AlloCiné
Mon compte
Critiques spectateurs
Critiques presse
Voir les critiques spectateurs de
Toutes les saisons
Note moyenne
4,2
7177 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Gotham (2014) ?
5
100 critiques
4
162 critiques
3
78 critiques
2
45 critiques
1
21 critiques
0
6 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Bien qu'inégale dans ses fils narratifs et dans la vraisemblance psychologique de ses personnages, Gotham tient sur la longueur grâce à son dynamisme, ses questionnements identitaires et son brassage de personnages cultes. Soutenue par un casting irréprochable, capable de brosser des personnalités complexes et parfois attachantes, cette série se visionne avec plaisir, permettant une explication plausible de l'évolution de Bruce Wayne en justicier nocturne. Pari réussi!
AlexLaloix
Gotham constitue un excellent préquel de Batman, la série reste fidèle à l'univers du comic d'origine avec sa sombre atmosphère et sa trouble ambiance. Globalement, la série nous propose cinq saisons réussies les unes que les autres en mettant en avant différents arcs narratifs assez congrus pour susciter notre attention jusqu'au bout. Gotham peut se féliciter de sa belle réalisation entre décors, effets spéciaux et costumes à la hauteur, ainsi que sa distribution largement au niveau avec Ben McKenzie qui porte merveilleusement bien la série ou encore Robin Lord Taylor dans le rôle du "Pingouin" alias Oswald l'un des personnages les plus réussis du show. Gotham se conclut sur un magnifique final qui marque le début d'une légende.
-
15/20
Critique sur Gotham (série complète)
Vue du 30.01 au 07.11.2019 sur Netflix (S1 à S4) & Warner TV (S5)
-
15/20
Critique sur Gotham (série complète)
Vue du 30.01 au 07.11.2019 sur Netflix (S1 à S4) & Warner TV (S5)
Merci ! Une série superbe, des méchants mis à l’honneur et une fin parfaite. Vs pouvez enchaîner avec le dessin animé de 90 😉
Une des meilleurs série du genre, l'ambiance nous absorbe dans cette ville torturé. Ghotam et ses super vilains sont de retour, fidèles à ce qu'on connaît et à la fois originale. Une agréable expérience !
RealPrime
5 ans, dernière aventure avant que Bruce ne devienne le Bat justicier, tout au long cette série nous aura prouver son potentiel scénaristique, son côté thriller remarquable et son dynamisme exceptionnel. Une dernière saison commençant directement par la mort de la séductrice et dominatrice Tabata Galavane (déçu d'un si rapide départ d’ailleurs à quelques pas de la fin) mais qui se poursuit comme je le pensais par les dernières avancés dans le crime profond du Pingouin,
spoiler:
une amnésie totale de l'Homme mystère qui, personnellement, fut ennuyeux sur le début et milieu car étant totalement incapable de se souvenir des jours précédents, ne se rend plus crédible et passable. Son personnage tourna en rond.
Une avancée pour Bruce, Sélina, Jim et Lee, tous vivant un après attentat local mais vivant souder. Des scènes d'action toujours aussi maîtrisées qui font l'avancées perpétuelle des personnages dont celle du tout premier épisode montrant quasiment le final ainsi que la débandade potentielle de Bruce masquer. Leur quotidien chambouler par le retour possible de Jérémia ainsi que le tour de force des gangs locaux, intrigues secondaires se concluant avant que l'on assiste au début du futur. Une dernière saison ou Jim et Harvey livre leur ultime enquête ensemble, spoiler: ou ce dernier dit enfin oui à sa belle et s'unissent dans un lieu plus qu'insolite. Mais finalement, il y à ici une sorte de message symbolique, commencer ici pour poursuivre ici-même.
