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    Villa Amalia
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    2,5
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    152 critiques spectateurs

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    18 critiques
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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 22 février 2010
    Film sans grande importance, mou, sans gôut... Le thème aurait mérité mieux qu'une succession d'images... Sans intérêt si ce n'est les paysage!
    l'histoire mériterait mieux...
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 420 abonnés 7 565 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 avril 2009
    Ann est une femme comme les autres, bien sous tous rapports, jusqu’à ce qu’elle chamboule toute sa vie, du jour au lendemain, lorsqu’elle découvre son mari embrasser une autre femme.
    Si l’interprétation d’Isabelle Huppert est parfaite (l’incarnation de la solitude), le film en lui même séduit beaucoup moins, dû à la mise en scène trop amorphe et lassante.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 avril 2009
    Clichés d'un certain intellectualisme franchement éprouvants. Personnages que vous fuiriez à la seconde s'il vous arrivait par malheur de les croiser quelque part. Musique atroce. Plans cacophoniques.
    Etcetera. Etcetera.
    Un film de pauvres types pour pauvres types. Préférez encore n'importe quelle merde sur la une, c'est nettement moins suicidaire.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 avril 2009
    Une pianiste célèbre (et riche, ça aide…) décide de « disparaître » et de refaire sa vie. En réalité, elle va se payer des vacances de « bobo », version hippie sur le retour. C’est à ce simple – et long – voyage touristique que nous sommes invités, hélas. Sans doute le roman de Pascal Quignard comportait-il des nuances littéraires que nous sommes censés retrouver dans les images. Raté. Le jeu minimaliste d'Isabelle Huppert correspond bien au travail d'entomologiste de Benoît Jacquot. Mais comme chacun sait, il n’y a que les entomologistes à se passionner pour les aventures sentimentales des mouches…
    Un bon point pour le tourangeau Jean-Hugues Anglade, seul à se tirer avec les honneurs de ce banc de brume loin d’être électrique !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 avril 2009
    une aberration ...
    rien à ajouter, les autres ont tout dit..
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 avril 2009
    Partir, avec Isabelle Huppert, pour revenir à l'essentiel...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 avril 2009
    Du cinéma de jacquot, je ne connaissais rien. Les premières minutes, j'ai crains que le style soit aussi ampoulé que celui de Téchiné. Puis, je me suis dit qu'il allait filmer une psy tout comme dans "l'autre", et que le transfert allait aussi opérer en me rendant petit à petit dépressif. Puis, je l'ai vu vouloir fuir tous ces cons qui l'entouraient et qui ne comprennent rien à la vie, comme dans "into the wild", et je me suis dit "bon vent, on aura la paix", et je lui honteusement souhaité une même fin que l'autre prétentieux. Quand j'ai entendu la musique, je me remémoré les horribles violons du non moins horrible "bellamy" de Chabrol
    Et puis, je ne sais trop encore pourquoi, le charme a opéré, et je suis sorti conquis. La grâce d'Huppert, sans nul doute.
    joevebulle
    joevebulle

    4 abonnés 515 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2013
    Quand je lis certaines critiques, j'ai du mal à comprendre qu'on aille voir ce film alors qu'en ce moment passe également Fast and furious 4 ou prédictions. Si on veut voir de l'action, des cascades, il ne faut pas voir "Villa Amalia ". Par contre, si on cherche un morceau de vie de;calme, une ambiance, un peu de nostalgie ; Isabelle Huppert, égale à elle meme, tient le film avec JH Langlade. Et la musique .Certes, ce n'est pas un chef d'oeuvre mais un excellent film tout de meme.
    inxs34
    inxs34

