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    Villa Amalia
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    3 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 octobre 2024
    L’histoire était pourtant engageante, mais c’est vraiment raté. Les mauvais dialogues n’aident pas les pauvres acteurs qui jouent assez mal. Ça manque de rythme et le personnage principal est sans saveur. A éviter, même quand on aime Isabelle huppert.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 198 abonnés 5 222 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 octobre 2020
    Je n'ai pas lu le livre mais en ayant vu des films sur l'isolement et le besoin d'une existence remplie de sens, je remarque que ce film aborde la partie du début de la réflexion: la rupture.
    Mais il s'attarde en vérité trop longtemps.
    Ou alors il veut insister sur les doutes, la véracité de son engagement
    Je ne la trouve malheureusement pas très convaincante dans ce rôle. Elle semble à côté du personnage qu'elle joue. Ça me dérange et c'est dommage
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 768 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    J'avais hâte de voir cette histoire d'une femme échappant à son ancienne vie et en créant une nouvelle car elle sonnait brillante et pleine de potentiel en particulier avec Isabelle Huppert jouant le rôle principal d'Ann. Malheureusement presque tout ce qui pourrait mal tourner avec le film le fait. Commençons par la direction qui est indulgente et totalement inefficace. Il y a une bonne réalisation mais absolument aucun but derrière. L'usage de la musique est inélégant se heurtant aux scènes. Nous sautons d'une scène à l'autre sans aucun sens du rythme ou d'une vue d'ensemble un peu comme un mauvais film artistique des années 70. Isabelle Huppert généralement une actrice solide tente à peine a insuffler une émotion et semble contente de passer par les mouvements. La pire performance que j'ai vue d'elle. Tous les autres acteurs qui apparaissent sont encore pires à l'exception de Jean-Hughes Anglade qui insuffle un peu de vie à Georges. Hélas le scénario ne donne pas grand-chose à travailler et avec une direction si médiocre même Anglade est oubliable. L'histoire ne va absolument nulle part, les dialogues ressemblent plus à de la décousue même si nous sentons qu'il y a un sens. Ann reproduit les schémas d'abandon qu'elle a elle-même souffert de son père qui ressentait le même besoin de détachement qu'elle ressent maintenant. Mais le scénario est terriblement inélégant lorsque l'on essaie de pousser ce point. La fin de Villa Amalia ressemble beaucoup à son début désordonné et inutile...
    Dora M.
    Dora M.

    67 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 avril 2020
    Le film démarre alors qu’Ann (Isabelle Huppert) surprend son compagnon rejoignant une autre femme, et tombe au même moment sur Georges, un ami d’enfance. Suite à cet événement, elle décide de partir et de tout abandonner de sa vie d’avant, elle garde seulement son amitié pour Georges (Jean-Hugues Anglade).
    J’ai bien aimé le début, la volonté d’Ann de tout laisser, de couper avec sa vie, de ne plus rien avoir qui la rattacherait à son passé (jusqu’à revendre son appartement, ses meubles, jeter ses vêtements, etc.). Pour autant, j’ai trouvé que le film rentrait ensuite dans une lenteur (et donc une impression de longueur). A part le fait de couper les ponts, Ann n’a plus vraiment de but, elle se laisse vivre. Il n’y a donc plus d’intrigue, plus rien qui tienne le spectateur en haleine, à mon sens.
    Les relations que tisse Ann avec la jeune Giulia ou avec la vieille Amalia ne sont qu’esquissées, c’est dommage.
    Je n’ai pas été embarquée avec Ann dans sa quête de recherche du bonheur.
    Gellis
    Gellis

    4 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 avril 2018
    Belle représentation de >
    Ann, pianiste réputée, liquide tout après avoir vu son compagnon de 15 ans dans les bras d'une autre et retrouvé un ami d'enfance sur le ''lieu du crime'' : compagnon donc, appartement, travail, pianos, vêtement, photos - je jette donc je suis et l'argent n'est pas mon affaire. Puis elle entreprend un joli périple touristique, parfaitement recyclable dans une agence de voyage, périple qui après l'Allemagne l'emmène en Italie où elle s'installe dans un endroit unique et romantique, maison dominant la mer, construite par amour par un italien. S'ensuit des scènes bout à bout, même pas des sketches : Ann et la vieille italienne, Ann se baigne, Ann et la belle italienne, Ann à l'enterrement, Ann retrouve son père (ou l'inverse) ...
    Mais il y a Isabelle Huppert, un volcan qui s'éteint, en rallumant parfois des étincelles de Valseuses, le feu qui couve sous la cendre ...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 juillet 2015
    Malgré un immense talent indéniable, Isabelle Huppert est loin de symboliser la joie de vivre, donc à éveiller de la sympathie pour ceux qui sont en quête d’amour et d’épanouissement. Dans Villa Amalia, la donne ne change pas, mais par on ne sait quelle magie sa froideur sociale, son regard indifférent se métamorphosent en une mélancolie magnétique. Ses décisions radicales sont justifiées. Les photos provenant d’une vie antérieure se consument devant nos regards approbateurs. Les horizons vers lesquelles elle s’élance deviennent nôtres. Le film repose entièrement sur ses épaules mais aucune reproche, à condition qu’elle accepte de nous ouvrir les portes de sa villa Amalia pour quelques jours…
    Captain fantastic
    Captain fantastic

