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Cinéphiles 44
Avec "Ricky", François Ozon signe une œuvre surprenante qui déroute par son incursion dans le fantastique. L'histoire d'un bébé qui développe des ailes brouille les frontières entre le réalisme social et l'étrange, un mélange audacieux qui étonne autant qu'il intrigue. Alexandra Lamy, souvent associée à des rôles comiques, livre une performance touchante et inattendue dans ce contexte déroutant. Bien que le film ne fasse pas toujours l'unanimité par son ton singulier, il reste une expérience originale et intrigante.
navet interplanétaire
jeu d'acteur inepte
scénario de merde
j'ai luté pour regarder 20 minutes
rendez nous l'argent
jeu d'acteur inepte
scénario de merde
j'ai luté pour regarder 20 minutes
rendez nous l'argent
J'ai adoré l'histoire, les acteurs petits et grands.
Belles émotions ressenties par la magie de l'amour, de la joie. la patience, plus fortes face aux galères de la vie parfois imprévisibles. Un grand merci aussi à la production. Congratulations.😊🫶
Belles émotions ressenties par la magie de l'amour, de la joie. la patience, plus fortes face aux galères de la vie parfois imprévisibles. Un grand merci aussi à la production. Congratulations.😊🫶
Poetique j'ai revu le début à la fin et tout m'a refait du sens ! alors qu'au début j'avais beaucoup de mal, mais en fait c'est l'histoire de la mère qui n'arrive pas à vivre seule avec les 2 enfants d'un amant qui l'abandonne
Un conte fantastique troublant qui paradoxalement, peine à prendre son envol par le traitement bancal de son récit.
intriguée à l époque de la sortie du film avec une réelle envie de le voir. Je le regarde ce soir (enfin !) et là ! mais quelle déception. j'attendais de ce scénario atypique et rien de rien. je n'ai pas compris l'intention de ce film.
Un film super sombre, les ailes du bébé m'ont données la nausée, je ne comprends pas le lien entre le début du film et le déroulement de l'histoire
Ricky est le premier film de François Ozon que je regarde. Le film est assez déroutant, mêlant avec un certain brio surnaturel et encrage dans le réel. Les effets spéciaux ne sont d'ailleurs pas franchement immondes et la musique donne parfois un aspect burtonien au film. Les acteurs font eux aussi une belle prestation, que ce soit Alexandra Lamy dans un rôle peu habituel, Sergi Lopez ou la petite Lisa. Le problème c'est que les 1h30 de films passent très lentement, compte tenu du récit assez mineur. La fin ne m'a d'ailleurs pas particulièrement emballée. Donc pas mal mais sans plus, surtout qu'Ozon arrive tout de même à réaliser des scènes intelligentes et riches en symboles.
J'aime le cinéma de Francois Ozon.
Il se renouvelle continuellement, de "Potiche" à "Grâce à Dieu".
Pour moi Ricky est à réussi... à moitié.
Une bonne moitié de film : la photographie réussi d'une femme d''aujourdh'hui. Sa vie à l'usine, sa fille qu'elle élève seule, une gamine plus adulte que sa mère.
On y croit.
Une aventure amoureuse, promesse du bonheur qu'un bébé, qui arrive, peut apporter.
Catastrophe !
Voilà que le bébé se voit pousser des aile... et le film tombe dans le ridicule tant c'est mal fait.
A voir pour, à moitié pour les trois acteurs principaux ... et partir sans attentre d'avoir des ailes.
Il se renouvelle continuellement, de "Potiche" à "Grâce à Dieu".
Pour moi Ricky est à réussi... à moitié.
Une bonne moitié de film : la photographie réussi d'une femme d''aujourdh'hui. Sa vie à l'usine, sa fille qu'elle élève seule, une gamine plus adulte que sa mère.
On y croit.
Une aventure amoureuse, promesse du bonheur qu'un bébé, qui arrive, peut apporter.
Catastrophe !
Voilà que le bébé se voit pousser des aile... et le film tombe dans le ridicule tant c'est mal fait.
A voir pour, à moitié pour les trois acteurs principaux ... et partir sans attentre d'avoir des ailes.
Honteux. tout simplement honteux. la presse française n'est pas neutre. En voici définitivement la preuve. C dur de constater 5 étoiles à une œuvre si pitoyable. les mots me manquent. je suis en colère.
