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    L'Art d'aimer
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    185 critiques spectateurs

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    Hotinhere
    Hotinhere

    511 abonnés 4 891 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juillet 2022
    Porté par un casting séduisant, un marivaudage choral savoureux et harmonieux excepté une intrigue de trop (Navarre/Ulliel). 3,25
    Alain D.
    Alain D.

    558 abonnés 3 258 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 août 2021
    Mise en scène et écrite par Emmanuel Mouret, " L'Art d'Aimer" est une comédie légère et musicale sur le désir, l'infidélité, nous montrant comment garder sa liberté au sein d'un couple.
    On peut regretter le coté artificiel de certains dialogues et la forme film "à sketches" qui multiplie les scènes sans lien cohérents, si ce n'est l'inconstance de leurs personnages. Au delà du badinage on pourra apprécier la pertinence de certaines pensées et la pléiade d'acteurs brillants de la distribution. 
    stans007
    stans007

    20 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mars 2021
    « Petit film » plein de finesse et d’élégance, aux dialogues ciselés, sorte de marivaudage moderne évoquant Eric Rohmer. Pas de vulgarité mais de l’humour.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 991 abonnés 3 965 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 janvier 2021
    Je note juste que cette énième variation du film type d'Emmanuel Mouret (ce qui en fait donc un film tout à fait sympathique avec des personnages qui proposent des idées totalement incongrues dans le seul but de réussir à s'envoyer en l'air) il ne choisit pas de faire une narration en analepses avec des personnages qui se racontent leur histoire comme c'était le cas dans un Un baiser s'il vous plaît ou dans Les Choses qu'on dit, les choses qu'on fait. Il choisit de nous faire un savant mélange entre un film à sketchs et un film choral.

    Je trouve juste qu'au début les saynètes s'enchaînent trop vite, il a envie de présenter le début de trop d'histoires d'un seul coup et donc c'est un peu frustrant. Heureusement les segments suivants seront plus développés et permettront de plus s'investir dans l'histoire, notamment dans celle qui sera au centre du film.

    Cependant je dois dire que Mouret a trouvé la bonne durée pour chaque histoire, il n'y en a pas trop et ça sait s'arrêter et ça ne s'étire pas trop non plus. Chacune prend la place qu'elle mérite. Disons qu'en général dans ce genre de film il y a toujours des personnages que l'on a moins envie de suivre que d'autres et là Mouret arrive à tous les rendre attachants et assez pathétiques comme il sait si bien le faire.

    Donc si on aime son cinéma on passera un bon moment, c'est encore une fois la même chose, mais c'est encore une fois bien fait, sachant varier les moments de malaise, de comédie et plus dramatiques (j'aime d'ailleurs beaucoup le segment avec Ulliel pour ça). Même si je pense que c'est néanmoins pas son film le plus abouti.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 221 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 septembre 2020
    Par opposition au ton régurgitant des films de Rohmer. L'Art d'aimer est sans son esprit et sans intelligence. Les mots sont insipides et inutiles qui viennent au public pour relier des morceaux aléatoires et douloureux à écouter. Et la musique de piano incessante de Mozart et Chopin pour donner un peu de classe au film ou fournir un contrepoint ironique est comme une sorte d'abus musical. François Cluzet, Julie Depardieu et Ariane Ascaride des acteurs talentueux sont complètement gaspillés. Car ils servent la marionnette unidimensionnelle manipulée par le réalisateur pour accomplir sa tentative désespérée d'être humoristique alors qu'il est simplement ennuyeux. Ce film est le problème des snobs de cinéma qui l'ont injustement félicités mais qui n'ont vraiment aucune idée du comportement des êtres humains...
    Incertitudes
    Incertitudes