    26 abonnés 285 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 mars 2015
    Mon Dieu que c'est long et ennuyeux !!! La première partie du film passe encore mais alors la deuxième !!! On tire la langue et on espère que ca redémarre mais en vain !! Les ballades à pied d'Huppert sont trop récurrentes et il ne se passe plus rien du tout !! Dommage...
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    67 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 octobre 2014
    Un beau film, empreint de poésie. Au sommaire de ce film de Benoît Jacquot : une nouvelle collaboration avec une de ses actrices fétiches, Isabelle Huppert. Si le film reste la plupart du temps assez contemplatif, il invite surtout à l'introspection et au questionnement. D'ailleurs en voyant les critiques des uns et des autres, je comprends que ce film puisse diviser : c'est une expérience qui ne se vit pas de la même manière pour tout le monde, il peut donc au choix ennuyer, intriguer ou émerveiller, comme souvent dans la filmographie de Jacquot. Pour ma part, je me situerais plus au milieu. Les paysages magnifiques, invitant à la solitude et à la réflexion, les silences qui en disent long, une histoire assez déboussolante, tout cela contribue à intriguer et à interroger le spectateur. Malheureusement pour moi, je n'en suis resté qu'à ce stade et je n'ai pas bien pénétré, à regret, cette intrigue qui avait l'air de vouloir en dire beaucoup. A voir pour se faire sa propre opinion.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 7 février 2014
    Sous couvert d'intellectualisme, un énième film sur la dépression féminine et le désir de changer sa vie. Beaucoup de matière a dû être perdu pendant l'adaptation...
    Huppert est de tous les plans, mais son personnage est tellement cliché qu'il n'est ni consistant, ni sympathique. J'ai l'impression d'avoir vu la quasi totalité des scènes des centaines de fois : elle brûle ses photos, se sépare de son mari, se fait traiter de folle par son ami, se recueille sur une tombe... Aucun plan n'est vraiment esthétique, la faute à cette lumière "réaliste" qui est plus blafarde qu'autre ues souvent insupportables, qui manquent largement de naturel en tout cas - enfin, ça n'est sans doute pas l'enjeu du film, mais quel est l'enjeu du film ? Ca n'est ni émouvant, ni prenant, ni intéressant. Peut-être fraudrait-il avoir lu le bouquin.
    En tout cas, aucune atmosphère particulière ne se dégage, à part de l'ennui. Alors oui, évidemment, on peut trouver de l'intérêt à tout ; en tout cas, je ne pense pas que ce film passionnera quelqu'un.
    Après c'est toujours la même histoire : on se fait insulter parce qu'on ne "comprend pas le cinéma d'auteur français", moi j'ai autant de bienveillance que possible pour ce genre de films, mais le fait de faire du cinéma d'auteur français n'est pas un prétexte pour nous pondre un truc ni fait ni à faire.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 septembre 2013
    j'ai éclaté de rire à la fin du film. de ma vie, je n'ai jamais vu plus mauvais script. et en plus j'ai forcé mon mari à venir en lisant la critique de télérama.
    velocio
    velocio

    1 324 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 août 2013
    Une fois n'est pas coutume : sur ce film, je vais me ranger côté critiques et pas côté spectateurs ! Franchement, pour être aussi "happé" par un film vu sur petit écran, il faut qu'il soit bon, il faut qu'il soit fort. La première partie est carrément superbe : il ne se passe presque rien et pourtant la tension est sans arrêt présente pendant ces 45 premières minutes. La seconde moitié est seulement très bonne. Isabelle Huppert trouve dans ce film un de ces meilleurs rôles. Quant à Jean-Hugues Anglade, il est dommage que les réalisateurs ne se soient pas aperçus qu'il était un des meilleurs comédiens de sa génération (le meilleur ?). Et puis, un film où on entend "O Solitude" de Henry Purcell chanté par Alfred Deller ... !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 novembre 2012
    Rarement film ne m'a paru si long, si long, si loooong... Les images de carte postale n'y font rien. I. Huppert n'arrive pas à la jouer au delà du niveau d'acteurs amateurs de MJC. Pas un seul instant on y croit.
    Cluny
    Cluny

    79 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2012
    "Je suis un peu brutale", dit Ann à Georges, comme pour s'excuser d'avoir été encore une fois trop franche. Cette brutalité, Benoît Jacquot semble aussi la revendiquer, et c'est ce qui fait toute la différence entre l'énergie dramatique de son adaptation du roman de Pascal Quignard, et la mollesse narrative de "Wendy et Lucy", qui aborde un sujet assez proche.

