AlloCiné
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Votre avis sur Monsters ?
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Un film génialement réussi avec un budget limité. C'est étonnamment plus un road-movie mettant en scène un flirt amoureux qu'un réel film de science-fiction. Pourtant, c'est l'aspect fantastique qui permet les formidables images de décors en ruines, d'épaves et qui fournit l'atmosphère de guerre. Ici les monstres semblent être une allégorie du territorialisme américain face aux migrants Mexicains. Il y a quasiment pas d'action mais ça ne l'empêche pas d'être super intéressant dès le début jusqu'à la fin qui est vraiment excellente et émotif avec un visuel super réussi avec les deux créatures qui se comportent "comme des humains".
Et bé Gareth. Sans budget, tu sais faire des choses toi !
L'ôde à l'aventure et à la découverte dans un contexte apocalyptique/invasion-extraterrestre fonctionne très très bien je trouve.
Choisir de montrer l'émerveillement, une idylle ou l'espectation des personnages face à l'absurde de leur situation, et ba ça marche.
L'ôde à l'aventure et à la découverte dans un contexte apocalyptique/invasion-extraterrestre fonctionne très très bien je trouve.
Choisir de montrer l'émerveillement, une idylle ou l'espectation des personnages face à l'absurde de leur situation, et ba ça marche.
Un bon petit film sans prétention, bien joué, une jolie histoire un peu décousue, mal fichue mais très charmante grâce à sa ravissante héroïne. Il est aussi rattrapé par l'excellente bande son. Quant aux effets spéciaux, pour cheap qu'ils soient, le sont moins que l'abominable Nope, pourtant encensé par la critique. Donc à voir
"Monsters" est un film que j'ai moyennement apprécié. L'histoire est sympa mais très mal exploitée, la mise en scène pouvait être mieux tournée, l'action est inexistante et les effets spéciaux ne sont pas fou (après le film a un petit budget). Les dialogues sont chaotiques et par contre certains décors sont assez sympas.
Si j'avais voulu voir une histoire d'amour, j'aurais cherché un film dans la catégorie "romance" et non dans "science-fiction". Hors-sujet donc, et passablement ennuyeux. Les dialogues sans intérêt, les personnages sans intérêt... Quel ennui !
c'est chiant.
une stupide bluette amoureuse qu'on voit venir à 15 000 km dès le début du film.
c'est mal cadré. mal filmé. c'est chiant, c'est chiant et c'est chiant.
ça se prends pour une sorte de "into th wild" horrifique mais c'est même pas "horrifique" et pour le côté "poétique/contemplatif" c'est plutôt "into the shit".
même si c'était classé "romance pour ado prépubère" au lieu de "épouvante/horreur" j'aurais trouvé ça à chier par terre.
une stupide bluette amoureuse qu'on voit venir à 15 000 km dès le début du film.
c'est mal cadré. mal filmé. c'est chiant, c'est chiant et c'est chiant.
ça se prends pour une sorte de "into th wild" horrifique mais c'est même pas "horrifique" et pour le côté "poétique/contemplatif" c'est plutôt "into the shit".
même si c'était classé "romance pour ado prépubère" au lieu de "épouvante/horreur" j'aurais trouvé ça à chier par terre.
Film apocalyptique très inspiré par Spielberg, tant dans la mise en scène que dans le scénario (La Guerre des Mondes en particulier), Monsters est plus proche d'un road movie contemplatif que du film d'horreur. Les monstres sont tout de même vraiment bien filmé à hauteur d'homme. Les personnages sont peu marquant et le récit manque d'une dose d'adrénaline...mais Gareth Edwards montre un vrai talent de metteur en scène, d'autant que le film n'a coûté que 500K dollars !!
Passé à côté à l'époque, et bien heureux d'avoir découvert ce petit bijou, véritable ode au cinema. Sous pretexte d'une invasion E.T. incongrue façon SF à la H.G. Wells, Gareth Edwards réalise un film sensoriel comme on en voit peu (ou plus) : une approche, une caméra et des plans flirtant avec Antonioni (Profession Reporter), Friedkin (The Sorcerer), Danny Boyle (28 jours plus tard), une BO inspirée, rappelant Tangerine Dream et Brian Eno. Et c'est bien d'humanité qu'il s'agit, bien plus que de grosses bêtes venues d'ailleurs. Vivre vraiment plutôt que survivre (au milieu des E.T. comme à la maison). Une allégorie et une thématique qui seront également traitées par Jeff Nichols dans son magnifique Take Shelter, 1 an plus tard (la fin du monde à la place des bébêtes). Monsters (mais qui sont les veritables Monstres?) est une véritable pépite passée un peu inaperçu, pour ceux qui aime le cinéma posé et sensoriel.
