Derniers Avis sur Pulp Fiction

Un film qui prône l'humour noire mais d'une manière tellement confuse et cliché ! Je me suis terriblement ennuyée. Le scénario manque de cohérence malgré une fin qui souhaite nous faire penser le contraire. Le jeu d'acteur et certains dialogues sont les seuls éléments qui empêchent ce film de tomber dans le navet !

J’ai vraiment beaucoup aimé ce film. L’action et l’humour sont parfaitement exécutés. Les personnages sont tous bien différents et ils le font très bien ( bien joué aux jeux acteurs ).
Si vous aimez les films d’actions avec une pointe d’humour alors je vous le recommande !

Film culte je sais pas où l'OL ,j'ai regardé 45 minutes quelques tire de flingue Les acteurs avec des perruques désastreuse de la cam et Travolta en trans ,Bon ont peut pas dire que c'est accrocheur et je trouve franchement le jeu des acteurs et actrices mauvais.tatentino ne ma pas impressionné.

“Pulp Fiction”, réalisé par le maître du cinéma Quentin Tarantino, est un film qui transcende les genres et laisse une empreinte indélébile dans l’histoire du cinéma. Ce film est un tour de force narratif. Tarantino joue avec les timelines, entremêlant les histoires de petits malfrats dans un récit non linéaire. Les pièces du puzzle s’assemblent avec une fluidité brillante, créant une expérience cinématographique unique. Chaque scène, chaque dialogue, chaque personnage est soigneusement agencé pour former un tout cohérent et captivant.

Chaque acteur est à sa place, comme s’ils étaient nés pour incarner ces personnages. John Travolta, dans le rôle de Vincent Vega, apporte une désinvolture charismatique. Samuel L. Jackson, en Jules Winnfield, délivre des monologues mémorables avec une intensité hypnotique. Uma Thurman, en Mia Wallace, incarne la séduction et la vulnérabilité. Bruce Willis, en boxeur au destin tragique, apporte une gravité émotionnelle. Harvey Keitel, en “Mr. Wolf”, est l’incarnation de l’efficacité et du sang-froid. Chaque dialogue est ciselé, chaque réplique culte fusant avec une musicalité propre à Tarantino.

La photographie de Hoyte Van Hoytema est à la fois sombre et éclatante, capturant l’essence de Los Angeles, cette ville de tous les possibles. Les couleurs vives, les néons, les ombres, tout contribue à créer une atmosphère unique. La bande originale, avec des morceaux iconiques comme “Misirlou” des Surfaris ou “Girl, You’ll Be a Woman Soon” de Neil Diamond, amplifie l’atmosphère du film. La musique devient un personnage à part entière, rythmant les scènes et les émotions.

La spoiler: danse de Travolta et Thurman
, la spoiler: montre de Willis
, les spoiler: discussions dans la voiture
, la spoiler: scène du “Big Kahuna Burger”
… Chaque scène est un tableau, chaque dialogue est une pépite. Tarantino joue avec les codes du cinéma, subvertit les attentes, et crée des moments qui restent gravés dans la mémoire des spectateurs.

“Pulp Fiction” est un chef-d’œuvre qui ne se démode pas. C’est un film qu’on peut regarder encore et encore, en savourant chaque détail. Tarantino a créé un univers unique, où la violence et l’humour se côtoient avec une élégance décadente. “Pulp Fiction” est un voyage cinématographique inoubliable, une expérience qui transcende les limites du cinéma conventionnel, méritant largement 5 étoiles sur 5. Un chef-d’œuvre qui marque l’esprit et l’âme des cinéphiles.

Cette fois-ci, je me suis attaqué à un film iconique, monument du cinéma qui m’avait été chaudement recommandé m et que les critiques n’ont de cesse d’encenser (à l’excès ?). Car, au risque de me mettre les fans à dos, le visionnage de « Pulp Fiction » m’a laissé totalement indifférent. J’ai même été globalement déçu par un film, considéré comme culte, et qui ne m’a procuré qu’une émotion parfois agréable, souvent passable.
Sorti en 1994 et réalisé par Quentin Tarantino, le film est la succession de scènes plus ou moins liées qui font interagir des gangsters et trafiquants dans l’hostilité de la truanderie américaine.
Tout d’abord, cela manque de rythme et c’est une évidence lorsqu’on sait qu’il dure plus de 2h30. Je ne pense pas pouvoir dire m’être ennuyé ni avoir passé un mauvais moment, ce fut juste quelconque. En effet, dans la globalité, les très bonnes idées ne sont pas assez exploitées et les excellents dialogues (toujours atypiques, à propos du charme des porcs ou de l’importance du silence) ne suffisent pas. J’ai beaucoup lu que la richesse de la production résidait dans la réalisation de Tarantino et qu’il parvenait à créer une structure originale en jouant avec les lois du temps grâce à des scènes qui finissent par se lier. Je ne vois vraiment pas pourquoi cet argument est si répandu. Il n’y a que très peu d’interventions non conventionnelles (à part un cartouche d’ellipse burlesque vers la fin et les titres des « actes ») et, malgré ce qu’on peut dire, je peine sincèrement à voir les intrigues se rejoindre (sauf pour un effet de surprise près du dénouement que j’aurais aimé retrouver amplifié par la suite). Car, même si certaines saynètes se regroupent, l’histoire une fois terminée n’en est pas pour autant intéressante, voire insipide, et c’est dommage. Vous l’aurez compris, c’est une réussite que je juge très discutable même si le personnage du charismatique Winston Wolfe, les acteurs qui sont tous extraordinairement doués (Travolta, L. Jackson et Bruce Willis en tête de liste), l’évolution de Winnfield, la merveilleuse musique, et quelques touches d’humour qui se cachent derrière un comique douteux, m’ont permis d’apprécier tout de même ce visionnage.

