AlloCiné
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Votre avis sur Ricky ?
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J'ai trouvé ce film juste moyen : hormis la tête d'ange de Ricky, je ne vois pas vraiment l'intérêt du film. Les personnages sont lents, indécis, antipathiques par moment... Je pense que ce film ne restera pas dans les coeurs ou du moins, pas dans le mien.
Un film sans intérêt. C Vraiment jeter du fric par les fenêtres alors que des jeunes prodiges restent dans l ombre. Pauvre cinéma français
Un Ozon décevant. La portée du film n'est pas assez approfondi, rien n'est creusé en profondeur, tout est superflu, sans message réel. Je retiendrai juste quelques scènes comiques et le rôle de la petite fille qui se révèle être une très bonne actrice.
Ozon ose et prend des risques avec un conte fantastique sur un nourrisson ailé (!!) ce qui dénote assez dans le morne paysage cinématographique français. Si cela est une qualité indéniable, Ricky ressemble quand même énormément à un pauvre téléfilm avec une photographie digne des meilleurs épisodes de l'inspecteur Derrick. Mais ce n'est pas tout il copie aussi le rythme des aventures du plus célèbre flic Allemand, certains passages sont interminables et d'un ennuie mortel. On se rend compte rapidement que le film ne raconte absolument rien et oublie complétement son sujet..
Un OVNI du cinéma ? Oui. Une réussite ? Non, car malgré son histoire surprenante et vraiment plaisante, le film ne prend que des mauvais chemins et tombe dans le faux jusqu'à sa fin.. On y croit plus, on attendait autre chose, quelque chose de plus.. envoûtant. Dommage..
Tout simplement un navé, une énorme perte de temps.
Quel est le but de ce film????
Quel est le but de ce film????
Statut de base de l'histoire absurde, des situations abracadabrantes (je connais pas beaucoup de femmes qui se font prendre dans les toilettes cinq minutes aprés une rencontre), un jeu d'acteur bien faible (étonnant de la part d'Alexandra Lamy), un rythme lourd et qui donne vraiment envie de stopper le film.....ce que j'ai fait au bout de 45 minutes. Beurk!!!!!
François Ozon est l'un des rares cinéastes français qui sait ce que le mot audace signifie.Grâce lui soit rendue sur ce point.Malheureusement,"Ricky" est un objet trop hybride pour attirer la sympathie du spectateur.Sorte de fable sociale,on gardera l'image de ce bébé volant(!!)dans une seconde partie fantastique frôlant le ridicule.Alors que la première moitié semblait s'orienter sur un drame social,l'exposition de la vie des gens modestes,travaillant à l'usine,vivant dans la cité.Mais même là,Ozon tombait dans le piège du pathos.Choisir Alexandra Lamy en mère sur-protectrice et dépressive était un risque,pas forcément payant,car elle adopte rarement le bon ton nécessaire à son personnage.Sergi Lopez est plus en terrain connu,alors que la petite fille de 7 ans joue très bien.Le basculement dans la fable lors de la poussée des ailes de Ricky rend perplexe.Sans parler des effets grossiers,on ne comprend pas vraiment le message.Besoin de liberté des enfants?Risque de l'étouffement maternel?Perçée du merveilleux dans un quotidien morose?On ne sait pas,c'est déstabilisant,et pas franchement intéressant.L'audace oui,mais pas n'importe comment.
Imaginez. Une histoire Poétique et dramatique à la fois. Un bébé qui s'avère avoir des ailes et vient libérer une femme désespérée de sa vie de misère. Vous pouvez vous réveiller; vous n'aurez rien de tout cela. Voila l'idée que l'on pouvait se faire du film après a voir vu la Bande Annonce. mais au final c'est un énième Drame Français où ... Non en fait Il n'y a absolument rien à dire sur ce film. On attend qu'il se passe quelque chose... On attend ... On attend encore ... et puis à la fin de la première heure on se dit "Peut être la fin sera un monumental retournement de situation, un twist ending de premier crû !! " ... et Au final .. Rien. on est (pardonnez l'expression) sur le cul ...Enfin espérons que ce film pourra servir à la médecine comme somnifère...
Le cinéma d'Ozon est assez déconcertant. Dans beaucoup de ses films on approche presque du "chef-d'œuvre atypique" (peut-être que j'exagère un peu) mais ses manies, ses tics scénaristiques, de mise en scène, le mélange des genres plus ou moins maitrisé font souvent s'effondrer le beau château de carte. Pour ce Ricky, Ozon accouche d'un cauchemar intellectuel, d'un film très (trop) philosophique, très (trop) métaphorique... Les interprétations sont multiples, la plus probable (pour moi) étant que cet ange n'a jamais réellement existé, que tout est dans la tête de la mère et que le père frappe effectivement l'enfant (d'où la toute première séquence que l'on ne saurait situer dans le film)... mais libre à chacun de faire ses choix. Reste un film sombre, triste à vomir où l'absurde côtoie le film intimiste ultra réaliste. Les acteurs sont tous très bon, mention spéciale à la petite Mélusine Mayance... Mais il manque quelque chose, peut-être plus de maîtrise dans l'écriture, pour que ce film soit vraiment bon.
L'idée d'introduire le fanstastique le plus inexpliquable dans le quotidien le plus banal était séduisante à défaut d'être originale (Stephen King le fait depuis toujours) mais le film ne fonctionne malheureusement pas, la faute à un scénar trouvant vite ses limites et tournant en rond (dès que l'élément fantastique arrive en fait), à des scènes de vol totalement à la ramasse et à une symbolique lourdingue. Par contre, Alexandra Lamy est irréprochable.
