et profondément humain, ce film constitue une belle réussite.
chef d'oeuvre absolu, je l'ai vu 4 fois, chaque fois je ris et je pleure , ah bon, mon commentaire est trop court, alors rajoutons en, super histoire, supers acteurs, superbe mise en scène, que du bonheur !
Nebraska est un film que j'ai trouvé plutôt original, on n'a pas l'impression de voir quelque chose qu'on a déjà vu.
Cette histoire d'un vieil homme, plutôt blasé, qui pense avoir gagné 1 million de dollars alors que n'importe qui à sa place y verrait une arnaque, nous touche.
Il va réussir à embarquer son fils, avec lequel il va vivre une belle expérience, avec lequel il va pouvoir se retrouver, et dire vraiment ce qu'il a sur le cœur.
C'est à dire pouvoir laisser quelque chose à ses enfants.
Ensuite le second fils et sa femme vont les rejoindre et ils vont reformer une famille, dans un sens.
Ces personnages sont touchants.
C'est l'Amérique profonde, du centre, filmée en N&B, un peu comme on peut la voir dans les films des frères Coen.
Cela casse bien des mythes sur cette terre américaine.
On retrouve quelques clichés mais c'est surement important de les rappeler.
Bref, un film original, que je recommande.
A noter la présence de S. Keach, ex. Mike Hammer et Bob Odenkirk, le M. Saul Goodman de Breaking Bad.
Cette histoire d'un vieil homme, plutôt blasé, qui pense avoir gagné 1 million de dollars alors que n'importe qui à sa place y verrait une arnaque, nous touche.
Il va réussir à embarquer son fils, avec lequel il va vivre une belle expérience, avec lequel il va pouvoir se retrouver, et dire vraiment ce qu'il a sur le cœur.
C'est à dire pouvoir laisser quelque chose à ses enfants.
Ensuite le second fils et sa femme vont les rejoindre et ils vont reformer une famille, dans un sens.
Ces personnages sont touchants.
C'est l'Amérique profonde, du centre, filmée en N&B, un peu comme on peut la voir dans les films des frères Coen.
Cela casse bien des mythes sur cette terre américaine.
On retrouve quelques clichés mais c'est surement important de les rappeler.
Bref, un film original, que je recommande.
A noter la présence de S. Keach, ex. Mike Hammer et Bob Odenkirk, le M. Saul Goodman de Breaking Bad.
Un film parfois touchant souvent très drôle car caustique. On est dans du Alexander Payne où les sentiments humains transpirent dans chaque réplique, chaque scène. Peut-être quelques longueurs et un choix esthétique noir et blanc que je ne comprends pas. Bon moment malgré tout.
La longue route du père et du fils tienne le bon rythme, leurs traversées à du chemin à se faire, voir la vérité en face où se voiler la face.
Quel non américain sait situer le Nebraska sur une carte US ? Pourtant, on y est en plein dedans. Alexander Payne nous dépeint une Amérique profonde à travers l'histoire d'un vieil homme un peu "dérangé". Ce road-movie familial, en noir et blanc, est fin (même si les personnages ne le sont guère), tendre, un peu désabusé. Bruce Dern excelle dans le rôle du vieillard alcoolique et têtu. Le rythme est lent, le cadrage statique, mais on ne s'ennuie pas une seconde et on en sort avec une énergie positive. Un film indépendant qui mérite le détour.
Quelle belle surprise. Un DVD rapporté au hasard de la médiathèque. Le charme agit vite. Bruce Dern incarne à la perfection ce vieux un peu largué. Le vide de son regard dans certaines scènes est troublant de vérité. Le reste des personnages est largement à la hauteur, amenant chacun juste ce qu'il faut de décalage à cette histoire aussi attendrissante que drolatique. Et tout au long, une belle photo grise, sobre, bien calée dans des décors très soigneusement choisis.
Une mention toute spéciale pour la très belle ambiance musicale.
Une mention toute spéciale pour la très belle ambiance musicale.
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