Ozon est atypique, pas un scoop mais décidément une confirmation. Ce film chamboule, fait réfléchir sur notre regard sur les autres, sur la parentalité. Lamy / Lopez apportent du volume à cette histoires de personnes ordinaires qui voeint leur vie chamboulée. J'aime le doute permanent sur le monde que crée le réalisateur.
« Ricky » de François Ozon (2009) est une histoire d’amour. Katie (Alexandra Lamy) travaille à la chaîne dans une usine de produits chimiques et elle élève seule dans un tout petit appartement de banlieue, sa fille Lisa (Mélusine Mayance très convaincante), âgée de 7 ans, avec laquelle elle est très liée. Bouleversant cette routine, Katie rencontre Paco (Sergi López) mal accepté par Lisa, mais un bébé naîtra avec des ecchymoses au niveau des épaules puis des tuméfactions. Katie pensant que c’est Paco qui bat son fils, celui-ci quitte l’appartement.
La vérité (malheureusement révélée par la bande annonce +++) est tout autre car on bascule dans le fantastique puisque Ricky a en fait des ailes qui poussent. Via une scène dans un supermarché où Ricky vole (scène un peu lourde car trop longue) qui est reprise par les réseaux sociaux, Paco va revoir Katie et moyennant monnaie pour acheter un appartement plus agréable pour tous, elle acceptera les demandes des médias pour voir cet enfant « extraordinaire » … mais Ricky de s’envoler et de disparaître au-dessus d’un étang. Katie désespérée tente de se noyer mais son fils lui apparaîtra, heureux tel un ange. Katie et Paco se rapprocheront de Lisa et c’est maintenant Paco qui la conduit à l’école en mobylette (à l’opposé d’une des toutes premières scènes). Et dans la dernière scène Katie attend sereinement un nouvel enfant, un autre enfant extraordinaire comme Ricky ou tout simplement l’enfant d’un amour partagé ?
Pour ma part, je ne fais pas de lien avec les produits chimiques que Katie manipule et un effet mutagène. Ricky est pour moi le symbole d’une vie heureuse – libre – que désire Katie embourbée dans sa vie de tous les jours et la triste banlieue où elle habite. Comme Ricky, elle échappera à ce destin tout tracé d’où le bonheur qui se dégage de la dernière scène où l’amour est vraiment présent.
Bien que filmé de façon linéaire sans fioriture, c’est un film profond sur la différence (cf. le conte « Le vilain petit canard » d’Andersen) et sur l’amour partagé.
La vérité (malheureusement révélée par la bande annonce +++) est tout autre car on bascule dans le fantastique puisque Ricky a en fait des ailes qui poussent. Via une scène dans un supermarché où Ricky vole (scène un peu lourde car trop longue) qui est reprise par les réseaux sociaux, Paco va revoir Katie et moyennant monnaie pour acheter un appartement plus agréable pour tous, elle acceptera les demandes des médias pour voir cet enfant « extraordinaire » … mais Ricky de s’envoler et de disparaître au-dessus d’un étang. Katie désespérée tente de se noyer mais son fils lui apparaîtra, heureux tel un ange. Katie et Paco se rapprocheront de Lisa et c’est maintenant Paco qui la conduit à l’école en mobylette (à l’opposé d’une des toutes premières scènes). Et dans la dernière scène Katie attend sereinement un nouvel enfant, un autre enfant extraordinaire comme Ricky ou tout simplement l’enfant d’un amour partagé ?
Pour ma part, je ne fais pas de lien avec les produits chimiques que Katie manipule et un effet mutagène. Ricky est pour moi le symbole d’une vie heureuse – libre – que désire Katie embourbée dans sa vie de tous les jours et la triste banlieue où elle habite. Comme Ricky, elle échappera à ce destin tout tracé d’où le bonheur qui se dégage de la dernière scène où l’amour est vraiment présent.
