Christine a toujours eu un mal de chien à se poser avec un homme. Un comble pour cette éleveuse canine qui a transpercé l'écran lors de la diffusion des portraits de cette dix-huitième saison de L'amour est dans le pré. Les téléspectateurs attendent désormais de savoir si les courriers vont suivre cette première bonne impression. Nul doute que malgré sa passion dévorante pour les loups, et son goût particulier pour la décoration, cette sexagénaire très pratiquante verra une horde de prétendants lui écrire et satisfaire sa soif d'amour.
L'amour est dans le pré, "un appel à l'aide"
Car, Christine, mariée à seulement dix-sept ans avant de toute bazarder pour une relation passionnelle, ne souhaite pas indéfiniment vivre en compagnie de ses animaux. Sceptique au départ, elle s'est laissée convaincre par une bonne copine de postuler à l'émission présentée par Karine Lemarchand. "En regardant les émissions, et en voyant quand même que beaucoup, beaucoup d'agriculteurs rencontrent l'amour, je me suis dit : 'Pourquoi pas moi ?'", a-t-elle confié au micro de Focus Dimanche, sur RTL. Car, la Nouvelle-Aquitaine n'a pas trouvé chaussure à son pied sur les sites de rencontre : "Je trouve que ce n'est pas terrible. Je sors pas beaucoup évidemment, parce qu'avec les animaux, j'ai pas trop de temps pour sortir rencontrer des gens. C'est vrai que j'ai lancé un appel à l'aide. J'espère que la personne qui m'est destinée l'entendra !"
La réticence de l'un de ses enfants
Il y a bien un membre de sa famille qui n'a pas entendu le bien-fondé cette candidature de cette oreille : l'un de ses enfants. "Mon fils, au départ, était un peu réticent quand même. Il m'a dit : 'Tu ne sais pas dans quoi tu te lances.' C'est vrai que c'est quand même quelque chose, ce n'est pas évident", a-t-elle confessé. Mais la diffusion du portrait de sa génitrice a vite dissipé ses doutes. "Quand il a vu mon portrait. Il m'a dit : 'Ecoute maman, je t'ai retrouvée toi, avec ton amour, avec ta gentillesse, avec tout ce que tu as'. Ça m'a fait chaud au cœur, ce qu'il a dit", a souligné cette battante, prête à rejoindre le Sud-Est de la France pour "se rapprocher de ses enfants". Un message qui va droit au but.