Dernière fois que le grand Alfred montre sa grasse et son talent britannique au service d'un jeune homme orphelin, une interprétation remarquable qui en sera devenue culte. Lucius en concepteur historique livrant ses dernières touches pour ce jeune ambitieux, Sélina dans sa superbe devenant plus que jamais la fabuleuse Catwoman à la gymnastique irréprochable. Enfin, le dernier épisode, forcément touchant, forcément émouvant pour un adieux parfait, 10 ans après le départ du milliardaire pour Nanda Parbat et devenir le héros jusqu'ici attendu. 10 ans donc et nos personnages vieillissent, couleur capillaire changée, retour d'un ancien maire légèrement pourri, une jeune voleuse devenue ravissante jeune femme confirmée qui, comme le soulignera Lee : "Elle est devenue la femme la plus en vue de Gotham", tout est dit. Un premier face à face avec le "Joker", une première entrevue juste magique et sensible entre Buce et Sélina avant que le projecteur ne s'allume, un rassemblement avec nos principaux personnages du début sur un toit aux côté d'un projecteur d'acier pur, et une vision sur le Chevalier. Nigma et Oswald dans leur sublime tenue finale ouvrant la porte aux visages et comportements de frayeur face au premier assaut du justicier nocturne. Un ultime dialogue, un ultime plan moitié prise réelle, moitié prise numérique, et voici Bruce Wayne, le Chevalier Noir, le Bat de Gotham. Tous simplement, The Dark Knight. Une série remarquable qui fera un grand vide dans l'univers DC tant son absence désormais nous sera fatale, mais qui nous aura plonger tout au long de ces 5 saisons, à la découverte d'un fabuleuse cité, à la naissance d'une odyssée policière sans précédent et à la naissance des plus illustres criminels, inspecteurs et alliés du DC Universe : "Gotham, Good bye"
Une avancée pour Bruce, Sélina, Jim et Lee, tous vivant un après attentat local mais vivant souder. Des scènes d'action toujours aussi maîtrisées qui font l'avancées perpétuelle des personnages dont celle du tout premier épisode montrant quasiment le final ainsi que la débandade potentielle de Bruce masquer. Leur quotidien chambouler par le retour possible de Jérémia ainsi que le tour de force des gangs locaux, intrigues secondaires se concluant avant que l'on assiste au début du futur. Une dernière saison ou Jim et Harvey livre leur ultime enquête ensemble, spoiler: ou ce dernier dit enfin oui à sa belle et s'unissent dans un lieu plus qu'insolite. Mais finalement, il y à ici une sorte de message symbolique, commencer ici pour poursuivre ici-même.
Dernière fois que le grand Alfred montre sa grasse et son talent britannique au service d'un jeune homme orphelin, une interprétation remarquable qui en sera devenue culte. Lucius en concepteur historique livrant ses dernières touches pour ce jeune ambitieux, Sélina dans sa superbe devenant plus que jamais la fabuleuse Catwoman à la gymnastique irréprochable. Enfin, le dernier épisode, forcément touchant, forcément émouvant pour un adieux parfait, 10 ans après le départ du milliardaire pour Nanda Parbat et devenir le héros jusqu'ici attendu. 10 ans donc et nos personnages vieillissent, couleur capillaire changée, retour d'un ancien maire légèrement pourri, une jeune voleuse devenue ravissante jeune femme confirmée qui, comme le soulignera Lee : "Elle est devenue la femme la plus en vue de Gotham", tout est dit. Un premier face à face avec le "Joker", une première entrevue juste magique et sensible entre Buce et Sélina avant que le projecteur ne s'allume, un rassemblement avec nos principaux personnages du début sur un toit aux côté d'un projecteur d'acier pur, et une vision sur le Chevalier. Nigma et Oswald dans leur sublime tenue finale ouvrant la porte aux visages et comportements de frayeur face au premier assaut du justicier nocturne. Un ultime dialogue, un ultime plan moitié prise réelle, moitié prise numérique, et voici Bruce Wayne, le Chevalier Noir, le Bat de Gotham. Tous simplement, The Dark Knight. Une série remarquable qui fera un grand vide dans l'univers DC tant son absence désormais nous sera fatale, mais qui nous aura plonger tout au long de ces 5 saisons, à la découverte d'un fabuleuse cité, à la naissance d'une odyssée policière sans précédent et à la naissance des plus illustres criminels, inspecteurs et alliés du DC Universe : "Gotham, Good bye"
"Cette 5ème et ultime saison de Gotham est donc, dans la lignée des précédentes, vraiment bonne. Parmi les défauts, on notera une intrigue un peu déjà-vue (voir The Dark Knight Rises), quelques épisodes inutiles, des éléments prévisibles, une conclusion légèrement frustrante, quelques personnages manquant de développement et enfin Robin Lord Taylor qui a tendance à surjouer. Du côté des qualités, on notera une intrigue qui reste captivante, intéressante et qui contient de bons rebondissements, un univers et quelques personnages bien développés, un rythme et une ambiance très bien maîtrisées, un casting assez solide dans l’ensemble et des décors toujours aussi bien réalisés. Gotham se termine donc avec les honneurs en nous laissant sur 5 saisons qui auront réussi à rester constamment de bonne qualité. Et oui, son absence fera un vide l’année prochaine."
