Dans la jungle philippéenne des Apprentis aventuriers, Victoria Mehault doit vivre avec le strict minimum. Des conditions plus frugales que dans le sud de la France, où la candidate de télé-réalité mène grand train. Révélée dans les aventures des Marseillais, la pétillante blondinette a voulu tester ses limites avec son amoureux Nicolo Ferrari dans le jeu de survie diffusé sur W9 depuis le 13 février 2023. Et elles ont été rapidement atteintes. D'abord parce que son couple tient sur des bases aussi solides qu'une cabane avec des bouts de bois, mais aussi car la faim et les nuits sans confort ne sont pas son pain quotidien.
"J’ai dû faire entre 15 000 et 20 000 euros"
Dans un entretien accordé à son ex-compagnon, Bastos, l'influenceuse a accepté de révéler le montant de ses émoluments. Et à l'écouter, on comprend très vite le pourquoi de son exaspération sur l'île déserte. "Quand je suis rentrée, j'ai dit à tous mes amis et mes proches que j'avais été horrible sur ce tournage", a-t-elle expliqué dans une vidéo TikTok. "Comprenez-moi, je suis sur une plage et je ne mange pas. Je vous explique : quand j'ai la dalle, je suis exécrable et horrible".
Dans la vraie vie, Victoria Mehault galère beaucoup moins, entre ses cachets pour les émissions et les placements de produits sur les réseaux sociaux. Et ce, même si elle avoue promouvoir beaucoup "moins de marques qu'avant" afin de soigner son image. Un parti-pris qu'elle assume, même s'il touche son porte-monnaie. "Ce mois-ci, le mois dernier et le mois d’avant, je ne me suis pas fait beaucoup. […] J’ai dû faire entre 15 000 et 20 000 euros", révèle-t-elle, précisant qu'avec l'ouverture de son salon de beauté et de trois sociétés, elle devait réinjecter 12 000 euros de ce montant.
"J'ai pas honte, je pays mes impôts"
Pour autant, la désormais célibataire se dit très fière de son parcours et de "son salaire de cadre" : "J'ai pas honte, je paye mes impôts, j'ai pas honte de bien gagner ma vie car ça permet aux autres de mieux vivre", affirme-t-elle. L'âge d'or des placements de produits, au cours duquel elle pouvait toucher "60 000 euros par mois", est certes révolu, mais Victoria Mehault continue de voir loin.