    6 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 avril 2009
    Moi qui croyais avoir tout vu... En fait, c'est ma faute, j'aurais du m'en douter, me méfier, mais là, rien, j'y suis allé sans réfléchir...
    Déjà, premier indice, le réalisateur Benoit jacquot fut en 2005, membre du jury à Cannes en 2005, ça commence bien. Pire, le film récompensé était le sordide "l'enfant" où un pauvre type vend son gosse pour du fric...
    Deuxième indice, le film a reçu de trés bonnes critiques de Libération, l'humanité, télérama, les cahiers du cinéma et des inrockuptibles. Autant dire que j'ai été aveugle!
    Parceque quand même, là, c'est du lourd... Isabelle huppert (qui va s'évertuer à garder l'oeil vide tout du long) est une pianiste reconnue. Au détour d'un parc, elle voit son compagnon en embrasser une autre. A partir de là, elle décide de tout arreter et de recommencer sa vie ailleurs. Exit téléphone, compte bancaire, affaires personnels et famille. Direction une petite ile de l'Italie où elle va adopter une petite maison abandonnée, la villa Amalia. Dit comme ça, tout va bien. Mais pour recevoir des critiques élogieuses des maitres du prêt-à-penser et pour plaire aux bobos, il faut évidemment un peu de sordide, beaucoup de tristesse et de longs silences. La musique du début à la fin est envahissante, dépréssive, alternant piano baroque dissonant et chants d'église, l'héroine a perdu son frère, n'a pas d'enfants, son père l'a abandonné, sa mère est mourrante et aphone. Elle croise un ancien ami devenu homosexuel, et lorsque'elle est sauvée de la noyade, c'est par une italienne lesbienne qui s'occupera bien d'elle (filmé comme si c'était parfaitement normal évidemment, on est tendance ou on est pas) On finit par l'enterrement de sa mère où elle retrouve son père qui lui dit qu'elle criait trop et qu'en tant que juif, il ne supporte pas les cris symptomatiques des catholiques, il a donc préférer partir, on croit rêver... tout celà dans des décors trés joyeux, la région parisienne sous la pluie, ou au bord de la manche... bref un régal.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 avril 2009
    Qui mieux qu'I.Huppert aurait pu incarner Eliane, la pianiste renommée Ann Hidden (nom prédestiné quand on sait que "hidden" en anglais signifie "caché(e)"!), qui du jour au lendemain rompt les amarres, quitte tout, et part, sa vie ressemblant aux sacs poubelle qu'elle entasse sans états d'âme, fragile en apparence, et pourtant si déterminée ?!
    Elle ignore où elle va mais elle avance, comme obsédée par cette volonté de faire le vide autour d'elle pour mieux se retrouver, libre enfin de vivre, lestée de toutes ces contingences matérielles, à la recherche d'une vérité qui la libère et la rend à elle-même.
    Une composition juste et sensible de Jean-Hughes Anglade, l'ami retrouvé par hasard, tout à la fois aimant et impressionnée par la femme qu'il a connue enfant.Passionnante réflexion, une fois encore sur le sens de la vie, ou comment revenir à l'essentiel : un parcours que l'on suit fasciné, jusqu'à cette Villa Amalia surplombant un paysage de retour aux origines, un très beau film...
    ninilechat
    ninilechat

    75 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 avril 2009
    Isabelle Huppert rejoue le personnage de "Home" en négatif. Le psychisme de l'héroïne de "Home" la condamnait à n'exister que dans le cercle étroit de sa maison; celui de l'héroïne de "Villa Amalia", Ann, partout -mais Ailleurs. Vous connaissez le scénar : une concertiste -compositrice qui annule ses tournées, vend sa maison, ses pianos, et disparaît après avoir surpris son mari dans les bras d'une autre. En réalité elle ne fait que reproduire le schéma paternel, père musicien également disparu sans laisser d'adresse parce qu'il pensait que la solitude, seul, est préférable à la solitude en famille. C'est le thème "Je plaque tout je change de vie" abondamment traité au cinéma et surtout dans la (mauvaise) littérature. Mais alors que "Home" était constamment passionnant, ici, malgré la présence d’Huppert, malgré le plaisir de revoir Jean-Hugues Anglade (ma parole il a rajeuni) l'un ami d'enfance qui a va être le seul confident de cette fuite, on est très vite pris par l'ennui distingué qui suinte des films de Benoit Jacquot et c'est d'un oeil indifférent qu'on suit ses pérégrinations. Elle brouille les pistes, change d'avion, de train, marche -dans chaque nouveau pays elle remplit les bennes de ses vieux vêtements, en achète d'autres mieux adaptés aux climat, c'est ainsi qu'on la voit traverser les cols alpestres entre la Suisse et l'Italie, ses p'tits pataugas dans la neige, son tout p'tit sac à dos dans lequel, on l'espère, elle arrive à faire tenir deux culottes de rechange. Un peu ridicule? Oui. Enfin, dans une île italienne, la fuyarde trouve un endroit pour se poser, un cube de béton sang-de-boeuf -mais d'où l'on a la vision sublime d'une garrigue dégringolant à pic dans une mer d'un bleu absolu. L'inévitable petit épisode saphique avec une belle italienne de rencontre. Bref, tout cela n'est ni très convaincant ni très passionnant, mais peu importe: c'est de ces films qui ne sont pas faits pour le public, mais pour ravir les critiques de Télérama et des Inrock
    Cinephilegirl
    Cinephilegirl

