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    House of Cards
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    dragoyo
    dragoyo

    109 abonnés 759 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    2,5
    Publiée le 5 novembre 2018
    2,5/5 Moyen. La série tombe de haut avec l’éviction de K.Spacey. Le scénario de la saison est très moyen, on est sur la plus mauvaise saison de la série. Au moins c’est terminé....
    Prad12
    Prad12

    91 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    0,5
    Publiée le 10 novembre 2018
    Depuis deux saisons déjà, l'intérêt s'était émoussé. Mais là, sans Spacey et on sortant toutes les lourdeurs du moment, on atteint de sommets de nullité rarement égalés.... la série se finit en sorte d'Amour gloire et beauté ou sous Dallas.... très décevant. Le jeu des acteurs n'a rien à y voir, c'est vraiment le scénario, la cohérence et les situations qui sont grotesques.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 6
    0,5
    Publiée le 21 février 2020
    House of cards saison 6, ou comment le politiquement correct et l'hystérie autour de l'affaire Weinsten ont assassiné la créativité exceptionnelle d'une des meilleures séries du monde. Désolé, mais House of Cards sans ce bon vieux Francis Underwood n'est plus du tout House of Cards, c'est le moins qu'on puisse dire. Tout est ridicule et tombe à plat dans cette saison 6, à commencer par le personnage de Claire, dont toutes les activités sont incrédibles de A à Z : spoiler: elle se balade soudain seule OKLM d'un lieu à l'autre comme une pékin lambda sans besoin de la protection du Secret Service, fait trucider des opposants sans que personne ne la contrarie jamais, s'apprête à déclencher la guerre mondiale sur un caprice en se faisant remettre la valise atomique... et, cerise délicieuse sur le gâteau, tombe miraculeusement enceinte - à plus de cinquante ans ?!!. Le tout teinté d'une subtile (?) dose de satanisme, puisque que Claire nous est assez clairement présentée comme une créature machiavélique sans aucun affect, qui n'hésite pas à faire une brève prière à Lucifer (bin ouais, pourquoi pas, hein ?) pour lui demander son aide. Quant à ses ses adresses à la caméra - calquées sur celles de ce vieux Franck, mais avec nettement moins de talent - disons qu'elles foutent plutôt le malaise qu'autre chose. Et ne parlons même pas de la formation de son cabinet 100% féminin (oui, elle vire tous les hommes de son équipe), qui relève plus d'une forme grotesque de gynarchie ou de suprématie féminine que d'un féminisme militant.
    Bref, le personnage de Claire, déjà pas spécialement sympathique durant toute la série, devient pour le coup franchement antipathique dans la 6 : on a constamment envie de la tuer et on rêve qu'un attentat contre elle réussisse au plus vite.
    Mais, et c'est bien là le problème, il semble que ce ne soit sans doute pas volontaire de la part des scénaristes de cette saison 6, vraisemblablement recrutés en urgence pour combler les trous créés par le départ inattendu du personnage de Frank. Ceux-ci ont sans doute voulu traiter la dernière saison sur un mode ultra féministe pour "venger" la production des agissements coupables (supposés, car il n'a toujours pas été condamné, hein) de Spacey. En tout cas, si telle était la volonté des producteurs et auteurs, c'est raté ; car, en voyant agir Claire en roue libre, on se dit que n'importe quel homme serait moins timbré et moins dangereux qu'elle. De vrais bras cassés, les scénaristes de cette saison, quoi.
    Hallucinant donc, tout est à l'avenant dans le n'importe quoi, et le dernier épisode atteint même une sorte de climax du grotesque. Déjà, il nous saute au yeux que le comportement de certains personnages du final est complètement incohérent par rapports aux précédentes saisons. On a notamment du mal, dans ce dernier épisode, à reconnaître le fantastique personnage de Doug Stamper, spoiler: dont la scène finale avec Claire dans le bureau ovale ne correspond pas du tout à ce qu'on savait - et attendait - de lui (j'veux pas spoiler, à vous de voir le désastre).