Critique complète sur cineomax.over-blog.com
Critique complète sur cineomax.over-blog.com
RealPrime
Suite de leurs aventure communes, un nouvel ennemi n'étant autre que le nouveau maire en personne. Des anciens méchants ayant prient du grade ou ayant tout bonnement chuter avant de réussir à rebondir. Un jeu toujours aussi génial, une qualité visuelle toujours prenante, des épisodes géniaux qui vont petit à petit nous emmener vers le but tant attendu. Une société multimilliardaire officiellement corrompue puis une grande partie se déroulent dans le mythique asile sombre. Curieusement géré par un dénommer Strange, nous rappelant notre magicien de Marvel. Des gentils qui deviennent tour à tour méchant à en devenir pour l'un d'eux, l'un des plus emblématiques. Une saison 2 extrêmement prometteuse pour la suite. Ou l'on découvrira ce que cet individu à créer de toute pièce pour mettre Gotham à feu et à sang. Tandis qu'une figure de lu banditisme vivra ses derniers instants, à la plus grande surprise générale. Une réussite.
Gotham est une série policière comme on en a vu des dizaines dans le sens où elle enchaîne les enquêtes bâclées et faciles, certains épisodes se voyant complètement détachées d'une quelconque trame globale. Mais pourtant, Gotham possède une aura indéniable. Gotham, c'est la Gomorrhe de D.C. Comics, la ville sombre par excellence, celle où le soleil ne semble jamais poindre, bien trop craintif de voir ses rayons se faire taillader dans ces ruelles poisseuses. C'est celle qu'on nous a vendu au détour de toutes les adaptations de ce cher Batman et elle inspire à l'image d'une Sin City, une fascination certaine.
Centrée autour du commissaire Gordon, elle nous offre en plus la possibilité d'apprécier l'émergence des futurs Bat-vilains et autres personnages de l'univers centré sur l'homme chauve-souris créé par Bob Kane au crayon et Bill Finger à la plume.
Dans ses deux premières saisons, la série tire son épingle du jeu. Certes les enquêtes se résolvent facilement, mais on ne peut nier l'intérêt grandissant pour un jeune Oswald Copplebot alias Pingouin, parfaitement trouvé en la personne Robin Lord Taylor ou encore Cory Michael Smith en homme-mystère à la genèse torturée. Les deux gravitent dans une ambiance mafieuse faite de jeux de pouvoirs qui nous tient définitivement.
Sur la touche, un jeune Bruce Wayne jamais convaincant, forçant un peu trop sur les sourcils froncés pour se donner un air de défiance, et une Fish Mooney à l'extravagance rebutante. La seconde finira par nous faire le plaisir de son absence, le premier à l'évidence, on se le coltinera jusqu'au bout.
En continuant d'introduire tous les futurs ennemis de notre jeune chevalier noir, la série perd son écriture et rate malheureusement l'entrée en scène de deux nemesis que Christopher Nolan avait pourtant réussi à exploiter intelligemment en la personne de Bane et avec brio pour l'un des Joker les plus mémorables.
Ainsi, la saison 3 sert de transition à l’essoufflement et tout l'intérêt se retrouve doucement dilapidé par des banalités qui ne semblent là que pour retarder un peu plus l'émergence d'on sait qui. Gordon s'entête, nous embête avec ses états d'âmes. Barbara Kean, Pingouin et L'homme-mystère deviennent ennuyeux dans leurs alliances et leurs trahisons à là "je t'aime moi non plus", évitant les occasions de mourir de manière ostentatoire pour une ultime saison, en forme de réunification contre un ennemi commun qui sonne affreusement mal. Dommage de virer ainsi dans la démesure et l’exubérance pour sauver une ville qui n'en vaut presque plus la peine dans la tête du spectateur. A quelques épisodes de la fin, les scénaristes se permettent même de nous offrir une intrigue inutile dans un épisode centré sur le partenaire de toujours de Gordon à la manière d'un Les experts : Gotham City. Seul le dernier épisode, conclut avec une certaine réussite ce calvaire et vient nous libérer juste à temps. Merci Batman.
Centrée autour du commissaire Gordon, elle nous offre en plus la possibilité d'apprécier l'émergence des futurs Bat-vilains et autres personnages de l'univers centré sur l'homme chauve-souris créé par Bob Kane au crayon et Bill Finger à la plume.