    195 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 janvier 2019
    L'art d'aimer...Tout un programme. Certains y arrivent. D'autres pas. Ils s'interrogent. Se trompent. Font machine arrière. Ne savent pas sur quel pied danser. Et c'est assez amusant. Ça dépend des couples. Certains intéressent. D'autres m'ont laissé complétement indifférent. C'est un peu le problème des films à sketch. C'est souvent inégal. Là, c'est pareil. Le duo Philippe Magnan/Ariane Ascaride est assez touchant. C'est un couple qui s'aime. Qui a traversé les décennies. Il y a donc une routine qui s'est installée. Qui convient bien au mari. Beaucoup moins à elle qui a encore du désir et qui le revendique. Alors, que doit-elle faire ? Les assouvir mais faire du mal à son mari ? Et lui ? Que doit-il en penser ? Tempête sous un crâne. Tolérer ses infidélités ? La quitter avec, en contrepartie, de grandes chances de finir tout seul ? Donc, ce n'est pas parce que ça dure que c'est forcément ça l'art d'aimer. Même quand on croit aimer, si ce n'est pas réciproque comme pour Boris, c'est tout aussi compliqué à vivre. Alors quoi ? Mieux vaut rester seule comme Isabelle ? Peut-être. Parce que l'amour peut finalement débouler n'importe quand n'importe où. Y compris avec quelqu'un pour qui les sentiments n'étaient pas là au départ. Emmanuel Mouret a essayé de représenter la vie des couples, des célibataires, des amoureux, de ceux qui veulent aider mais qui font plus de mal qu'autre chose dans toute sa complexité. Tâche ô combien difficile car il n'y a pas de recette miracle et ambitieuse. Est-ce que ça représente vraiment le quotidien des français ? J'ai un doute ! Les peurs, les questionnements, les fantasmes d'Emmanuel Mouret, peut-être bien.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 décembre 2017
    Hier, j'ai regardé (non - j'ai subi), le film "L'art d'aimer" d'Emmanuel Mouret, qui porterait probablement mieux un titre tel "Lard d'Aimée", ne faisant ainsi pas insulte au sentiment beau et complexe qu'est l'amour.
    En gros résumé, c'est du Woody Allen pour pauvres. Non, pire, pour petits bourgeois Parisiens, à qui Mouret tient un miroir aux alouettes pour les détourner de la vie métro-boulot-dodo de célibataire de misère qu'ils vivent, comme le fait d'ailleurs une bonne partie de la production cinématographique pariso-parigote - mais jamais encore de façon aussi pathétique. Et vu que déjà Woody Allen me file la diarrhée...
    Où commencer ? Peut-être par le noter. C'est un retentissant 0/20, mérité de justesse par les nombreuses apparitions sur l'écran de Frédérique Bel en petite tenue. Sinon, ce serait un rien sur vingt.
    Le scénario - je m'excuse, je vais employer des termes d'usage tel "scénario, mise en scène, direction, jeu d'acteurs", bien que ce film ne suffise pas aux définitions qu'on a l'habitude d'en donner. Le scénario, donc, est un enchaînement de situations vaudevillesque avec des ficelles grosses comme CA. Plus c'est grossier, plus c'est tiré par les cheveux, et plus ça semble plaire à M. Mouret. Je vous donne quelques extraits, entre la mamie défraîchie qui se fait draguer en l'espace de 2 secondes par deux beaux mecs qui pourraient être ses petit fils, son mari qui fait 3 fois le tour de Paris à pied en pyjama (sans se faire embarquer par les keufs), le beau célibataire dont la voisine de palier est une bombe sexuelle se baladant sans cesse en petite tenue (Frédérique Bel, donc), également d'une vingtaine d'années sa cadette... De toute façon, pour Mouret, l'amour semble s'affranchir complètement de considérations de compatibilité d'âge, du moment où tout le monde fasse partie de la planète bobo parigote. Ou est-ce pour se donner une excuse pour enfoncer sa langue de laideron vicelard dans la bouche d'une petite minette dans l'épisode où il se met en scène lui-même ? Parlant de mise en scène, une fois de plus, le terme est guère justifié. C'est des gens filmés dans un décor - invariablement de beau standing Parisien, évidemment. L'image est on ne peut plus plate. C'est tellement convenu que ça en deviendrait presque une provocation artistique. Les acteurs ne jouent pas, ils disent leur textes, avec un jeu de gestes et de mimiques aussi pauvre que mal exécuté. Le spectateur a un peu l'impression que c'est à chaque fois le premier clap qui a été gardé, et que pendant la scène le réalisateur ait fait un tour aux chiottes. Pathétique. Le pire sont les scènes où Mouret joue lui-même. Il est à peu près aussi acteur que moi trader - ou acteur, par ailleurs. Vous doutez bien que je n'ai pas tenu jusqu'au bout, à me farcir ces platitudes sur "l'amour", qui ressemblent étrangement aux représentations que s'en ferait un homo refoulé et torturé de 14 ans.
    peter W.
    peter W.

    41 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mai 2017
    C'est gentil mais malgré la voix off à la manière de Sautet on n'atteint pas des sommets. On trouve quelques bonnes idées ainsi que des moments amusants pour le reste c'est plutôt du remplissage.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 067 abonnés 5 003 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 octobre 2016
    "L'amitié sexuelle est une chose très répandue de nos jours"
    Un film comme un traité sur l'amour et ses formes de plaisir. On ressent malgré tout une certaine tristesse à ne pas aimer vraiment une personne: comme un regret toujours lancinant de n'être jamais heureux du moment qu'on vit car en attente constante d'un bonheur supérieur qui ne viendra pas. Toujours charmant dans ses dialogues et un style élégant et subtil.
    Vinz1
    Vinz1

    161 abonnés 2 383 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2016
    Construit comme une succession de sketchs, le film est,comme souvent pour ce type de métrages omnibus, très inégal. La faute à des scénettes inintéressantes de par leur scénario ou bien des acteurs plats. On aurait aimé que certaines scènes n'existent pas et que d'autres soient rallongées, comme, par exemple, celle mettant aux prises François Cluzet et Frédérique Bel. Pas mal mais sans plus, ce n'est pas le meilleur métrage de Mouret.
    Matthias T.
    Matthias T.