    Nawak total donc, de quoi être dég, on est à mille lieues du réalisme pointilleux et de l'humour cynique des saisons précédentes. Là, plus d'humour ni de manipulations complexes et jouissives, uniquement une atmosphère crépusculaire lugubre et approximative sur fond de thriller télévisé du dimanche soir. Même la photographie, impeccable dans toutes les saisons, semble bâclée, avec de nombreux plans sous-exposés et même granuleux. Vachement attractif et convainquant, ouais, cette ultime saison, bravo les artistes ! Consternant, en réalité. En résumé, je préfère de très loin un génie vénéneux comme Spacey à cette clique de tâcherons de l'audiovisuel bien-pensants, qui en fait de venger l'honneur de leur production ont juste foutu en l'air une magnifique série pour complaire à une coterie de féministes intégristes hystériques, qui jettent des noms en pature et flinguent des vies et des carrières avant de s'assurer de posséder un minimum de preuves. Ouais, je suis énervé. House of cards saison 6, ou l'implacable démonstration du fait que les bons sentiments ne font définitivement pas de bons scénars.
    Lito Z.
    Lito Z.

    6 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    1,0
    Publiée le 6 novembre 2018
    Cette saison 6 est extrêmement décevante. J'ai failli m'endormir pendant le premier épisode. J'ai lutté mais ma lassitude l'a emporté au cours de l'épisode 2. Et pourtant j'adore Robin Wright. Adieu House of Cards.
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 13 janvier 2023
    Six saisons (2013 à 2018, soit 73 épisodes). Série terminée.
    La lente ascension politique au sein de la Maison Blanche d’un couple assoiffé de pouvoir. Dans le rôle de Francis et Claire Underwood on retrouve les excellents Kevin Spacey et Robin Wright. Ce qui reste incroyable avec cette série, en partie réalisée par David Fincher, c’est que l’on se surprend à apprécier les manigances diaboliques de gens exécrables, prêts à tout pour atteindre la plus haute marche. Entre plongée dans l’univers politique américain, secrets familiaux et enquête journalistique, le scénario nous entraîne dans un huis-clos psychologique déroutant. Il est important de souligner que cette histoire repose essentiellement sur les deux personnages principaux, tous les rôles secondaires (dont le dévoué Douglas Stamper interprété par Michael Kelly) n’étant là que pour épaissir la sauce. On peut tout de même regretter la sixième et dernière saison vraiment décevante. Non seulement en raison de l’absence de Kevin Spacey (écarté manu-militari par la production pour des accusations d’agressions sexuelles). Mais aussi parce que les scénaristes ont complétement perdu les pédales avec de nouvelles intrigues absolument invraisemblables. Bref, dommage de finir sur une si mauvaise note.
    Nicolas B.
    Nicolas B.

    18 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    1,5
    Publiée le 20 novembre 2018
    Après une saison 5 qui a été plus que difficile à finir car beaucoup tiré par les cheveux ... La saison 6 est vraiment en dessous... Elle ne fait que décevoir et on ressent l’absence de beaucoup de gens qui n'ont pas suivi.. La façon de filmer est horrible dès le début, tout a changé et on ne s'y retrouve plus.. Je ne parle pas de l'histoire qui est mauvaise à mon goût.. Très très dommage un arrêt à la saison 5 aurait été mieux finalement, et rendez nous Kevin Spacey!
    Daniel Schettino
    Daniel Schettino

