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veraine
1 abonné
80 critiques
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2,5
Publiée le 13 avril 2009
Dommage, l'idée était bonne, le réalisateur pas mauvais, l'actrice pas mauvaise non plus ! mais au bout du n....ième plan de ses cheveux cela devient ennuyeux heureusement qu'elle joue bien et que l'italie est belle mais ce film ne "décolle " pas
Tout simplement un CHEF D'OEUVRE. Isabelle HUPPERT est une immense actrice, elle est le personnage, j'ai rarement été autant impresionné par une actrice depuis 40 ans ! Merci au cinéma français de nous donner à voir des films comme celui-ci ! Toute la distribution est à féliciter, Jean-Hugues Anglade en tête. La "simplicité" de l'histoire prouve que l'on peut faire des films merveilleux sans avoir à utiliser des artifices de scénario ou des effets spéciauoutranciers, comme il est habituel dans le cinéma courant.
J'aime beaucoup Isabelle Huppert, c'est une bonne actrice. Mais là je n'ai pas aimé, quelle déception. Le sujet est fade, sans intérêt, il y a des longueurs tout au long du film, même si certains paysages sont agréables. J'ai trouvé qu'il y avait des invraisemblances, des dialogues pas très cohérents. jean Hugues Anglade est très bon dans son rôle mais tout cela reste insuffisant pour accrocher le spectateur.
Isabelle Huppert remarquable comme toujours ... accompagnée d'un très bon Jean-Hugues Anglade. Une très belle photo accompagnée d'une musique très sensible ... une belle mise en scène fluide ... mais cela ne fait pas tout ... car avant tout un bon film est un bon scénario mais là nous avons une plutôt mauvaise adaptation d'un bouquin de Pascal Quignard, oeuvre romanesque dénuée de sensualité dans ce film ... Une heure trente un peu longuette !
Un film sur le passage à l'acte: tout quitter du jour au lendemain, sans rien laisser de soi, de sa vie passée, et aller vers rien. Pas de regret, pas d'envie, pas d'affect. En ce sens, ce film est très bien fait, l'ambiance est triste, glauque, le rythme lent, les images ternes, Isabelle Huppert excellemment froide.
Rarement film ne m'a paru si ennuyeux, si dénué d'intérêt... Les beaux paysages ne nous font pas oublier cette musique agaçante qui accompagne I. Huppert dans son improbable fuite. Pas un seul instant on oublie qu'on est assis dans un fauteuil à se demander ce que l'on fait là........
On comment par quoi ?.. Les points positifs ? OK la belle vue sur la mer.. quoi d'autre ? Olala quel ennui! Il est où le message ? Tout est trop facile pour elle, elle vend son appart, sa maison, disparait... Pas de contrainte, elle refait sa petite vie... C'est mou, mais qu'est ce que c'est mou... C'est le vide! Tellement désespérant que je me suis prit un fou rire avec ma mère 30min avant la fin.. C'est sûr Isabelle joue bien son jeux, on a envie de la secouée, de faire un truc, de lui dire 'mais il t'arrive quoi là?'.. La meilleure réplique tu père qui tombe du ciel ! 40ans qu'il a disparut, tranquilou il revient comme une fleur "vient on va manger, j'aime le omar"....
Désolé, mais sur ce coup là , j'ai mis 0 pointé , j'aurais pu mettre 1 pour la vue sur la mer.. Mais non..
Les avis en sortant de la salle étaient similaires aux miens et ceux de ma mère, on ne se sentait plus seules lol.. bref bref
Des « Ailes de la colombe » à « L'École de la chair », en passant par « Corps et biens », Benoît Jacquot est l'auteur d'un cinéma de genre distancié, ancrant le film d'auteur dans une veine de papier glacé post nouvelle vague. Ce dernier opus est de la même tendance. Adaptation littéraire maniant l'ellipse narrative avec habileté, c'est une œuvre qui fascine tout en laissant de marbre, à l'instar de ces séquences (le sauvetage en mer, les retrouvailles avec le père) qui apparaissent comme les bribes d'un film manqué. Huppert fait du Huppert, ce qui suffit à capter l'attention pendant toute la projection.
Hymne à une solitude inéluctable, indispensable ... Grand film sec, brutal de JACQUOT... Sombre, organique avant la révélation, solaire et sensuel à Ischia. Un film troublant qui remue longtemps, abrupt et profond. Et la Huppert, tellement elle-même, et à nouveau, si stupéfiante. L'impression qu'elle bâtit, film après film, une oeuvre comme un réalisateur, un écrivain. Elle est unique. Elle est la plus grande en activité. VILLA AMALIA est un des sommets de sa carrière.
Excellente prestation d'Isabelle Hupert, mais que l'on s'ennuie. Depuis le début, le metteur en scène semble ne pas très bien savoir où il veut aller, tout comme son héroïne d'ailleurs. Toujours filmé dans la pénombre, c'est déprimant. Même dans les scènes italiennes le diaphragme reste à moitié fermé. JL Anglade aussi s'ennuie ferme et se demande encore ce qu'il est venu faire ici à part "faire valoir". On sort de là complètement déprimé. Hélas.
Isabelle Hupert est encore excellente dans ce film. Elle montre encore un fois sa sensibilité avec brillo. Qui n’a jamais rêvé de tout quitter une bonne fois pour toute. Ann va réaliser son projet. "Villa Amalia" est donc assez utopique dans son propos et n’est peut être pas assez piquant sur la vie en société. Les paysages d’Italie sont paradisiaques. S’il on arrive a se propulser et a se mettre a la place du personnage, le film ne sera que meilleur. Sinon, il risque d’y avoir des déçus. La toute première partie lorsqu’elle est encore avec son mari est peut être un peu faible (notamment du au jeu d’un mauvais Thomas) mais rapidement cette quête désespérée vers la liberté et la solitude fait ressortir nos sentiments les plus profonds. "Villa Amalia" est un beau film juste.
du si magnifique livre de Quignard il reste si peu, ce qui est là est bien, mais c'est trop peu (je ne parle pas en quantité bien entendu, mais en fulgurances) c'est très rare que je sois déçue et quand çà se produit je n'écris pas, respectant l'émotion de ceux qui ont aimé, et ne souhaitant pas dissuader les futurs spectateurs. mais là, au moins, vous donner l'envie de vous perdre dans le roman, sans attendre, VITE !