    41 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mars 2016
    Un film assez inégal, une succession de saynètes pas toujours réussies. Malgré quelques moments sympathiques ou touchants, ce n'est - de loin - pas ce que Mouret a fait de mieux.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 292 abonnés 4 326 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2016
    L’Art d’aimer est une sorte de film à sketchs un poil plus sérieux et réaliste que ce que fait d’habitude le réalisateur. L’ensemble souffre malheureusement d’être assez creux finalement, avec seule une conclusion qui parvient à hausser le niveau de l’histoire.
    En effet pendant une grande partie du film on voit se succéder des pastilles sur l’amour qui restent assez minimales, et n’ont pas vraiment de consistance en fait. En plus c’est relativement dégingandé, et la scène doit illustrer une maxime qui s’affiche à l’écran auparavant. C’est démonstratif et pas assez bien écrit ou pas assez drôle ou émouvant pour vraiment emporter le morceau, et les chutes sont souvent faibles. Seule la dernière partie, plus dynamique, plus surprenante, plus longue aussi parvient à donner du piment à un ensemble très sage.
    Le casting est soigné et reste un argument chez Mouret, même si la pléthore de personnages, la durée courte d film, fait qu’ils ne sont pas tous des plus sollicités. On appréciera comme de coutume un casting féminin séduisant très bien choisi par Mouret, avec des figures habituelles comme Bel et Godrèche. Le casting masculin est soigné mais toujours un peu en retrait. Même si les acteurs font ce qu’ils peuvent et plutôt bien, force est de constater que l’écriture des personnages n’est pas top pour tous, et en particulier pour le duo Cluzet-Bel.
    Visuellement Mouret a été un peu fainéant ici. Si l’on appréciera des choix de décors sympathiques et parfois originaux, l’ensemble reste timide en terme de mise en scène, c’est parfois assez plat, trop démonstratif encore une fois, comme l’histoire. En fait ce film a des allures de documentaire par moment, et c’est assez gênant. Une jolie bande son et une photographie de qualité ne parviennent pas à enlever cette impression.
    En clair une œuvre mineure de Mouret, qui signe un film plan-plan, trop roide dans son déroulé, pas assez bien doté de personnages creusés, et au caractère didactique, voire pédagogique assez lourd. Pour moi c’est un 2, et un des moins bons films du réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 novembre 2015
    Dans ce film, Mouret nous montre qu'il maîtrise l'incongru, le cocasse avec talent - ce qui ne l'empêche pas de montrer sa piètre qualité en tant qu'acteur. Cet incongru au bon sens du terme, qui nous amuse et nous surprend, donne la saveur de ce titre sur des thèmes pourtant mille fois rabâchés. Un bon cru dans le genre, bien qu'inégal entre les différents sketches.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 126 abonnés 4 142 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 janvier 2016
    Emmanuel Mouret entend placer son cinéma au confluent de ceux d’auteurs aussi prestigieux que Sacha Guitry, Woody Allen ou Eric Rohmer. Le questionnement autour des relations amoureuses est donc son fond de commerce. Dans « L’art d’aimer », film à sketches dans la tradition des productions franco-italiennes des années 1960, il s’aventure bien imprudemment sur le terrain favori de Sacha Guitry qui n’avait pas son pareil pour tirer la substantifique moelle des situations scabreuses qu’il avait le don d’inventer pour montrer l’impossibilité de mettre en théorème les sentiments amoureux qui n’obéissent qu'à une seule règle: "en avoir aucune". Comme Guitry avant lui, Emmanuel Mouret apparait volontiers dans ses films. Mais pour ne pas être désobligeant, il sera plus sage de ne pas se livrer au jeu des comparaisons. Ce n’est pas que les situations proposées par Mouret soient dépourvues d’intérêt mais leur traitement et la direction d’acteurs qui en découle, lestent définitivement le film de semelles de plomb qui donnent à l’ensemble une certaine lourdeur pour ne pas dire une lourdeur certaine, là où Guitry excellait par la brillance d’une superficialité certes un peu verbeuse mais franchement jubilatoire. C’est justement cette superficialité que Mouret ne parvient jamais à trouver, donnant sans doute involontairement à ses sketches un petit air de suffisance assez désagréable. Les comédiens ne sont bien sûr pas à la noce notamment, François Cluzet, Judith Godrèche, Frédérique Bel ou Gaspard Ulliel. Seuls Laurent Stocker et la toujours confondante de naturel Julie Depardieu surnagent dans le meilleur des cinq sketches qu’Emmanuel Mouret a eu la bonne idée d’étirer un peu plus que les autres, parvenant ainsi à sauver les meubles. La critique s’emballe sans doute un peu trop pour le cinéaste marseillais qui aurait intérêt à revenir à plus de simplicité et de sincérité.
    fabrice d.
    fabrice d.

    26 abonnés 1 480 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 septembre 2015
    Pas fan pour 2 sous des films romantiques j'ai trouvé celui-ci excellent.
    Les décors et les costumes sont soignés, presque théâtral, c'est d'ailleurs un film à sketchs ou à histoires tout du moins, qu'on croit séparer les unes des autres, puis finalement qui s'imbriquent plus ou moins à la fin.
    Ce n'est pas du tout ennuyeux, c'est au contraire plein de vie et très dynamique.
    Je recommande.
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