    25 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    2,5
    Publiée le 27 mai 2019
    On a le sentiment qu'il manque un épisode de transition, car on est plongé dans l'histoire sans savoir ce qui est arrivé à Frank Underwood ? Était-ce trop leur demander de voir Kevin Spacey au moins dans le premier épisode ? Les personnages de Annette et Bill Shepherd arrivent comme un cheveu dans la soupe, comme si on était habitué à eux, alors qu'on se demande d'où ils sortent ? On ne comprend rien à leurs différends avec les Underwood. Ce n'est pas crédible. On ne comprend pas aussi le fonctionnement de Claire Hale Underwood et de sa guéguerre avec les Shepherd et avec son vice-président Mark Usher. Cela fait beaucoup d’imprécisions pour une saison finale décevante. Certes c'est bien joué: Patricia Clarkson, Campbell Scott, Constance Zimmer et Diane Lane sont plutôt convaincants dans leur rôle, et font ce qu'ils peuvent pour sauver leur personnage d'un imbroglio scénaristique, ce qui n'est pas le cas de Robin Wright hélas dont son personnage donne l'impression d'être en proie à la démence. La réalisation des épisodes est soignée (on retrouve notamment la réalisatrice, Ami Canaan Mann) mais on a plutôt l'impression que c'était panique à bord. Le thème de l'hégémonie d'un moteur de recherche, et de sa toute-puissance sur le web, est bien vu, mais Ils auraient dû surtout faire une saison sur les ravages du politiquement correct car c'est ça qui a tué House of Cards. Là on aurait vu comme un pied-de-nez au conservatisme et à l'hypocrisie.
    Edtrail75
    Edtrail75

    17 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    2,5
    Publiée le 11 décembre 2018
    Dernière saison confuse et ennuyeuse, dont on peine à suivre une intrigue plus qu’alambiquée.
    Franck Underwood est décédé, Claire est devenue Présidente : tout au long des huit épisodes, l’ombre de Franck est omniprésente, et cette ultime saison ne peut prend clairement pas prendre son envol. Saison 6 particulièrement difficile à suivre, j’avoue que j’ai failli m’endormir à plusieurs reprises, il faut une bonne dose de caféine pour suivre son fil conducteur. Les rebondissements sont beaucoup trop improbables pour qu’on y croie, les coups tordus, les fourberies, la vengeance sont des ressorts qui ont déjà été trop utilisés.
    En sous-jacents d’actualité, à savoir le lobbying industriel d’un couple tout autant machiavélique que l’était le couple Underwood, le conflit avec la Russie au sujet de la Syrie ainsi que le propos féministe de la nouvelle Présidence ne suffisent pas à porter ce dernier volet, car abordés avec trop de superficialité. Il y avait matière pourtant à redonner un nouveau souffle, mais cela ne confirme que le déclin de cette série au fur et à mesure des saisons : le château de cartes s’est effondré, avec un final invraisemblable.
    Heureusement que le jeu des actrices est là, parfaitement millimétré dans ce jeu d’ombres entre intrigants, avec les magnifiques Robin Wright et Diane Lane.
    NarnoNarno
    NarnoNarno

    39 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    3,0
    Publiée le 12 août 2020
    La fameuse saison, tant décriée. K.Spacey éjecté, Franck Underwood également, c'est donc une avenue qui s'ouvre à Claire Underwood, personnage cantonné au second plan de son vampirisant mari, mais qui restera insidieusement la pierre angulaire des 5 saisons précédentes, tel un diamant taillé sur mesure dont on occultait volontairement l'éclat. C'est finalement là, la plus grande déception de cette ultime saison, c'est cette incapacité à faire briller et exploser ce personnage. Certes, C.Underwood avance tant bien que mal avec le boulet de son défunt mari, mais la flamboyance qui la caractérisait à complètement disparu. Et même si les scénaristes tentent de gommer à la-va-vite une histoire remodelée par le départ de l'acteur phare, il est évident sur cette saison 6 que la méticulosité de la narration des précédents opus a laissé place à des rebondissements bâclés par de la précipitation d'écriture. Du coup, on perd non seulement le piment du personnage de C.Underwood, et surtout une réelle crédibilité de l'histoire qui nous est proposée. La saison de trop, peut-être un peu, et finalement content qu'elle soit plus courte et la dernière. Et en même temps, la déception n'est pas synonyme de catastrophe. R.Wright et M.Kelly sont toujours au top, néanmoins mal servis par un scénario qui les maltraite. Indulgence un peu, car en cette ultime saison, c'est bien sur l'ensemble de cette série que perdura une excellente impression.
    shindu77
    shindu77

    91 abonnés 1 605 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 11 mai 2020
    Une série d'une grande qualité sans compter la dernière saison qui est une purge incroyable sans l'acteur principal (son passé l'a rattrapé).
    Tout était très bon avant cela. Des personnages excellents, mention aux deux personnages principaux.
    Un scénario qui est une réussite ainsi que qu'une mise en scène de très bonne facture.
    RAYENE M.
    RAYENE M.

