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Milo Pignon
6 critiques
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4,0
Publiée le 6 août 2022
Très bon film d'action avec Chris Evans qui joue magnifiquement bien. Il met en scène Ryan Gosling qui joue un agent de la CIA qui a pour mission de tuer un autre agent de la CIA qui détient une carte SD comprometente sur le chef de Ryan Gosling et avant de mourir il lui donne la Carte et s'ensuit une chasse à l'homme pour retrouver Ryan Gosling qui s'est échappé de la CIA.
Budget costaud, scènes d’actions musclées et poussives, acteurs en forme (Ryan Gosling, Chris Evans, Ana de Armas) que rien n’arrêtent, scénario filiforme au super goût de réchauffé, résultat distrayant sur l’instant. Bref, Netflix n’innove pas le format, conforme à ce qui l’on attend de ce type de production… le minimum syndical quoi.
Habitués du MCU, les frères Russo sont débauchés par Netflix pour pondre un film d'action à 200 millions de dollars (!). On y retrouve la volonté de renouer avec les classiques de l'espionnage. Ainsi l'intrigue se centre sur un agent trahi, un macguffin (en l'occurrence une clé USB), et une série de voyages en Europe. Du moins sur le papier. Car à l'écran, "The Gray Man" ressemble surtout à une grosse machine qui fait pschitt. Un scénario prévisible sans inventivité, avec plusieurs facilités. Des changements de pays en trois secondes, qui alimentent des péripéties se voulant frénétiques mais manquant d'âmes. Du numérique à tout les étages, parfois bien moche (où sont passés les 200 millions ?). Et une distribution prestigieuse (... ah, on a peut-être la réponse pour les 200 millions) qui a l'air de s'ennuyer ferme. Ryan Gosling, n'ayant pas sorti de films depuis les (injustes) bides financiers de "Blade Runner 2049" et "First Man" en... 2018 (!!) incarne ainsi ce protagoniste en mode automatique, qui abat les méchants par paquets de douze sans sourciller, se remémorant à l'occasion un passé douloureux. Anna de Armas apporte un peu de charme et de classe, mais parait loin de son interprétation fraiche de "No Time To Die" alors que les personnages sont proches sur le papier. Et évidemment, on ne peut pas ne pas évoquer Chris Evans qui cabotine en méchant à la moustache ridicule. Pas vraiment menaçant vu qu'il donne surtout des ordres à des mercenaires peu compétents à travers ses écrans, ce bad guy est surtout improbable et irritant. D'autant plus que les tentatives d'humour tombent à plat. Et ce n'est pas la réalisation qui rehaussera l'affaire. Les frères Russo ne se montrent pas vraiment à l'aise avec les combats rapprochés, et il y en a beaucoup. Ca va de l'illisible franchement moche, à du correct. Soyons honnêtes, il y a quelques propositions un peu originale. Dont cette fusillade dans un tramway (faudra m'expliquer quand même comment le chauffeur peu conduire dans cette situation...). Ou un acte final qui met largement en valeur le château de Chantilly... que le film tente de nous faire croire situé en Croatie (!!!). Par contre, carton rouge sur les drones. Ils sont utilisés à tort et à travers, de manière souvent totalement gratuite. Heureusement pas en plein dans une scène d'action, mais plutôt pour faire une exposition ou un lien entre deux plans, de manière là encore frénétique et superficielle. Décidément, l'avenir du cinéma d'actio n'est pas sur Netflix... On préfère largement regarder le prochain Mission Impossible ou James Bond sur grand écran...
The Gray Man, un film qui fait bien son taf. Même à la maison où j'ai plus de mal à me concentrer, je me suis laissée prendre au jeu de ce rythme effréné : actions au rendez-vous, poursuites infernales, combats bien orchestrés. Pas d'amour mais de la tendresse Et "6 " n'est pas si loin de "007" et aucune mission ne semble lui être impossible. On voyage beaucoup dans tous les coins du monde, on les traverse en courant, en voiture, en avion, en tram... Une fin en partie morale mais est ce vraiment utile après tant de violence spectaculaire. Il y aurait une suite que ça ne m'étonnerait pas ...
