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Jérémie
148 abonnés
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Critique de la série
4,5
Publiée le 30 novembre 2020
Comment susciter de l'intérêt pour une histoire politique ?
House of cards le réussit, et aisément. Le duo Spacey et Wright n'y est pas étranger et leur charisme ne font que conforter la claque que représente cette série. Les saisons se suivent et ne se ressemblent pas. L'ascension de Franck Underwood est parfaitement mise en scène, tout est à sa place. Et le scandale de Kevin Spacey est arrivé. Synonyme pour moi d'arrêt de visionnage de la série. Net et définitif.
Cette série politique est un vrai chef d'oeuvre. Les petits défauts ne sont rien en regard de ses énormes qualités qui sont la finesse d'analyse des personnages, la diversité des situations de crise et le rythme général qui relance toujours l'intérêt de saison en saison. Tout a déjà été dit sur cette série et son succès n'est pas un hasard car le spectateur reste scotché devant les manigances du pouvoir. Tout y est intrigue et faux semblant au service d'une ambition de pouvoir démesurée. Le couple au centre de l'histoire a des relations complexes et malsaines par moment, certes, seulement il reste toujours fascinant.
"House of Cards" n'est jamais aussi meilleur que lorsque le couple Underwood est en phase. Cette saison 4, à l'image du couple présidentiel, va crescendo vers un final plein de cynisme, cette inconvenance qui fait le piment de cette série. Et toujours les mêmes qualités formelles du début. Une saison de plus avec la même régularité de qualité d'interprétation, de réalisation, et de scénario toujours aussi riche et passionnant.
Voici donc les coulisses de Washington, et c'est peu dire si elles sont bien encombrées, malsaines et peu recommandables. Et ceux qui les fréquentent ont les dents bien longues et acérées, les ambitions bien prometteuses mais incertaines, une hargne sans pareil et des méthodes toutes sauf orthodoxes. Cette première saison de "House of Cards" pose tout suite le ton: spoiler: la Maison Blanche domine un océan peuplé de requins dont la vie est en sursis à la moindre faiblesse. Cette série est un monument de cynisme, de manigances et de tactiques politiques où le règne réside dans les mains du plus fort et du plus perfide. Tout sonne vrai, et ça donne froid dans le dos. L'ombre de D.Fincher se reflète dans la réalisation feutrée et millimétrée, qui n'entame en rien dans la mise en scène d'un scénario bien alambiqué et retors. "House of Cards" a également un duo d'acteurs et de personnages qui rafle la mise: K.Spacey monumental et R.Wright sublimement charismatique. Très prometteur pour la suite, ce premier opus est un ravissement d'impudence, aussi réaliste que flippant.
Enfin .... Toujours très manipulateur et despotique. Cependant on sent un petit ralentissement dans l'intrigue qui traîne parfois en longueur. Je pense que certains sujets sont traités pendant trop longtemps ce qui donne ce sentiment de longueur !
Du Grand Art. Beau Willimon livre un monument de la Télévision a travers ce Thriller Politique Addictif et Alléchant dont on ne sort pas indemne. Pour Commencer la Réalisation est Elégante et Magistrale en disposant de quelques plans séquences audacieux qui nous plonge dans une Ambiance Poisseuse et Glaçant qui se fait rapidement ressentir avec en prime une BO magnétique de Jeff Beal qui s'accorde parfaitement avec l'univers de la série. Ensuite le Scénario est Machiavélique et Prenant de bout en bout en parvenant a s'intégré avec l'actualité actuel tout en nous réussissant a nous surprendre a travers des Rebondissements Scotchant qui laisse totalement de marbre a chaque épisode tout en suivant le parcours hors pair d'un Homme Politique Magouilleur et Assoiffée de Pouvoir qui en compagnie de son épouse est prêt a tous les moyens nécessaires pour atteindre ses ambitions tout en provoquant tout autour d'innombrables conséquences sans précédant dont la série parvient avec Finesse et sans concession a aborder des Thématiques comme la Politique,le Pouvoir,la Manipulation,la Médiatisiation,les Faux Semblants,les Dilemmes Moreaux et