    21 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    0,5
    Publiée le 23 janvier 2019
    Claire underwood se tue à paraître hyper machiavélique durant les huit épisode de la dernière saison de cette magnifique série mais ça sort comme un pet.
    Grosse déception.
    La série sans Franck underwood c'est du n'importe quoi.
    La saison 5 aurait dû être la dernière. Vraiment.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 6
    2,5
    Publiée le 18 août 2019
    Bilan en demi-teinte pour cette dernière saison, bousculée par l’éviction de son héros. Les trois premiers épisodes sont prometteurs. Le passé est évacué assez rapidement pour laisser place à un affrontement plutôt intéressant entre la présidente et l’un des plus puissants lobbies de son pays. J’ai retrouvé ce qui fait pour moi l’ADN de la série et que j’avais perdu la saison précédente: des intrigues purement politiques, une navigation dans différentes strates du pouvoir et une Claire fascinante de complexité. Même les adresses à la caméra retrouvaient leur piquant des débuts. Puis assez vite, mes espoirs se sont envolés. Les vieilles dérives mafieuses de la série refont surface, finissent par éclipser la belle dynamique de début de saison et, comme si ça ne suffisait pas, le scénario en remet une couche, alignant les cadavres dans un mépris pour la vraisemblance qui atteint des sommets. Les ellipses ajoutent à ce virage maladroit la sensation d’une saison trop courte et qui avance trop vite. La série finit exsangue, dans un bureau ovale où le drame s’est resserré pour mieux s'asphyxier. La dernière scène ouvre (très) grand les vannes de la tragédie classique, avec une gravité qu’on aurait peut-être mieux accueillie au terme d’une série en trois actes, mais qui fait plutôt sourire après six années de crimes accumulés et de fantômes éparpillés aux quatre coins de la Maison blanche. Il faut quand même saluer la prestation jouissive de Patricia Clarkson (dont le personnage est par ailleurs peu lisible et inadapté à l’esprit de la série, mais tant pis!), ainsi qu’une réalisation toujours parfaitement soignée. Surtout, je tire mon chapeau au travail magistral de Robin Wright, qui était pour moi depuis longtemps la véritable héroïne de House of Cards. Si je devais ne retenir qu’une chose de la série, ce serait le personnage mémorable qu’elle compose: une femme qui ne représente qu’elle-même, pour le meilleur et surtout pour le pire. Une femme à qui on permet d’exister sans lui demander de parler pour le genre féminin tout entier. Ce que j’appelle aussi: un vrai personnage féministe.
    Stéphane V
    Stéphane V

    7 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    1,0
    Publiée le 28 novembre 2018
    Mais qu’ont-ils fait de cette série ?
    C’est lent, mal écrit, inintéressant.
    L’absence de Kevin Spacey se fait cruellement sentir.
    C’est dommage car les premières saisons étaient top. Très étonnant que Netflix saborde cette série de cette manière.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 6
    1,5
    Publiée le 5 novembre 2018
    je vais paraître un peu radical, mais l'absence de Kevin Spacey se fait sentir... Claire UnderWood a beau être machiavélique dans cette saison 6, on n'arrive pas à effacer le manque de Franck.
    Frederic S
    Frederic S

    32 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    1,0
    Publiée le 25 novembre 2018
    j'ai trouvé chaque saison moins bonne que la précédente.

    Celle-ci est celle que je n'auras pas dû regarder et ce sera la dernière.

    Scénario confus, très difficile à suivre, pas intéressant, pas crédible. Bref je me suis ennuyé ferme
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