Voila un film particulier, sans jeu de mot bidon, un pari osé de la part de François Ozon. Je dirais que dans ce film, le produit fini représente 75% de la vision du film, et les 25% restants reposent sur le spectateur. Soit on se laisse embarquer dans ce conte moderne en s'abandonnant totalement dans l'histoire et l'on obtient un film magnifique, soit on s'arrête sur les quelques incohérences avec un esprit ultra critique...et selon moi, on passe à côté de quelque chose.
En ce qui me concerne, j'ai été conquis d'entrée de jeu. Dans un premier temps, j'ai été plus que séduit par Alexandra Lamy dans ce qui s'annonçait comme un "drame social", et ensuite, complètement conquis par cette histoire fantastique de ce petit bambin. Ozon parvient à nous pondre une magnifique histoire fantastique sur fond de drame social et familial, et les genres s'entremêlent à merveille.
Point de vue acteur, rien à dire. J'ai un coup de coeur particulier pour la petite Mélusine Mayance qui joue incroyablement bien. Le petit Nicolas, Les choristes, Neuilly sa mère,.... nous ont prouvé qu'il est difficile de trouver des enfants qui savent jouer et apportent quelque chose au film, et cette petite est vraiment touchante et bluffante. Son jeu, sa gestuelle apportent réellement quelque chose au film.
Ricky vaut vraiment la peine d'être vu, vous donne le sourire, la chair de poule, du rêve, de la mélancolie ...pendant 90 trop petites minutes, et ne vous sert pas une morale pré fabriquée, à chacun son interprétation sur ce petit Ricky...
Voila vraiment un beau film que je vous conseille, qui sort de l'ordinaire, qui ne laissera pas indifférent, mais bourré d'imagination alors que bien des productions françaises financées à coups de dizaine de millions sont navrantes, déplorables, dénuées de toute imagination et innovation!
En ce qui me concerne, j'ai été conquis d'entrée de jeu. Dans un premier temps, j'ai été plus que séduit par Alexandra Lamy dans ce qui s'annonçait comme un "drame social", et ensuite, complètement conquis par cette histoire fantastique de ce petit bambin. Ozon parvient à nous pondre une magnifique histoire fantastique sur fond de drame social et familial, et les genres s'entremêlent à merveille.
Point de vue acteur, rien à dire. J'ai un coup de coeur particulier pour la petite Mélusine Mayance qui joue incroyablement bien. Le petit Nicolas, Les choristes, Neuilly sa mère,.... nous ont prouvé qu'il est difficile de trouver des enfants qui savent jouer et apportent quelque chose au film, et cette petite est vraiment touchante et bluffante. Son jeu, sa gestuelle apportent réellement quelque chose au film.
Ricky vaut vraiment la peine d'être vu, vous donne le sourire, la chair de poule, du rêve, de la mélancolie ...pendant 90 trop petites minutes, et ne vous sert pas une morale pré fabriquée, à chacun son interprétation sur ce petit Ricky...
Voila vraiment un beau film que je vous conseille, qui sort de l'ordinaire, qui ne laissera pas indifférent, mais bourré d'imagination alors que bien des productions françaises financées à coups de dizaine de millions sont navrantes, déplorables, dénuées de toute imagination et innovation!
Ricky est un conte poético-social. Mélangeant merveilleux et contexte social triste (même si Ozon filme avec soin la cité dans laquelle vit cette famille), la justaxposition des genres n'est pas bien équilibré, les ruptures de tons sont quelquepeu apbruts. Francois Ozon est à l'aise pour apporter des touches de tensions et d'inquiétudes au milieu de ce conte de fée qui se révèle au final une ode à la famille. Au final, un beau moment de poésie jamais toc.
Film atypique en ce qu'il développe des éléments de cinéma fantastique dans un cadre et des scènes vus et revus du cinéma hexagonal. En cela, Ricky fait penser aux film de Arnaud Desplechin (Un conte de Noël,...), et comme chez ce dernier, l'étrangeté, même si elle est très appréciable, ne suffit pas toujours à faire oublier la banalité du contexte et des protagonistes. Les acteurs jouent très bien (Alexandra Lamy notamment).
Ozon est capable du plus boursouflé et du plus âpre. La critique française a tendance à préférer son côté boursouflé. Pour ma part, au contraire, c'est son âpreté qui m'a toujours étonné. Et ce Ricky là tient assurément du meilleur d'Ozon.
Dans ce conte social, emprunt de réalisme magique, Ozon utilise la fable pour interroger la société d'aujourd'hui. Comment en effet ne pas voir dans ce petit ange un symbole de la violence familiale, un rêve éveillé, une parabole sur le délitement familial dans un univers où quelques tours d'immeubles semblent devenir un palais merveilleux. Peu à peu, Ozon distille l'étrange et le sublime en fabuleux. Excellent !
Dans ce conte social, emprunt de réalisme magique, Ozon utilise la fable pour interroger la société d'aujourd'hui. Comment en effet ne pas voir dans ce petit ange un symbole de la violence familiale, un rêve éveillé, une parabole sur le délitement familial dans un univers où quelques tours d'immeubles semblent devenir un palais merveilleux. Peu à peu, Ozon distille l'étrange et le sublime en fabuleux. Excellent !
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