Un enfer sur Terre. Depuis le mois de novembre 2022, Ayem Nour et son fils Ayvin sont bloqués au Maroc, là où vit son ex-mari et père de l'enfant, Vincent Miclet. Et pour cause, ce dernier aurait confisqué leurs passeports, en plus d'avoir déposé plusieurs plaintes contre la jeune femme, les empêchant ainsi de rentrer, ensemble, en France. Depuis, les anciens amants se livrent une guerre 2.0 sans merci : l'un accusant l'autre de choses et d'autres. Séquestrée dans un pays qui n'est pas le sien et loin de ses habitudes alimentaires, l'ancienne candidate de télé-réalité a donc passé un message sur ses réseaux sociaux. "SVP ! Cherche une enseigne sérieuse qui puisse me faire livrer des ingrédients Keto au Maroc (pain, huile, farine, friandises, chips, granola et autre) le plus rapidement possible. MP merci." a-t-elle d'abord écrit en story Instagram. Et de rajouter, plus discrètement : "On va pas se laisser abattre malgré les circonstances, la santé avant tout".
Ayem Nour avait déjà lancé un cri d'alerte
Et ce n'est pas le premier appel à l'aide que passe l'ex-chroniqueuse de TPMP People. En effet, afin de s'en sortir et de retrouver son pays, elle demandait, le 27 mars 2023, au président de la République d'intervenir dans son histoire. "Je vous implore de ne pas me séparer de mon enfant. Je demande à toutes les personnes qui verront cette vidéo de la partager afin que mon message et mon désarroi puissent être entendu" commençait-elle par déclarer, les yeux plein de larmes et la voix tremblante. Et de rajouter : "Je ne suis plus libre de quitter le territoire marocain jusqu'au procès", laissant sous entendre qu'elle doit être entendue par la justice marocaine et risque ainsi une peine de prison. Une situation dramatique, mais heureusement la brunette peut compter sur le soutien de ses amis comme Anaïs Camizuli, Julia Paredes ou encore Jazz Correia...
Ayem Nour placée sous contrôle judiciaire
De son côté, l'homme d'affaires a confirmé au Parisien, par le biais de ses avocats, qu'Ayem Nour était "placée sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter le territoire marocain. Malgré cela, elle a tenté de quitter le Maroc, avant d’être bloquée par la police de l’air et des frontières marocaine". Serein pour la suite et pour la garde de son petit garçon âgé de six ans, il a également fait savoir qu'il fait "entièrement confiance à la justice marocaine et que les faits reprochés à la mère de son fils sont extrêmement graves, puisqu’il s’agit notamment d’enlèvement d’enfant et de refus de scolarisation".
Alors qu'ils avaient trouvé, lors de leur séparation en 2016, un accord pour la garde d'Ayvin, ils ont décidé de passer un "deal" à l'été 2022 : celui de scolariser le garçonnet à Marrakech pour un essai d’un an. "Si tout se passait bien, j’avais accepté que cela continue. Mais j’ai rapidement compris qu’en réalité, il m’avait amené sur son terrain au Maroc pour tenter d’obtenir la garde exclusive" a confié Ayem Nour, par téléphone, au Parisien. Et c'est là que tout a basculé...