Pulp Fiction, sorti en 1994, est une comédie noire et film de crime, réalisé par Quentin Tarantino, une des plus grosses références du septième art et un des films les mieux noté sur allociné.
Tarantino sait décidément faire des scènes, mais pas des films. Quand on regarde un de ces films, on suit toujours plusieurs scénarios en même temps qui finissent par se rejoindre, on peut observer tout un tas de divertissement diversifiés, mais on sait jamais pourquoi, le sens que tout ça a, quel est le but de tous ces numéros, quelle est la morale, l'explication. On ne suit pas des protagonistes, un élément déclencheur et un problème à résoudre, non juste des tonnes d'humour noire, de drogue, de violence, de glauque et de gore, sans message délivré, juste du divertissement, Tarantino nous dit seulement : "Regardez ça". Ici on peut quand même apprécier le talent de Tarantino pour nous servir des scènes d'anthologie (la danse, la mort de Marvin, la mort de Vincent, le verset biblique) , des personnages cultes, et sa mise en scène à base de flash-backs, séquences nommées et plans soignés.
Le casting est en or : John Travolta dans le rôle d'un tueur à gage aussi drôle que sa coupe, son acolyte Samuel L. Jackson trop stylé, Bruce Willis très bon, Uma Thurman très belle, Christopher Walken, Tim Roth, Harvey Keitel, Quentin Tarantino lui-même. Tous sont excellents.
A la BO, la célébrissime musique "Misirlou" de Dick Dale, "You never can tell" de Chuck Berry et tout un tas de tubes des années 50 à 70, créant une assez bonne ambiance musicale, assez gangster par moments.
Par contre l'intrigue du verset biblique et complètement ridicule, la réplique n'a aucun sens et a été inventé, et elle ne sert à rien au final, quant à la fameuse mallette, c'est juste un attrape-nigaud, on a attendu tous le film pour en savoir le contenu et Tarantino nous fait le coup de "c'est c'que vous voulez".
Cultissime (jusqu'à l'affiche iconique à juste titre), très drôle (on arrive à rire de scènes pourtant dégoûtantes) et très divertissant, bourré de références, mais inadapté à un jeune public et surcoté (car inachevé et ça reste simplement une bonne comédie noire), comme tous les Tarantino que j'ai vu (et le meilleur reste encore "Django Unchained").

Un casting au top, des musiques exceptionnelles et le tout avec une réalisation parfaite font de film un grand Classic !

Le film qui révolutionne le cinéma une 2ème fois

Meilleur Film 1994
Meilleur Acteur 1994
Meilleur Actrice 1994
Meilleur Acteur dans un second rôle 1994
Meilleur Réalisation 1994
Meilleur Scénario 1994
Meilleur Musique Original 1994

Bon film, j’ai encore besoin de temps avant de saisir le génie de Tarantino ! Le casting est absolument fou !

'' Personne sait pourquoi il s'est fait jeter d'une fenêtre du 3eme en dehors de Marcellus et de Tony, mais quand vous êtes ensemble les truands vous êtes de vrais concierges ''. Un des films marquants des années 90 tant il y'a de scènes, moments ou répliques mémorables, une sorte de film noir a la sauce Tarantino qui a crée beaucoup de références.
Les yeux d'Uma Thurman, la tasse de café de wolf (Harvey Keitel), la voix française rauque de Ving Rhames, l'air hagard de Travolta ne sachant pas faire grand chose ni prendre d'initiatives a part presser la détente (quand il le fait volontairement...), sans oublier Bruce Willis en forme également, autant de détails qui font de ce film ce film, tant qu'a Samuel L.Jackson il est comme un poisson dans l'eau.

Film à voir absolument. Les personnages sont parfaits, l'ambiance est excellemment barrée, la musique exceptionnelle. La touche Tarantino

Vu une bonne dizaine de fois, revu en 4k en 2024... et il n'a pas pris une ride. Par ses personnages lambdas, aux dialogues épicés, plongés dans des (ou une) histoire extraordinaire, Quentin à pour toujours encré ce film dans l'histoire du cinéma. Uma, Travolta, Willis et Jackson degoulinent de charisme. Bref un chef d'œuvre en 2h30 de feu d'artifice.

Le meilleur film de Tarantino (avec Kill Bill), avec un montage habile qui ne gâte rien. L'ambiance violence + humour décuplée par un savoir faire ''diabolique''.

L'inventivité du découpage et du rythme, avec ce passage de scènes calmes et de longs dialogues à de la violence rapide et définitive, est géniale. Les dialogues jouissifs, et les scènes absolument mythiques (toutes celles avec John Travolta), en font un classique absolu, qu'on aurait aimé voir se dispenser des moments les plus gores, néanmoins marginaux par rapport à la qualité du film.

A voir sans modération.
Film préféré de ma femme.
A chaque visionnage sa nouvelle petite découverte : une coquille, un détail, un rappel...

Jubilatoire simplement