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    Les Amours Imaginaires
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    3,7
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    364 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 mai 2012
    Dans sa façon de faire, Xavier Dolan n'a rien a envier à d'autres réalisateur du même registre. C'est d'ailleurs assez impressionnant de voir que si jeune, ce réalisateur parvient à aborder son film avec autant de maturité. Cependant, à mon avis, le film manque énormément de rythme et tourne parfois en rond... en cela je ne vois absolument pas le défaut de l'âge, mais plutôt celui du style qui ne me convient pas. "Les amours imaginaires" est un film à ne pas mettre entre toutes les mains, c'est à cela que l'on repère le VRAI talent du réalisateur.
    * * * pour le film
    * * * * * pour Xavier Dolan
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 mars 2013
    Un film parfois intéressant mais qui m'a surtout paru très prétentieux. Les interprètes sont plutôt intéressants et surtout Monia Chokri, la vraie découverte de ce film.
    vanou97
    vanou97

    45 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2012
    Ce que le Québec sait faire de bien... Un cinéma décalé axé sur les longues prises de vue très expressives entrainées sur une Bande Originale très justement choisie. Le Sujet : la jeunesse des dernières décénies, racontée à la manière de Xavier Dolan, et ça ne nous déplaît pas !
    Schwann
    Schwann

    10 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mars 2012
    Après l'avoir vu à deux reprises au cinéma, je l'ai revu sur petit écran et, à mon plus grand malheur, ai commencé à ressentir une certaine lassitude. Les Amours imaginaires contient pourtant des tournures scénaristiques intéressantes - l'histoire est par exemple mêlée à des témoignages qui l'égayent - et quelques scènes éblouissantes - celle de la fête, par exemple, apogée du film. Il est possible que le voir sur un petit écran en ait diminué considérablement la portée, étant un film dynamique dans sa lenteur, rétro dans sa modernité - bref, un film truffé, comme l'amour, d'oxymores et d'irrationalité ; un émerveillement visuel et auditif. Des amours proustiens réadaptés et injectés dans l'universalité de vies québécoises, sur fond d'une magnifique BO, particulièrement travaillée, qui va de Dalida (Bang Bang) à Wagner (Parsifal) en passant par the Knife (Pass this on) ou Bach (Suites pour violoncelle). Les Amours imaginaires révèle l'impétuosité du jeune réalisateur Xavier Dolan, qui se ressentait déjà dans son premier film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 14 février 2012
    Un peu long pour un clip vidéo.

    Un film à l'image du personnage de Nicolas : un emballage séduisant avec rien à l'intérieur.

    Monsieur Dolan aurait dû déléguer quelques postes créatifs (qu'il maîtrise très bien lui-même) et se consacrer à l'écriture d'un vrai scénario avec quelque chose dedans.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 19 octobre 2012
    Une papillote appétissante mais quand on ôte le papier brillant, on trouve une mauvaise blague à l'intérieur.. Monia Chokri s'en sort bien et j'ai eu plaisir à revoir Anne Dorval grimée presque à l'image de son célèbre personnage de semi-personnalité délurée Criquette Rockwell (Le cœur a ses raisons.) Pour le reste, on a l'impression de regarder un très long clip au ralenti, ça reste très fade malgré les strobo/kaléidoscopes & la bande son assez géniale à mon goût (il n'y a qu'un pas entre Wagner & Dalida!) C'est "mignon" sur la forme mais totalement creux sur le fond alors regarder sans entrer vraiment dans le sujet pendant plus d'une heure, personnellement, je trouve ça lassant.. c'est finalement l'apparition de Louis Garrel qui m'a le plus interpelé donc c'est dire si j'ai dû attendre mon "rebondissement" car il arrive à la dernière seconde, sans trop comprendre ce qu'il fait là d'ailleurs ; enfin si puisque l'histoire infernalement mièvre semble se répéter..
    Clingo
    Clingo