Dans ses deux premières saisons, la série tire son épingle du jeu. Certes les enquêtes se résolvent facilement, mais on ne peut nier l'intérêt grandissant pour un jeune Oswald Copplebot alias Pingouin, parfaitement trouvé en la personne Robin Lord Taylor ou encore Cory Michael Smith en homme-mystère à la genèse torturée. Les deux gravitent dans une ambiance mafieuse faite de jeux de pouvoirs qui nous tient définitivement.
Sur la touche, un jeune Bruce Wayne jamais convaincant, forçant un peu trop sur les sourcils froncés pour se donner un air de défiance, et une Fish Mooney à l'extravagance rebutante. La seconde finira par nous faire le plaisir de son absence, le premier à l'évidence, on se le coltinera jusqu'au bout.
En continuant d'introduire tous les futurs ennemis de notre jeune chevalier noir, la série perd son écriture et rate malheureusement l'entrée en scène de deux nemesis que Christopher Nolan avait pourtant réussi à exploiter intelligemment en la personne de Bane et avec brio pour l'un des Joker les plus mémorables.
Ainsi, la saison 3 sert de transition à l’essoufflement et tout l'intérêt se retrouve doucement dilapidé par des banalités qui ne semblent là que pour retarder un peu plus l'émergence d'on sait qui. Gordon s'entête, nous embête avec ses états d'âmes. Barbara Kean, Pingouin et L'homme-mystère deviennent ennuyeux dans leurs alliances et leurs trahisons à là "je t'aime moi non plus", évitant les occasions de mourir de manière ostentatoire pour une ultime saison, en forme de réunification contre un ennemi commun qui sonne affreusement mal. Dommage de virer ainsi dans la démesure et l’exubérance pour sauver une ville qui n'en vaut presque plus la peine dans la tête du spectateur. A quelques épisodes de la fin, les scénaristes se permettent même de nous offrir une intrigue inutile dans un épisode centré sur le partenaire de toujours de Gordon à la manière d'un Les experts : Gotham City. Seul le dernier épisode, conclut avec une certaine réussite ce calvaire et vient nous libérer juste à temps. Merci Batman.
Une excellente série, centrée sur James Gordon, Gotham et l’ascension des différents vilains ainsi que Bruce Wayne. C'est donc un prequel, ne vous attendez pas à voir Batman, la serie se termine quand il le devient littéralement. Mais c'est tout l'interet, car il propose un arc narratif tres interessant basé sur la relation entre tous les personnages, gentils comme méchants et de leur fondation. Comme on le sait, DC propose toujours de revisiter les mythes et cette version est solide et vraiment bien amenée. Cette version de l'histoire est tellement dense qu'on aimerait qu'elle soit le creuset dans les autres créations Batman
Mais le gros point fort est vraiment cette playade d'acteurs tous aussi bons les uns que les autres, dont l'interpretation fait vraiment tout l’intérêt de cette série, car c'est cette galerie de personnages hauts en couleurs qui crève l'écran. Alors bien entendu, malgré la formidable interprétation des acteurs, certains sortent du lot. Cameron Monaghan en tête dans son hallucinante interprétation des freres Valeska, qui devient le Joker mais aussi à Robin Lord Taylor et Corin Michael Smith respectivement en Pinguin et Homme Mystère. On notera aussi le touchant role d'Alfred, campé a merveille par Sean Pertwee. Quand a Bruce Wayne, cet enfant taciturne que l'on voit grandir en meme temps que son acteur, est crédible et "enfile parfaitement le costume" si je puis dire. Je n'ai par contre pas été emballé par le jeu de Gordon et son personnage que je trouve caricatural. J'ai largement préféré l'interpretation de Gary Oldman dans les version de Nolan.
Bref, il faut évidement regarder les 5 saisons pour justement voir l'évolution et le climax final de cette série qui doit etre un incontournable pour tout amateur de Batman dont je suis.
Mais le gros point fort est vraiment cette playade d'acteurs tous aussi bons les uns que les autres, dont l'interpretation fait vraiment tout l’intérêt de cette série, car c'est cette galerie de personnages hauts en couleurs qui crève l'écran. Alors bien entendu, malgré la formidable interprétation des acteurs, certains sortent du lot. Cameron Monaghan en tête dans son hallucinante interprétation des freres Valeska, qui devient le Joker mais aussi à Robin Lord Taylor et Corin Michael Smith respectivement en Pinguin et Homme Mystère. On notera aussi le touchant role d'Alfred, campé a merveille par Sean Pertwee. Quand a Bruce Wayne, cet enfant taciturne que l'on voit grandir en meme temps que son acteur, est crédible et "enfile parfaitement le costume" si je puis dire. Je n'ai par contre pas été emballé par le jeu de Gordon et son personnage que je trouve caricatural. J'ai largement préféré l'interpretation de Gary Oldman dans les version de Nolan.
