Les production Luc Besson touchent le fond ! Taken 2 ne pouvait donc être égal au premier volet. Un premier volet placé sous le signe du divertissement et qui assurait toutefois de belles scènes de baston. Mais la réal change complètement pour ce deuxième épisode. Olivier Megaton, piètre réalisateur, compose un bouquet d'absurdité au parfum niais et suintant de mièvreries. De plus, les dialogues sont dignes d'un épisode des Feux de l'Amour. Le clou du spectacle ? Des références, grosses comme le nez au mileu de la figure, au Drive de Winding Refn. Humiliation pour le danois, qui raflait à Cannes le prix de la mise en scène. C'est donc plat, vide, sans intérêt. En bref, c'est mal écrit, mal réalisé, mal filmé, mal dialogué, et parfois même très mal joué. Navet absolu.