Ce film est affligeant. Les dialogues sont sans intérêt, les enjeux sont inexistants, on voit deux monstres (de loin et de nuit) dans tous le film, c'est mal filmé. Et j'en passe.
Très difficile de noter ce long métrage. J'ai visionné 50mn sur 1h30, je vais encore faire un effort avant de le jeter. C'est mou, les acteurs s'ennuient, eux-mêmes ne sont pas convaincus. 56 ème minute, je jette ce navet à la poubelle. Je ne risque pas de regarder le 2
Bon j'ai tout regardé car je l'ai vu en Anglais, mais il ne se passe rien, d'un ennui. Et la fin se fait en noeud de boudin. Bref ça se termine de façon ennuyeuse...A éviter sauf en VO pour parfaire votre anglais
Je pense que les gens ont été déçu par la bande annonce qui donne l'air au film d'être un triple A d'horreur à gros budget alors que c'est exactement l'opposé. Si vous avez vu Civil War (2024) c'est le même problème. Une bande annonce épique qui ne choisit que les scènes les plus tendues avec une musique différente de celle du passage réel du film.
La vérité c'est que ce film s'en sort superbement bien avec un micro budget de 0,5 million $. Mais au lieux d'avoir des gros plans sur des monstres qui bouffent des gens on suit la romance (un peu trop prévisible) entre 2 personnages bloqué du "mauvais" coté de la frontière dans road trip Mexicain assez réaliste.
Le film pose la question de qui sont réellement les monstres. Entre l'homme qui tente de contenir à grand coup d'armes chimiques la "menace" ou les monstres qui ne sont peut-être pas aussi monstrueux que ce qu'on veut nous faire croire. En tout cas les USA en ont profité pour faire construire leurs temps rêvé et Ô tant décrié mur avec la frontière du Mexique. Le soucis c'est que " l'ennemie " est devenu la nature elle même et comme dirait si bien Jeff Goldblum:
"If there is one thing the history of evolution has taught us it's that life will not be contained. Life breaks free, it expands to new territories and crashes through barriers, painfully, maybe even dangerously. I'm simply saying that life, uh... finds a way"
Seule la fin me laisse un peu perplexe:
* spoiler: On retrouve la scène du début du film mais il est peu clair de si les personnages meurs ou pas. Donc finalement on ne sait pas s'ils pourront raconter ce qu'ils ont vu. Je ne sais pas... Le manque de clarté/lisibilité me laisse un petit gout amer.
Bref, beaucoup de guillemets autour de ce très bon film qui n'est ni ce qu'il dit qu'il est et ne montre pas ce que vous pensez ce que ce sont. ^^
* VFX: 2
* Histoire : 3.5
* Dialogues: 5
* Photographie: 4.5
La vérité c'est que ce film s'en sort superbement bien avec un micro budget de 0,5 million $. Mais au lieux d'avoir des gros plans sur des monstres qui bouffent des gens on suit la romance (un peu trop prévisible) entre 2 personnages bloqué du "mauvais" coté de la frontière dans road trip Mexicain assez réaliste.
Le film pose la question de qui sont réellement les monstres. Entre l'homme qui tente de contenir à grand coup d'armes chimiques la "menace" ou les monstres qui ne sont peut-être pas aussi monstrueux que ce qu'on veut nous faire croire. En tout cas les USA en ont profité pour faire construire leurs temps rêvé et Ô tant décrié mur avec la frontière du Mexique. Le soucis c'est que " l'ennemie " est devenu la nature elle même et comme dirait si bien Jeff Goldblum:
"If there is one thing the history of evolution has taught us it's that life will not be contained. Life breaks free, it expands to new territories and crashes through barriers, painfully, maybe even dangerously. I'm simply saying that life, uh... finds a way"
Seule la fin me laisse un peu perplexe:
* spoiler: On retrouve la scène du début du film mais il est peu clair de si les personnages meurs ou pas. Donc finalement on ne sait pas s'ils pourront raconter ce qu'ils ont vu. Je ne sais pas... Le manque de clarté/lisibilité me laisse un petit gout amer.