Bref, il faut évidement regarder les 5 saisons pour justement voir l'évolution et le climax final de cette série qui doit etre un incontournable pour tout amateur de Batman dont je suis.
Dik ap Prale
Seul l'étreinte amicale entre le Pingouin et le Sphinx de l'épisode 11 restera. Pour le reste, il n'est question que de réécrire les récits cinématographiques, sans jamais les trahir. Pourtant, Gotham était plus élégante quand elle imposait ses choix, et ne laissait rien au hasard. Jérôme était grand, mais son jumeau n'est vraiment pas méritant et cet achèvement non plus. Tout semble précipité et désuet. Bane est beau mais ses actes sonnent creux, sans parler de sa comparse. Tout semble écrit au jour le jour. On ne comprend plus rien au rythme de ces cinq saisons. Les retournements et les conclusions sont de plus en plus grotesques.
Début prometteur mais qui s'essouffle au fil des saisons. On part sur une série policière sur fond fantastique dans l'univers de Batman, donc une bonne idée. Les personnages sont plutôt bien développés , l'intérêt se trouve dans le jeu et l'interprétation du jeune Oswald Copplebot alias Pingouin, parfaitement trouvé en la personne Robin Lord Taylor ou encore Cory Michael Smith en homme-mystère, mais il a fallu imposer une romance entre les deux pour faire plaisir au premier... ça a énormément gâché le potentiel qu'il y avait.
Excellente série un casting vraiment au top de l'intrigue du suspense et de l'action tout au long des saisons un gros coup de cœur pour les personnages de fish mooney et enigma puis barbara mais surtout LE PINGOUIN mon favoris ! Les saisons 2 et 3 sont les meilleurs selon moi vraiment sont vraiment parfaites. Seul bémol la saison 4 les épisodes étaient vraiment abracadabrants voir absurdes mais sinon le reste une série vraiment géniale très bien réalisé dans son genre si ce n'est le côté un peu lassant et cliché du flic jim gordon le "fameux" héros de gotham qui ne meurt jamais malgré toutes ces extraordinaires blessures...bref gotham à regarder
RealPrime
Troisième saison qui m'étais encore inconnu, j'ai enfin découverts l'avancement de ces héros, tel qu'on les à laisser.
spoiler:
Des monstres sortis tout droit d'un labo secret qui n'auront pas fait long feu à ma grande surprise. Gordon qui sera passé détective suite à son départ du commissariat, puis l'avancement des recherches par Bruce et Alfred sur un bien vieux meurtre, qui s'avérera décisif pour la suite. La découverte tant attendue d'une organisation ultra secrète dirigeant dans son bon vouloir toute une ville déjà bien plus que sombre. Une femme à la tête du groupe local prête à tout faire gober pour arrivée à ses fin. Plus on en entend parler et plus on comprend que l'organisation est implantée dans les petite entrailles de la ville. Des secrets presque impossible à dévoiler, des enquêtes à droite à gauche qui finissent à un moment donner par arrivées au même endroit, "Cour des hiboux".
Un déchirement sentimental pour notre héros qui finira par en découvrir de bien belles mais au fond, bien sombre. spoiler: Une arme secrète qui va semée le doute chez chacun quitte à faire perdre la raison à tout le monde. Gordon se sera fait torturer psychologiquement par toute cette affaire de faux sentiment et vrai à l'égard de la seule vrai femme qu'il est jamais aimée.
Une saison sombre pour ce héros tellement connu. A un moment donner, je me serais cru devant l'adaptation du 5 volet des "Alex Rider" tellement la ressemblance fut frappante par rapport à certains personnages. spoiler: Des ennemis secondaires qui se déchire, des retours par ci par là, une enfant qui devient subitement adulte du jour au lendemain.
Une fin de saison à partir des 5 derniers épisodes de plus en plus riche nous emmenant vers le rapprochement ultime. Un rapprochement qui s'avère bien en être le cas, puisqu'en ayant appris que la saison 5 serait l'ultime, je me dit que si l'on serait aller jusqu'aux 25 ou 30 ans de Bruce, cette série aurait pu être une merveille même si c'est déjà le cas. Un intelligence d'écriture de A à Z pour une saison PASSIONNANTE, EXPLOSIVE ET JOUISSIVE. Avant d'en entamer l'avant-dernière ne pouvant être que plus magique. Avec et je le sens enfin venir, la naissance du chevalier et du chat noir.