"The Gray Man" – réalisé par les frères Russo (derrières les succès d’Avengers Infinity Wars & Avengers Endgame) – est le nouveau blockbuster événement de Netflix. Avec un budget démentiel de 200 millions de dollars, la production XXL de l’été ne passe pas inaperçue avec son casting de rêve dont Ryan Gosling, Chris Evans ou encore Ana de Armas. Entre bastons, explosions et courses-poursuites effrénées, le film aux multiples décors et séquences spectaculaires tient une jolie réalisation qui se montre à la hauteur de ses promesses. Bien que ce thriller d’action ne révolutionne pas vraiment le genre, son rythme soutenu et sa mise en scène efficace suffissent à nous livrer un excellent divertissement auquel l’on passe un très bon moment devant. - 16/20 Critique sur The Gray Man (film) Vu le 22.07.2022 sur Netflix
On passe un bon moment, mais c'est le genre de film aussitôt vu aussitôt oublié. J'ai l'impression que beaucoup d'acteurs passent en ce moment par la case john wick style pour se relancer. Le film reste sympa avec un bon méchant bien barré.
La CIA recrute un agent en prison pour en faire un tueur à leur compte. Les années passant et les directions avec, notre héros se retrouve pourchassé par l'agence pour retrouver ce qui n'aurait jamais dû tomber entre ses mains. Le scénario est classique : un directeur de la CIA bien pourri, prêt à tout pour accroitre son pouvoir et le conserver, un héros tueur au grand cœur, un homme de main à la solde de la CIA sans foi ni loi, un charmant ange gardien/alliée une enfant à sauver et puis des mentors du héros en figures parentales. Question moyens, le paquet a été mis en effets spéciaux et Chris Evans fait sème autant de ruines que capitaine America. La dime au wokisme est assurée avec la parité, la diversité et une Ana de Armas dans le droit fil de son rôle de James Bond girl même si on se demande comment avec ses petites jambes fines elle obtient autant d'énergie cinétique dans la tête des méchants. Donc au final un film très honorable qui se regarde bien et un bon divertissement pour une soirée après une journée fatigante : du boom boom simple et efficace avec des acteurs sympathiques. Après je ne garantis pas que je m'en souviendrai dans six mois et bien entendu, il est moins attirant pour un public féminin (enfin pour mon épouse qui n'a pas accroché).
Trop sympa comme film d'action ! Même si on comprend comment cela va se terminer, on aime les effets spéciaux, les acteurs et l'histoire en mode super héros.
Absolument rien à sauver de ce machin qu'on n'ose même pas qualifier de film. Scénario invraisemblable à la limite de la débilité, ça castagne, ça explose, on n'y croit pas, on s'ennuie, on a déjà vu ça cent fois. A éviter comme 90% des productions netflix.
Je m attendais à mieux en ces temps de canicule, sans l'élégance de 007 et l inventivité de mission impossible, c est un peu ennuyeux Les cascades ds les villes historiques européennes sont "too much" trop d,explosions c est comme un feu d artifice sans esthétique,et le personnage Tamoul à hurler de rire,c est un gag,en pleine action il s arrêté, et....non c est pas pour moi...bon soyons indulgents,il fait chaud et nos neurones sont en berne
The Gray Man réalisé par les frères Russo est un film rythmé, explosif et surtout quel plaisir de voir Chris Evans et Ryan Gossling ensemble dans une bataille sans merci. J'ai adoré. 2h10 de pur action et de pur plaisir. Hâte de voir la suite.
Un blockbuster à 200 millions de dollars des frères Russo. Un style de réalisation à la Michael Bay. Des plans en drone et des explosions. Des scènes spectaculaires qui dépotent mais un peu gratuites. Un duel au sommet. Les ingrédients sont là pour faire plaisir au public cible. Le divertissement est clairement formaté, répondant à un cahier des charges précis dont on ne peut pas dévier d'une virgule. Ce qui devient une habitude des productions Netflix, qui ne brillent pas par leur originalité. Aucun risque mais l'ensemble est honnête et sympathique. Ca fait le job.
Un nouveau nanard dans ma collection de film Netflix. Je m’étais pourtant bien conditionné à ne plus me faire avoir suite à mes précédentes déconvenues mais comme on reprend une cuite après avoir juré qu’on ne nous y reprendrait plus, j’ai de nouveau cédé à l’appel du blockbuster, du casting flatteur, de la BA tapageuse. Cédé à la promesse d’un nouveau Jason Bourne, Mission Impossible ou James Bond. Cédé oui, mais avec méfiance compte tenu de mes déceptions passées et une nouvelle fois confirmée. Scénario famélique, personnages superficiels, mise en scène indigeste… Seule satisfaction le bonheur de voir le calvaire s’arrêter plus tôt que prévu grâce à un générique aux allures de recensement de la population des USA. Tous ces moyens pour un tel résultat. Quel gâchis.
De la daube, scénario vu et revu, et deux heures de violence absurde. Sans parler de l'empreinte carbon du film où chaque scène prend place dans un coin différent du globe.