Bref, beaucoup de guillemets autour de ce très bon film qui n'est ni ce qu'il dit qu'il est et ne montre pas ce que vous pensez ce que ce sont. ^^
* VFX: 2
* Histoire : 3.5
* Dialogues: 5
* Photographie: 4.5
J'étais plutôt enthousiaste à l'idée de voir une suite à « Monsters ». Malheureusement, « Monsters: Dark Continent » est une déception majeure. Au lieu d'une aventure captivante avec des créatures monstrueuses, le film s'est révélé être un drame de guerre avec un arrière-plan politique confus, évoquant le conflit au Moyen-Orient sans jamais vraiment s'engager. Les monstres, qui auraient dû être au cœur du film, sont relégués à de simples éléments de décor et n'ajoutent rien à l'histoire. Le titre et le marketing du film sont trompeurs, laissant croire à des scènes de batailles contre des créatures gigantesques, ce qui n'est pas le cas. L'action est parfois intense et les performances des acteurs plutôt convaincantes, mais cela ne compense pas une trame principale décousue et parfois ennuyeuse. Les quelques bonnes idées du film sont noyées sous un script maladroit et un manque de développement cohérent de l'histoire. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Aujourd'hui, Gareth Edwards est à l'origine de plein de films cultes, mais il a bien évidemment dû montrer de quoi il est capable. Dès le début, on assiste à ce qui caractérise sa gestion de l'histoire : il joue sur l'inattendu,
spoiler:
en montrant ce qu'on attend le plus, le moins possible
. C'est une bonne idée, mais dans ce cas-ci, c'est plus perturbant et le rythme ralentit.
Alors attention, les personnages sont justement bien représentés et on a de l'empathie pour eux. Les acteurs sont également crédibles dans leurs rôles. Pour ce qui est des monstres, ils ont un design intéressant et j'adore le fait qu'à la fin, spoiler: ils ne soient pas considérés comme de banals monstres, mais comme des créatures ayant des sentiments
et puis c'est bien qu'on les montre petit-à-petit et non directement.
Pour une petite production, les effets spéciaux sont de bonnes qualités et évidemment la mise en scène de Gareth Edwards est immersive grâce aux plans filmés à hauteur d'homme. En revanche, les scènes de nuit sont trop sombres et on a du mal à distinguer quoi que ce soit. La musique à quelques tons sympas et les paysages dépaysent.
"Monsters" est très moyen, mais vu qu'il s'agit d'un premier film, il s'en sort pas trop mal. C'est juste dommage qu'il n'y a pas plus d'interactions entre les héros et les monstres, j'trouve que ça aurait apporté un plus.
. C'est une bonne idée, mais dans ce cas-ci, c'est plus perturbant et le rythme ralentit.
Alors attention, les personnages sont justement bien représentés et on a de l'empathie pour eux. Les acteurs sont également crédibles dans leurs rôles. Pour ce qui est des monstres, ils ont un design intéressant et j'adore le fait qu'à la fin, spoiler: ils ne soient pas considérés comme de banals monstres, mais comme des créatures ayant des sentiments
et puis c'est bien qu'on les montre petit-à-petit et non directement.
Pour une petite production, les effets spéciaux sont de bonnes qualités et évidemment la mise en scène de Gareth Edwards est immersive grâce aux plans filmés à hauteur d'homme. En revanche, les scènes de nuit sont trop sombres et on a du mal à distinguer quoi que ce soit. La musique à quelques tons sympas et les paysages dépaysent.
"Monsters" est très moyen, mais vu qu'il s'agit d'un premier film, il s'en sort pas trop mal. C'est juste dommage qu'il n'y a pas plus d'interactions entre les héros et les monstres, j'trouve que ça aurait apporté un plus.
Un mélange plus ou moins habile de romance intimiste et de film de monstres. Les deux acteurs (inconnus du public mais a priori très proches dans la vie) sont assez fades et les dialogues d’une platitude désopilante. Le point fort du film reste l’idée de base, contenir tant bien que mal, entre deux murailles et deux océans, à défaut de pouvoir les exterminer, des créatures tentaculaires venues de l’espace.
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