    Prenons ainsi l'ouverture des deux films : chez Kelly Reichardt, un long traveling latéral sur Wendy qui joue avec Lucy dans la forêt, histoire de bien prendre le temps de présenter les deux personnages du titre ; chez Jacquot, un traveling avant subjectif, une voiture qui suit une autre sous la pluie, un montage nerveux, sortie de la Francilienne, panneau Choisy-le-Roi entraperçu, plan lointain sur l'homme qui descend de la voiture suivi, puis plan rapproché sur la femme qui descend de la voiture suiveuse, vision lointaine de la porte de la villa qui s'ouvre sur une femme à contre-jour qui enlace l'homme, gros plan du visage ravagé de la femme trompée, surprise d'une main qui surgit dans le champ, apparition de l'ami d'enfance.

    A la lecture du synopsis et à la vision de la bande-annonce, je m'étais senti attiré par ce sujet : "éteindre" sa vie d'avant, comme le dit Ann, qui n'y a jamais pensé un jour ? Mais je m'étais aussi demandé s'il y avait matière à faire 90 minutes là-dessus, et si le dépouillement de tous les oripeaux de son univers antérieure ne nous conduirait pas vers un appauvrissement progressif de la narration.

    Il n'en est rien, car tout en conservant ce rythme acéré, Benoît Jacquot prend le temps d'accompagner son héroïne dans la trivialité de ses démarches matérielles : vendre l'appartement, le mobilier, les pianos, solder son compte, couper l'électricité, le téléphone, annuler sa tournée, ainsi que dans la cruauté de ses séparations : Thomas, sa mère, ses amies de Bretagne à qui elle offre un dernier concert qui s'achève dans la dissonance, la tombe de son petit frère, ce parcours mené au pas de charge par Ann et Jacquot occupe la première moitié du film.

    La seconde moitié commence avec sa fuite, puzzle et labyrinthe où quelques indices seulement nous permettent de deviner sa trajectoire : le Thalys, des plaques d'immatriculation rouges et blanches, la langue allemande, des douaniers italiens sur un chemin de contrebandiers, des rues napolitaines, tout cela avec un sens de l'ellipse qui tourne à l'épure : Ann arrive à un hôtel de montagne, au premier plan, floue, la tignasse grise d'un client. Plan suivant, elle se réveille en sursaut, la caméra panote et découvre la silhouette endormie de l'homme à la tignasse.

    Puis l'île du bout du voyage, le coup de coeur pour ce cube rouge en haut d'une falaise, évocation de la Villa Malaparte à Capri et du "Mépris", la vieille femme qui comme Georges réplique à Ann qu'elle n'a pas à être désolée du décès de leurs proches, puisqu'elle n'y est pour rien. Même dans ce cadre là, fait de dénuement monastique face à la mer et de journées réduites à sa contemplation, le film ne sombre pas dans l'ennui, car on découvre d'autres sujets, d'autres personnages qui se cachaient dans l'ombre du thème principal.

    Présente dans presque tous les plans, Isabelle Huppert, qui signe là sa cinquième collaboration avec Benoît Jacquot, s'impose comme une évidence ; on comprend que le réalisateur ait tout de suite pensé à elle quand Pascal Quignard lui a lu les épreuves de son roman, tant le mélange de douleur et de volonté farouche qui émane de sa frêle silhouette et de son jeu tout en nuance justifie en permanence le jusqu'au-boutisme de ce personnage qui ne sait répondre que "C'est vrai" au reproche de Georges qui constate "Tu n'es pas très sympathique".

    Après "A tout de suite" et "L'Intouchable", Benoît Jacquot raconte pour la troisième fois consécutive l'histoire d'une femme qui part et se reconstruit ailleurs. Déjà passionnant en lui-même, "Villa Amalia" prend encore plus de relief quand on compare les trois films et que l'on voit les différents traitements (noir et blanc, numérique, argentique couleur, ou encore caméra portée, cadre fixe) mis au service d'un même sujet.

    http://www.critiquesclunysiennes.com
    Schwann
    Schwann

    10 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 août 2012
    Difficile de donner un avis, tant le film oscille entre de bonnes intentions et du surfait intellectualisé. Ce qui est sûr, c'est qu'il se produit quelque chose dans Villa Amalia. Quoi, on n'en est pas certain. Tout n'est pas donné sur un plateau. Quand Ann surprend son mari Thomas avec une autre femme, elle décide brusquement de changer de vie et se réfugie sur une île en Italie - ce qui octroiera les plus belles scènes du film. Isabelle Huppert excelle dans ce portrait de femme évanescente. Le scénario inspiré du roman de Pascal Quignard est un vrai souffle d'air frais, et permet au film de Benoît Jacquot d'avoir, pour une fois, une consistance qui élève le film vers des sphères qu'Au fond des bois ou les Adieux à la reine n'atteignaient pas. Néanmoins, le film reste particulièrement pénible par moments ; Benoît Jacquot, ce n'est toujours pas pour moi.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 août 2012
    On est loin des precedent chef d'oeuvres de Benoit Jacquot: "au fond des bois" et " les adieux à la reine".
    Le film est confus, ennuyeux,insipide.
    Isabelle Hupert,quoique anthipathique, joue bien.
    Je ne comprend pas la critique élogieuse de la presse.
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