    60 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 février 2012
    Un film séduisant. Il parle d'un thème traité douze mille fois par an au cinéma, et même s'il n'évite pas certains clichés, ça n'est pas si grave parce qu'il a une identité propre et un univers très personnel. C'est paradoxal vu le sujet traité donc, et au vu des citations auxquelles s'adonne Xavier Dolan. Le cinéaste convoque autant Godard ( le thème du Mépris ) qu'un auteur comme Wong Kar-Waï, pour l'esthétique et l'imagerie générale du film. Certains pourraient trouver ça creux et artificiel, mais l'esthétique du film en réalité ne fait que traduire un état d'esprit propre à la jeunesse. J'ai l'impression que c'est un film que les vieux ne peuvent pas adorer, en tout cas pas autant que les plus jeunes. Les Amours n'est pas totalement un film rock, il serait plus entre ça et la pop, entre l'adolescence donc et disons la période où se situent les jeunes adultes. A 30 ans passés, peut-être qu'on serait moins emporté par le joli souffle du film. Dolan propose donc un triangle amoureux qui se transforme rapidement en une ligne dont les deux extrêmités sont occupés par Marie et Francis. Il est très intéressant de voir comment l'intrusion d'un élément extérieur vient perturber leur amitié, comment le bel éphèbe va provoquer de la rivalité insidieuse entre les deux amis. Il y a une cruauté sous-jacente dans Les Amours, qui se révèle assez jouissive par ailleurs, naissant de ce paradoxe qu'est l'amitié : une relation d'attraction-répulsion, un mélange d'égoïsme et de tendresse envers l'autre. Il y a aussi un certain suspense dans le film - à un degré moindre - et une manière de retenir l'attention du spectateur qui se demande jusqu'où va aller ce jeu plutôt implicite que jouent Marie et Francis.

    La plastique du film semble privilégier la futilité d'un tel jeu, et le fantasme que représente Nicolas. Xavier Dolan multiplie les ralentis, se situe à la limite d'une attitude de poseur, mais n'y met heureusement jamais les pieds puisque ses choix formels traduisent à merveille la fragilité des situations et sont un bel exemple du contraste entre l'imaginaire - ce que pensent les deux héros - et la réalité - qu'ils se prennent en pleine figure pour sombrer dans la désillusion. Au niveau du scénario et de la psychologie des personnages, on retrouve - par le moyen de dialogues pertinents et impressionnants de réalisme - cette même sensation de déplacement de la réalité de la part des deux personnages principaux. Si bien que le titre peut très bien être renversé, et qu'on a aussi l'impression de voir l'imaginaire de l'amour, une manière de romancer la passion pour finalement être confronté à la réalité des faits. C'est que Les Amours est un film pleinement romantique, mais aussi romanesque ( l'adjectif du titre le dit bien ), et il y a une vraie sensibilité chez Dolan, une manière douce de voir le monde - malgré tout - et surtout de le retranscrire. La chanson principale illustre bien ce paradoxe - je m'en remets à la version originale de Nancy Sinatra - qui parle d'amour et de mort, inséparables, de beauté et de gravité. Deux mots qui résument bien le film.

    Un film au charme intense, une bouffée d'air frais qui fait un bien énorme. Paradoxalement, ça donne envie d'être amoureux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 juin 2012
    Les Amours Imaginaires de Xavier Dolan est encore plus fort et beaucoup plus réussi que J'ai tué ma mère , film dans lequel le jeune cinéaste dépeignait la relation difficile entre une mère et son jeune fils adolescent . Ici , le très jeune mais très mur et talentueux Xavier Dolan récidive dans le registre dramatique avec ses Amours Imaginaires , portrait d'une jeunesse quelque peu rebelle qui va de l'avant à travers le trio formé par Marie , Francis et Nicolas . Ce trio est en effet , tout d'abord fascinant dans la manière où ils se cherchent véritablement ( ou plus exactement la manière de la séduction utilisée par Francis et Marie envers le personnage intrigant de Nicolas ) . C'est donc encore une fois ce thème du désir qui est présent dans le film , le thème de la recherche . Ils étaient déjà au coeur de J'ai tué ma mère , spoiler: notamment dans la manière où Hubert , vers la fin du film essayait une approche , une tentative de rapprochement avec celle qu'il semblait mépriser ( mais qui au fond de son être , aimait profondément )
    . Dans Les Amours Imaginaires , on se retrouve devant un pur objet cinématographique , où des sentiments naissent la passion , une passion qui dans le film se révèle parfois très violente spoiler: ( les nombreux affrontements de rivalité entre Francis et Marie )
    . C'est ce genre de cinéma qui est puissant par le regard qu'il pose , par la dureté mais en même temps par la poésie spoiler: ( la très belle scène de la cuillère )
    . Un chef-d'oeuvre .
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 31 janvier 2012
    Un joli film qui se laisse regarder, seulement c'est aussi son problème. Un poil auto-suffisant et frisant parfois la "masturbation" intellectuel. Dommage.
    VOSTTL
    VOSTTL