Un déchirement sentimental pour notre héros qui finira par en découvrir de bien belles mais au fond, bien sombre. spoiler: Une arme secrète qui va semée le doute chez chacun quitte à faire perdre la raison à tout le monde. Gordon se sera fait torturer psychologiquement par toute cette affaire de faux sentiment et vrai à l'égard de la seule vrai femme qu'il est jamais aimée.
Une saison sombre pour ce héros tellement connu. A un moment donner, je me serais cru devant l'adaptation du 5 volet des "Alex Rider" tellement la ressemblance fut frappante par rapport à certains personnages. spoiler: Des ennemis secondaires qui se déchire, des retours par ci par là, une enfant qui devient subitement adulte du jour au lendemain.
Une fin de saison à partir des 5 derniers épisodes de plus en plus riche nous emmenant vers le rapprochement ultime. Un rapprochement qui s'avère bien en être le cas, puisqu'en ayant appris que la saison 5 serait l'ultime, je me dit que si l'on serait aller jusqu'aux 25 ou 30 ans de Bruce, cette série aurait pu être une merveille même si c'est déjà le cas. Un intelligence d'écriture de A à Z pour une saison PASSIONNANTE, EXPLOSIVE ET JOUISSIVE. Avant d'en entamer l'avant-dernière ne pouvant être que plus magique. Avec et je le sens enfin venir, la naissance du chevalier et du chat noir.
RealPrime
Basé intégralement sur les débuts dans la police de l'inspecteur Gordon et en même temps sur le mythique meurtre des parents de Bruce Wayne, j'avais qu'une seule peur, que cette série soit aussi compliquée à suivre que la trilogie de Christopher Nolan qui elle, n'était que du genre policier et pas assez héroïque. A ma grande surprise, cette série en fin, cette saison 1 est géniale, on découvre les premiers pas de tous ces personnages culte bien avant leur grandes heures en tant qu'adulte. Le jeu est impeccable, les liens sont montrer de la meilleure des manières. Les soit disant bons se font petit à petit une place dans le côté obscur. On y rencontre les 2 emblématique chefs mafieux de cette cité fictive mais passionnante. Les enquêtes sont très simples à suivre et on est donc très loin du complexe à la Nolan (qui en fait sa grande marque de fabrique). On s'attache à tous le monde et on voit comment ces jeunes enfants étaient avant cette grande messe adultère de l'après série. Amis eu départ, puis petit à petit ennemis. Les plans et répliques dors et déjà culte de cette première saison étant : la première rencontre entre Gordon et Fish dont la première prise est elle-même à côté d'une table la main gauche étendue dessus. Puis le soit disant meurtre du Pingouin par Gordon ou ce dernier lance tous son discours avec sa peur bleue. Une première série DC parfaite et tous simplement géniale. Avec de très bons effets.
apres la triologie de Nolan, cette serie pique les yeux
scénario décousu, tout le monde se flingue en permanence mais revit 2 min après
la dimension dark vire au pastiche le plus kitsch et personne ne semble jamais réellement affecté par rien
l'acteur qui interprète wayne jeune a le charisme d'un beignet et semble avoir connu tous ses ennemis dès l'age de 13 ans, mais oui...
d'ailleurs ils se cotoient tous tellement en permamence ces gentils et ces vilains qu'on dirait que c'est une bande de potes qui jouent aux cowboys et aux indiens et qui va aller se sifler une bière après
bref c'est très médiocre et ça n'amene rien à l'univers Batman si ce n'est le tourner en derision
autant enchainer direct avec Batman Begins et zapper cette pitoyable pantalonnade
scénario décousu, tout le monde se flingue en permanence mais revit 2 min après
la dimension dark vire au pastiche le plus kitsch et personne ne semble jamais réellement affecté par rien
l'acteur qui interprète wayne jeune a le charisme d'un beignet et semble avoir connu tous ses ennemis dès l'age de 13 ans, mais oui...
d'ailleurs ils se cotoient tous tellement en permamence ces gentils et ces vilains qu'on dirait que c'est une bande de potes qui jouent aux cowboys et aux indiens et qui va aller se sifler une bière après
bref c'est très médiocre et ça n'amene rien à l'univers Batman si ce n'est le tourner en derision
autant enchainer direct avec Batman Begins et zapper cette pitoyable pantalonnade