    124 abonnés 495 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 avril 2009
    La bande-annonce laissait présager un film un peu "mou du genou", ennuyeux et mélancolique, mais au final "Villa Amalia" n'est rien de tout cela.
    On y suit le parcours d'Ann, superbe Isabelle Huppert (comme à son habitude) qui, ayant aperçu son mari en embrasser une autre, décide de tout plaquer du jour au lendemain. A commencer par sa musique... Musique qui la reprendra malgré elle. Avec l'aide de Georges (Jean-Hugues Anglade, trop rare sur nos écrans), un vieil ami d'enfance qu'elle vient à peine de revoir, elle mettra tout en oeuvre pour échapper à sa "condition" et profiter de sa liberté.
    Disons-le clairement: le film déroute. En effet, les plans brefs se succèdent les uns aux autres et il arrive qu'il y ait près de dix minutes de scènes sans dialogues. Néanmoins, cette manière de traiter le sujet n'est en rien rébarbative puisqu'elle fait partie du charme du récit. On se laisse entraîner avec Ann à la découverte de fantastiques paysages italiens, on la suit dans ses pérégrinations. "Villa Amalia" est tout simplement envoûtant et constitue une expérience comme on en voit peu au cinéma.
    Tanezir
    Tanezir

    36 abonnés 583 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2009
    Je n'avais pas plus accroché que cela à la bande-annonce du film. On a l'impression queBenoît Jacquot essaye de nous donner un sentiment de malaise car le film est lent et la bande son (musique contemporaine) y aide parfois cependant le film reste tout à fait sympathique à regarder même si ce n'est pas nécessairement un de ceux qui marqueront mon année cinématographique. Le jeu des acteurs reste très bon, notamment celui d'Isabelle Huppert. Une grande qualité que j'ai trouvée au film c'est que l'ordre des choses se déroule totalmenet par hasard et on a l'impression que le réalisateur a voulu faire comme dans la vraie vie (surtout quand Isabelle Huppert s'arrête sur un parking en face de gens tout à fait banals qui se sont arrêtés pour faire une pause). Elle rencontre son ami Georges tout à fait par hasard aussi dans un endroit où ils n'auraient pas du se croiser.
    traversay1
    traversay1

    3 677 abonnés 4 890 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 avril 2009
    Disparaître de sa propre vie comme on souffle une bougie. Et renaître ailleurs. Ou pas. Villa Amalia désarçonne d'emblée par sa forme : scènes courtes et inachevées, montage haché, syncopé, désaxé. Et que dire de l'interprétation de Isabelle Huppert, anguleuse, rêche, petit soldat qui brise les codes ? A ses côtés, quel bonheur de revoir un Jean-Hugues Anglade chaleureux et sentimental. Il est évident que le film de Benoît Jacquot n'est pas réaliste, certaines pièces manquent au puzzle, certaines ellipses sont suspectes... Et alors ? Du cinéma d'intellectuel parisien ? Que nenni, une échappée vers la possibilité d'une île, une rêverie à mille lieux des scénarios prémâchés des (nombreux) films qui saturent nos salles. Après Ricky et La fille du RER, Villa Amalia démontre que la subtilité et le refus d'un cinéma standardisé est possible. Et c'est le meilleur film de Benoît Jacquot, avis tout personnel.
    cekireste
    cekireste

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 avril 2009
    Benoit Jacquot nous offre le plaisir de passer 1h30 en compagnie d'Ann/Isabelle Huppert plus sauvage/sensible/mystérieuse que jamais. Savoureux. JH Anglade, que j'aimerais voir, à nouveau, ailleurs que dans un second rôle, est très émouvant. Un film qui ennivre comme une odeur chaude de primtemps.
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