la Corruption qui sont parfaitement retranscrit a travers son Rythme amplement soutenu pendant 6 Saisons, Ajouter a cela des Séquences Chocs et D'Anthologies qui laissent une marque indélébile dans nos mémoires en passant par un Suspense Anxiogène qui joue intensément avec nos nerfs en les mettant a rude épreuve en passant par de multiples Scènes Brisant le Quatrième Mur qui s'avèrent particulièrement Réjouissante avec en prime son lot de Séquences Choquante et Crues qui est a déconseiller aux âmes sensibles sans oublier une bonne dose d''Humour Noir Particulièrement Cynique et Corrosif ainsi qu'une note Dramatique qui arrive a nous toucher a travers quelques belles scènes intimistes. Pour Finir le Casting est Parfait avec son lot de Personnages Complexes et Fascinants dont on retrouve en haut de l'affiche l'incontournable Kevin Spacey qui est monumental comme a son habitude en livrant ici l'un de ces meilleurs rôles de sa carrière en campant le rôle iconique de Frank Underwood un Politicien Charismatique,Cynique,Ambitieux,Manipulateur et Complexe dont l'acteur s'en donne a cœur joie a travers ce Anti-Héros Impitoyable et sans Scrupules, Autour de notre Politicien Imposant on retrouve a ces cotés une galerie de Seconds Rôles au Diapason parmi lesquelles on retrouve la fabuleuse Robin Wright qui campe avec brio le rôle de Claire Underwood l'épouse Froide,Tourmenter et Vénéneuse de Franck dont l'alchimie entre Frank et Claire fonctionne a plein régime au rentrant au panthéon des Couples Marquants du Petit Ecran sans oublier le reste de la Distribution qui est Grandiose tout en parvenant a gagner en épaisseur au fil des saisons en étant composer notamment Kate Mara,Michael Kelly,Mahershala Ali,Molly Parker,Corey Stoll,Neve Campbell,Joel Kinnaman, Dominique McElligott,Jayne Atkinson,Elizabeth Marvel,Kristen Connolly,Lars Mikkelsen et Rachel Brosnahan qui apportent leurs contributions a cette Distribution haut de gamme. En Conclusion, House Of Cards est assurément un Chef D'Œuvre instantané dans l'Histoire de la Télévision qui parvient au passage a surpasser sa version anglaise avec panache dont le Showrunner Beau Willimon signe ici un mixage parfait entre Thriller et Drame Politique qui s'avère a la fois Brillant,Grisant,Palpitant,Sombre et Fascinant qui rentre au rang des Meilleurs Séries de la Décennie 2010 dont les passionnées de Thriller Politique seront rapidement conquis par ce Bijou Télévisuel deja culte qui malgré une sixième et dernière saison qui peut diviser la plupart des gens parvient a rentrer au panthéon des Séries a voir et a revoir sans modération.
Du lourd ! Très lourd ! Kevin Spacey incarne un politicien sans limites ni scrupules pour atteindre la plus haute place dans la maison blanche. Le jeu d'acteur de Kevin Spacey alias Franck UNDERWOOD est dingue ! et ses multiples échanges avec les spectateurs sont jouissifs ...
On ne comprend rien !! Après avoir suivi avec passion les 5 premières saisons, nous voici déjà au 4ème épisode et on se demande sans arrêt "C'est qui déjà lui ?" "de qui ils parlent, là ?" "pourquoi il a dit ça ?" Mais au secours ! Aucune scène compréhensible. Ou alors je suis devenu idiot, ce qui est possible aussi. Et puis, Kevin Spacey, on adorait le détester. Là... ça manque terriblement. Vivement la fin définitive de la série.
Tres décevante cette 6eme et dernière saison, Kevin Spacey manque et son éviction passe mal, ça rend la fin bancale et grotesque. On ne devrait pas confondre les humains et les acteurs.
Des le début on est pris par le suspens, mais plus on avance plus on nous affiche des scènes toujours plus choquantes et toujours plus malsaines, alors on a arrêté avant la fin.
J'ai adoré les 5 premières saisons. De l'intrigue, du suspense, une histoire, des acteurs qui jouent super bien leur rôle....
La saison 6 : c'est du grand n'importe quoi, foutage de gueule suprême et ultime ! Claire a un rôle qui ne lui va plus. L'intérêt des underwood était le couple.
Une 4e saison qui rentre dans le vif de la campagne présidentielle et de la relation tendue du couple. C'est assez varié et parfois fort, mais de plus en plus tiré par les cheveux sur les méthodes employées.