    97 abonnés 1 944 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 janvier 2012
    Je n’ai pas vu le premier film de Xavier Dolan mais je vais me racheter car celui-ci a un charme envoûtant. Les couleurs, les costumes, les couleurs des costumes, les couleurs de l’automne, les couleurs des sentiments. Amours imaginaires, amours platoniques, amours vains. Chronique d’une mort annoncée. Mais l’amour est irrationnel, c’est pourquoi Francis et Marie, en concurrence, espèrent. C’est beau d’être amoureux, mais l’amour est encore plus beau s’il est réciproque. Et toutes ces attentes loin de Nicloas, tous ces moments passés auprès de Nicolas sont captivants. Il y a dans les intentions, dans les silences de Marie et de Francis comme une résignation, et pourtant, ils s’accrochent, ils espèrent, ils gardent espoir que l’un des deux sera aimé en retour. A moins qu’ils se partagent Nicolas. Et leurs danses autours de lui a comme quelque chose de pathétique, car ils ont conscience que Nicolas ne les regarde pas comme ils le regardent. La déclaration d’amour de Francis est touchante, celle de son amie Marie, maladroite voire ridicule. Monia Chokri est ravissante et attendrissante, Xavier Dolan et attendrissant et émouvant. Joli petit film empreint d’une influence « nouvelle vague ». Les dialogues sonnent justes et les interventions ponctuelles des témoins sont savoureuses.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 25 décembre 2011
    Et bien, pour cette seconde réalisation Xavier Dolan s'en tire bien. Ce film est réussi, et visiblement bien critiqué. Les scènes sont quand même parfois très lentes, le scénario un peu vide, si le sujet n'intéresse pas on a tendance à somnoler même si le film reste très réaliste. J'ai aimé cette ambiance parfaite que l'on retrouve chez les étudiants, le décor très jeune. Ces quelques détails qui caractérisent cette génération un peu fofolle. Homosexualité, hétérosexualité. Ce thème des préférences est donc bien maîtrisé et très développé.
    Rik13
    Rik13

    22 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 décembre 2011
    Un drame sentimental avec une recherche de mise en forme esthétique mais au scénario totalement creux. Des dialogues insipides et des scènes de ralenti exaspérantes viennent alourdir un rythme déjà assez indolent. Il ne se passe pas grand chose dans ce film et la description des sentiments amoureux est parasitée par une réalisation tape-à-l’œil. « Les amours imaginaires » est un long métrage nonchalant et ennuyeux.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 novembre 2011
    Pour son second long métrage, Xavier Dolan, réalisateur (et autres) canadien, a travaillé sur le triangle amoureux.Malgré sa coupe de cheveux qui n’est pas des plus bons gouts, il excelle aussi en tant qu’acteur. L’accent québécois est des plus charmants, il rajoute du comique aux dialogues tantôt assassins, tantôt romantiques.

    On est entrainé au cœur d’une amitié, entre Marie, jouée par Monia Chokri, et Françis, interprété par le réalisateur lui-même. Une relation plutôt fusionnelle, jusqu’à ce qu’entre dans leurs vies : Nicolas (Niels Schneider); qui transforme cette saine amitié, en triangle amoureux platonique. Ce dernier a la figure d’un dieu grec, bouclettes et nez agressif à l’appui, tel un ange, être asexué.

    Outre le scénario qui maintien avec brio le suspens jusqu’à la fin, tout le film est un bijou. La BO est plutôt bien choisie, les morceaux à sonorités drama-romantiques mettent une nouvelle fois (*regrets*) la chanson « Bang-bang » à l’origine interprétée par Nancy Sinatra, ici c’est Dalida qui s’en charge; ce qui donne d’ailleurs un peu moins de dramatisme. Ce film est aussi une merveille d’esthétisme, les couleurs, les contrastes, l’utilisation du ralenti pour suspendre le moment donnant l’impression de flottement qu’inspire parfois l’amour, tout est en harmonie, au cœur d’une atmosphère d’automnale.

    Le film est ponctué d’humour, notamment grâce à des confessions, d’autres personnes que les protagonistes, qui se livrent sur leurs relations, leurs rapports face à l’amour, à la séduction, au rejet, à la rupture… Ce long métrage nous met face aux sentiments que nous inspire le fait de tomber amoureux, la jalousie qui nait en même temps que la séduction, la franche pas celle d’un soir ; la compétition pour le sujet est convoité ; l’abandon après s’être énervé, puis le retour dans la course. On passe par tous les travers qu’entrainent un amour excessif, névrotique,…

    Ce film est à voir, c’est un bijou.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 novembre 2011
    Des acteurs géniaux, une BO sublime et un film esthétiquement proche de la perfection. C'est frais, coloré et vraiment bien joué malgré quelques longueurs. Après "J'ai tué ma mère", Xavier Dolan confirme son statut de jeune réalisateur prodige.
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    58 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 novembre 2011
    j'avais adoré "j'ai tué ma mère", j'ai moins aimé celui ci, même si ça reste un film intéressant
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