Bien que filmé de façon linéaire sans fioriture, c’est un film profond sur la différence (cf. le conte « Le vilain petit canard » d’Andersen) et sur l’amour partagé.
l'histoire d'une femme abandonnée par son amant avec qui elle a fait un enfant.... au début on la voit qui demande le placement de cette enfant qui pleure beaucoup... "quelques mois plus tôt " l'auteur explique comment cette femme qui aime son bébé l'abandonne aux services sociaux et pour survivre a ce drame qui lui arrache le cœur, elle imagine une merveilleuse histoire d'un enfant différent qui à des ailes, qu'elle laisse s'envoler en le voyant heureux de voler et qui survivra ailleurs sans sa mère .
en réalité les dernières scène du film nous ramènent avant la naissance de Ricky ou tout va bien ...et c'est la que commence l'histoire ....
voilà c'est ma vision de ce film métaphorique, très bien interprété . on aime ou on n'aime pas....
en réalité les dernières scène du film nous ramènent avant la naissance de Ricky ou tout va bien ...et c'est la que commence l'histoire ....
voilà c'est ma vision de ce film métaphorique, très bien interprété . on aime ou on n'aime pas....
Pour ceux n'ayant pas compris l'objectif du film qui n'est ni comique ni fantastique, il s'agit d'une mère
spoiler:
qui perd son enfant et tout le film tourne autour de sa. La solitude, la tristesse, l'accusation sur le père et son départ , la mère abattue qui n'arrive plus à s'occuper de sa fille qui se débrouille seule, la tristesse de la petite fille aussi on la ressent. Les ailes du bébé sont une métaphore du besoin de s'envoler dans sa nouvelle destination et devenir un ange.
Donc avant de dire que le film ne sert à rien, qu'il n'y à rien à traduire ou à retenir de celui-ci, peut-être se remettre en question sur son interprétation. Moi j'ai tout compris, et la fin est spoiler: libérateur, cela prouve qu'on peut même survivre à la pire épreuve de la vie et accueillir sa nouvelle vie : perdre son bébé et en avoir un dans le ventre
. j'en tire personnellement une bonne leçon de vie et du recommencement et la signature du réalisateur, avec ses réalisations tristes avec la renaissance de l'espoir et puis la joie et la force de vivre que l'on trouve à l'intérieur de soi après une quête personnel, est omniprésent. Ce réalisateur à vraiment un lien partiulier avec le thème de la mort, sûrement a-t-il vécu difficilement cette éxperience. D'ailleurs le film reprend un livre de Rose tremain, les ténèbres de Wallis simpson, qui traite effectivement de la folie d'une mère abbatue spoiler: qui s'imagine voire hallucine son enfant mort .
Donc avant de dire que le film ne sert à rien, qu'il n'y à rien à traduire ou à retenir de celui-ci, peut-être se remettre en question sur son interprétation. Moi j'ai tout compris, et la fin est spoiler: libérateur, cela prouve qu'on peut même survivre à la pire épreuve de la vie et accueillir sa nouvelle vie : perdre son bébé et en avoir un dans le ventre
. j'en tire personnellement une bonne leçon de vie et du recommencement et la signature du réalisateur, avec ses réalisations tristes avec la renaissance de l'espoir et puis la joie et la force de vivre que l'on trouve à l'intérieur de soi après une quête personnel, est omniprésent. Ce réalisateur à vraiment un lien partiulier avec le thème de la mort, sûrement a-t-il vécu difficilement cette éxperience. D'ailleurs le film reprend un livre de Rose tremain, les ténèbres de Wallis simpson, qui traite effectivement de la folie d'une mère abbatue spoiler: qui s'imagine voire hallucine son enfant mort .
J'ai rarement attendu autant d'un film mais j'ai obtenu si peu. Ce fut mon expérience avec Ricky. Après tout, c'est l'histoire d'un bébé a qui il pousse des ailes ??? Et c'est donc une comédie, non ?! Eh bien, non et il n'y a vraiment rien de drôle ou même de magique dans ce film. Le film commence avec une mère célibataire. Elle voit un beau mec au travail elle fait l'amour avec lui dans une salle de bain. Plus tard, ils créent le garçon Ricky. Apparemment les besoins du bébé comme ceux de sa sœur n'ont pas d'importance. Mais au moins la maman se sent inexplicablement inspirée dans ce film. Pourquoi les autres aiment-ils ce film ? Tout ce que je sais, c'est que je ne pouvais pas m'identifier à ça ou en profiter du tout. C'est un gaspillage d'une idée intéressante et ça m'a vraiment énervé...
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