En acceptant de faire Les Traîtres sur M6, les candidats s’attendent à devoir mentir, enquêter et mener des stratégies. Pourtant, certaines contraintes sont également mises en place par la production, afin que le jeu se passe dans les meilleures conditions possibles. Lors de la conférence de presse du programme, qui a eu lieu le 10 juin 2024, plusieurs participants de cette saison 3 ont révélé la condition numéro une, imposée par les équipes de tournage : celle de ne pas utiliser leur téléphone le soir pour échanger des informations avec leurs camarades.
En cas de triche, ils sont éliminés sur le champ
Alors qu’il pensait pouvoir se détendre tranquillement le soir après une longue journée passée devant les caméras, Gwendal Marimoutou a vite déchanté : “Tu vas tout de suite dans ta chambre, il y a une nounou qui veille”, a-t-il expliqué. Toutefois, il a précisé que le producteur de l’émission avait pris soin de les mettre en garde : “Mathieu (Chalvignac, NDLR) nous avait même dit, parce qu'évidemment, il y a des gens qui se connaissent d'avant : ‘Je vais être extrêmement vigilant, je ne veux pas que vous vous appeliez. Et si on a le moindre doute, c’est arrivé dans d'autres pays, vous serez éliminés. Comme en plus, vous jouez avec des associations, vous faire sortir pour tricherie et priver votre association de quelque chose, c'est la pire manière d'exister et de partir d'un programme’.”
Les candidats sont suivis dans tous leurs déplacements
À chaque fois qu’ils se déplaçaient, pour boire ou manger par exemple, des nounous étaient chargées de les accompagner afin de les surveiller. “On a des équipes de jour et des équipes de nuit qui se succèdent et qui font en effet un travail de surveillance pour être sûrs et certains qu'on puisse continuer à tirer le fil du jeu sans triche, sans interférences”, a ajouté Eric Antoine, qui anime Les Traîtres depuis la toute première saison. “Les producteurs sont vraiment dans un engagement très fort et les équipes aussi, parce qu'ils savent que c’est sur eux que repose la qualité de ce qu'on aura à l'image” a-t-il conclu.